Mère et fille pour un plan à trois

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Frederic Gabriel


en familleteentriolisme


MÈRE ET FILLE POUR UN PLAN À TROIS (PREMIÈRE PARTIE)

Avant l’avènement du chemin de fer qui a marqué très vite la mort d’un système, dans le Sud-Ouest, le commerce se faisait au moyen de gabarres, bateaux à fonds plat équipés pour transporter des marchandises de toutes sortes, même dans des fleuves peu profonds. Canaux et fleuves voyaient passer ces gabarres. De Gaillac, port fluvial à l’époque, petite ville du Sud-Ouest, les gabarres, transportaient ce qui était produit alentour, essentiellement des céréales et du vin, jusqu’à Toulouse et Bordeaux, et ramenaient des produits coloniaux, sucre et rhum par exemple ou productions plus proches, comme du pastel. Au 18eme siècle, dans cette petite ville, tout tournait autour de ce commerce. Riches comme plus pauvres, chacun avait un rôle. Pourtant, au-delà, chacun vivait une obsession commune : le sexe.

1

Il est hors de question que tu revoies cet homme, Olympe ! C’est un bon à rien ! Il travaille sur une gabarre… Il n’a rien à voir avec notre monde !

L’homme d’âge mûr était rubicond, et il tempêtait. C’était l’heure du repas et autour de la table, étaient réunis le père et la mère d’Olympe et Olympe elle-même. Elle avait dix-neuf ans, et elle était l’une des plus belles filles de cette ville portuaire. Le long du fleuve, une activité intense se déployait dans les deux sens. De plus haut et des alentours descendaient des biens qui étaient vendus en aval, à Toulouse ou à Bordeaux, des céréales, du vin évidemment, transportés par les gabarres, mais en sens inverse, de Bordeaux, les gabarres ramenaient des produits locaux ou venus des colonies.

Le père d’Olympe était l’un des plus riches marchands de la région. Il avait su, au fil du temps, faire fructifier son commerce. C’était un homme puissant et craint, qui avait énormément d’influence.

La semaine précédente, supervisant le déchargement des gabarres, il avait surpris Olympe en compagnie de l’un des mariniers dans une attitude sans équivoque. Il l’avait attrapée par le bras et ramenée à la maison où elle était cloîtrée depuis.

Tu es promise à un riche mariage ! Tu ne vas pas tout gâcher ! Ce batelier est un bon à rien.

Olympe frémit en pensant à l’homme à qui elle devait se marier. Héritier d’une riche famille, il n’était pas très beau, sans personnalité. Surtout, elle le savait mais pas ses parents, il était homosexuel et les femmes ne l’intéressaient vraiment pas. Lors d’un de ces interminables déjeuners dominicaux, elle l’avait surpris dans une grange avec la queue d’un garçon dans la bouche et une expression de volupté sur le visage. Quoi que, son père le savait sans doute, et ce qu’il attendait d’elle, c’était peut-être simplement un mariage de convenance, et que chacun vive sa vie.

Elle avait toujours eu la langue bien pendue et elle avait toujours su tenir tête à son père.

Tu veux que j’épouse cette fiotte d’Édouard. C’est hors de question ! Je ferai ce dont j’ai envie ! Je vivrai ma vie comme je l’entends.

