QUELLE(S) CHALEUR(S) DANS CETTE MAISON !
Marine et Jean ont dû, pour des raisons professionnelles, déménager de leur ancien appartement.
Ils décidèrent donc d’acquérir une maison située plus près de leur lieu de travail.
J’étais très impatient de découvrir cette habitation et de voir avec quel goût ils l’avaient aménagé.
Alors que je dois intervenir dans la région, je décide de leur rendre visite sans les prévenir de mon arrivée.
J’arrive dans ce village isolé vers neuf heures, et je trouve l’entrée d’une grande propriété au fond de laquelle on devine une maison.
Je décide, pour des raisons de commodité, de garer ma voiture au bord de la route peu fréquentée et de continuer mon chemin à pieds. Après avoir vérifié la bonne adresse de mes amis sur leur boîte aux lettres, je pousse le portail et m’engage dans l’allée qui mène à la maison.
Je découvre alors une grande bâtisse, mais curieusement aucun véhicule à proximité.
Avant de sonner à la porte, je décide de faire le tour de la propriété afin de découvrir le décor qui l’entoure.
Après avoir marché quelques instants, j’arrive devant une porte fenêtre dont les rideaux ne sont pas complètement tirés et j’aperçois vaguement des formes qui s’agitent dans la pièce encore éclairée.
Sans aucun doute, les personnes qui occupent cette chambre, ont l’air de bien s’amuser !
Un homme est à genou sur ce qui semble être un lit, et une fille s’agite à quatre pattes devant lui !
Sa tête bouge au rythme des mouvements de l’homme qui la lime avec frénésie.
En observant mieux la scène, j’arrive à distinguer le sexe humide du mâle qui pénètre la fille avec vigueur. Puis pour moi tout s’écroule ! Malgré sa jouissance, la fille m’aperçoit et se met à crier !
Le temps que l’homme se rhabille et commence à me poursuivre, je suis déjà à la porte en train de sonner pour qu’on m’ouvre !
La porte s’ouvre donc et c’est Jean, tout surpris de me voir, qui m’accueille dans le hall d’entrée.
— Que fais-tu là ? me dit-il étonné.
— Je passais dans le coin et je suis venu vous faire un petit coucou. Lui répliquais-je aussitôt.
Sur ces entrefaites, l’homme que j’avais aperçu dans la chambre, fait irruption dans l’entrée, apparemment prêt à me donner une sévère correction.
— Que se passe t-il ? me dit Jean à nouveau étonné.
— Il se passe que monsieur est un voyeur ! dit l’homme très agacé.
— Je vais tout t’expliquer, dis-je à Jean, maintenant sur ses gardes. Je me suis permis de faire le tour de la propriété et j’ai vu un couple qui faisait l’amour dans une chambre. Il est vrai que j’ai profité quelques minutes du spectacle, mais j’en suis vraiment désolé et je m’en excuse, dis-je en direction de l’homme, visiblement encore énervé.
— Je me dois de vous présenter, les garçons, dit Jean, encore surpris par la situation.
— Francis voici Daniel qui est accompagné par Sylvie, ce sont des amis de passage.
« Daniel », « Sylvie », ces deux prénoms ne me sont pas inconnu, mais impossible de me souvenir dans quel contexte j’ai fais leur connaissance…
Les présentations terminées et après nous être salués, nous entrons dans cette grande maison qui se réveille doucement.
L’odeur du petit déjeuner me met l’eau à la bouche et nous pénétrons dans la chaleur tiède de la cuisine.
Je découvre Marine qui prépare un brunch à l’attention de ses invités. En me voyant, elle se jette littéralement dans mes bras et me saute au cou en criant sa joie.
— Tu es là ? Déjà ? C’est super, ce soir on organise une fête, notre pendaison de crémaillère ! Tu restes avec nous, bien entendu !
Comment refuser cette invitation, surtout venant de Marine, et sachant comment une telle réception peut se terminer !
— Je ne sais pas si je peux accepter une telle invitation ! Et Jean qu’en pense-t-il ?
— Pas de souci. Me dit-il. Tu es le bienvenu car je sais combien Marine t’apprécie à chaque fois que tu nous rends visite !
Cette réponse me convient parfaitement car depuis notre dernière rencontre, je sais maintenant que Jean partage volontiers sa femme avec ses bons amis.
