Mon après-midi était généralement consacré à mes clients. Quand j’avais vu que je ne m’en sortais pas, j’avais déposé une petite annonce sur la vitrine réservée à cet effet au supermarché où j’allais chercher des provisions. Certains auraient trouvé ça dégradant. Pas moi. J’estimais qu’il n’y avait pas de sot métier quand il s’agissait de gagner de l’argent.
A ma grande surprise, on m’avait appelé et j’avais trouvé des clients très rapidement.
Ce qui m’avait moins surpris, c’était aussi que, très rapidement, tout avait basculé sur du sexe. Ca tenait à plusieurs critères, comme tout le reste, le fait que j’avais un corps plutôt voluptueux, mais aussi sans doute que les personnes à qui j’avais à faire sentaient que j’aimais le sexe, et qu’il y avait une ouverture…
J’ai mangé légèrement avant de me préparer. J’avais un sac contenant mes tenues de travail, je mettais des t-shirts et des caleçons…
J’avais pourtant à me préparer pour ma première cliente. J’ai enlevé mon collant et j’ai été chercher une culotte dans le tiroir prévu à cet effet. J’ai pris un grand slip blanc, basique et je suis revenue me caler sur le siège des toilettes. Chaque mardi et chaque jeudi, c’était le même rituel. Je n’avais volontairement pas fait pipi depuis que j’avais bu les cafés dans l’appartement de Robin, et j’avais la vessie dilatée à exploser. Ces jours-là, je m’efforçais de boire toute la matinée, de manière à me préparer tout l’après-midi.
Quand on a la vessie pleine, et qu’on s’est retenu longtemps, il est toujours difficile de se retenir. Et ce d’autant plus quand on est enveloppée par une culotte, qui par réflexe, bloque la miction, parce qu’on a tendance à se retenir quand on porte un vêtement, question d’éducation.
Et puis ma vessie s’est enfin relâchée, j’ai lâché un timide trait d’urine contre le coton qui m’enveloppait. Après, c’est venu plus facilement…Encore des traits courts, puis un flux régulier. Le coton s’est saturé de liquide, avant qu’enfin le flux abondant ne traverse le coton et coule dans la cuvette en dessous. J’ai attendu, après m’être vidée, je me suis secouée pour faire tomber les dernières gouttes. Je me suis redressée et j’ai écarté le tissu de mon ventre. Le coton était humide sur une large zone, sur le devant et l’entrejambe du slip, et mes chairs étaient moites. Mon clitoris saillait. J’ai ramené le tissu contre moi, et j’ai laissé retomber ma robe. Avant de connaître ma cliente, je n’avais jamais fait des jeux de pisse, et je trouvais ça excitant. Le sexe a de multiples facettes, qu’on n’a jamais fini de découvrir, c’est ce qui fait tout son charme.
Je suis passée par la cuisine pour récupérer la bouteille d’eau glacée qui m’attendait au frigo. J’allais la consommer pendant mon trajet à pied, jusqu’à la demeure de Patricia V… l’une de mes deux clientes de l’après-midi.
Ca avait été ma première cliente. Je me souvenais encore de son appel. Elle avait une voix hautaine, et elle m’avait demandé si je me sentais prête à faire le ménage dans une grande maison qu’elle était incapable d’entretenir toute seule. J’avais répondu un peu bêtement ‘On peut toujours essayer…’ Elle m’avait proposé de lui rendre visite pour que je puis en juger, pour m’évaluer aussi, évidemment.
Elle avait de bonnes raisons d’être hautaine. Son mari était pédiatre, il y en avait deux en ville, un qui avait une bonne réputation, l’autre mauvaise. Lui c’était la bonne. Il avait une clientèle folle, partait le matin à 7 heures au travail et rentrait à 22 heures. Mais il travaillait aussi le samedi et le dimanche, appelé par des parents d’enfants malades. Elle vivait donc de son côté depuis belle lurette, avec pour avantage une montagne d’argent dans laquelle elle pouvait piocher sans qu’il y ait le moindre souci, et une immense et belle maison qui représentait quand même une cage dorée. Elle avait accepté une fois pour toutes les évidences que son mari s’était éloigné d’elle, même s’il l’aimait sans doute encore, mais il ne le manifestait plus vraiment, et elle avait commencé à trouver du plaisir ailleurs. J’avais cru comprendre que sa vie était comme un patchwork, qui additionnait des moments de plaisir très divers. J’étais un de ces moments.
