Pan ! Dans le mille.

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fellationgodetriolisme


— Couches-culottes, Biberon et doudou, je n’ai rien oublié.

— Comment ça ? Tu sors ?

— J’en peux plus Mathilde ! Tu comprends ? C’est mon troisième, et à part ma belle-mère personne n’est là pour m’aider.

— Et Jack ?

— Parti à une de ses fameuses réunions rodéo ; tu t’en doutes…

— Oui, bien entendu. C’est sa vie, tu ne peux pas lui enlever ça.

— Ce n’est pas mon intention, mais je suis à bout. Je ne tiendrai pas Math, je te le dis…

— Appelle ta mère !

Corinne était au bord de la dépression. Le petit dernier n’avait que quelques mois et elle venait de prendre la décision douloureuse d’arrêter de l’allaiter. Pas facile la vie d’une mère de famille dans cette petite ville perdue du Texas. Son mari était très occupé, comme toujours. La terre, les vaches, un peu de pétrole… et une passion dévorante : le rodéo. Ne vous méprenez pas, Corinne aime sa vie ; les compensations sont nombreuses. Deux voitures, une grande et belle maison, un compte en banque bien fourni, de nombreuses copines… Tout pourrait rouler, si ce n’était la situation sanitaire ; ce p… de Covid qui condamne à l’isolement, rend difficile le moindre contact et interdit l’engagement d’une gouvernante. Jack, son mari, lui a bien promis de trouver la perle rare dès la sortie d’un vaccin. En attendant, il préfère éviter alors que rien ne l’interdise formellement ; mais jack est buté et quand il a décidé un truc, pas facile de lui faire changer d’avis. Alors Corinne s’épuise avec ses trois mioches qu’elle adore, certes, mais qui la mangent crue.

— Maman, je n’en peux plus.

— Mais ma fille, tu dois. Tu n’as pas le choix. Comment crois-tu que j’aie fait avec vous deux et ton père qui n’en foutait pas lourd ? Je travaillais pourtant.

— Maman, qu’est-ce que j’aimerais que tu sois là !

— Ben, rentre en France. Tu ne pourrais pas ? Le temps de reprendre des forces et de t’y remettre après. Tu fais une petite dépression post-natale. Ce n’est pas très grave, mais tu ne dois pas sous-estimer ton état. Il te manque juste un petit truc qui te remonte le moral et te redonne confiance. Tu verras, après tu supporteras mieux la situation.

— Maman, Jack est toujours parti. Il ne me touche même plus.

C’était vrai. Jack n’était pas un foudre de guerre, un étalon performant, une bête de sexe vorace ; non, « l’était plutôt pépère », pas vraiment intéressé par la bagatelle. Et les seules juments qu’il montait se prénommaient Anabel et Pompom. Dès qu’il rentrait au bercail, Monsieur s’enfilait un bon whisky et s’endormait devant la télé laissant Corinne seule et en manque. C’était vraiment un bon garçon et il n’aurait pas fait de mal à une mouche. Mais Corinne était-elle une mouche ? Au début, le côté cow-boy lui avait plu. Vous pensez ! pour une petite Française : le chapeau, les bottes, la chemise à carreaux… le côté rude du mythe. Malheureusement, Jack ne la touchait que pour lui faire un enfant, ou lorsqu’il était ivre. Et encore, fallait-il qu’il soit à la maison. Quant aux enfants, ils la rendaient folle ! Bien entendu, elle culpabilisait et se trouvait immonde. Mais elle aussi comptait et il était essentiel qu’elle trouve un peu de joie et de réconfort. Il n’était pas question de rentrer en France, non ! Mais il devenait urgent de trouver un dérivatif.

— J’ai une idée, lui dit Mathilde. Ce soir demande à ta belle-mère de prendre les gosses. Je viens te chercher et tu verras, on fera des trucs entre filles.

— On pourra aller au bar, je sais qu’il est ouvert. Math, t’es chic !

