Petites fesses chaudes à St-Rémy.

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Penny LANE


BDSMsoumission et domination


Nous sommes fin septembre. Il fait encore doux et chaud à St Remy de Provence, où nous avons convenu de nous retrouver après deux longs mois à distance. Tu viens de me prévenir par texto que tu quittes l’autoroute. L’excitation me gagne tandis que j’arpente le village et ses ruelles.
Je me demande ce que tu me réserve et quels seront nos jeux cette fois-ci. Mon imagination extrapole des scénarios. Tu es tellement capable de tout…

 

Enfin j’aperçois ton véhicule qui se gare sur le parking du studio que j’ai loué. Je descends t’y rejoindre, non sans ressentir quelques papillons au fond du ventre. Je porte une robe de plage longue sans rien dessous. Rien, si ce n’est un peu d’huile sèche pour me satiner le corps.
Au moment de sortir de l’immeuble, tu me surprends. Tu m’agrippes la taille en me serrant contre toi avant de m’embrasser langoureusement.
J’adore cet instant, tu es tellement doux, tu es tellement beau.  Je scelle ces minutes dans ma mémoire sensorielle. Avec toi, j’ai l’impression de collectionner « mes premières fois ».

 

Le week-end ne fait que s’annoncer, et il est porteur de jolies promesses.

 

Tes mains baladeuses sont déjà partout sur moi, ou plutôt devrais-je dire partout sous ma robe. Ainsi, à la vue de tous, je glousse et sens l’excitation qui te gagne. La privation a été longue et le désir semble atteindre son paroxysme ce soir. Tes mains et l’attente produisent leur effet, je suis toute mouillée. Mon Dieu que ta jolie queue m’a manqué, c’était si long que ma vulve pourrait s’enflammer par combustion spontanée.

Il semblerait que tu lises dans mes pensées ou que tu aies envie d’en profiter un peu plus car, tu m’entraines par la main m’invitant à monter. En frôlant ton pantalon, je sens que tu es dur. Hum…tu es délicieusement gonflé si bien que je ne pense plus qu’à te lécher.

Je t’aide avec tes affaires. Tu m’obliges à marcher devant toi. Comprenant ton petit manège, j’accentue mes mouvements comme une provocation. Je roule exagérément les fesses pour les offrir à ta vue. Je t’entends murmurer:

–   Insolente, ces jolies fesses vont chauffer.

Brulante de désir, cette perspective me fait succomber. Si en cet instant ma chatte le pouvait, elle serait en train de miauler tellement elle est affamée.
Mes cuisses sont inondées, je sens mon ventre se contracter. Alors que les portes de l’ascenseur se referment, je me mets face au miroir et soulève ma robe en me caressant langoureusement le corps. J’essaie d’attirer ton regard sur la surface.

Les milles facettes de ma chatte assoiffée.

 

Nos regards se trouvent. Tu marques un sourire quelque peu diabolique. Tandis que ta main s’apprête à dégainer ton téléphone portable. Tu me demandes d’écarter un peu plus les jambes et de me pencher.

Mon cul découvert t’est offert, je parierai même qu’il t’inspire.  Je sens la paume de l’une de tes mains se poser fermement sur la fesse gauche. Ton pouce écarte soigneusement mes lèvres enfiévrées.  Je ne peux que m’imaginer la photo, en épilogue de ces deux jours. L’ascenseur s’immobilise alors que tu entreprends une caresse de mes lèvres dégoulinantes du bout des doigts. Faussement sage et pudique, je baisse ma robe et me redresse. Nous sortons. Quelques pas sur le palier, mes jambes tremblent et ma chatte pourrait crier: « je veux te manger ! »

Tu te délectes de l’excitation que je ne contiens plus.  Juste avant de rentrer, tu me proposes en « amuse- bouche » de lécher ton doigt en me susurrant à l’oreille:

– Tiens ma chérie goûte-toi.

Tes mots et le son de ta voix m’électrisent autant qu’ils m’attisent. J’ai envie de te dévorer tout entier.

Quelque chose me dit que ce week-end s’annonce brûlant…

J’entends la porte du studio claquer derrière toi. Cette fois ci, ça y’est les fauves sont lâchés. Nous posons tes bagages sur le sol. Mes idées se bousculent, je ne sais plus ce dont j’ai envie en premier…Tu es beaucoup plus prompt que moi. J’entends tes pas qui se rapprochent. Tes lèvres sur ma nuque. Tes mains me guident vers le canapé. Tu me glisses à l’oreille:
–  Je veux voir ton cul tendu.

 

Tu me fais m’agenouiller sur l’accoudoir à large rebord du canapé. Je sens tes mains à peine m’effleurer pour retirer délicatement le tissu qui le dissimulait. J’écarte les jambes pour me stabiliser. Je cambre le dos.