Elle habitait une maison immense, quelque chose qui se rapprochait d’un manoir, mais n’en était pas vraiment un,une demeure rénovée dans un parc, trois étages, une vingtaine de pièces. Il y avait effectivement de quoi faire, niveau ménage, même si se c’était pas son souci majeur quand on était ensemble.
La première fois où je l’avais vue, j’avais été sidérée par sa beauté. Elle devait approcher de la cinquantaine, mais c’était l’une des plus jolies femmes qu’il m’avait été donné de voir. Brune, avec sans aucun doute des origines hispaniques. Elle avait un visage parfaitement dessiné, avec de très grands yeux bleus et une bouche fine. Ni l’un ni l’autre ne manifestaient de l’amour pour son prochain, plutôt un mélange de froideur et de cruauté. Elle était bien consciente des privilèges qu’elle avait et elle voulait en profiter à fond, sans trop penser aux autres.
Elle portait ce jour-là une robe magnifique, qui avait du lui coûter une fortune. Elle sans aucun doute, elle ne s’habillait pas dans les solderies, pas plus que dans les friperies. Robe qui soulignait la finesse de son corps. Elle avait des formes menues, mais quand on la voyait sans ses vêtements, elle n’en était pas moins troublante, au contraire. J’étais hantée, et je me caressais, dans mes moments de solitude, en pensant à ses seins, à peine existants, couronnés par des tétons qui prenaient par contre beaucoup de volume quand ils s’érigeaient, presque incongrus sur sa chair, ou au dessin de sa chatte, comme elle l’ouvrait sur ses muqueuses, quand elle me provoquait pour que je vienne dessus de la langue et des doigts.
Je savais que si j’avais du renoncer à la voir deux fois par semaine, ça m’aurait coûté, même si je ne l’aurais pas admis facilement. Je ressentais pour elle la même fascination, parce qu’elle évoquait pour moi le sexe, un sexe troublant et fascinant, que les hommes ressentaient quand ils me regardaient.
Je suis arrivée comme à l’accoutumée sur le coup de 13 heures 30. Je passais deux heures et demi avec elle, un peu de temps consacré au ménage, et beaucoup plus au sexe. La maison était toujours aussi splendide. On pouvait en dire autant d’elle. Elle est venue m’ouvrir. Elle portait un simple caleçon noir très moulant qui donnait un dessin très précis de ses jambes, sans défaut, et de son sexe, en haut de ses cuisses, laissant voir sa fente mais aussi un morceau de lèvre qui sortait d’elle.
—Je t’attendais.
Petit à petit, elle avait effacé avec moi le masque qu’elle conservait avec les autres, et qui était sans aucun doute une protection, se montrant chaleureuse et simple. Surtout, il y avait chez elle un élan vers moi qui disait que, même si sa vie était bien remplie, et qu’elle avait beaucoup de plaisirs, elle connaissait une certaine solitude. Elle a refermé la porte, et elle est venue se coller à moi, me faisant sentir le poids et la chaleur de son corps. Nos bouches se sont accrochées, nos langues jointes et frottées.
—Aujourd’hui, je voudrais que tu nettoies la salle de bains, et que tu passes un coup d’aspi dans le living…Mais avant, j’ai envie de voir ce qu’il y a sous cette jolie robe…
Elle m’a justement emmenée dans le living. Des meubles cossus, et plusieurs divans. Elle s’est laissée tomber sur l’un d’entre eux, moi restant debout devant elle, pour retrousser ma robe…
—Je parie qu’il y a une belle petite chatte sous ce tissu…
—Quelle intuition, j’ai dit…
—Oh mon Dieu, mais qu’est-ce qui s’est encore passé? Je sens une odeur de pipi…Ah la la, encore un accident…
Le temps que la culotte sèche un tant soit peu, l’odeur, quasiment inexistante quand je venais de la souiller, s’était installée…Une odeur forte d’urine, qui, je l’avais bien compris, l’enivrait.