— Nous aurons beaucoup de monde ce soir, mais ce n’est pas un problème car les chambres sont nombreuses.
Pendant la discussion qui traite du déroulement de la soirée, je vois une fille en peignoir de bain qui entre dans la cuisine.
— Mais… C’est toi Sylvie ? lui dis-je complètement étonné.
— Oh Francis, tu es là toi aussi ? me répond-elle sur le même ton.
— Mais alors on se connaît peut-être Daniel ? Ce n’est pas toi qui es venu la chercher chez Océane alors que nous avions passé la journée ensemble ?
— Bien sûr, c’est moi ! me répond-il.
— Sacrée Sylvie, tu nous avais bien eus ce jour là ! Nous avons émis toutes les suppositions quant à tes préférences… euh… disons… sexuelles.
— Ah, c’est vrai qu’elle aime beaucoup de choses au lit, me dit Daniel.
— C’est marrant, parce que quand je t’ai connu la première fois, tu as été plus que surprise par mes attouchements et aujourd’hui c’est de me voir te regarder faire l’amour qui te surprend.
Les deux couples m’écoutent parler de sexe comme si je leur parlais de la pluie et du beau temps et ils ne sont apparemment pas étonnés de mon discours.
Cela laisse entrevoir une journée des plus mémorables…
— Comment trouves-tu notre nouvelle maison Francis, veux-tu que je te la fasse visiter ? me lance Marine tout en observant la réaction des autres invités.
Ils savent tous, Jean y compris, que ce tour du propriétaire va se terminer les jambes en l’air.
Constatant que son mari et ses amis n’omettent pas d’objection, Marine me prend par la main et m’entraîne dans le dédale des pièces de la superbe villa.
— Je vais tout te montrer ! me dit-elle en riant.
— Mais j’y compte bien ! je réplique. Tu es de plus en plus jolie, tu sais, viens vers moi que je t’embrasse !
— Attends ! Viens avec moi ! me dit-elle impatiente.
Les portes de cette immense maison ouvrent pour la plupart sur des chambres réservées aux amis de passage.
Marine ouvre l’une d’entre elles et m’entraîne dans la pièce tout en arrachant mes vêtements et en m’embrassant goulûment à pleine bouche.
Je ne suis pas encore nu qu’elle est déjà accrochée à mon cou, ses jambes enserrant ma taille.
— Je me trompe, ou tu as envie de faire l’amour ? lui dis-je entre deux baisers fougueux.
— Viens, prends-moi, viens…Me dit-elle haletante.
Elle est encore agrippée lorsque nous basculons sur le grand lit.
Je sens mon sexe palpiter au moment où elle l’extrait de mon pantalon.
Marine prend ma bite et entame une fellation endiablée, me suçant jusqu’à s’étouffer.
— Doucement, vas-y doucement, tu vas t’étrangler, lui dis-je entre deux succions.
— Viens, mets tes fesses sur ma bouche, je vais te manger toute crue !
Marine s’exécute et viens placer son joli fessier sur mes lèvres impatientes.
— Oh, que c’est bon, oui, vas-y, lèche moi bien, j’adooooore !!
Dans un soixante neuf endiablé, je suce, triture et manipule cette intimité féminine à laquelle j’ai si souvent pensé.
J’aspire les petites lèvres qui se sont encore développées. Jean a dû aussi, souvent s’en occuper…
Soudain, je sens les contractions arriver. Marine aussi gémit de plus en plus fort et ses gémissements deviennent bientôt des cris de plaisir.
Je décide donc d’achever cette chevauchée en beauté. Je soulève son joli cul et viens placer ma verge à l’entrée du vagin humide de ma chérie.
Je la pénètre sans difficulté, tant Marine mouille abondamment.
Quelques va et vient plus tard, j’éjacule dans le minou rougi de ma compagne de jeux.
— Oh, oui, viens en moi, c’est bon de te sentir couler dans ma chatte !
Jamais encore, elle n’avait prononcé des paroles aussi explicites.
— Allons nous laver maintenant, Jean et tes invités vont s’impatienter !
Tout en m’écoutant prononcer ces paroles, je remarque que Marine me regarde d’un air bizarre.
Qu’aurais-je dit qui puisse clocher ? Je le saurai certainement plus tard.
Notre arrivée dans le grand salon passe presque inaperçue tant les invités sont occupés à parler.