Olympe regarda sa mère. Celle-ci avait la tête baissée vers la nappe. Il n’y avait aucun soutien à attendre d’elle, femme soumise. Un instant, Olympe eut envie de lui jeter au visage ce qu’elle savait d’elle, et parler de cette rumeur qui courait en ville, qu’elle avait voulu vérifier, pour découvrir au final que la rumeur était on ne peut plus vraie. Elle aimait flâner en ville, et écouter les gens parler, arracher des bribes de conversation. Elle avait eu la curiosité de suivre sa mère un jour, jusqu’à une des riches maisons près de l’abbaye. Une après-midi. Son amant l’attendait. Par une fenêtre entrouverte, au rez-de-chaussée, elle avait pu assister à leurs retrouvailles. Une autre facette de sa mère, qu’elle n’avait jamais vue comme cela, femme terne pour elle. Elle avait plongé à genoux, pour sortir le sexe de son amant de son pantalon et le sucer longuement. Olympe avait senti son sexe s’ouvrir et couler, en les regardant faire l’amour. Il y avait cette faim en elle… Elle aurait volontiers pris de partager le sexe long et épais avec sa mère, et un instant, elle l’avait tellement souhaité qu’elle avait été dans cette pièce, sa mère et elle se partageant la queue, la léchant, la suçant. Elle avait remarqué que sa mère avait plongé sa main sous sa robe et sous ses jupons pour se caresser, et elle s’était mise à faire de même, trouvant son sexe ouvert et coulant tellement que ça dégoulinait à l’intérieur de ses cuisses. Elle avait fourré deux doigts dans sa fente, et elle les avait faits aller et venir dans des bruits de clapotement, jusqu’à ce qu’un orgasme explose en elle, violent, quand le sperme avait jailli, maculant le visage de sa mère. Elle avait tellement perdu le contrôle qu’après que ses cuisses puis ses jambes aient été inondées d’un torrent de sécrétions vaginales, elle s’était mise à uriner, un torrent qui avait frappé les pavés de la rue. Honteuse, elle s’était éclipsée, une fois la miction accomplie, sans demander son reste.

Tu es consignée dans ta chambre ! Et ne réponds pas, sale insolente !

Elle se leva et quitta la pièce cossue pour se rendre dans sa chambre, qu’elle quitterait quand elle en aurait envie. Une porte dérobée donnait sur un escalier qui amenait à l’extérieur. La maison était immense et pourvue de ressources que le maître de céans ne connaissait même pas.

Olympe et sa mère étaient considérées comme deux des plus belles femmes de la ville et des environs. Elles se ressemblaient d’ailleurs énormément, même si l’âge avait d’évidence plus marqué la mère. Grandes l’une comme l’autre, elles avaient un corps particulièrement bien dessiné, dont les courbes criaient leur féminité. On pouvait en dire autant de leurs visages harmonieux. Les hasards génétiques avaient toutefois fait qu’Olympe était rousse avec des yeux verts, alors que sa mère avait une chevelure d’un blond cendré, et des yeux d’un bleu de porcelaine.

Olympe se laissa glisser sur le lit, et esquissa un mouvement de bassin qui fit qu’elle bascula en arrière sa robe et ses jupons pour se mettre à nu. Elle aurait aimé qu’il soit là, déjà. Il revenait dans deux jours de Bordeaux, avec une cargaison en retour. Oui, elle aurait aimé qu’il soit avec elle dans la pièce et qu’il vienne sur elle. Elle appréciait tout particulièrement quand il posait sa bouche sur elle et la caressait de sa langue et de ses doigts. Il était particulièrement habile et savait réellement lui donner du plaisir. Il avait ramené de Bordeaux quelque chose qu’elle ne connaissait pas. Il appelait ça un condom, et il lui avait expliqué que c’était censé conserver son sperme s’il venait en elle, chose qu’elle lui avait jusqu’à présent refusé. Tomber enceinte lui faisait peur plus que tout, car ce serait la fin de sa liberté.

Narcissique, elle s’examina dans le miroir qui faisait face au lit. Elle était très consciente de sa beauté, et l’image que lui renvoyait le miroir ne faisait rien pour atténuer son orgueil. Des jambes blanches, excessivement bien dessinées, le bas d’un ventre orné d’une toison rousse très fournie, au milieu de laquelle, d’excitation, son sexe s’ouvrait, laissant voir un intérieur qui devenait de plus en plus visible, minute après minute, et qui inondait de ses jus abondants sa chair, la faisant luisante. Sans la moindre hésitation, elle amena ses doigts sur son sexe et elle se mit à se caresser. Elle était folle d’avoir autant envie de sexe… C’était une obsession pour elle ces derniers temps ! Mais son amant serait bientôt là, et elle pourrait profiter de ses baisers, de ses caresses, et de sa belle queue, même si elle ne l’avait pas encore laissée rentrer, par peur, dans la partie la plus intime de son anatomie. Elle craignait qu’il ne se lasse, même s’il savait lui donner du plaisir autrement.

