Partie 3
C’est deux mois plus tard que Virginie a fait son entrée dans notre vie. Anne m’a dit ‘Ecoute, je n’en peux plus…Tout gérer…On va prendre quelqu’un pour faire le ménage…On m’a recommandé quelqu’un…Elle viendra trois fois par semaine…’
L’avantage d’être chef d’entreprise, c’est qu’on n’est pas tenu par des horaires de bureaux. Je télétravaillais souvent de chez moi l’après-midi.
C’est comme ça que j’ai fait la connaissance de Virginie. Je rentrais, il était deux heures de l’après-midi…J’étais dans l’entrée et j’ai entendu quelqu’un qui avait le souffle court, et qui cherchait apparemment à la reprendre…Inquiet, j’ai avancé dans le living.
Allongée sur le canapé, se tenait une magnifique rousse. Grande, très grande, la taille fine, mais avec des formes conséquentes. Elle avait une magnifique paire de seins, haut perchés, avec des aréoles roses et des tétons dressés. Pour l’heure, elle ne portait pas grand chose sur elle, juste une blouse rose, qui était largement ouverte et elle se caressait avec énergie, faisant tourner ses doigts en dessous d’une toison rousse fournie, en harmonie avec ses cheveux, sur des lèvres longues et gonflées, qui sortaient d’elle. J’ai bien compris qu’elle était pas loin de l’orgasme.
—Il faut me…laisser…finir…
elle a dit, en me fixant droit dans les yeux.
Ca a été rapide, elle a explosé quelques secondes plus tard, en éjaculant. Même Anne ne faisait pas ça…Elle a craché de grands jets de liquide qui sont venus frapper le plancher.
—Ah pardon, j’en avais besoin…J’avais une tension dans le bas-ventre qu’il fallait absolument que je soulage…Ca va mieux.
Elle s’est redressée et a refermé la blouse sur ses charmes.
—Au fait, je m’appelle Virginie, et je suis votre femme de ménage. Je suppose que votre épouse vous a parlé de moi.
—Oui, absolument.
Elle s’est accroupie pour nettoyer les flaques avec un chiffon. Comme elle ne portait absolument rien dessous, j’ai une vision imparable sur sa fente que sa position ouvrait, mais qui, au départ, était déjà ouverte d’excitation. Indéniablement ses muqueuses internes étaient toutes roses.
En la regardant s’éloigner pour aller passer l’aspirateur dans une pièce voisine, je me suis dit que décidément, le mâle était bien volage, et qu’une nouvelle créature féminine, séduisante de surcroit, lui faisait vite oublier une autre.
J’étais là à chaque fois qu’elle venait, trois fois par semaine, et j’en prenais plein les mirettes. Elle portait des tenues très sexy, en cuir, en vinyle, qui la moulaient comme une seconde peau. Elle ne voulait sans doute pas avoir de marques, car elle portait rarement de culotte dessous, même si un soutien-gorge, vu sa poitrine lourde, restait obligatoire. Elle avait l’habitude, quand elle arrivait, de totalement se dépoiler, et de passer une blouse. De la sorte, je connaissais son intimité par coeur. D’ailleurs, elle se fichait apparemment totalement de se déshabiller devant moi. Elle ne cherchait même pas à s’isoler. Et même avec la blouse, on voyait pas mal aussi bien dans les transparences que dans des mouvements qui donnaient à voir des bouts de chair.
Je la sentais très libre, dans sa tête, dans sa peau, dans sa sexualité. Quand j’étais là, elle me parlait, d’une pièce à l’autre, et elle me racontait sa vie. Elle avait 28 ans, et faisait en même temps des études pour devenir assistante maternelle.
Il s’est passé un mois avant qu’un milieu d’après-midi, elle ne vienne vers moi, je tapais des notes à l’ordinateur, et qu’elle ne me déclare, en défaisant les boutons:
—Je crois qu’on a envie tous les deux, alors il est peut-être temps qu’on passe à l’action.
Elle a défait le dernier bouton et elle a envoyé la blouse valser, avant de glisser sur mes genoux, toute nue, et de venir prendre ma bouche.
J’aurais du faire bien des choses, la repousser, lui dire que non, j’étais marié, mais je n’en ai rien fait. Moi aussi, même si je ne me l’avouais pas vraiment, ça me travaillait depuis un mois.
Ca a été un moment très agréable, le premier de plein d’autres, de la tenir dans ms bras, sa peau douce et chaude, de la caresser, de sentir ses seins s’écraser contre ma poitrine, et que nos bouches se rejoignent. On est restés un moment comme ça avant qu’elle ne défasse mon pantalon, et qu’elle ne mette ma queue à nu.
—Tu as une belle queue. J’ai envie de la prendre en moi.