Un grand buffet est placé dans le hall d’entrée et chacun peut à loisir manger et boire ce qu’il souhaite.
Jean parle avec deux superbes filles tandis qu’Océane et Sylvie sont occupées avec les invités des deux sexes.
Bientôt la musique d’ambiance diffusée par la sono fait place à des mélodies plus sensuelles, propices à des danses transcendantes.
Les couples se font et se défont alors avec facilité et simplicité. J’en suis malgré moi quelque peu déboussolé. Jamais je n’ai encore assisté à une débauche si bien organisée.
Les filles se tortillent et se frottent contre les mâles et les femelles tout en perdant peu à peu leurs vêtements.
Puis les sous-vêtements viennent bientôt joncher le sol, créant une surface de dentelles odorantes.
Je ramasse au hasard une petite culotte et remarque la tache humide qui indique l’excitation provoquée par le désir de la femme qui la portait. Je la passe sous mes narines et inspire avec force les effluves qui s’en dégagent, ce qui provoque en moi, une érection instantanée.
Marine a remarqué mon manège et se dirige vers moi en se dandinant.
— Viens, je vais te présenter à une amie, tu verras elle est terrible !
Ma petite chérie m’entraîne vers une des filles qui parlait quelques instants plus tôt avec Jean.
— Ophélie, je te présente mon meilleur ami, prends-en soin comme si c’était le tien !
Ophélie est une belle fille d’une trentaine d’années. Elle a les cheveux blonds et courts, des yeux noisette et un joli minois qui ne me laisse pas insensible.
— Viens, je t’enlève, j’ai terriblement envie de baiser ! me dit-elle dans un souffle léger.
Nous parcourons les couloirs et frôlons les portes des chambres d’où nous pouvons entendre distinctement les râles de plaisir qui s’en échappent.
Ophélie ouvre une porte, et nous nous trouvons subitement en présence de deux couples occupés à une chevauchée fantastique. Les femmes, tantôt sous et au dessus des hommes, semblent participer à une course effrénée vers la jouissance.
— Venez, plus on est de fous… Nous dit un homme plutôt âgé.
— Merci, mais on verra plus tard ! répond ma compagne d’un soir.
Après d’autres portes, nous trouvons enfin une chambre disponible.
Le lit n’est pas très grand mais fera je pense largement l’affaire. A peine arrivés dans la pièce qu’Ophélie est déjà à moitié nue.
— Continue ! me dit-elle.
Je contourne la jeune femme et dégrafe son joli soutien gorge, ce qui libère ses petits seins hors de leur prison de dentelle.
Mes mains ne tardent pas à caresser la peau ferme et les tétons raidis par le désir.
— Suce-moi, mange-moi, j’adore ! me dit Ophélie en se pâmant sous la caresse de ma bouche avide.
— Je suis à tes ordres, lui dis-je en triturant ses mamelons.
— Couche-toi, je vais m’occuper de toi plus que tu ne le désires.
Ophélie, allongée sur le lit, ouvre grand ses jambes et laisse apparaître un sexe qui apparemment n’a rien de particulier. Mais en y regardant de plus près, je peux distinguer sous sa toison pubienne fournie, une vulve charnue qui doit abriter bien des merveilles.
Je m’occupe donc de ce minou qui ne demande que ça et j’entreprends une séance de léchages en règles. Ophélie écarte elle-même ses petites lèvres, ce qui a pour effet de distendre sa chatte qui prend alors l’aspect d’un papillon.
C’est alors que je crois rêver. Ophélie possède un clitoris surdimensionné qui apparaît lorsque le capuchon est décalotté. Moi qui adore lécher, je suis gâté.
Je m’emploie donc à sucer le petit organe avec application.
On pourrait presque penser à une fellation tant ce gland turgescent est énorme. Ma nouvelle compagne de jeu entre alors dans une danse du ventre effrénée, balançant son bassin de haut en bas, comme pour accentuer le mouvement que j’effectue avec ma langue.
Je me concentre tellement sur son gros clito que j’en oublie presque la vulve humide qui l’entoure.
Ophélie mouille abondamment. Sa cyprine coule sur ses cuisses et je lèche cette liqueur d’amour avec soin. Le sexe d’Ophélie est magnifique. Les petites lèvres, très charnues, sont alors mâchouillées, triturées, léchées, sucées, si bien qu’elles apparaissent comme deux bourrelets de chair roses entre les cuisses de la jeune femme.