Après avoir frotté ses lèvres, qu’elle sentit se gorger de sang, la main inondée par ses jus, elle remonta ses doigts sur son clitoris, sorti de sous la peau sous laquelle il s’abritait habituellement, dur et long. Elle savait, certitude rassurante, que c’était là la source la plus intense de son plaisir, et elle en eut la preuve la plus ardente, sentant monter le premier orgasme quand elle appuya dessus. Elle continua de le frotter, jusqu’à ce que le plaisir explose. Il lui était devenu difficile de vivre sans le bonheur que pouvaient lui procurer des orgasmes. Ce qui l’émerveillait le plus était sans doute leur infinie variété. Elle avait soif de jouir, autant pour éprouver du plaisir que pour dire à son père et au monde entier que rien ne l’arrêterait sur le chemin de son épanouissement personnel. Elle jouit plusieurs fois. A ses derniers orgasmes, son sexe était tellement dilaté qu’on pouvait voir quasiment tout son intérieur, tout rose, et elle cracha des jets épais et blancs qui ressemblaient à du sperme et n’avaient rien à voir avec ses premiers suintements.

2

Olympe resta un moment en travers du lit, enivrée du plaisir qu’elle venait d’éprouver, en rafale. Elle se sentait bien. Elle entendait au loin l’agitation de la ville. Le quai n’était pas si loin, et elle percevait les cris des haleurs qui tiraient les gabarres pour les accrocher au quai. La ville vivait dans l’effervescence perpétuelle d’un commerce florissant.

Elle porta ses doigts à son visage, lécha ses doigts, retrouvant le goût de ses sécrétions.

Une fois qu’elle eut repris ses esprits, elle se redressa. Machinalement, elle jeta un coup d’œil par la fenêtre, apercevant la venelle en dessous. En face, les murs ocre d’une belle bâtisse semblable à la leur.

Ouvrant la fenêtre, et se penchant, elle vit, fermant l’une des portes d’accès, sa mère. Sans aucun doute, celle-ci allait rejoindre son amant.

Il ne lui fallut que quelques secondes pour prendre une décision. Elle sortit dans le couloir, poussa sur un panneau, dévoilant un escalier dérobé. Elle dévala celui-ci en quelques secondes, se retrouvant à l’arrière de la maison, près des cuisines. Elle passa par le jardin, poussa une porte, devançant sa mère, qui fut surprise de se retrouver face à elle. Soigneusement apprêtée, elle s’était maquillée, coiffée et avait passé une belle robe, qu’elle avait commandé à Bordeaux.

Tu es vraiment magnifique, maman !

La surprise se lut sur le visage de la femme d’âge mûr, en même temps qu’un soupçon de la culpabilité qui la trahissait.

Je vais voir une amie, dit-elle, s’enfonçant encore plus.

Avec un geste sans doute audacieux, mais révélateur de l’intimité qui existait entre les deux femmes, Olympe souleva la robe de sa mère d’une main, glissant la pulpe de ses doigts le long d’un pubis qui suivait sa pente naturelle vers un sexe qu’elle trouva sans surprise ouvert et humide d’anticipation. Elle laissa retomber la robe, portant l’extrémité de ses doigts à ses narines pour respirer l’odeur musquée des sécrétions vaginales de sa mère, à la fois semblable et différente de la sienne.

Je t’ai déjà suivie, je sais qui tu vas voir. J’ai vu beaucoup plus que tu ne peux imaginer.

Sa mère avait cru sans doute qu’il s’agissait d’un secret soigneusement gardé. Comprendre qu’elle était découverte la figea sur place, en même temps qu’elle rougissait.

Je ne suis pas sûre que papa aimerait le savoir…

Sa mère la surprit en retrouvant son aplomb, et lui jetant sèchement :

Qu’est-ce que tu attends de moi ?

La réponse fut immédiate :

Je veux t’accompagner et profiter de sa quéquette moi aussi… Je suis sûre qu’il ne crachera pas sur deux belles filles comme nous, tu ne crois pas…

La femme d’âge mût fut un instant stupéfaite, puis une lueur vicieuse s’alluma dans son regard. Elle entrevoyait parfaitement quel parti elle pouvait tirer de la présence de sa fille. Attrapant celle-ci par la main, déterminée, elle lui dit :

Puisque tu y tiens tant, viens avec moi.

Elles partirent à travers les rues de G… Il n’y avait pas besoin d’aller très loin, quelques petites ruelles, le long de maisons cossues, pour arriver à la demeure où Olympe avait surpris, en d’autres temps, la scène qui lui avait tourné les sangs. Comme elle l’avait fait quelques semaines plus tôt, mais cette fois accompagnée, Irène appuya sur la sonnette.