Odeur qui a encore été plus forte quand elle a écarté le tissu de mon ventre. Odeur âcre, forte, intense, et que j’avais fini par trouver, moi aussi, excitante.
—Tu t’es encore fait pipi dessus, et tu as trempé ta culotte…Tu ne sais pas te contrôler.
—Je crois que j’ai encore envie de faire pipi, je lui ai répondu.
Difficile qu’il en soit autrement, quand j’avais avalé une bouteille d’un litre et demi d’eau glacée, en marchant jusqu’à chez elle. Ce n’était pas une figure de style. Je n’allais pas tenir très longtemps avec cette envie qui me tordait le ventre mais que j’avais appris à domestiquer au fil du temps…
Je savais parfaitement ce qu’elle attendait. Robe soulevée, culotte baissée, il ne me restait plus qu’à ajuster ma cible. Un premier jet est parti, très long, qui a trempé son pull de manière latérale. Elle a eu un sourire ravi, qui ne pouvait que m’encourager.
Avec le temps, j’avais appris à contrôler ma miction, qui était tout sauf une miction impossible. Alterner des jets intenses et d’autres plus secs, orienter mon urètre vers les différentes parties de son corps pour qu’elle sente la caresse puissante de l’urine contre elle et qu’elle en éprouve du plaisir. Mais ça, du plaisir, elle en avait certainement, à en juger par la manière dont elle se caressait, la main glissée dans le caleçon. J’avais abondamment pissé sur et autour de son sexe, en accentuant le dessin, ce sexe qu’elle fouillait maintenant de ses doigts. Elle m’avait confessé, quand je faisais le ménage elle me suivait pour me parler qu’elle avait toujours éprouvé énormément du plaisir, depuis l’adolescence à des jeux de pipi, auxquels une de ses copines l’avait initiée. Son seul problème, ç’avait été de trouver des partenaires. ‘Avec toi, j’ai senti que ça pouvait coller…Je ne me suis pas trompée…Tu es très ouverte…’
Ouverte je l’étais aussi physiquement, l’urètre saillante pour la couvrir de pipi, pendant qu’elle se donnait du plaisir, jusqu’à l’orgasme.
Ma miction terminée, je me suis penchée sur elle pour lui enlever son caleçon. Dessous, comme souvent, elle n’avait pas de slip. Ses jambes fines et son sexe gonflé d’excitation me sont apparus. Je ressentais pour elle, même si je ne l’aurais pas avoué volontiers, un désir intense, qui me tordait le ventre. Je m’étais entichée de son corps et de son visage qui représentaient à mes yeux une certaine perfection, et ainsi, la dénuder était un grand moment pour moi. Je ne me lassais pas de ces moments avec elle, je ne me lassais pas d’elle, de tout ce qu’elle représentait.
J’ai caressé ses jambes avant de venir sur son sexe de la langue. Elle a poussé un gémissement quand je suis arrivé sur ses chairs intimes, se basculant en arrière, contre le dossier du divan. Je connaissais le dessin de son sexe par coeur, mais je ne me lassais pas d’en suivre le tracé à nouveau, de la langue et des doigts. J’aimais sa configuration. J’avais déjà eu suffisamment de chattes sous le nez pour savoir qu’il n’y avait pas deux sexes de fille qui se ressemblaient, et le sien me fascinait, resserré, gonflé, même au repos, comme une saillance qui marquait ses tenues, une proéminence qui s’ouvrait facilement, à la moindre excitation, pour cracher un liquide que j’aurais voulu boire jusqu’à la dernière goutte. Elle avait des lèvres fines, qui, dans un premier temps, restaient prisonnières de sa chatte pour finalement sortir et s’épanouir à l’air libre, longues et fines, et un clitoris qui se décalottait très vite, long et fin, pointait et s’allongeait.
