Notre balade préférée #1 Sale journée

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On l’aime cette balade dans la campagne au long de la rivière rafraîchissante. On la fait souvent. On n’y rencontre pas grand monde. Elle est chargée de souvenirs. Tu te souviens mon amour ? Tu te souviens de ce trou dans l’eau avec une petite plage ? Et de ce saule immense qui nous faisait de l’ombre ? Et de cette cabane de forestiers dans le bois pentu ? Et de cette petite auberge où nous nous sommes réfugiés pour échapper à la pluie ? Je vois que tu te souviens. Est-ce que ça te remue autant que moi ? Je nous y revois.

 

Sous le saule dont les branchages forment un rideau jusqu’au sol, nous cachant au monde. Sous ce saule, nous nous mettions nus. Tu étais à quatre pattes sur la mousse, cambrée. Tu ressemblais à une chatte en chaleurs qui tend le cul, qui réclame en miaulant. Tes seins s’affaissaient sur le sol. Et, à intervalles réguliers, ils étaient parcourus de vagues. Accroché à tes épaules, j’étais en train de t’enculer en de grands mouvements et en suçant un de tes seins. Concentré sur ton cul, je ne l’ai pas vu arriver. Et puis, un bruit. Je lève les yeux, je le vois dans les branchages. Ça doit faire un moment qu’il est là. Il a la bite à la main, elle est raide, dressée. Il la caresse, rapidement déjà.

 

C’est un jeune mâle en rut. Il a à peine 20 ans. Je sens son potentiel. J’imagine. Je lui fais signe d’approcher. Il hésite. Il était parti pour se branler, l’enfoiré, à notre insu. Je fais claquer mes doigts et lui adresse un signe plus énergique, autoritaire, et je fais quelques allers et retours dans ton cul. Il a eu le temps de réfléchir; il préfère fourrer. Il vient. Quelle superbe queue il a. Longue, fine, raide. Elle est presqu’à ta portée. Que de promesses. Je lui dis bonjour, je lui demande son nom… Il me regarde, après avoir jeté un coup d’œil à ton cul et à tes seins. Son regard est interrogatif. Je répète. Pas de réponse. Il ne parle pas français, le con. Alors, je cherche, comment lui expliquer son rôle ? Je décule. Je lâche ton sein. Je m’avance vers lui. Je tends la main vers sa queue, pas de réaction. Sans réelle nécessité, simplement par désir, je la saisis. Elle est douce et très dure. De l’autre main, de l’index, je la lui désigne. Je lui fais oui de la tête avec un air interrogatif. Il répond de la même manière oui. Je lui fais signe de ne pas bouger. Je me retourne, je me penche, j’écarte les jambes et les fesses. Je me redresse. Je tourne le buste, il voit toujours mon cul. Je lui indique sa queue, je lui indique mon cul et je l’interroge encore, oui ? Il répond tout de suite, oui. Oh mon amour, on va réaliser une nouveauté. Le petit salaud va m’enculer pendant que je t’enculerai. Tu es toujours à genoux. Toujours en attente d’une queue. Tu as raison. Ne tardons pas, je te rencule. Et je fais de lents et longs mouvements dedans. Je rebande plus fort. Je le prends par la queue, le fais tourner autour de nous et le mets en position derrière moi. Je rapproche sa queue de mon cul. Le gland touche mon trou. Je tire sur sa queue, je tente de l’introduire. Ah, ça y est, il bouge. Il se tend. Oh putain, il y a longtemps, c’est redevenu étroit. Il s’accroche à mes hanches. Il m’attire et il pousse. Plus fort. Ça cède. Sa queue entre. Ça fait mal. Vas-y petit salaud, baise-moi. Aïe, aïe, aïe. Il se branle le gland dans l’entrée le petit con. Mais qu’est-ce qu’il attend ? Je remue le cul. Mais vas-y, enfonce. Tu remues aussi le cul mon amour, tu voudrais du mouvement. Désolé, mais tu vas attendre. Et puis woua, il a tout rentré d’un coup jusqu’à la garde. Il insiste, il pousse, il pousse comme pour me fendre. Et ça pousse, ça pousse dans ton cul mon amour.

 

Pendant que j’étais concentré sur mon cul et la bite du monsieur, j’ai commencé à débander. Mais les saccades de l’inconnu se transmettent par ma queue dans ton cul. Je rebande. Le jeunot s’affole, il accélère. Continue gaillard, c’est bon. Vas-y. Il agrippe mes hanches, il les triture. Vas-y gars, vas-y. Jouis dans mon cul. Viens, rempli mon cul de ton foutre. Vas-y. Je passe une main entre mes jambes et je lui caresse les couilles. Je sens qu’il va jouir. Je remue les hanches. Ça donne un mouvement à ma queue dans ton cul mon amour. On entend les petits sons implorants de la jouissance qui monte chez l’inconnu. Et un grand han! Il jouit le salaud. Quel plaisir. Vas-y remplis-moi. Je sens tes secousses. Il décule comme il était venu, d’un seul coup, oh! Je tâte le trou qu’il vient de délaisser. Les deux doigts que j’y introduis rentrent sans problème. Ils en sortent poisseux. Je les lèche. On va l’entraîner mon trou du cul, hein, mon amour ?

 

Et je reprends tes hanches entre mes mains. Je… Mais que se passe-t-il ? Je vois comme des petits spasmes qui secouent ton corps. Ce sont des sanglots. Tu pleures. Silencieusement. Pourquoi ? « Tu m’as abandonnée, salaud. Ta bite dans mon cul, tu m’as abandonnée. Tu m’as tenue à l’écart. Tu n’as pensé qu’à ton cul. Salaud! » Les sanglots sont sonores maintenant. Le chagrin est réel. Je ne sais pas quoi répondre. Tu as raison. J’ai complètement foiré ce moment. Mes larmes montent. Je suis désemparé. Je suis profondément touché par ta détresse, elle prouve que je compte pour toi. Alors, j’ai une réaction inattendue : je bande. Tu le sens. Tes sanglots augmentent. Je pleure. Je pleure en bandant dans ton cul éploré. Je tente de t’expliquer… J’ai du mal à parler. Je ne sais pas quoi faire. Je décule pour pouvoir… Tes sanglots redoublent. Je te rencule. « Salaud! » Eh, mais ça commence à me plaire ce jeux. Je décule en pleurant, je te rencule en pleurant. Tu m’insultes en pleurant. Tu m’excites. Et le ton de ta voix a changé. Oh, mon amour. Laisse-moi continuer à t’enculer. Nous aimons ça tous les deux. Retrouvons-nous sur un terrain d’entente. Et puis d’abord, j’en ai marre de voir ton dos. Mets-toi sur le dos. « Nan! » Mets-toi sur le dos! Sinon, je le fais. Tu renâcles, tu râles mais tu bouges. On voit bien que ça te coûte, que c’est contre ton gré. Tu te retournes en faisant bien attention à ce que ma queue ne quitte pas ton cul. Tu es sur le dos. La tête tournée sur le côté droit, tu pleures. Tu refuses de me regarder. Je te regarde à travers mes larmes. Et je te désire. Je m’agite dans ton cul. Tu restes de marbre. Mes larmes tombent sur ton ventre. Oh! Tant de désir. J’accélère. Mes tensions se regroupent. La poitrine me fait mal. Ça monte mon amour, ça monte.

J’éjacule mais je ne jouis pas. Mes tensions ne sont pas résolues. Ma poitrine est toujours écrasée d’un poids trop lourd. Même ça je l’ai foiré.

 

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