Quoi de mieux pendant les vacances scolaires que de me trouver une occupation intelligente, en lien avec ma formation de kinésithérapeute. Je me suis inscrite à un stage de premiers secours.

Je trouvais l’idée très bonne lors de mon inscription mais je n’avais pas imaginé que la veille, premier jour des vacances, j’irai en boite avec mes amies faire la fête presque toute la nuit.

J’ai mal aux cheveux, aux pieds, à la tête. L’effet cumulé de l’alcool, la danse, et la musique à fond.

Je me lève péniblement de mon lit et me traîne jusqu’à la salle de bain de mon studio.

Une bonne douche et surtout un café bien costaud finissent de me réveiller.

J’arrive dans la salle prévue pile à l’heure. Le matériel est déjà installé par terre, trousse de premiers secours, défibrillateur automatique, compresses, et surtout un mannequin homme, taille réelle mais sans les jambes.

Les présentations sont vite faites. Je suis entourée de deux autres participants seulement. Deux hommes assez âgés, des amis d’enfance, qui souhaitent se former avant d’effectuer un tour du monde pour bien débuter leur retraite.

La porte s’ouvre et deux formateurs arrivent dans la salle. Ils sont pompiers professionnels et proposent régulièrement cette formation aux habitants afin de leur apporter les bases des premiers gestes d’urgence.

Ils sont grands, bruns, yeux bleus pour l’un et marron pour l’autre, bien bâtis, on devine leurs muscles sous les t-shirts. De vrais pompiers, comme dans les films. L’un d’eux, en particulier, me tape dans l’œil. Celui aux yeux bleus. Il s’appelle Maxime, il a un sourire à tomber et doit avoir la petite trentaine.

L’autre, Serge, doit être un peu plus âgé, dans les quarante ans. On le devine plus mature dans sa posture, sa voix, ses gestes.

Ils nous expliquent comment vont se passer ces deux jours de formation, les différents thèmes abordés, de la brûlure superficielle jusqu’aux plaies ouvertes en passant par les malaises et arrêts cardiaques. Le tout c’est de sécuriser et d’alerter.

Quel programme.

La première matinée est faite d’apports théoriques. Maxime sait nous captiver par sa voix chaude et envoûtante.

Serge intervient pour rajouter certains éléments ou certaines notions.

J’espère juste que j’arriverai à mémoriser la théorie car nous passerons à la pratique dans l’après-midi. J’ai l’impression que Maxime regarde plus souvent vers moi que vers les autres. Ca fait longtemps que je n’ai pas eu de copain, je me suis concentrée sur mes études toute cette année scolaire et j’ai du me soulager avec des petits plaisirs solitaires au fond de mon lit ou devant ma télé avec le film classé X de minuit.

Après la pause déjeuner, où chacun s’est séparé, nous nous retrouvons pour les ateliers pratiques, les mises en situation.

Ce premier jour reste basique, avec l’apprentissage du massage cardiaque sur le mannequin sans jambe, la confection de bandages et de pansements…

Faut croire que je n’arrive pas à me concentrer car je n’arrive pas à positionner correctement le foulard sur le bras de Maxime. Je suis sûre que je rougis comme jamais. Mais il est aussi plus grand que moi, je dois me mettre sur la pointe des pieds, et passer mes mains autour de son cou pour attacher le foulard. Je sens qu’il essaie de garder son sérieux. A-t-il compris qu’il me fait de l’effet ? C’est bien possible.

J’arrive enfin à finaliser mon écharpe de fortune autour de son bras. Je serre le nœud et mon visage arrive à hauteur de son cou. Je l’entends alors prendre une grande inspiration, comme s’il respirait mon odeur. Je ne peux m’empêcher de faire de même car il sent vraiment trop bon. Une odeur de musc masculin mélangée à sa propre senteur.

Je m’enivre et me sens un peu étourdie. Il faut dire qu’il fait vraiment chaud dans la salle, ce qui rajoute à mon inconfort.

Maxime me rattrape alors et me fait asseoir sur une chaise, la tête entre mes genoux.

J’entends Serge déclarer la fin de la journée et raccompagner les deux autres participants jusqu’à la sortie.

