Orgasmic-fantasy (chapitres 12-13-14)

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ORGASMIC-FANTASY (12-13-14)

Chapitre 12

Ils avancèrent un long moment sous les couvert d’une épaisse foret fastueuse de clarté diffuse et toute odorante d’humus frais mêlé aux senteurs capiteuses de fleurs et de fruits des bois que le printemps providentiel, généreux en ce jour, propageait alentours en de subtiles et larges nappes de splendeurs qui s’étalaient paresseuses de-ci de-la et faisaient miroiter aux narines de chantants éventails de parfums multicolores qui battaient l’air léger de l’étroit chemin. On sentait vivre cette cathédrale immense de verdures et de bois, de splendeurs discrètes et de fastes éblouissements, et bien qu’en apparence immobile, on l’entendait bruire de toutes parts de perpétuels et infinis mouvements qui chantaient aux oreilles les impérissables glissements de fluides et de matières variées qui ne savaient de cesse de se mouvoir, continuels changeant d’impérieux besoins, d’une plante à l’autre, d’un animal à l’autre, d’un être à un autre être, tantôt retombant à la terre et tantôt s’élevant jusqu’au ciel pour ensuite redescendre dans de variées vitesses et modes et recommencer cet immuable manège ne connaissant ni fin ni commencement, ni but ni même de raison, juste cette seule loi nécessaire des subtils transvasements sempiternels qui se suffisant à eux même, suffisaient aux besoins des restes incréés de l’univers intemporel. Comme imprégnés de ces rythmes mélodieux et discrets de la vie qui bruissaient et berçaient leur marche décidée, ils s’octroyèrent une courte pause durant laquelle Gourdin, épris des beautés de la chansonnette que composa Hilda en cet instant, fourailla cette dernière ravie d’un si prompt louange si bien rendu à sa poèteuse personne. Fleurette présenta qu’en à elle les lèvres de son vagin et de son trou du cul à une jeune pousse d’arbre, pas plus haute que son genou, alerte chatouilleuse à souhait et s’envola séduite par les merveilles que lui procurait cette union inédite d’avec la si prometteuse et si remuante nature environnante. L’Ogre et la none, tout en se tripotant distraitement chacun pour soit, dissertèrent tout au long de cette quiéteuse pause sur les intérêts et les avantages imbriqués de la masturbation et finirent par s’entendre sur le fait que même si l’on n’est jamais aussi bien servi que par soi même, on a toujours besoin d’un plus petit que soi et que rien ne sert de courir car il vaut mieux partir à point, ce que fit justement l’ogre, joignant éloquemment le geste à la parole et mettant fin à ce truculent et important débat. Repus momentanément de ces langueurs de la sorte assouvies, ils reprirent leur route tous en cœur. Pas très longtemps. C’est qu’à quelques pas du lieux de leur arrêt, un étrange petit être hirsute bâillonné et sévèrement ficelé à un tronc de solides cordages savamment arrangés, se débattait inutilement tortilleux et cherchait désespéré par ces gestes entravés et de ses cris étouffés à attirer l’attention de ces providentiels marcheurs sur l’alarmante situation où il se trouvait présentement.

Quelle est donc cette bestiole qui s’agite si étrange ?

On dirait que son cul furieusement le démange ? questionna l’ogre.

Ceci mes amis, c’est un Hobbit, répondit l’Enchanteur. Ces animaux si semblables aux nains par leur taille s’en distinguent néanmoins par l’immense étendue de leur bêtise sans borne qui les conduit jusqu’à professer les plus absurdes axiomes que l’univers ai connu, les entraîne certain vers des dévotions extatiques qu’ils ne s’épuisent à prodiguer à des fantômes imaginaires que leurs esprits dérangés leurs fabriquent à foison. C’est tout simplement étonnant bien que répugnant, de les entendre rependre à tous vents leurs louanges et leurs philosophies aberrantes sur toutes choses complaisamment répandues. Vous allez voir…

Et de débâillonner l’affreux.