Ophélie est au comble de l’extase quand je pénètre dans son sexe chaud et humide.
Ma verge durcie par ces visions extraordinaires va et vient dans le fourreau d’amour de ma compagne.
Je sens monter en moi la décharge qui va inonder le jeune vagin serré.
Je me retire à temps afin qu’Ophélie profite de l’explosion de jouissance. Elle prend alors mon sexe dans ses mains et le dirige vers sa bouche grande ouverte. Ma semence part en longues giclées sur sa langue qui continue à laper le sperme chaud qui sort de ma bite.
Je lui tends un mouchoir afin qu’elle s’essuie, mais elle prend un malin plaisir à avaler la liqueur encore chaude en prenant soin de ne pas en perdre une goutte.
Après ce court mais très jouissif instant en compagnie de ma douce amie, je pense déjà à la laisser continuer sa journée en compagnie d’autres personnes, mais elle ne l’entend pas de cette manière.
— On continue ?? me lance-t-elle sur un ton enjoué.
– Euh…oui, mais il va falloir que tu me montres tes talents, ma chérie. Lui dis-je, en la saisissant par la taille.
— Si tu veux continuer, rien de tel qu’un bon vieux 69 pour m’exciter à nouveau !
Je me couche sur les draps froissés et attire son joli cul en direction de mon visage que je prends soin de surélever avec un coussin.
J’ose le dire, j’adore lécher les jeunes chattes, surtout quand elles présentent tout ce que j’aime le plus chez une femme, quelques poils bien taillés et une vulve proéminente.
Ce qui est le cas chez Ophélie. Son minou blond comme sa chevelure, accentue encore le bourrelet de chair rose de sa vulve de jeune femme.
C’est alors que je sens mon gland happé par la bouche qui me chevauche. Elle s’applique à pomper mon dard comme jamais il ne l’a été, le suçant bruyamment et l’enfonçant très profondément dans sa gorge.
Très occupée par son activité, Ophélie est surprise quand ma langue aspire son clito. A ma façon, je lui fais également une fellation digne de ce nom, faisant aller et venir mes lèvres sur son organe hypertrophié.
Mes va et viens ne tardent pas à faire réagir la belle demoiselle qui mouille de plus belle et qui se tortille à nouveau, barbouillant mon visage de sa liqueur lubrifiante. D’ailleurs, moi aussi j’avale ce précieux nectar dont je raffole…
Ophélie, pompe de plus en plus et je commence à sentir la jouissance arriver.
— Attends ! lui dis-je, je ne veux pas venir dans ta bouche.
— Je ne peux pas te laisser jouir dans mon minou, je ne prends pas la pilule…
— Il n’est pas question de ton minou, si tu vois ce que je veux dire…
— Par derrière ?? Dans les fesses ?? Je ne l’ai pas encore fait et j’ai peur d’avoir mal…
— Ne t’inquiète pas, je sais faire, Marine pourrais te rassurer sur ma façon de pratiquer, elle est déjà passée par là. Couche-toi sur le dos, je vais m’occuper de toi.
Ophélie s’exécute, ouvre grand ses cuisses minces et me présente le plus beau des spectacles qui puisse être donné à un homme.
Sa chatte blonde ornée de ses jolies lèvres sexuelles et un peu plus bas, le petit trou que j’allais explorer.
— Tu ne vas pas me faire mal ?? me dit-elle avec un soupçon de crainte dans la voix.
— Je suis avec toi uniquement pour te faire du bien, ma chérie.
Comme je n’ai pas fini mes léchouilles, je continue à passer ma bouche sur son sexe qui mouille abondamment et en profite pour lubrifier mon index de sa liqueur d’amour.
Mon doigt humide vient alors titiller sa petite rondelle plissée et s’immiscer à l’entrée du sphincter qui se resserre brusquement, prenant cette manœuvre pour une intrusion.
— Il faut que tu te détendes chérie, si tu te crispes je ne pourrai pas entrer… Je vais t’encourager à faire une chose incroyable. Relâche ton anus et même si un bruit bizarre se produit, n’en ait pas honte.
Ophélie m’écoute à nouveau et relâche ses muscles fessiers, ce qui a pour effet d’émettre un pet des plus sonores. Je profite de l’occasion pour insérer mon index jusqu’à la garde.