Maxime vient se mettre à côté de moi et me demande si ça va mieux. Il me tend un verre d’eau que je bois directement.

Je me sens un peu bête d’avoir fait ce malaise et lui explique que c’est sûrement la fatigue de ma soirée d’hier.

Il me prend le poignet, j’ai le cœur qui s’emballe, je me demande ce qu’il fait, tente-t-il une approche ?

Finalement je crois qu’il ne prend que mon pouls…

Ton cœur bat vite, me dit-il.

Oui, je ne sais pas pourquoi, je me sens beaucoup mieux.

Il me regarde droit dans les yeux et me demande :

C’est moi qui te fais cet effet là ?

Je murmure un tout petit « oui ».

Il s’approche encore plus prêt, son visage à quelques centimètres du mien et me propose de me ramener chez moi. Sa main tient encore mon poignet, délicatement, mon cœur pulse et je n’arrive plus qu’à hocher la tête pour acquiescer.

Il m’embrasse sur la commissure des lèvres, se relève et m’aide à me mettre debout. Le vertige est passé, je me sens mieux. Mon cœur continue sa folle course dans ma poitrine. Où tout cela va m’entrainer ?

Il me tient la main tout en me dirigeant vers la voiture rouge garée un peu plus loin. Je ressens une pointe de déception lorsque je vois Serge installé derrière le volant. Je crois que je me suis fait des idées, il voulait juste me raccompagner chez moi, en sauveteur de la demoiselle en détresse.

Je me dis qu’au moins je ne rentrerai pas à pied sous cette chaleur.

Arrivée devant chez moi, je sors de la voiture, suivie de Maxime. Il tient à m’accompagner jusque chez moi afin de me savoir en sécurité.

Je l’invite à entrer dans mon studio. Le tour du propriétaire est vite fait. D’un côté le petit coin cuisine et de l’autre le salon/chambre avec un canapé convertible.

Maxime me rejoint en deux enjambées, m’encadre le visage avec ses mains et doucement approche ses lèvres des miennes jusqu’à m’embrasser. Sa bouche est chaude, douce, son baiser me fait fondre, j’ouvre la bouche dans un gémissement pour aller à la rencontre de sa langue.

Mon cœur, qui avait à peine eu le temps de reprendre un rythme normal, repart de plus belle. Je sens des fourmis, des chatouillis dans mon ventre puis plus bas, entre mes jambes.

Les mains de Maxime commencent à explorer mon corps, de mon dos elles passent devant, remontent le long de mon ventre pour se diriger vers mes seins, sous mon t-shirt.

Je l’entends pousser un gémissement contre mes lèvres lorsqu’il se rend compte que je ne porte pas de soutien-gorge. Je suis une adepte du freeboobs. Il peut ainsi accéder directement à ma poitrine, prendre un sein déjà tout gonflé dans sa main, le caresser, en titiller le téton dressé. Il alterne entre mes deux seins, sa langue toujours dans ma bouche.

Mon état d’excitation monte d’un cran. Ca fait trop longtemps que je n’ai pas été touchée par un homme. Je mets mon cerveau en veilleuse, je ne veux pas penser à ce que je fais, avec un quasi inconnu. Les sensations sont trop bonnes. Mon bas ventre me fait presque mal tant j’ai besoin d’être comblée.

Je n’ai pourtant pas beaucoup d’expérience en matière de sexe. J’ai toujours été trop centrée sur mes études pour avoir une relation sérieuse et je ne suis pas adepte des coups d’un soir.

Mais les sensations que je ressens prennent le pas heureusement sur mon cerveau. J’en veux plus. Je passe les mains sous son t-shirt et le lui enlève. Je veux avoir accès directement à sa peau, si douce et bronzée. Je sens ses muscles fermes sous mes doigts.

Je veux sentir sa peau nue contre la mienne. J’enlève mon haut et me colle à lui, nos corps échauffés se trouvent et basculent sur le canapé.

Je me retrouve sous lui, les jambes de chaque côté de ses hanches, son sexe plaqué contre le mien. Il lâche ma bouche, descend pour s’occuper de mes seins, les lèche, les mordille. Son bassin contre le mien, je sens sa queue venir buter contre mon jean, par saccades régulières.