Je ne suis pas stupide ! hurla sur le champ l’infortunée créature. C’est vous qui de vos inépuisables mouvements de déni pittoresques et grossiers, vous complaisant d’aveuglements permanents et laborieux dans crasseuses ignorances, vous refusez de voir de vos yeux égarés et détournés à jamais des vrais voies, les éclatantes vérités par la foie révélées en ce monde fait pour connaître notre véritable valeur qui est de sans cesse rendre au Seigneur Créateur les louanges qu’il mérite pour ces douloureuses tentations semer en nos vies dans le seul but d’éprouver notre foie en Lui… Mais je connais bien ces puissances du Déni éternel et je sais celui qui les inspire, libérez mes frère votre frère et je saurai vous libérer à mon tour et vous guider en lumière. Je vous enseignerai les divines Vérités qui m’ont été dictées et qui en ce jour n’ont accosté en vos cœurs et vos âmes égarées. Libérez-moi et vous serez sauvés…

Vous voyez. Ça commence déjà… répliqua Gourdin tandis que l’ogre dénouait les liens du malheureux inspiré.

Merci valeureux amis que je devine inquiet. Soulagez vous un moment car en me rendant ce service, en vérité je vous le dis, c’est à vous même que vous le rendîtes, et l’Auguste Éternel qui en son sein ressent ces élans de pieuses charités, saura récompenser et reconnaître votre valeur à ses yeux révélée. Je suis Freud le Hobbit et je suis effectivement un Hobbit comme l’a si justement remarqué votre ami aux longs cheveux et à la toge un peu tachée au niveau de l’entre-jambes. Sachez l’ami que je connais des remèdes naturels par les miens enseignés qui rendront à votre robe ses blancheurs initiales et qui ne vous coûterons qu’un peu de patience et de persévérance, ces vertus essentielles qui en toutes circonstances nous rapprochent et nous guident vers les bras de notre béni Créateur… Loué soit son nom…

Si y continue à parler lessive c’est moi qui vais lui tacher son entre-jambes… bougonna Gourdin agacé.

Ne brusquons rien, mes amis, s’interposa opportunément Fleurette. Je propose de le rebâillonner pour le restant du chemin qui nous sépare d’un lieux civilisé, et de l’abandonner aux soins de prochains généreux qui trouveront goût à ces, il est vrai, forts ridicules paroles.

Mais petite femme en cette vie égarée, songez à la chance de m’avoir rencontré. Ne persistez donc en ce Déni pernicieux qui est bien le plus infâme des maux que vous bercez en vos seins généreux et…!!! hu… uh !

Tu as raison ! répliqua Mathilde en rebâillonnant l’affreux. Poursuivons, voulez-vous…

Hum… hum… ! renchérit Freud le Hobbit qui s’efforçait à contre cœur d’être d’accord. Et de tous repartir guillerets mais encombrés de cette bavarde et heureusement bâillonnée créature gesticulante.

Chapitre 13

En ce long chemin, Hilda voulant la compagnie distraire, cette complainte composa pour à leurs pas de l’entrain donner :

