Nue derrière la vitre (7)

Nue derrière la vitre (7)

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Frederic Gabriel



NUE DERRIÈRE LA VITRE (7)

Après… Il y a de multiples fragments dont je dois parler, qui ont marqués ces deux mois.

D’abord le fait que je me sentais vraiment à l’aise dans ce métier. C’était une vie différente de celle que j’avais imaginée, en commençant des études pour être ingénieur, J’aimais la liberté que ce métier procurait, l’évidence quasi immédiate d’avoir fait du bon travail, et bien sûr les à côtés.

Quelques jours avant le retour de Jeff, mon oncle m’a convoqué.

Je n’ai que des compliments au sujet de ton travail. Ça ne t’intéresserait pas de travailler définitivement pour nous ?

J’ai signé le contrat le soir même. Quand Jeff est revenu il l’a mis en remplacement d’un collègue qui venait de démissionner. Mais Jeff ne m’en a pas voulu.

Mes parents, paradoxalement, n’ont pas été surpris de ma décision, car l’un comme l’autre étaient convaincus que les études que j’avais choisies ne me conviendraient pas au final.

C’est deux jours après que j’ai enfin compris d’où venait, le premier jour, Séréna. Arrivé encore plus tôt que d’habitude, je suis parti chercher des fournitures dans le local, et j’ai vu la porte qui donnait sur le bureau de mon oncle entrouverte. Un réflexe de curiosité, j’ai légèrement poussé le battant, et j’ai vu Séréna, nue comme un ver, assise sur les genoux de mon oncle, empalée sur sa queue, se faisant monter et descendre dessus.

Outre tout le sexe dans la journée, j’allais régulièrement rejoindre Camille. Il se passait quelque chose de bizarre entre nous, une énorme attirance mutuelle que nous n’avions ni l’un ni l’autre anticipée. Je n’avais jamais connu avant quelque chose d’aussi fort, et ce ne serait sans doute pas le cas après.

Le vendredi, quand je suis revenu à la maison où la jeune femme s’exhibait sans vergogne, je me demandais si elle serait là.

Elle est venue m’ouvrir, aussi nue que quinze jours avant, et aussi peu complexée.

J’ai pris un créneau plus large.

C’est une bonne idée. Je veux que tu te déshabilles complètement.

Je me suis retrouvé aussi nu qu’elle. Dans un moment joyeux, nous sommes partis vers la chambre. Elle m’attirait énormément, non seulement parce qu’elle était vraiment ravissante et sans complexe, mais aussi parce qu’elle était l’antithèse de toutes les personnes que je côtoyais au travail, pour qui le sexe devait être sophistiqué.

Ça n’a pas empêché que le moment que nous avons passé ensemble a été intense et très fort. Elle m’a gainé d’une capote, puis elle m’a fait asseoir sur le lit, et elle est venue s’empaler sur ma queue, se faisant monter et descendre dessus. On avait faim l’un de l’autre, une faim aiguisée par ces quinze jours, et avoir contre moi sa chair, son odeur, l’épaisseur de son corps, ses formes, après l’avoir seulement VUE me plongeait dans un immense ravissement. On a passé une demi-heure très excitante, et elle m’a guidé pour enchaîner les positions, ce que j’ai adoré. Elle s’est ensuite mise à quatre pattes, et je suis venu derrière elle, puis elle s’est allongée sur le dos, et je suis venu sur et en elle, et on a fini par la position dite de la cuillère, moment où on a joui tous les deux.

Je sentais qu’il existait entre elle et moi une grande complicité, quelque chose qui a fait qu’on s’est vus de plus en plus souvent, en dehors de ma mission tous les quinze jours.

Aujourd’hui, deux ans après, je co-dirige l’entreprise, mon oncle ayant éprouvé le besoin de prendre quelques distances. Il a fini par divorcer et épouser Séréna. Moi, je me suis installé avec Clotilde, la brune nudiste. Même si je suis le dirigeant de l’entreprise, je me suis réservé un trajet, que je fais seulement le matin, l’après-midi étant réservé aux taches administratives.

Et puis bien sûr, il y a Camille. Ma face la plus cachée. On se voit deux ou trois fois par semaines. J’ai besoin de la voir autant que j’ai besoin de Clotilde. Chacune très différemment, me fait totalement perdre la tête, et me donne des plaisirs auxquels je ne suis pas prêt à renoncer.

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