Il faisait nuit, et la pluie froide de ce jeudi de novembre rajoutait encore à cette impression de plongeon dans un grand bain noir et glacé.

Elle sortait de son cours de yoga, un cours cocooning qui avait fait une large place à la méditation et à la relaxation.

Elle avançait, seule, pour regagner sa maison là-haut, sa maison où personne ne l’attendait.

La rue était déserte, les places vides de la petite foule habituelle des soirées d’été, et la ville s’enfonçait peu à peu dans ses longs mois d’hibernation.

Elle grelottait un peu en rasant les murs pour s’abriter des gouttes glacées qui essayaient de se frayer un passage entre son col et sa peau tiède.

C’est en arrivant devant une porche cochère qu’elle aperçut sa silhouette… elle n’eut pas le temps de s’écarter que déjà il l’avait saisie par la gorge et l’entraînait dans le secret de la pénombre.

Elle voulait crier mais sa bouche autoritaire se plaqua sur la sienne, et lui enfonçait déjà une langue impérieuse à la recherche de la sienne…

Un premier sursaut, une tentative de lui échapper, une prise plus ferme…et elle reconnut son parfum ; en même temps que le parfum familier la calmait, sa langue elle aussi reconnut sa langue à lui, son corps reconnut l’empreinte de son corps et elle s’ouvrait déjà…

Les mots étaient encore inutiles, leurs peaux se parlaient, les mains se réconciliaient et leurs esprits s’apaisaient…

Ils s’étaient disputés le matin même, et aucun d’eux ne se souvenaient vraiment pourquoi maintenant, mais elle avait décidé de mettre un terme à cette relation qui la faisait souffrir…Elle le regrettait déjà…

– tu es vraiment trop chiante !!!

-……..

-Arrête tes conneries maintenant !

-…………

Il était en colère contre elle, le lui disait en la plaquant contre le mur et en la maintenant par la gorge, sa main tel un collier de chair, son bras tel une laisse.

Elle sentait contre ses fesses son sexe durcir.

Elle sentait son propre sexe palpiter et se liquéfier…

Elle ne put s’empêcher de gémir et il plongea aussitôt sa main libre entre son collant de yoga et sa chair trempée…

– Tu es une salope mon amour, dis-le-moi…

-……….

– Dis le

– Non !

– Dis le ou je pars de suite !!

– Je suis une salope mon Amour, ta salope à toi.

– C’est bien …

D’un doigt il vint vérifier son état d’excitation, il la trouva trempée, puis son doigt se servi de cette liqueur de plaisir pour venir humidifier et lubrifier son anus fermé…

-Tu as été pénible… tu es à moi, et je veux que tu le restes ! Qu’est-ce que tu mérites Marie ?

– ….

– Demande moi de te punir

– ………

– Je ne vais pas le répéter dix fois ! Soumets toi Marie

– Oui, je l’ai mérité…Punis moi

Son érection devenait presque douloureuse, il fallait qu’il possède cette femelle, sa femelle, et à la façon dont elle le méritait.

Il lui écarta les fesses et enfonça son majeur en forçant doucement son petit cul serré…Il ne voulait pas la blesser, il voulait simplement qu’elle sente la domination du mâle, et qu’elle la sente par là.

– Tu sais que je vais te prendre par derrière ma chérie, tu sais que je vais t’enculer ?

– Le veux-tu ?

– Oui je le veux, oui punis moi et ….encule-moi mon Amour…

Elle était plaquée contre le mur froid de ce porche, sa culotte descendue sous ses fesses, et elle pouvait sentir la fraîcheur nocturne sur sa peau dénudée… Elle était immobile et offerte à ses assauts.

C’est à présent son gland qu’il présentait devant son anus, sa bite grosse et raide était prête à outrager cet orifice préservé de toute pénétration depuis des années..

Il poussa, elle gémit un peu et dit : vas-y encore…

Il poussa encore un peu et franchit la résistance de son œillet…Puis s’immobilisa pour qu’elle s’habitue.

Elle se détendit enfin, et c’est elle qui recula sur le sexe tendu.

Il la prit par les seins, lui pinça les tétons de plus en plus fort car il savait qu’elle aimait ça, et que tant que la limite plaisir douleur ne serait pas atteinte, il pouvait les utiliser et les maltraiter à sa guise.

Mais pour l’instant, c’est surtout sa bite qu’elle sentait, le plaisir commençait à la submerger et elle s’empala un peu plus sur cette bite qui l’ouvrait …

– Je suis prête… Bouge…encule moi encore, je l’ai mérité

Ces mots à elle eurent l’effet de décupler encore son désir et il débuta un lent va et vient dans l’espace étroit qu’il avait conquis.

Son plaisir à lui fut rapide tant sa rage de la punir et la posséder ainsi était intense…

Il jouit dans un dernier coup de rein et dans un râle guttural

Il la laissa pantelante, endolorie mais heureuse de l’avoir retrouvé…

Heureuse de leur Amour

Et déjà triste et en manque à la pensée des longues heures d’absence à venir…

Mais ils se retrouveraient bientôt, et qui sait… Pour toujours

 

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  1. Ryta le à
    Ryta

    Très intense, on arrive à s’imaginer la scène

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