« Sur la route de ma maison

Il y avait une pt’ite fourmi

Qui soucieuse de son Amie

Lui broutait sa pt’ite toison

Pt’ite toison roupon roupette

Tripote toi la bite avec les doigts

Roupon roupette que ces animaux là

On de belles manière ma foi…

Un bousier vit la fourmi

Et ému il l’encula

De son dard il transperça

Son trou d’cul un peu rosi

Son trou d’cul un peu rosi

Pt’ite toison roupon roupettes

Tripote toi la bite avec les doigts

Roupon roupettes que ces animaux là

On de belles manière ma foi…

C’est alors qu’une femelle rat

Sous bousier se faufila

Et d’une langue de força

Les couilles lui lécha

Les couilles lui lécha

Son trou d’cul un peu rosi

Pt’ite toison roupon roupettes

Tripote toi la bite avec les doigts

Roupon roupettes que ces animaux là

On de belles manière ma foi…

Au spectacle un jeune putois

Fut charmé et très adroit

Il introduit son pt’it doigt

Dans la souricière en joie

Dans la souricière en joie

Son trou d’cul un peu rosi

Pt’ite toison roupon roupettes

Tripote toi la bite avec les doigts

Roupon roupettes que ces animaux là

On de belles manière ma foi…

Un jeune chien pas très malin

Voulant être du festin

Du putois en l’arrière train

Vint humer tout les parfums

Vint humer tout les parfum

Dans la souricière en joie

Son trou d’cul un peu rosi

Pt’ite toison roupon roupettes

Tripote toi la bite avec les doigts

Roupon roupettes que ces animaux là

On de belles manière ma foi…

Le gros matou du quartier

Par ce chiot fut alléché

Aussitôt s’mit à bander

Puis se mit à l’enculer

Puis se mis à l’enculer

Vint humer tout les parfum

Dans la souricière en joie

Son trou d’cul un peu rosi

Pt’ite toison roupon roupettes

Tripote toi la bite avec les doigts

Roupon roupettes que ces animaux là

On de belles manière ma foi…

Un mouton couvert de laine

Pour le chat n’ayant de haine

S’approcha et très discret

Son trou d’cul de lui lécher

Son trou d’cul de lui lécher

Puis se mis à l’enculer

Vint humer tout les parfum

Dans la souricière en joie

Son trou d’cul un peu rosi

Pt’ite toison roupon roupettes

Tripote toi la bite avec les doigts

Roupon roupettes que ces animaux là

On de belles manière ma foi…

Le berger un peu inquiets

De ce mouton égaré

Et ne voulant le contrarier

En son anus s’est glissé

En son anus s’est glissé

Son trou d’cul de lui lécher

Puis se mis à l’enculer

Vint humer tout les parfum

Dans la souricière en joie

Son trou d’cul un peu rosi

Pt’ite toison roupon roupettes

Tripote toi la bite avec les doigts

Roupon roupettes que ces animaux là

On de belles manière ma foi…

La fermière aimant la scène

Se senti soudain obscène

Et ayant une pt’ite fringale

Du berger foutre s’fit un régal

Du berger foutre s’fit un régal

En son anus s’est glissé

Son trou d’cul de lui lécher

Puis se mis à l’enculer

Vint humer tout les parfum

Dans la souricière en joie

Son trou d’cul un peu rosi

Pt’ite toison roupon roupettes

Tripote toi la bite avec les doigts

Roupon roupettes que ces animaux là

On de belles manière ma foi…

Cheval fit pause à sa broute

D’la fermière voyant la croupe

Et comme il était adroit

Soigneusement il l’enfila

Soigneusement il l’enfila

Du berger foutre s’fit un régal

En son anus s’est glissé

Son trou d’cul de lui lécher

Puis se mis à l’enculer

Vint humer tout les parfum

Dans la souricière en joie

Son trou d’cul un peu rosi

Pt’ite toison roupon roupettes

Tripote toi la bite avec les doigts

Roupon roupettes que ces animaux là

On de belles manière ma foi…

Un éléphant un peu leste

Ne voulant être de reste

Du cheval en trou du cul

Sa grande trompe il a foutu

Sa grande trompe il à foutu

Du berger foutre s’fit un régal

En son anus s’est glissé

Son trou d’cul de lui lécher

Puis se mis à l’enculer

Vint humer tout les parfum

Dans la souricière en joie

Son trou d’cul un peu rosi