Ce fut le maître des lieux lui-même qui vint ouvrir. La vision qu’avait eu Olympe, la fois précédente, n’avait été que partielle, et le voir de face la troubla plus qu’elle n’aurait pu l’admettre. L’homme d’âge mûr était vraiment bel homme, avec quelque chose de vraiment attirant, et ce d’autant que malgré son charme, il ne semblait nullement mettre en avant celui-ci et en tirer une quelconque arrogance. Il sourit à sa mère. Olympe comprit qu’il y avait entre eux plus qu’une attirance mutuelle basée sur le sexe, une profonde complicité. Ils s’entendaient sans doute mieux qu’elle ne s’entendrait jamais avec son époux. Il avait sans doute été différent autrefois, mais son existence était devenue, depuis, une éternelle plainte, une accumulation de récriminations qu’il déversait sur son entourage.

Sans un mot, il s’effaça, et invita les deux femmes à entrer.

Richard, j’ai pensé que tu serais ravi de faire la connaissance de ma fille.

Le regard qu’il jeta à la jeune femme fut sans équivoque.

Vous êtes aussi ravissantes l’une que l’autre.

Un serviteur apparut. Il lui parla à l’oreille avant de les introduire dans la vaste pièce qu’elle avait pu autrefois apercevoir de l’extérieur. Mais cette fois, la donne était différente. Elle était là. Se souvenir de la queue de l’homme, nue, et de ce que sa mère en avait fait fit jaillir un geyser de sécrétions vaginales qui inonda ses cuisses.

Le serviteur arriva avec un plateau chargé de pâtisseries, et sur lequel reposait également un service à chocolat ainsi que deux tasses. L’odeur amère du cacao monta aux narines des deux femmes.

Il leur fit signe de s’installer sur le divan, prenant place sur le fauteuil en face, après avoir servi les tasses de cacao et fait passer les pâtisseries. Il y eut un temps de silence, puis ils discutèrent. Richard évoqua, non sans un certain égocentrisme, ses affaires, qui, selon lui se portaient bien. Il avait conclu plusieurs contrats avec des vignerons pour exporter sur Toulouse et Bordeaux.

Ce fut plus tard que les choses basculèrent, sans réellement de transition, quand Olympe posa sa main gauche sur sa robe, la droite sur celle de sa mère, et qu’elle souleva la masse de tissus, pour donner à voir leurs sexes à l’homme. Le temps que mit le tissu pour remonter, elle ouvrit largement les cuisses. Sa mère en fit de même, avec du retard. Deux sexes de femme offerts, semblables et cependant différents, ouverts d’excitation. Les murs de la pièce étaient quasi tous couverts de miroir, et ainsi, elle pouvait se voir, et voir aussi sa mère, leurs jambes bien dessinées, leurs sexes offerts… De celui de sa mère sortaient sortaient des lèvres longues et gonflées, et la couleur de ses muqueuses tendait vers le rouge vif, alors qu’elle donnait à voir un sexe aux lèvres plus modestes, et dont l’intérieur était tout rose, à ceci près que son clitoris dardait, fin et long.

Dans un geste initié quasiment au même moment, la mère et la fille vinrent poser leurs doigts sur le sexe de l’autre, et, pour exciter l’homme se caressèrent mutuellement. Il ne s’agissait nullement d’un geste qu’elles auraient improvisé là, pour la première fois, mais au contraire de caresses qu’elles se prodiguaient depuis longtemps déjà, signe d’une proximité d’évidence, mère et fille avaient toujours été très proches, et auxquelles personne n’aurait trouvé à redire. Mère et fille se baignaient ensemble depuis qu’Olympe était toute petite, mais, une fois que le corps de celle-ci avait commencé à se métamorphoser, sa mère lui avait fait comprendre que certaines parties de son corps étaient susceptibles de lui donner du plaisir, ne réclamant, en échange pour ces révélations que des caresses identiques.