Il existait entre elle et moi une harmonie, celle des amants qui connaissent le corps de l’autre depuis un certain moment, et qui savent ce qu’il faut faire pour lui donner du plaisir, sans pour autant négliger des tentatives de partir sur des champs nouveaux.
Je suis venue resserrer ma bouche sur ses lèvres, m’inclinant pour les envelopper et exercer une douce traction dessus…Ses jus coulaient sur moi. J’avais rarement vu quelqu’un qui mouillait autant.
Ce qu’elle aimait aussi, mais ça c’était une évidence, c’était que je caresse son clitoris, source de plaisir pour toute femme sans aucun doute, mais encore plus pour elle. Je la prenais dans ma bouche, comme je l’aurais fait pour une bite, ça me troublait d’ailleurs parce que ce n’était pas si différent que ça, même si la manière qu’avait son clitoris d’occuper ma bouche avait une manière différente de m’envahir, long mais fin…Je tournais dessus de la langue, je faisais aller et venir ma bouche dessus, comme pour une queue, et à ce moment-là, elle perdait totalement le contrôle. J’étais toujours troublé par le contraste qui pouvait exister entre la femme si froide, qui renvoyait une image très hautaine aux autres, et celle qui, dans ce moment partagé, s’abandonnait totalement, se laissait aller à son plaisir en baissant les barrières qu’elle avait dressé, les protections autour d’elle.
Je savais ce qu’elle attendait. Même si je ne passais pas forcément par là à chaque fois. C’était sans doute une pratique décalée, mais on était elle et moi sur les pratiques décalées, sans aucun doute. Je me souvenais bien sûr de la première fois, quand elle avait posé sa main sur la mienne, et qu’elle l’avait poussée vers son sexe. Je n’avais pas bien compris, à vrai dire ce qu’elle voulait. Alors, ayant affaire à une élève pas très douée, elle avait pris un de mes doigts, et elle l’avait introduit dans son sexe, qui, à cette phase de l’excitation, était béant…Le reste avait suivi, mais plus par instinct que par réflexion. J’avais glissé un doigt en elle, puis un autre, jusqu’à plier mon pouce et ma main avait soudain disparu. Une sensation étrange, qui avait laissé place à une autre, très forte, celle de son sexe autour de moi, sensation qui m’avait enivrée.
—Caresse-moi à l’intérieur.
Je m’étais sentie très maladroite, d’abord, mais c’était venu très vite. Il y a toujours l’instinct qui vous guide, ça c’est une leçon que j’avais apprise. Et puis j’avais maintenant la faveur de l’expérience. D’autant que j’adorais ces moments. Ca m’excitait terriblement de la caresser comme ça. J’aimais le sexe différent, avec elle, c’était bien l’occasion de mettre ce souhait en pratique.
C’était d’ailleurs toujours le moment où, en même temps qu’une de mes mains était dans son ventre, l’autre glissait sur moi et que je me caressais en parallèle, pour apaiser l’excitation intense que ces moments me donnaient.
J’aimais être en elle, sentir sa chaleur autour de moi, sa muqueuse qui m’enveloppait comme un gant, la délicatesse, comme la soie, de celle-ci, mais aussi le dessin complexe de son sexe, ce mélange de relief et de creux qui restait comme une découverte à chaque fois que je me glissais en elle. J’aimais aussi, plus que tout sans doute, la voir se tordre sur le canapé, jouissant sans retenue…Elle laissait couler, dans de tels moments, un liquide qui n’était pas de même nature que celui de ses premières excitations, quelque chose qui était plus épais et sirupeux, la marque sans doute d’un plaisir plus fort, plus marqué.