Pt’ite toison roupon roupettes

Tripote toi la bite avec les doigts

Roupon roupettes que ces animaux là

On de belles manière ma foi…

Chapitre 14

Mais hélas les chants de HiIda, bien que forts distrayants, ne parvinrent pas à faire oublier totalement les longueurs fastidieuses de la route ni les tristes réalités de la fatigue et de l’ennui qui les accompagnent. C’est alors qu’ils accostèrent un petit coin du bois où le chemin s’élargissait soudain en une vaste place circulaire délimitée seulement par la majesté de troncs d’arbres antiques qui dispensaient généreux les douceurs tièdes de leur ombre. En son centre jaillissait une source claire et clapotante de fraîcheur qui se déversait joyeuse dans un bassin de pierres sauvagement agencés et tout couvert d’une mousse gracieuses et moelleuse qui les invita opportunément à une petite pause salutaire et désaltérante. Ils épousèrent alors le cercle de cette vasque, baignant leurs pieds endoloris en l’eau transparente et délicate comme le cristal qui s’offrait pudique et timidement ravie aux babillement de tant d’orteils. Mathilde pleine de dévotes précautions, releva son habit jusqu’au dessus de son nombril et, écartant légèrement les cuisses, offrit aux regard de l’enchanteresse foret les enchanteuses promesse de son élégant et douillet petit vagin. Les oiseaux se turent à ce signal, et, imitant la bienheureuse, tous découvrirent leurs intimités appelantes et suppliantes. Le sexe de Mathilde était de la finesse de la plus affable des orchidée. On aurait dit que cette fente fut ouverte du plus soigneux poignard qu’un orfèvre manipula de fiévreuse tendresse. Telle de fines broderies précieuses, les petites lèvres venaient épouser en leur sommet de mousse le bouton du clitoris petit mais dur et rougi à blanc qu’un artiste ferronnier aurait forgé en un jour de divine inspiration. Le sexe de Fleurette, tout aussi précieux bien que plus généreux, s’ouvrait en haut de ses larges cuisses et semblait le prolongement glorieux de ces dernières. Ce vagin légèrement grassouillet et tout couvert de duvet qui semblait plus doux que le pelage d’un ourson, appelait de ses lèvres gourmandes et goulues tous les supplices, des plus grands aux plus minuscules, que l’univers eut conçu à ce jour. Le clitoris tendu et gonflé de saines ardeurs, implorant et humide, enchantait les regards et les esprits tel un gourmet et copieux repas, éveillant ainsi des appétits irascibles et délicieux. Quand au vagin de Hilda qui débordait des vastes replis de sa chair abondante et ondoyante telle la houle puissante d’un océan en tempête, il s’ouvrait large et profond comme un gouffre de caverneuse dimension et égarait le regard et les rêves en de lointains obscures et chauds, berçant et affamés, qu’aucun voyage ne promit jamais… Surpassant toute les imaginations, le pénis de l’Ogre faisait paraître le courageux et brave généreux de l’Enchanteur presque ridicule. D’un diamètre proche de son poing serré et long de plus de deux pieds, il se dressait jusqu’au niveau de son cœur et battait avec lui le rythme des costauds afflux de sang qui irriguaient ainsi le cerveau survolté de son maître. Celui du Mage, vaillant tel l’antique guerrier survivant des antiques guerres de légendes perdues en les mémoires du monde, sa grosse veine bleu fièrement jetée en bandoulière, se dressait glorieux et fière, et sans peur et sans reproche, se tenait prêt à tous les assauts de ses lubriques et enchanteresses largesses. On ne connut les dimensions du Hobbit que ce spectacle révoltait manifestement. Puis, prenant un air distrait de ses yeux inspirés, Mathilde, comme pour donner le départ, entama une mélopée sensuelle de caresses en ses membranes ainsi offertes, et tous l’imitèrent de semblables et variées masturbations. La foret toute entière roucoulait de ces langueurs ainsi conquises.