Ca s’est fait rapidement et facilement. Et c’est vrai qu’on en avait vraiment envie, mais il n’y a rien eu de précipité ni de heurté. Elle a fait de l’équilibre sur moi, se baissant pour attraper sa blouse, et récupérer, dans une poche, une boite de capotes. Elle en a attrapé une et m’a gainé de latex.
—J’ai acheté la boite hier, j’espérais qu’on s’en servirait aujourd’hui. Ca doit être mon 6eme sens qui m’a inspiré.
Elle s’est hissée pour venir se placer pile au dessus de ma queue et elle s’est laissée descendre sur moi. Un seul mouvement, ça s’est emboité parfaitement, et je l’ai sentie autour de moi, chaude et douce, avec sa muqueuse comme un gant. Oui, j’en crevais d’envie de ce rapport sexuel.
J’ai attrapé ses fesses à pleins mains, bien épaisses, et bien charnues. C’était curieux, parce que je n’éprouvais absolument aucune culpabilité par rapport à Anne. Au contraire, je trouvais bien d’avoir une autre expérience, et de ne pas avoir été attiré par quelqu’un qui lui ressemblait. Le tout, c’était qu’elle ne le sache pas. C’était sans doute un trait très masculin que d’avoir ainsi envie, sans forcement les avoir ‘toutes’, de femmes différentes.
On a eu un moment de plaisir, qu’on s’est efforcés de faire durer aussi longtemps que possible, jusqu’à ce qu’on jouisse, elle d’abord, moi ensuite.
Ce moment a été comme une sorte de contrat, signé entre elle et moi. Un pacte qui faisait que, chaque fois qu’elle venait, même si elle faisait le ménage, il y avait toujours un moment qu’on s’accordait où on faisait l’amour. On était très attirés l’un par l’autre, même si on ne se faisait pas d’illusion sur notre relation. Elle était basée essentiellement sur le désir et le sexe. Mais c’était déjà beaucoup, et ça avait cimenté une réelle entente entre nous.
Ce qui me plaisait, c’était qu’elle avait réellement une sexualité libérée. Anne aimait le sexe, mais je me rendais compte, avec du recul, et la fréquentation de Virginie, qu’elle avait malgré tout des oeillères. Ce n’était vraiment pas le cas de Virginie, pour qui tout était possible tant que ça ne heurtait pas l’autre. Rien ne lui faisait peur. Elle allait jusqu’à l’obscénité. Elle adorait par exemple m’envoyer des sextos d’elle, avec un message qui était ‘Tu me manques, mais on se retrouve bientôt pour en profiter’ et elle s’exhibait, en se fourrant un sein dans la bouche, en se caressant, en s’enfonçant des objets dans le sexe, ou en l’ouvrant avec ses doigts. Elle avait une passion pour les jouets féminins, elle en achetait régulièrement, et souvent elle arrivait avec, dans le ventre, des boules de geisha, des anus plug…Elle me demandait souvent de combler l’orifice qui n’était pas rempli, et je trouvais ça très excitant…
C’est sans doute à cause de ça que mon envie est revenue. Je me suis dit que, comme elle aimait les gadgets…Elle serait tentée…Peut-être même qu’elle avait déjà pénétré des hommes avec des godes…
Comme elle faisait le ménage à fond, il suffisait que, juste avant qu’elle n’arrive, je mette les gadgets que j’avais soigneusement conservés dans un coin où elle les trouverait forcément.
Manque de bol, elle n’a fait que du repassage ce jour-là.
Enfin, c’était ce que je croyais. Je ne me suis pas rendu compte que l’un des objets avait disparu.
Quand elle est revenue le jeudi, sous son pantalon très moulant, il y avait une saillie. Comme si elle avait eu une énorme érection. Mais elle ne pouvait pas avoir une érection…
Comme à son habitude, elle s’est déshabillée. Quand elle a baissé son pantalon, le gode ceinture a fait son apparition. Une ceinture en cuir qui enlaçait sa taille, et cette queue de plastique noire, dressée.
—C’est ça ton fantasme? T’as déjà essayé avec ta femme?
—Non, justement.
Je lui ai expliqué toute l’histoire, en commençant par le commencement. Elle a souri.
—Tu sais que je n’ai pas ce genre de tabous..
Elle a passé sa blouse, sans fermer les derniers boutons. La queue de plastique se dressait, totalement obscène.
Elle m’a poussé sur le canapé, et elle a défait mon pantalon qu’elle a tiré vers le bas, puis mon caleçon. Ma queue était toute dure. Elle me plaisait énormément,aussi bien par son physique que par ses attitudes. Elle s’est penchée sur moi, et elle s’est mise à caresser ma queue en baladant sa langue dessus. Elle avait un panel de techniques qui faisaient très rapidement monter la pression. Le problème avec elle, ce n’était pas de jouir, mais de ne pas jouir.