Leur intense complicité avait d’ailleurs fait qu’elles se donnaient du plaisir en d’autres lieux, selon leurs envies. Il arrivait souvent que la fille se glisse dans la chambre de la mère, mais cela fonctionnait également en sens inverse, dans l’après-midi ou la soirée, et lui prodigue des caresses. De la sorte, elles se trouvèrent en terrain connu à caresser le sexe de l’autre, Elles se pâmèrent et se tordirent en gémissant sous le regard l’homme qui aurait été incapable de détourner son regard. Il extraya bientôt de sa culotte un membre fidèle au souvenir qu’elle en gardait, long et épais qu’il se mit à frotter sous leurs yeux. Il s’établit entre eux, à ce moment, une connivence très forte, dans ces premières caresses, qui ne fit que se développer dans les minutes qui suivirent.

Ce fut Olympe qui prit les rênes du jeu sexuel les unissant tous les trois, sans doute autant parce que sa mère était timide que parce qu’elle était aiguillonnée par une envie qui la tenait depuis plusieurs semaines déjà. Écartant doucement la main de sa mère, elle se redressa et vint se poser sur le divan. Cette queue, elle en avait envie depuis trop longtemps. Elle devait la toucher. Elle tendit la main vers le membre épais. L’homme écarta sa main pour lui permettre de la prendre au creux de sa paume, plus petite, le pieu de chair… Olympe frémit lorsque les deux chairs firent contact. La chaleur de la verge dilatée remonta dans sa main, le long de son bras, puis dans tout son corps. Un jus abondant commença à couler du méat, qui se répandit le long de la tige, venant inonder ses doigts et lubrifier sa caresse.

Sa mère ne fut pas en reste. Elle passa ses mains dans son dos et défit les boutons qui retenaient sa robe, avant de faire tomber la robe au sol, où elle resta , tas d’étoffe et de couleur. Dessous, elle n’avait que des jupons qu’elle ôta aussi. L’homme la regarda faire, sans doute autant fasciné par ses gestes et le fait qu’elle se dénude que par son corps, Olympe, lorsque sa mère fut nue, partagea sa fascination. Son corps était sans défaut et elle comprenait sans mal qu’elle puisse être désirée d’un homme.

Elle vint se positionner sur le siège, de telle sorte que Richard avait les deux femmes de part et d’autre. Pendant qu’Olympe continuait de faire aller et venir sa main sur le sexe, l’allongeant et le solidifiant, Irène vint poser sa langue, en la dardant sur le gros gland inondé d’un jus qui coulait d’abondance, et entreprit de le laper tout en tournant sur la surface de chair.

Ce fut Olympe qui fit évoluer le trio vers une autre étape. Elle se dénuda comme sa mère l’avait fait, révélant un corps aussi bien dessiné, mais une poitrine différente. Les seins de sa mère étaient aussi volumineux que les siens, mais plus allongés, alors que ceux d’Olympe étaient plus ronds.

Ce fut Olympe qui commença les hostilités. Elle attrapa le membre congestionné et le guida vers sa poitrine. Sous le regard de sa mère, pour le moment passive, elle promena la tête du sexe sur sa chair, avant d’amener la fente du méat contre ses tétons. Ceux-ci étaient durcis d’excitation, longs et épais. Elle avait toujours été impressionnée par la capacité naturelle qu’ils avaient à s’allonger et de durcir sous l’effet de ses propres caresses ou de caresses d’autres. Le soir quand sa mère venait lui souhaiter une bonne nuit, elle n’attendait qu’une chose, attente rarement déçue, qu’elle glisse sa main sous les draps, et qu’elle laisse aller sa main sur elle. Elle savait bien faire s’ériger ses tétons et jouer avec, pendant que sa fille frottait son clitoris jusqu’à jouir. Elle avait toutefois récemment fait une nouvelle découverte, qu’elle pouvait facilement avoir des orgasmes simplement en caressant ses tétons sur la durée.

Tenant son sein gauche, et le guidant, elle amena le téton contre la fente qui déchirait le gland en deux, et elle poussa pour le faire rentrer.  Il était un rien trop large, mais en appuyant simultanément sur le sommet et la base du gland, elle parvint à ouvrir la fente de telle sorte qu’elle parvint à glisser le téton à l’intérieur. Richard regardait avec surprise Olympe faire. Sans aucun doute, aucune femme ne lui avait fait ça avant. Sans aucun doute aussi, il aurait souhaité rentrer sa queue dilatée dans une autre fente, mais ça c’était hors de question. Cette caresse, dont elle venait d’avoir l’idée, était censée le contenter.  