Enfin une soirée, l’occasion de souffler et de se divertir. Pour rien au monde, Corinne n’aurait manqué cette petite aventure, même si de boire une pinte avec sa meilleure amie ne réglait pas tous ses problèmes. Les enfants à peine déposés chez sa belle-mère, il fallait se préparer, passer une belle robe, ses nouvelles bottes de cow-girl et sa montre de pierres turquoises. Et quoi de mieux que de se mettre dans l’ambiance en sifflant une bière, suivie d’une seconde ? Rien certainement. En tout cas, Coco se sentait prête à sortir, même déjà un peu éméchée. Mathilde allait arriver et toutes les deux iraient « s’en jeter un » chez Wells Fargo, le bar à la mode. Il leur faudrait certainement, Covid oblige, le boire sur la terrasse, mais qu’importait ? puisqu’elles pourraient discuter et lâcher leur stress.

Cela dit, les événements prirent une tournure inattendue. Une sorte de diable avait certainement dû jeter un sort particulier à cette soirée. Tandis qu’elle attendait sa copine, elle s’aperçut que le lave-vaisselle refluait dans l’évier de la cuisine et que celui-ci, de toute évidence, était bouché.

— Mais putain, qu’ai-je fait au bon dieu pour qu’un bazar pareil arrive ? Faut-il vraiment que le sort s’acharne sur mes épaules ? Et Jack qui, bien entendu, n’est pas là.

N’hésitant pas une seconde, elle saisit une carte commerciale de « plumberfoot » (qu’elle ne connaissait pas) et appela « Mike » qui lui assura arriver sans tarder. Ça lui couterait une blinde, mais ce soir elle n’en avait rien à fiche.

— Depuis le temps que je dis de déboucher cet évier. C’est à peine si Jack vit encore ici.

Bien entendu, elle était furieuse et sa consommation d’alcool n’aidait pas à pacifier son humeur. Loin de là ! Aussi, quand Mike — son sauveur — arriva, elle l’accueillit comme le messie et lui fit le grand jeu. Enjôleuse comme une chatte, presque servile, elle lui dit remettre sa vie entre ses mains magiques, rien de moins. Désinhibée, elle s’afficha quasi allumeuse.

Il y avait, certes, dans ce jeu pervers l’appât du fruit défendu, mais aussi une sorte d’euphorie vengeresse à l’égard de son mari. Difficile de résister quand on est une jeune et belle femme délaissée par un époux qui vous remise et oublie dans la case Vierge-Marie. Quand, de plus, vous avez affaire à un plombier bien bâti et équipé de nombreux outils, lutter devient presque mission impossible. Corinne en était rouge d’émotion et c’est émue que, lorsque, couché sur le dos, il lui proposa de zieuter le bouchon dessous l’évier, elle s’empressa d’y aller jeter un œil. À quatre pattes, le regard vague et tenant le genou de l’ouvrier, elle se mit à scruter l’insondable. Sans trop réfléchir, elle remonta sa main jusqu’à la cuisse et finit son geste sur sa braguette qu’elle caressa passablement. Mike, surprit, releva la tête et se prit le siphon en pleine poire. En un instant, Corinne réalisa qu’elle dérapait et qu’il n’était pas sage de faire ce genre de bouzin. Elle bredouilla :

— Euh, je crois entendre ma copine. Je dois vous laisser, et se précipita à l’extérieur par la porte de l’arrière-cuisine.

Une fois au grand air, elle aperçut les phares de la voiture de Math. Celle-ci la sauverait donc d’une situation embarrassante. Si ce n’est qu’oubliant son sac, elle réalisa qu’il lui fallait retourner dans la maison.

— Tchic tchac, je saisis mon sac et je me barre illico, imaginait-elle. Ni vu ni connu !

Hélas, comme dirait cet ancien président de la République, les emmerdes arrivent toujours en escadrille ; le loquet de sécurité étant retombé, il lui était impossible d’ouvrir la porte. Et c’est alors qu’elle eut « l’idée de génie » la plus fracassante du monde, le plan le plus idiot qui soit : celui de se glisser par la trappe du chien.

— Si un berger file par là, moi aussi, c’est clair !

Évidemment, la tête passa sans difficulté, mais ce fut plus compliqué pour les épaules et impossible pour le torse. Sa main droite avait bien suivi le haut du corps, mais il était évident qu’elle était désormais coincée. À cheval entre l’intérieur de la maison et l’extérieur, elle était dans de sales draps.