Elle gémissait et criait son bonheur…Avec l’évidence que la jouissance approchait, jouissance qui explosait en elle, faisant d’elle un morceau de chair agité par des spasmes, criant en même temps qu’elle crachait de multiples jets de liquide, qui, si je gardais ma main en elle avaient du mal à se frayer un chemin vers l’extérieur. J’aimais à ce moment retirer mes doigts d’elle, pour voir ses jets de jouissance sortir d’elle, crachés avec violence. Généralement, c’était le moment où je ne pouvais plus tenir, et où je jouissais aussi.
Je me suis redressée. Elle a tendu la main vers le slip, calé au niveau de mes genoux.
—Laisse-moi le jusqu’à la prochaine fois, ça occupera mes moments de solitude.
Elle m’a fait descendre le long de mes jambes, l’a récupéré, a plongé le visage dedans, le reniflant avec volupté.
—Tu vois je suis une grosse dégueulasse.
Je suis partie passer l’aspirateur.
Ma venue chez elle était toujours morcelée, il y avait toujours plusieurs actes. Avec une certitude, cependant, l’un de ces actes ressemblait à ce qui s’est passé ce jour-là. Elle m’a rejointe. Elle avait commencé à se vider, le caleçon sombre autour de son ventre, et des trainées le long de ses jambes. Je savais, elle me l’avait dit, que, comme moi, elle se garnissait d’eau, jusqu’à en avoir le ventre qui explosait, en m’attendant.
Elle a baissé le caleçon. J’étais accroupie. Son urètre saillait, dilaté, en extension. Du pipi, en coulait, qui trempait ses chairs et les faisait briller. Elle a eu un petit rire, alors qu’elle se reconditionnait pour projeter sur moi un jet plus puissant, qui a frappé mes cheveux. Si on m’avait dit quelques mois plus tôt que j’aimerais autant jouer à des jeux de pisse, et à me faire arroser ainsi, que ça m’exciterait autant, je ne l’aurais pas cru. La vie est surprenante, et on va souvent trouver le plaisir là où on n’aurait pas imaginé qu’il soit.
Elle s’est approchée un peu plus, et elle a commencé à se vider sur moi, m’arrosant copieusement. Trempant mon visage, mes vêtements, jet après jet. Mon plaisir n’était sans doute pas très différent du sien, dans la situation inverse. Mon sexe était chaud et humide. Je m’abandonnais totalement. J’ai fini par me laisser aller, m’allonger sur le sol. Elle m’a rejointe après ses derniers traits de pipi, J’avais enlevé ma robe, et passé une blouse pour faire le ménage, mais en restant cul nu. Elle a glissé sur moi, nos jambes se sont entremêlées, et son sexe est venu se plaquer sur le mien. Ca aussi, c’était quelque chose qui me troublait énormément, et que je n’avais pas connu avant elle, sentir son sexe sur le mien, son relief, son dessin, ses creux, ses lèvres frottant contre moi, son clitoris appuyant sur mes chairs, et ce mouvement qui faisait qu’à un moment on était pile organe contre organe, alors que ce n’était pas le cas à d’autres…C’était enivrant, et le plaisir venait du contact de muqueuses souples et hyper-sensibles, contre une même muqueuse aussi souple et hyper-sensible. On se frottait, et le plaisir était tout de suite très intense, enivrant, qui nous faisait décoller, et nous arrachait à la pesanteur. On gémissait, totalement soumises à la jouissance qui s’emparait de nous, et je crois bien qu’on aurait été à ce moment incapables de s’arracher l’une à l’autre, tellement c’était bon. On s’inondait mutuellement de nos liquides intimes, et nos parties sexuelles se gorgeaient de sang, lèvres et clito gonflés jusqu’à en avoir mal…On explosait dans des orgasmes qui n’étaient qu’on point d’étape, on voulait aller plus loin, jusqu’à l’épuisement.
Jusqu’au moment où il était enfin temps de partir. Un autre client m’attendait. Je prenais une douche rapide, je me changeais et je m’éclipsais. Elle tenait à m’attendre à la porte, avec à la main une enveloppe, toujours bien garnie, qui me payait largement au-delà de mes heures de ménage. Pour le plaisir que je lui donnais. J’en prenais aussi, alors je me demandais si c’était vraiment justifié.
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