Elle éprouva une sensation étrange à pénétrer ainsi le gland, et à avoir sa chair autour d’elle. Elle était troublée par le fait que l’ordre logique et naturel soit inversé. C’était lui qui aurait du la pénétrer et c’était elle qui rentrait dans sa chair avec son téton.

Elle fit aller et venir son téton dans l’ouverture. En reculant, elle s’extraya en partie, permettant au liquide pré-séminal de sortir, en des jets d’autant plus abondants qu’il avait été contenu un moment.

Olympe jeta un coup d’œil de côté à sa mère, qui, en attendant de pouvoir disposer de la queue, poussait ses seins aussi haut qu’elle le pouvait, et baladait sa langue dessus, parvenant aux tétons, qu’elle agaçait de la pointe de sa langue. Ils étaient bistres, ceux d’Olympe étaient roses, en harmonie avec sa muqueuse vaginale. Avec un effort pour remonter ses seins et un autre pour amener sa bouche dessus, elle parvint à prendre un de ses tétons dans sa bouche et à le sucer longuement. Olympe tout comme Richard furent fascinés par son initiative, on ne peut plus troublante.

Quand elle arracha le téton du méat, à sa grande surprise, un trait de sperme, épais, long, et unique jaillit. Il poussa un gémissement qu’elle comprit moins comme un cri de jouissance que comme la volonté de juguler celle-ci. La substance vint la frapper en plein visage, de manière transversale, comme une gifle, substance chaude qui la brûla de plaisir.

D’une manière plus classique, sa mère gaina le sexe entre ses deux seins. Malgré sa longueur et sa masse, elle parvint à le faire disparaître totalement. Elle le caressa de ses seins, ouvrant légèrement ceux-ci, sans pour autant faire apparaître le membre, puis les resserrant. Cette caresse simple semblait avoir énormément d’effet sur lui. Olympe se retrouvait seule, mais son rôle de voyeuse la satisfaisait totalement, d’autant plus qu’au plaisir visuel s’ajoutait celui qu’elle ressentait en faisant aller et venir ses doigts sur son clitoris que l’excitation avait élongué…

Irène finit par dégager le gland, qui apparut dans son décolleté. Elle continua de le masser entre ses seins, jetant à sa fille :

Viens le caresser…

Olympe se pencha sur le décolleté de sa mère, et vint promener sa langue sur le gland dilaté à éclater. Il ne faisait aucun doute que la jouissance était proche.

Le premier jet de sperme la prit par surprise, qui vint frapper sa mère en plein visage, le sperme se répandant sur son menton, ses lèvres et sa joue, la faisant rire. Elle resta dans la position qui était la sienne, et la semence gicla, en jets copieux, qui semblaient ne jamais devoir finir, arrosant au petit bonheur  son visage et celui de sa mère, en des traits secs et chauds. Quand il a eu lâché ses derniers traits de sperme, les deux femmes étaient maculées de semence.

Elles lapèrent le liquide translucide qui dégoulina ensuite de son gland, avant d’aller chercher, sous son regard avide, les traits de sperme sur le visage de l’autre, et de s’en repaître.

Ils finirent le goûter dans le plus simple appareil, repus de sexe. Sa queue n’avait miraculeusement pas dégonflé. Avec un sentiment de gâchis, parce qu‘Olympe ne se sentait pas de le laisser ainsi sans en profiter, Olympe attrapa sa queue et le masturba. La jouissance ne venait pas, puis, soudain, elle se matérialisa en des jets moins épais et plus liquides. Sa queue ramollit enfin. Elle fit repasser sa robe par-dessus ses épaules pour couvrir sa nudité, la peau souillée de ces ultimes jets de sperme qu’elle allait emporter sur sa chair, tout comme elle allait emporter dans son esprit ces délicieux moments.

C’est sur le chemin du retour que sa mère lui souffla à l’oreille :

C’est ton père qui m’envoie. Il veut que je soutire des informations à Richard sur son commerce pour pouvoir éventuellement le doubler… Il m’a demandé de le séduire. Je n’ai pas vraiment eu de mal… Je n’avais pas prévu que je m’éprendrais de lui. Si j’ai des informations importantes, je ne les donne pas, je lui dis des détails sans importance.

Olympe sentit que sa mère remontait dans son estime. 

A SUIVRE

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