Désespérée, la jeune femme se mit à lancer des « Han ! Han ! » qui firent s’approcher le plombier. Dès qu’elle le vit, elle se dit qu’il arriverait bien à la sortir de là. N’était-il pas le roi des déboucheurs ? Mais le pauvre gars, excité, exhibait une trique d’enfer. Elle agita bien la main à son endroit, mais il se méprit sur son intention et crut que c’était pour la bagatelle.

Sur l’entrefaite, Mathilde arriva, elle aussi éméchée. Sans aucune imagination, et ne se questionnant nullement sur la raison pour laquelle sa copine se trouvait là, la tête bloquée dans la trappe pour chien, elle se plaça derrière elle, à quatre pattes, et lui souleva la jupe. Ses fesses étaient magnifiques et le lui dit.

— Putain, quel cul ma vieille.

Elle dégagea ensuite le string rose et lui mit un doigt dans l’anus faisant mine de lui prendre la température.

— Ah, ma Chérie, c’est chouette, tu es déjà en position. J’adore ! Attends, je t’ai apporté des jouets magnifiques et efficaces. Je me suis dit qu’il n’était pas possible de laisser une amie ainsi dans le besoin. Alors là, reprit-elle, nous avons un plug anal que je te mets dans le fion. Ça va ? Tu aimes ma petite salope ? Et puis, tiens ! j’appuie sur le petit bouton et tu sens comme il vibre bien ?

Le plug s’était effectivement mis à trembler comme un bon soldat.

Coco restait bouche bée. Quelqu’un — sa copine certainement — lui avait foutu un engin dans son popotin vierge. Délicate, elle l’avait enrobé d’un peu de gel et maintenant il vrombissait d’allure au milieu de ses entrailles. Certes, ça avait été un peu flippant ; et au début elle avait serré les fesses refusant l’intromission, mais dès qu’elle avait accepté son sort et ouvert la highway, elle avait apprécié l’effet de l’engin. Elle n’imaginait pas combien un trou du cul pouvait être sensible.

Côté intérieur de la maison, alors qu’elle essayait tant bien que mal d’étudier la situation, Mike le plombier sortait de sa réserve et dégageait sa bite de son futal.

— Je crois que t’en veux petite cochonne, et tu vas en avoir. J’aime bien les petites femmes perverses. Tu vois ma bite ?

Corinne, stupéfaite, essayait bien de lancer des signes de la main, mais à nouveau, le gars mettait ça sur le compte de l’excitation.

— Mouais, impatiente hein ? Attends un peu que j’me branle.

De l’autre côté de la porte, Mathilde semblait toute à son affaire. Elle sortait maintenant un gode ceinture d’une belle proportion.

— Écoute ma Chérie, je n’ai trouvé que ça. Je sais il est un peu gros, mais ça devrait passer. Et puis, tu viens d’accoucher, n’est-ce pas ? Enfin, tu es tellement en manque… Tiens, je vais te le mettre. Imagine que je suis — je ne sais pas moi — un homme à tout faire, genre le plombier, et que je viens te baiser en l’absence de ton mari. Tiens, j’introduis la bite.

Et, ni une ni deux, après avoir giflé et fait rougir les fesses de sa copine, elle lui introduit le gland du gode, prête à la baiser comme une vraie pouffiasse.

Mike, lui, jouait avec sa queue comme avec un serpent venimeux. Jusqu’à ce qu’il en aille assez. Il lança tout d’abord un ultimatum.

— Maintenant, moi j’veux pas d’ennuis. J’veux être sûr que t’es d’accord avec ce qui va se passer. Je vais te mettre mon chibre dans ta petite gueule d’hôtesse de l’air et toi, tu vas me sucer le mandrin. Tu me fais signe si c’est OK !

