Dans les années 70, mes parents m’ont mis en pension, non pas parce que j’étais mauvais élève mais parce qu’ils n’avaient pas le temps de s’occuper de moi.
Je me suis donc retrouvé adolescent en pension à une 50aine de kilomètres de chez moi.
Je n’étais pas le seul dans ce cas venant de la ville où j’habitais, certains, comme moi, avaient des parents commerçants et d’autres parce qu’ils ne travaillaient pas assez.
A 14 ans, nous étions 4 ou 5 amis la semaine mais aussi en revenant chez nous le week end ou pour les vacances.
Philippe avait été mis en pension pour qu’il travaille. Ses parents avaient un niveau de vie aisé et voyaient d’un bon œil notre amitié, en espérant qu’à mon contact il aurait de meilleurs résultats scolaires.
J’appréciais sa compagnie mais aussi rester à diner chez lui. Ses parents étaient cultivés et la fréquentation de son père ingénieur lors de ces diners ou de soirées me faisait découvrir les aspects techniques de son métier. Je pouvais aussi poser des questions et lui faire part de mes interrogations sur un futur métier. Il me répondait toujours avec gentillesse et sérieux.
Une certaine connivence s’était installée entre nous.
Lors de vacances d’hiver, ses parents m’ont invité à passer une semaine avec eux, au ski.
Ils étaient propriétaires d’un appartement et d’un studio confortables dans une grande station. Le studio situé sur le même palier que l’appartement permettait aux parents d’inviter amis avec une certaine indépendance.
Nous faisons chambre commune avec Philippe dans le studio, nous permettant d’être indépendants et tranquilles, le soir.
Le lundi soir, après le diner, nous partons nous coucher dans le studio. Couchés chacun dans notre lit, Philippe oriente la conversation sur les filles, sur sa sœur plus agée et absente de ces vacances, et de sexe.
-Tu aimes te masturber ? Tu le fais souvent ? me demande t il. Moi, ça m’arrive souvent.
-Heu,…
-Tu ne l’as jamais fait ? Tu veux que je te montre ?
Et sans me laisser répondre, il vient s’asseoir sur mon lit et passe une main sous les draps. Très vite, il trouve l’ouverture de mon pyjama, glisse la main et commence à me branler.
Je vois que son pyjama a une grande bosse. Il bande sans se cacher. La discussion sur les filles l’a excité et par l’ouverture je vois qu’il a un sexe bien plus épais que le mien, au moins deux fois le diamètre.
Il repousse les draps pour me branler, pyjama baissé. Il retrousse mon prépuce, mouille ses doigts et ma queue. Il me branle doucement en retroussant jusqu’à la base, une ou deux secondes d’arrêt et reprend son mouvement. Mon gland est écarlate et j’ai l’impression que ma queue a doublé de volume. J’ai abandonné toute inhibition devant lui, un garçon, et me laisse masturber avec plaisir.
-Reste calme, détend toi, et si tu sens quelque chose monter dans ton ventre et dans ta queue essaye de te retenir.
Il accélère le rythme. Je ne comprends pas ce qu’il m’arrive quand je sens ma queue vibrer et de longs jets blanchâtres jaillir.
-A toi maintenant, branle moi.
Je n’hésite même pas, je prends sa queue, la mouille de salive et je le branle. Cela me fait une impression bizarre de toucher cette queue qui n’est pas la mienne. Je suis si excité que je sens la mienne recommencer à bander.
-Vas y accélère et ne t’arrête pas.
Sa queue doit faire 16 ou 17cms mais est très épaisse avec un très gros gland. Pour une 1ère queue, j’ai l’impression qu’elle est énorme.
Il s’agite sur le lit, il soulève ses fesses, et craque de longs jets épais pendant plusieurs secondes.
Nous allons nous laver et nous endormons. Le sommeil vient vite.
Dès le lendemain matin, il n’existe plus aucune gêne entre nous dans la salle de bain.
Nus, nous ne cherchons plus à nous cacher. Je dois même me retenir de venir lui caresser la queue quand il sort de la douche. Je ne comprends pas ce qu’il m’arrive. Je n’ai jamais regardé ou eu envie d’un garçon avant hier soir.
Le soir, c’est moi qui vais sur son lit et sans rien lui demander je glisse ma main sous les draps pour le branler.
-Tu y prends goût. Vas y, c’est bon, tu branles bien pour un puceau.
Je repousse les draps et j’ai tout mon temps pour examiner sa queue en le branlant.
Je me mets à bander et il me branle à son tour.
Nous nous regardons dans les yeux jusqu’à faire cracher nos queues. Et ce soir là il me demande de recommencer à le branler mais très vite il me prend la tête pour l’abaisser jusqu’à sa queue. Il frotte mes lèvres et j’ouvre pour l’emboucher. Il me tient la tête pour faire des aller retour de plus en plus rapide. Quand il éclate, il me tient la tête pour m’obliger à tout avaler. Un goût un peu acre qui est loin de me dégouter. Je n’ai qu’une seule envie c’est de le boire encore.
-Tu ne vas plus pouvoir t’en passer.
J’espère que tous les soirs de la semaine nous allons pouvoir continuer, mais c’est sans compter sur une information au petit déjeuner.
Sa mère est obligée de rentrer et elle souhaite ne pas rentrer seule. Son fils va rentrer avec elle.
Son père en accord avec sa mère me propose de rester skier avec lui jusqu’ à la fin de la semaine.
Je ne me doute pas que ces quelques journées à venir vont changer le cours de ma vie.
A suivre …
Rares sont les confessions sur le premiers émois gay.
J’attends avec impatience la suite
superbe début d’histoire, ça me rappelle mes 15 ans quant j’ai appris la masturbation commune. On était 4 garçons et on a commencer par ce branler tous ensemble.
J’ai adoré ton histoire stp continue