— Oh, tu m’encules avec ton doigt !
— Mais non, je te doigte simplement le cul, lui réponds-je, d’un ton amusé.
— Tu aimes ?
— C’est une sensation bizarre, j’ai l’impression que tu me fouilles l’anus comme tu me fouilles la chatte.
— C’est exactement çà, sauf que je ne suis pas dans le même trou…
Cet argument peut à ce moment, paraître bien simpliste, mais comme il satisfait la jeune femme…
Je continue donc ma lente progression dans son petit anus et j’ajoute bientôt le majeur à ma pénétration. Ophélie est encore surprise par cette intrusion qui parait tout de même la satisfaire.
— Tu aimes ce que je te fais ?
— Ce n’est pas désagréable, continue, on va aller au bout de l’expérience.
Sitôt dit, sitôt fait, je retire mes doigts puis place un préservatif sur mon membre durcit par mes manipulations. Puis, je place mon gland à l’entrée de la petite porte. L’anus se détend progressivement, Ophélie a bien retenu la leçon. Ma verge entre doucement dans le fondement de ma chérie et j’entame les mouvements de ma pénétration.
— Oh, tu me remplis bien, j’ai l’impression que ta bite est énorme dans mon cul.
Les paroles d’Ophélie me surprennent, elle qui n’a jusque là, rien dit de vulgaire.
Et je lime ce petit cul avec tendresse et application, veillant à ne pas blesser ses parois délicates.
— Tu vas me faire jouir du cul, tu sais. Me dit-elle entre deux halètements de plaisir.
— C’est bien ce que j’ai l’intention de faire. Pensais-je…
Les va et vient dans l’anus de ma chérie ne font que renforcer mon érection et je constate qu’Ophélie s’agite de plus en plus fort sur ma bite, accentuant ce spectaculaire coït anal.
— Je viens…je viens…Tu me fais jouir, mon salaud ! Aaaaahhhhh, tu me baises bien le cul, j’adoooore, encore, encore !!
Je perfore l’anus de la jeune femme avec application et je repense à son gros clito qui doit dépasser de sa vulve. J’en profite alors pour saisir cet énorme bouton qui fait jouir les filles.
Son organe est impressionnant ! Je dirais entre deux et trois centimètres de chair qui dépassent des petites lèvres d’Ophélie ! Il est alors facile de le manipuler mais il est également hyper sensible et il est essentiel de le lubrifier avant de s’en occuper. Tout en pénétrant ma nouvelle amie, j’enduis de salive ma main gauche que je glisse par devant afin d’atteindre mon objectif.
Je ne peux pas le voir, mais je peux le toucher. Ophélie bouge sous ma caresse tout en gémissant.
— Attends ! me dit-elle. Il faut que je te montre quelque chose qui vaut le détour ! Tu vas pouvoir jouer avec mon clito autant que tu le veux.
Je sors à regret de son superbe cul, entraîné par la belle vers le couloir de la bâtisse.
— Viens ! Donne-moi ta main, tu vas être sidéré !
Le corridor parait sans fin. Nous pouvons encore entendre les gémissements des couples qui baisent dans les chambres. Nous arrivons bientôt devant une porte qui porte l’inscription, sur une plaque dorée : Docteur Zerog – Gynécologue Obstétricien.
Nous décidons de voir ce qu’il se passe derrière ce mystérieux accès et nous pénétrons dans une pièce sombre qui ressemble à une salle d’attente.
Une autre porte, sur laquelle est écrit Cabinet médical, nous invite à découvrir une autre salle, cette fois immaculée, dans laquelle on pourrait à loisir pratiquer des auscultations.
D’ailleurs, une table d’examen est installée à côté d’un bureau, mais le plus intrigant est cette
masse informe située au centre du local. Un épais tissu recouvre l’objet de notre curiosité.
Ophélie d’un geste brusque, dévoile alors un fauteuil qu’on eut dit destiné à des examens gynécologiques.
— Regarde cette merveille ! me dit la belle, toute émoustillée. On pourrait peut-être l’essayer, non ?
— Mais que fait cet attirail dans une maison particulière ? Marine et Jean s’en servent-ils ?
— Je ne sais pas, mais il a l’air neuf, et regarde tous ces instruments exposés dans les vitrines !
En effet, le nécessaire médical est aussi à disposition pour procéder à des examens poussés.