J’ouvre les boutons de son pantalon, l’aide à se déshabiller, et il fait de même avec moi.

Nous nous retrouvons nus, nos mains continuant leur exploration. Son membre est d’une taille plus qu’honnête, il est doux, déjà en pleine érection. Je le prends dans ma main et commence à le branler en douceur.

De son côté, il continue de titiller mes seins et une de ses mains poursuit la descente jusqu’à mon entrejambe. Lorsqu’il s’aperçoit que je suis déjà trempée, il rentre un doigt directement dans mon vagin et fait des va-et-vient. Un deuxième doigt vient le rejoindre, son pouce s’occupe de mon petit bouton. Je gémis, me contorsionne, je vais à la rencontre de ses doigts, en demande encore plus. Son troisième doigt entre en moi et de façon simultanée Maxime appuie fort sur mon clitoris en me mordant en même temps un téton. Je suis surprise par l’orgasme qui m’emporte. Je crie en me cabrant, quelle sensation !

Je reste dans un flou magique, je crois entendre la porte de mon studio s’ouvrir mais je ne capte rien. Maxime est toujours sur moi, toujours en pleine forme. Il reprend ses baisers fougueux et je me laisse entrainer, les yeux clos, dans le mouvement de nos corps qui repartent de plus belle dans leur danse intime.

Je l’entends déchirer un emballage de préservatif, il se recule une minute et revient vite sur moi. Le bout de son gland vient me titiller la fente, passant sur mon bouton, descendant jusqu’à mon vagin pour venir s’y introduire en douceur. Je me rends compte de sa grosseur au fur et à mesure de sa pénétration. Il est bientôt complètement en moi, me remplissant, me comblant pleinement. Il commence ses aller retours, doucement, puis de plus en plus vite.

Ses mains ne restent pas inactives, elles malaxent mes seins, me titillent les tétons, me donnent des décharges électriques dans tout le corps.

Maxime me regarde et me demande :

Tu me fais confiance ?

Oh oui, continue, surtout ne t’arrête pas, c’est trop bon !

Tu en veux encore plus ?

Oui !!

J’entends alors un bruit derrière moi et une main vient me caresser l’épaule. Je sursaute en ouvrant les yeux. J’aperçois alors Serge, déjà à moitié à poil, qui est accroupis à côté de nous.

Non, non, qu’est-ce que tu fais là ?

Ne t’inquiète pas, me dit Maxime, nous ne voulons que ton plaisir, fais nous confiance.

Il me dit ça en me redonnant un coup de rein. Mon corps se crispe. Mais de plaisir. C’est vrai que j’en veux encore, mais deux hommes ? Je ferme les yeux, je refuse de voir ce que je suis en train de faire. Maxime continue à me limer, doucement, et mon corps me trahit, il aime ça, et sous le regard de Serge.

Mais je dois faire quoi ? Ecouter mon corps ? Mon cerveau ? Lequel va prendre le pas sur l’autre ?

Finalement c’est ma main qui décide. Elle vient à la rencontre de celle de Serge et la lui repose sur mon épaule en signe d’accord.

Je referme les yeux, voulant ressentir de façon plus intense les sensations qui déferlent en moi. Ce sont maintenant quatre mains qui s’activent sur mon corps. Mes seins réagissent comme jamais, mes tétons sont érigés et tout durs, mon vagin et mon clitoris m’envoient des spasmes de bonheur.

Maxime me prend dans ses bras et me fait basculer au-dessus de lui, à califourchon sur son membre, lui assis sur le canapé et moi face à lui.

Je mène alors la danse agrippée à ses épaules. Serge est derrière nous et continue à me titiller les seins. Je chevauche Maxime de plus en plus vite, il entre bien profond. La position me permet de le faire entrer plus loin et je me frotte en même temps le clitoris contre son bas ventre.

J’explose bientôt dans un orgasme puissant, en criant son nom. Il prend le relais de mon pilonnage et me suit dans la jouissance.