 

Lever de rideau….

 

Je sens ton pantalon frôler ma peau. J’imagine ta jolie queue en tension. Cette pensée m’enflamme un peu plus, à tel point que la cyprine coule de mes lèvres sans retenue en inondant l’accoudoir. Je sens tes mains caressantes à l’intérieur de mes cuisses tremblantes. Puis d’un coup, trois doigts viennent fouiller en moi. Une salve de gestes précis et rapides, provoque une décharge. Je pourrai sentir l’électricité de nos deux corps, tellement la tension est perceptible. Tu ne me laisses pas le temps de réfléchir.  Vient la morsure d’une fessée sur ma fesse droite. Je ne sais pas comment tu fais, tant tu maîtrises parfaitement la situation. Tu articules très calmement :

– Bien nous allons pouvoir commencer !

Ta voix est posée:
– Ne bouge pas !

Tous mes sens sont en alerte. Tu cristallises tout ce que mon désir compte pour ta plus grande satisfaction.

 

J’entends que tu fouilles l’un de tes sacs de voyage. Tu te rapproches à nouveau. Mais cette fois ci, tu te positionnes sur mon profil gauche. Je sens ta main caresser mon dos. Des épaules aux fesses lentement. Je perçois la chaleur de tes paumes parcourir mon corps tremblant.

Tu te penches sur mon visage. Tu me tires doucement la tête en arrière en me regardant dans les yeux. Tu déposes un baiser sur les lèvres.
Tandis que ma bouche s’entrouvre, tu y introduit progressivement deux doigts que ma langue enveloppe immédiatement. Lorsqu’ils sont enduits de salive, tu m’en félicite:
– C’est bien !

Je suis perdue de frustration, mon corps frémit tellement j’ai envie de jouir. En dépit de quoi, tu joues nonchalamment aux anges sadiques en faisant durer le plaisir….

Les bijoux de la princesse

Tes doigts pleins de salive s’attaquent à me seins. Tu les malaxes, puis tu pinces les tétons qui se raffermissent. Mon épiderme tout entier se dresse.
C’est si bon, si doux, si excitant….Je gesticule un peu en laissant échapper un râle à mesure que la pression de tes doigts s’exerce sur mes mamelons. Mon utérus se contracte. J’ai furieusement envie d’être pénétrée. Tu ordonnes:

– Ne bouge pas !

 

À cet instant, je sens que tu accroches deux clips sur le bout de mes seins. Deux petites pinces lestées par des embouts. Ça tire… C’est tour à tour inconfortable, puis étrangement bon… Mon ventre s’embrase un peu plus, la totalité de mon corps est en ébullition. De retour face à mon cul, tu sembles satisfait:

– Qu’il est beau ce cul tendu !

 

En cet instant, je ne sais pas ce que tu fais. Les pinces exercent une morsure constante, qui chauffe et le désir monte…en vagues.
Il ne me faut plus grand chose, je suis à deux doigts de l’orgasme. Je n’en peux plus, je voudrais tellement recevoir ta jolie queue. Je gémis, cette supplication ne te laisses plus de marbre. Mes vœux vont enfin être exaucés.


Prête pour une inspection en règle.

 

C’est le grand moment ! Celui que j’attendais… J’entends que tu défais ton pantalon. Ta jolie queue toute aussi affamée est enfin libérée. Je tourne la tête furtivement en faisant mine de me dégager les cheveux. Tu es en train de te caresser. Ton regard brille d’appétit à la vue de mon cul. Parmi, ces deux petits trous, lequel satisfaire en premier ?

 

Ta gourmandise ne me laisse pas le temps d’y répondre.

 

D’une main tu écartes l’une de mes fesses. De l’autre tu tiens ta jolie queue, qui se glisse simultanément dans chacun d’eux. C’est délicieux. Le rythme s’accélère et tu me sommes :

– Jouis maintenant pour moi ma chérie !

Je lâche tout et l’orgasme m’arrache un cri. Tandis qu’une vague me submerge, je sens une giclée de sperme chaud sur mes fesses tendues. Tout secoués de plaisir, nous finissons enlacés sur le canapé. Satisfaite, je soupire comblée. Ma chatte s’est un peu calmée. Ton imagination, toujours féconde ne cesse jamais de m’étonner. Et de ta queue, je ne me lasse jamais. Je sais que tu as préparé ces moments dans les moindres détails. Que me réserves-tu ?

À peine cette idée m’effleure que ton regard m’interceptes. Tu me souris tel un ange aux ambitions sauvages et démoniaques:
– Je vais m’occuper de toi, me glisses tu.

En me retirant les pinces, tu poursuis:
– Ta petite chatte va être comblée mais… bien moins que tes jolies fesses blanches et satinées.

Et voilà que ça recommence…me voilà à nouveau brulante et trempée….

(à suivre)

 

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