Voyez-vous, cher ami, dit Gourdin à l’Ogre, il n’est de jour où nous ne pouvons découvrir de nouveaux et surprenant plaisirs. Prenez cette place et cette source, inconnu de nous jusqu’à ce jour, les voici dispendieuses et inspirantes de plaisirs inédits, et, bien que nous croyions connaître tous les arcanes de la branlette, nous voila tout transporté de fraîcheur et de nouveauté, communiant pour la première fois de ces joies partagées avec l’eau inconnue et froide de cette source qui, joignant ses délices aux nôtres, accompagne à merveille l’enchantement de nos sens et vient grandir nos émotions en renouvelant de ses clapotis ces plaisirs que nous croyions connaître jusque là. Mais il n’en est rien, nous ne les connaissions jamais ces plaisirs qui nous attendent, et je vous le dit, ressentir la même chose aujourd’hui que ce que nous ressentions hier, ce n’est pas sentir et partant ne rien goutter, cela est juste se faire esclave de jeux convenus et éprouvés qu’une imagination que nous voudrions contenir captive s’épuise à nous dicter. Il n’y a que libre que nos esprits parviennent à goutter sans brusquerie ni limite les virtuels plaisirs que nos imaginations ne cesse de de concevoir, et il est d’une grande sagesse de saisir sans frein ni sursis ce que chaque jour et chaque minute nous offre d’inédites et de neuves sensations… On enchaîne ni un volcan ni un océan et c’est à la mesure des catastrophes naturelles qu’il faut envisager nos transports.

Mathilde resserra les cuisses d’audace sans brutalité mais ferment sur sa main toute animée de langueurs généreuse. Et éprise de cette étroite et copieuse étreinte, elle gravit plusieurs échelon sur l’échelle sans cesse croissante de ses plaisirs délicats et impérissables. Son corps se tendit dans toute sa longueur de la plus alerte des attentes, et belle telle les branches d’un arbre s’étirant dans les airs, elle s’élança à l’assaut du ciel à la recherche des lumineuses caresses de ce soleil brûlant de mile feu de ses esprits dévastés.

Mais croyez-vous mon cher, aux limites des plaisirs

Qui sans doute nous empêchent d’à l’infini jouir ? questionna l’Ogre.

Ne connais de limites à tes frisson

Et jamais n’enferme tes imaginations, professa Gourdin.

C’est que l’imagination tout comme l’éternité du temps et des jours se moque de nos vies, ne connaît nulle limite ni fin. Se suffisant à elle même, elle n’a besoin ni de raison ni de but ni de cible à atteindre. Elle ne connaît ainsi ni finalité ni gradation. Elle n’est que l’infini étendu de l’univers qu’il nous faut parcourir, et la finitude de nos petites vies ne saurait suffire à tout découvrir et connaître. Il ne sert à rien et cela est même criminel de rester à piétiner en une même demeure et d’ainsi se satisfaire de plaisirs identiques seraient-ils les plus grands. Non : nul délice ne saurait mettre un terme à notre insatisfaction permanente, tout comme nul savoir ne pourra jamais nous consoler de l’intranquillité dont nous sommes fait.

Fleurette, imitant sa pieuse sœur, enserra elle ses deux mains en ses cuisses alertes. À ce signe son corps fut dévasté d’incontrôlables spasmes qui lui firent perdre sur le champ la moindre maîtrise de ses membres ou de ses esprits embrassés. Et s’abandonnant toute entière à ces syncopes, elle se laissa glisser en les abondantes effluves de ses sens transportés qui l’aplatirent impitoyables en les confortables profondeurs de mousses qui l’accueillirent de leurs bras caressants des chaleurs amoureuses de la terre.

Les exigences du désir ne sauraient admettre de bornes d’aucune manière, C’est pour cela d’ailleurs que le crime peut exister : le désir peut nous pousser aussi au despotisme le plus absolu, tout comme il peut conduire aux plus philanthropiques et généreuses actions. Hélas souvent, nous sommes incapable de choisir et il nous faut des bornes. Ah ! l’insoluble question des frontières : on voudrait jouir de la plus entière des liberté mais ce désir de liberté fini par nous consumer et nous ronger de doutes et de culpabilités dévorantes qui nous laissent cuire telles des pierres impuissantes sous les appels cuisant du soleil de nos désirs qui reste pourtant le seul à éclairer et motiver rien de moins que nos vie toute entières. 

Et le feu d’artifice des jouissances de chacun mit un terme glorieux à ces tergiversations. Suite à quoi il réajustèrent leurs tenus et se remirent en route.

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