Maxime se retire de mon vagin et je m’écroule sur le canapé. Serge en profite pour venir à côté de moi. Il commence un massage de mon ventre à mes seins, tout en douceur. Ca me relaxe et fait redescendre le rythme de mes battements cardiaques.

Je remarque les yeux mi-clos qu’il est désormais à poil entre mes jambes. Sa queue commence à se dresser, moins grosse que celle de son collègue mais d’une taille honnête cependant.

Maxime vient se positionner sur le côté de ma tête et me présente sa bite à sucer. Je m’empresse de le prendre en bouche et le dévore. Serge me rend la pareil avec sa bouche sur mon sexe, déjà deux doigts enfoncés au fond de moi. Il m’est difficile de me concentrer sur ma bouche et en même temps les sensations qui reprennent vie en moi. Serge me pose les jambes sur ses épaules. Il prend son temps, explore tous les replis de mon intimité et s’aventure jusqu’au trou interdit. Il me parle en même temps, me rassure, me demande de lui faire confiance. Ce que j’ai fait jusqu’à présent et cela m’a plutôt bien réussi.

J’essaie de me relâcher, j’ai peur et en même temps je veux connaître les sensations inédites que la sodomie me promet.

Il lubrifie bien ma petite entrée étroite, avec ses doigts plein de mouille et de bave et commence à faire coulisser un doigt. Je m’adapte à cette intrusion, essaie de me concentrer sur la queue que je suce et qui a repris toute sa vigueur.

Le doigt de Serge est tout entier dans mon cul. D’autres doigts sont dans mon vagin, il les fait entrer et sortir en alternance, je me sens devenir toute chaude, une vague de chaleur m’envahit, j’en veux encore plus. Serge rajoute progressivement un deuxième doigt. Il est tellement doux que ça rentre sans problème. Il me laboure des doigts, devant, derrière, en donnant des petits coups de langue sur mon clitoris. Je gémis, je ne suis plus que sensations d’extase. Je n’arrive même plus à sucer Maxime, je me contente de le branler avec la main.

Serge se redresse, enfile le capuchon de plastique nécessaire et vient se positionner à l’entrée de mon petit trou. Je ferme les yeux, et ma main vient se poser sur mon clitoris, pour le titiller un peu et rester excitée pendant que Serge commence à s’introduire en moi. Je pense d’abord que sa bite est trop grosse, et mon trou trop étroit, mais le gland finit par entrer. J’ai un peu mal et je frotte mon bouton avec mes doigts. Maxime s’occupe de mes seins, de mes tétons. Serge, après un petit moment sans bouger, pour que je m’adapte intimement à lui, reprend sa progression à l’intérieur de moi. Il ressort un petit peu afin de rentrer à nouveau de plus en plus loin.

Mes sensations sont partagées. D’un côté la douleur dans mon cul, pas insurmontable tout de même, et de l’autre côté la chaleur et l’extase de mes tétons à mon clitoris échauffé. L’excitation prend le dessus, mon corps adore ces sensations nouvelles. Je gémis, de plus en plus fort, et Serge comprend qu’il peut accélérer le rythme. Les doigts de Maxime se frayent un chemin dans mon vagin, deux doigts entrent en moi par devant, et mes deux hommes trouvent un rythme ensemble qui me fait perdre la boule. Je n’ai plus la notion du temps, mon corps n’est que sensations extrêmes, de la jouissance absolue. Je me fais pilonner pour la première fois par derrière et avec deux mecs à mes côtés. Je ne ressens plus aucune douleur, une vague de chaleur me transperce et je jouis dans un cri. Serge me rejoint bientôt dans un gémissement et s’affale sur moi, le corps transpirant et le cœur, comme le mien, battant follement.

Il nous faut un long moment pour pouvoir ouvrir les yeux et bouger. Maxime est déjà presque rhabillé. Serge se remet debout péniblement. Maxime me couvre d’une couverture.

Ils me remercient tous les deux pour ce bon moment passé en ma compagnie et me conseillent de bien me reposer afin d’être en forme le lendemain, leurs collègues qui prennent la relève sont très gentils…

 

 

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    Ryta

    Dans l’imaginaire tout est possible. Les détails réussissent à se projeter dans cette aventure

  2. fredschoum le à
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