Des spéculums vaginaux, des curettes, et tout l’équipement stérile, sont rangés soigneusement dans des petits meubles sur roulettes.
Quoi d’autre ? Ah oui, une superbe caméra numérique est dirigée sur la base du fauteuil, à un endroit où les femmes dévoileront leurs charmes au médecin.
— Allez, je m’installe ! Dit Ophélie encore plus excitée.On va jouer au docteur, tu veux bien ?
— OK. Lui dis-je, en enfilant une blouse accrochée au porte-manteau. Mais on va vraiment jouer !
Tu vas sortir du cabinet, te rhabiller et te présenter à la porte principale. Je viendrai à ta rencontre, mais il faudra jouer le jeu jusqu’au bout. Profite-s-en pour me rapporter mes vêtements, s’il te plaît.
— Pas de souci, laisse-moi le temps de retourner à la chambre…
Ophélie sort donc de la pièce, le temps pour moi d’inventorier le matériel mis à ma disposition.
J’entends bientôt trois coups frappés à la porte. Je me dirige vers elle et trouve Ophélie qui me tend mes vêtements.
— Bonjour Madame.
— Bonjour Docteur, je viens pour ma visite annuelle.
— Veuillez patienter quelques instants s’il vous plaît… Installez-vous, je reviens de suite.
Je me rhabille donc décemment et repars en direction de la salle d’attente…
RÉCIT D’OPHÉLIE :
J’observe l’homme qui vient m’ouvrir la porte du cabinet.
Mon gynécologue est encore bel homme, la cinquantaine, quelques cheveux grisonnants, mais il doit encore être capable de bien des prouesses. Sexuelles, j’entends bien !
Il me fait entrer dans le cabinet et m’invite à m’asseoir devant son bureau.
Après m’avoir longuement questionné sur mon état de santé, sur les soucis sexuels et particulièrement gynécologiques qui auraient pu se manifester durant cette année, il m’invite à passer derrière un paravent et à défaire le haut de mes vêtements.
J’enlève donc mon petit haut puis dégrafe mon soutien-gorge que je pose sur une chaise.
Le docteur est toujours assis à son bureau. Il se lève quand il me voit puis m’invite à m’asseoir sur la table d’auscultation.
— Je vais procéder à une palpation mammaire, afin de déceler d’éventuels ganglions…
Ses mains chaudes entrent en contact avec mes seins et je sens le médecin exercer de légères pressions sur ma poitrine. Il inspecte également mes mamelons et je lis dans ses yeux qu’il désire approfondir son auscultation… Peut-être serait-il partant pour les lécher ??
— Rien d’anormal de ce côté, me dit-il. Tout va bien, mais il faudra bientôt penser à procéder régulièrement à des mammographies. Ce serait dommage qu’une jolie fille comme vous tombe malade à cause d’un oubli…
Qu’a-t-il dit ? Que je suis jolie ? A quoi pense t-il à ce moment précis ? Et qu’envisage t-il de faire une fois que je serai nue et écartelée devant lui ?
Cette perspective commence à me faire mouiller et je sens ma petite chatte devenir très humide. Pourvu qu’il ne s’en aperçoive pas…
— Très bien, pouvez-vous à présent vous dévêtir complètement afin que nous passions à la suite de l’examen ?
A sa demande, je m’exécute, j’enlève ma robe légère, puis ma petite culotte, qui vont rejoindre le reste de mes vêtements.
Je remarque à cet instant une auréole au fond de mon sous-vêtement…Cette situation m’excite particulièrement.
— Veuillez prendre place, me dit le médecin en m’indiquant le fauteuil.
Je m’assieds donc sur le siège et installe mes pieds dans les étriers
A ce moment, j’entends un doux ronronnement provenir depuis le fond de la pièce…
On dirait le bruit émis par une caméra…Bizarre !
Le doc s’installe sur un tabouret roulant puis glisse jusqu’à moi avec une mine grave.
— Levez vos fesses, merci, et asseyez-vous au ras du fauteuil.
Je m’exécute à nouveau et je sens à cet instant précis, mes chairs se séparer….
— Je remarque que vos sécrétions sont abondantes, est-ce normal ?
— Oui docteur, cela doit être la situation particulière qui veut çà…
Ma chatte commence à me chauffer, mon clito ne va pas tarder à entrer en érection et le toubib va s’en apercevoir, c’est certain…
Je l’observe du coin de l’œil et je remarque qu’il regarde attentivement derrière moi.