Ca s’est sans doute vraiment amorcé quand elle a glissé plus bas, pour entreprendre un analingus. A ce moment, j’ai bien vu la différence entre elle et Anne. Anne n’aurait jamais fait ça. Elle si.
C’est certain, même si le rêve m’avait donné un aperçu, je n’imaginais pas que la zone anale puisse être une telle source de plaisir. Même ça, simplement, cette langue qui tournait sur moi, ardente et infatigable, C ‘est certain, ce n’était pas la première fois qu’elle faisait un analingus à un homme.
J’aurais pu me contenter de cette caresse qu’elle me prodiguait, tellement c’était bon. Elle est venue, en même temps qu’elle me parcourait avec sa langue, masturber doucement ma queue. Je ne voulais pas jouir, mais un orgasme est monté de ma zone péri-anale, et a explosé en moi, faisant jaillir le sperme qui a atterri sur ses cheveux, son visage, et l’a fait rire. Pourtant, je n’ai même pas débandé.
Elle s’est approchée de moi. Finalement, c’est très difficile d’atteindre les buts qu’on a pu se fixer. J’avais rêve d’Anne, et c’était Virginie qui venait planter une queue, certes de plastique, dans mon anus.
J’avais acheté du lubrifiant, il y avait quelques mois, mais je ne savais plus où je l’avais fichu.
Elle a posé la tête du gode contre mon anus, et elle a poussé pour rentrer en moi.
Il n’y a pas eu de douleur. Elle a glissé en moi, centimètre après centimètre, et je l’ai sentie me remplir.
C’était encore mieux que dans mon rêve. Ce ne me gênait pas que ce ne soit pas une queue réelle, pour moi c’était comme si elle avait eu une vraie queue. et pour elle aussi sans doute. Je voyais son sexe, enfin une partie, sous le socle, et l’effet que chaque mouvement lui faisait. Sans nul doute, si je prenais du plaisir à la sentir bouger en moi, aller et venir, c’était aussi le cas pour elle, dans un effet boomerang. Elle frémissait de plaisir…Et ce que j’éprouvais était vraiment intense.
Ca a été très étrange. J’ai joui, explosant littéralement en crachant à nouveau du sperme sans qu’on ait touché ma queue, qui restait roide…Elle a continué de me besogner, le plaisir que je pouvais éprouver était lissé dans le temps, son intensité constante. Elle ruisselait littéralement, sexe béant…Elle a eu un orgasme, en se tendant et en criant.
Quand quelque chose est très bon, on y prend goût, bien sûr. C’st devenu comme une drogue pour moi et quand elle revenait…On n’avait pas vraiment à parler. Il y avait une partie de sexe très traditionnel, et puis, à un moment ou à l’autre, on basculait vers l’utilisation des godes ceinture. Il y avait un modèle en particulier, qui nous a procuré à l’un comme à l’autre énormément de plaisir. On s’est perdus dans nos orgasmes. La queue était épaisse et nervurée, le harnachement n’était pas une ceinture, mais une culotte, et celle-ci contenait un morceau de plastique rond qui venait remplir le vagin. A côté le socle, ce n’était rien, et elle a joui dans les premières secondes. Ce jour-là, on a enchainé les orgasmes, jusqu’à s’écrouler, épuisés.
J’étais arrivé à réaliser, mais de manière détournée, mon rêve. Virginie était une maitresse parfaite. Mais ça collait parfaitement entre moi et Anne. C ’était simplement différent. Les deux relations se complétaient de manière harmonieuse.
Mais je n’ai vraiment compris que la semaine suivante.
Après nos jeux, Virginie avait oublié de ranger l’un des jouets. Il était resté posé sur la moquette.
Je m’en suis rendu compte. Trop tard. Ma femme était déjà là.
Quand j’ai pénétré dans la chambre, le gode avait disparu. J’ai vérifié, il avait réintégré sa boite.
Quand Virginie est revenue, je lui ai posé la question:
—Toi et Anne vous êtes complices, n’est-ce pas?
Elle a souri.
—On est amies elle et moi, et elle avait effectivement besoin de quelqu’un pour des tâches ménagères. Elle s’est dit qu’elle pouvait joindre l’utile à l’agréable. Que je te donne ce qu’elle ne pouvait pas te donner.
Elle a gémi en faisant glisser le gode en moi. On avait commandé de nouveaux modèles et là on en essayait un. Le plaisir est monté en moi.
—Les choses sont plutôt bien comme ça, non?
Le sperme qu’a craché ma queue rode a sans doute été la meilleure des réponses.
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