Elle aurait bien aimé dire non, mais toujours selon le principe des emmerdes qui débarquent en armada, ce fut l’exact moment que choisit Math pour l’enfiler. Poussant son gode en avant comme une locomotive, elle provoqua chez son amie un mouvement de la tête que Mike traduit par une acceptation de sa proposition. Quand, de plus, Corinne sous les assauts répétés du gode cria : « OUI ! OUI ! » il fut absolument rassuré. Cette femme en voulait ; elle lui avait confirmé. Il pouvait y aller franco. Il lui enfourna donc son zob jusqu’à la garde et profita de l’aubaine.

Mike d’un côté la traitait de salope et d’autres noms suggestifs, tandis que Mathilde, à l’arrière, la baisait ardemment :

— Tiens, petite pute. Je t’encule moi, salope ! Tiens, prends ça… et encore ça…

Que d’attention ! Corinne, entravée, remerciait le ciel. Était-ce sa faute ? Après tout…

À force de recevoir des coups de butée sur le cul, ses seins nus étaient passés au-delà du bois de la porte. Mike, voyant le tableau de ces gros lolos s’agitant, bandait comme un âne.

— T’as de ces nichons !

Ben oui, jusqu’à présent elle allaitait. Y’avait pas photo !

Corinne se dit que, puisque la situation en était là, il serait dommage de faire sa bégueule et de troubler la fête. De ce fait, elle opta pour un lâcher-prise total et se mit à sucer le plombier avec entrain, mettant du cœur à l’ouvrage au point où l’homme lui envoya la sauce sur le visage.

— Allez, nettoie bien tout mon outil. Astique !

Une fois l’œuvre réalisée, il se reboutonna la salopette et dit ces simples mots :

— Ben, merci ma’am. Et j’vous ai laissé la note sur l’évier. Toujours à vot service ma’am.

Et le gars partit sans demander son reste.

Le visage balafré d’une longue traînée de sperme, Corinne restait encore sous l’emprise de sa copine. Celle-ci était sportive. Elle courait ses dix kilomètres par jour, il était évident qu’elle n’abandonnerait pas avant d’avoir fait jouir « sa coco » plusieurs fois. Elle aimait jouer avec ses fesses, les ouvrir au maximum pour dégager l’anus et le vagin. Ça rendait son amie folle de plaisir. D’autres fois, elle pressait les globes fessiers l’un contre l’autre provoquant irrémédiablement un orgasme. Après celui-ci, elle sortit l’engin et se mit à lui lécher la moule avec un plaisir soutenu jusqu’à ce qu’elle estime avoir donné le maximum d’elle-même. À son tour, elle remballa ses affaires.

— Je crois t’avoir satisfaite petite pute. C’est quand tu veux ! Tu m’appelles et je viens.

Elle allait rentrer chez elle quand, dans le noir profond, elle vit des phares arriver.

— Fuck, des emmerdes, se dit-elle. Que pourrai-je lui dire ?

La voiture en question allait de gauche à droite laissant présager l’état du conducteur. Mathilde se cacha et découvrit la tête de Jack sortir du véhicule ; visiblement, il titubait.

— Mince, il en tient une bonne aussi celui-là.

Effectivement, l’homme était ivre. Il grimpa le perron où il trouva sa femme (avait-il conscience qu’il s’agissait d’elle ?), jambes écartées, le vagin dégoulinant de plaisir et un plug toujours en action dans son cul. Ne réfléchissant à rien de particulier, sinon qu’à prendre un peu de plaisir, il s’installa à quatre pattes derrière la poulette et la bourra avec ferveur. Une fois qu’il eût terminé, il entendit enfin son épouse, effrayée, le supplier de l’aider à sortir de là. C’est ensuite elle qui le ramena jusqu’à la chambre où il s’effondra sur le lit.

Le plug anal vibrant toujours entre les fesses, Corinne passa sous la douche et se donna du plaisir, un plaisir tranquille cette fois, un plaisir de soulagement.

— Quelle soirée ! mon dieu. J’hallucine, mais qu’est-ce qu’ils m’ont mis ! On recommence quand ?

Neuf mois plus tard, Coco donna naissance à un petit Mike, portant ainsi à quatre le nombre de ses mioches. Depuis, en cas de coups durs, c’est SOS Mathile qui vient lui faire sa petite fête. À l’occasion, elles appellent aussi le plombier.

 

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