— Qu’y a-t-il docteur ? Quelque chose qui ne va pas ?
— Non, non, c’est seulement que je filme tous les sexes de mes patientes. Mais rassurez-vous, uniquement leur sexe, vous n’apparaîtrez pas à l’image.
— Mais je ne vous ai pas donné l’autorisation ! Ce ne sont pas des manières !
— Je collectionne et répertorie toutes les vulves. C’est mon passe-temps. Si cela peut vous conforter, vous ne paierez pas la consultation…
J’accepte donc ce marché qui me semble correct, même si la sécu me rembourse la totalité de mes frais médicaux, c’est si excitant…
— Pour vous rassurer, je vous montrerai tout ce que j’aurai filmé…
Va donc pour ce film où ma chatte pourra être détaillée à loisir.
Le gynéco s’approche donc un peu plus et commence l’auscultation. Mon pubis est examiné, palpé, puis le médecin descend progressivement jusqu’à atteindre le haut de ma vulve.
Il s’attarde sur mon bouton qu’il prend soin de décalotter. Mon clito sort alors de son étui protecteur…
— Vous avez là un clitoris très impressionnant ! me dit le médecin étonné. Comment est-ce possible chez une si jeune femme ?
Bizarre sa question ! Il est gynéco oui ou non ? Il devrait savoir comment les organes génitaux d’une femme peuvent réagir à de longues séances de masturbation, non ?
— J’avoue que je me caresse souvent docteur. Je ne vous fais pas de dessin, je suis seule en ce moment…
— OK, veuillez m’excuser, je n’aurais pas du vous poser cette question, je suis parfois trop indiscret.
Le toubib s’intéresse maintenant à l’aspect général de ma chatte qui mouille de plus belle.
Je vois bien qu’il ne s’en inquiète pas et qu’il profite de la vue exceptionnelle que je lui offre.
Mon sexe est entièrement à sa portée et je le soupçonne de bander comme jamais.
Lui aussi a dû tacher son pantalon…
Il inspecte ma vulve, palpe les grandes lèvres, puis écarte mes nymphes qui se séparent sans difficulté, dévoilant le vestibule vulvaire.
— Votre urètre est dilaté, voulez-vous uriner avant que je ne poursuive l’auscultation ?
C’est vrai que depuis mon entrée dans le cabinet, j’ai une super envie de faire pipi…
Le gynéco m’apporte un haricot afin que je puisse satisfaire mon besoin urgent.
— Soulagez-vous, vous vous sentirez mieux après…
Il installe la cuvette sous mes fesses et je commence à uriner en prenant soin d’écarter de deux doigts mes petites lèvres. Ma pisse émet un léger chuintement lorsqu’elle passe entre mes replis charnus et je remarque que le médecin assiste très attentif à cette opération qui parait l’émoustiller…
— Je peux vous faire une confidence ? me chuchote t-il. Vous avez un sexe magnifique.
C’est très rare chez une jeune femme de présenter une vulve aussi agréable à contempler. De plus, vous êtes blonde et très bien faite, une poitrine parfaite et une jolie paire de fesses qui ne demandent qu’à être pétries. Je sais que je ne devrais pas vous parler ainsi, mais vous êtes un vrai canon de beauté.
De la part d’un médecin, ces compliments devraient me choquer, mais j’y ai été très sensible.
Un peu comme mon clito qui bat en ce moment au sommet de ma chatte, quoi !
Le gynéco continue son exploration en introduisant son index ganté dans mon vagin humide, puis inspecte de son doigt la moindre partie de l’organe. Bizarrement, il s’attarde sur la partie antérieure et insiste sur la légère bosse que présente mon sexe à cet endroit. Il frotte plusieurs fois son index ce point précis, ce qui a pour effet de me procurer des sensations incroyables.
— Je suis sur votre point G, me dit-il, heureux de constater sa découverte.
C’est d’ailleurs aussi pour moi une découverte. J’avais déjà remarqué en me caressant que cet endroit était plus sensible et qu’il me procurait une grande jouissance, mais là, maintenant, je sais ce qui provoquait en moi l’écoulement de liquide que je n’arrivais pas à expliquer…
Le gynéco insiste et son va et vient devient plus précis et plus rapide.
— Vous allez me faire jouir docteur ! lui dis-je entre deux halètements.
— Oh oui …c’est bon… plus vite…encore….oui…je viens !
Puis… Splash ! Soudain ma jouissance se transforme en une énorme éclaboussure qui vient arroser le médecin ! Il ne s’en étonne d’ailleurs pas et lèche avec application les gouttes de liquide qui perlent sur ses vêtements…
Il y a encore quelques secondes, je ne savais pas que j’étais ce qu’on appelle une femme fontaine, même si quelques suintements se sont déjà échappés de mon sexe…
— C’est magnifique, vous verrez quand je vous ferai visionner la vidéo…
C’est vrai que le flot était très impressionnant. Une vraie éjaculation !
Après cet intermède récréatif le médecin s’applique à continuer sa palpation et se présente avec un spéculum métallique qu’il prend soin de passer sous l’eau tiède.
Il l’enduit de lubrifiant, bien que ce ne soit pas nécessaire car je suis déjà mouillée, puis présente l’outil à l’entrée de mon vagin. D’abord verticalement, puis en le tournant d’un quart de tour. A l’aide d’une molette, il ouvre le bec de canard qui permet l’ouverture de la cavité vaginale, puis observe à l’aide de sa lampe frontale…
— Aucune anomalie au niveau du vagin. Tout est normal. Les glandes qui assurent la lubrification sont par contre très actives, c’est impressionnant.
S’il savait le toubib comme je suis excitée par ses attouchements…Il ne s’étonnerait sans doute pas que je mouille comme une folle…Une folle du cul, quoi !
Il retire donc délicatement le spéculum puis inspecte le périnée.
— Votre périnée est légèrement irrité. Avez-vous eu un rapport récemment ?
— Oui docteur, juste avant de venir vous consulter.
— Ce rapport était-il normal ? Je veux dire par là, vaginal ?
— Mmmmoui ! Enfin, pas tout à fait ! Les deux, à vrai dire.
— Les deux ? C’est-à-dire des deux côtés ?
— Oui docteur, c’était la première fois…J’ai voulu essayer.
Après cette réponse le gynéco s’applique à ausculter mon petit trou.
— C’est vrai que l’anus parait encore dilaté, dit-il en engageant son index lubrifié dans mon trou du cul.
— C’est douloureux ou supportable ?
— A vrai dire, plutôt agréable !
— Très bien, votre auscultation est terminée, voulez-vous en visionner les images ?
D’un mouvement de tête, j’acquiesce, déjà excitée à l’idée de voir les manipulations exercées sur ma chatte.
L’écran qui se trouvait derrière moi, pivote et vient se placer automatiquement à ma droite.
Les images commencent à défiler et je peux nettement distinguer mes parties génitales et les diverses palpations que le médecin a pratiqué dans ma chatte humide.
Très occupée par ce visionnage et toujours installée dans le fauteuil, je sens une légère pression exercée sur ma vulve. Quelle n’est pas ma surprise de sentir le sexe bandé du toubib me pénétrer doucement. Son membre dressé dépasse fièrement de sa blouse blanche…
— Je peux continuer ? me demande-t-il poliment en enfonçant son dard dans ma chatte surexcitée.
— Vas-y, fais toi plaisir mais surtout, fais que ce soit réciproque !
— Je vais te faire monter au ciel ma petite !
Il me lime, comme jamais aucun homme ne l’a fait, s’appliquant à appuyer sa queue à l’endroit hypersensible de mon vagin. Mon point G !
— Oh oui… vas-y… baise-moi bien… je coule… je coule… je vais venir !!
Ces paroles sont interrompues par une autre action de mon partenaire. Il profite de ma position ouverte pour placer son engin en contact avec mon petit trou !
Il pousse d’un coup et me voilà empalée comme une chienne sur sa bite raidie.
Les mouvements se font lents, puis il accélère progressivement jusqu’à me faire crier !
Le frottement dans mes intestins s’amplifie et se transforme en jouissance.
— Oui…encule-moi bien…Tu sais y faire mon salaud !…Je vais venir…Oh oui, encore !
Je sens à présent que le toubib se déverse dans mon cul en râlant de plaisir.
— Oh que c’est bon ! Tu as vraiment un pétard à enculer ! me dit-il satisfait de sa sodomie.
Il reste pendant un instant engagé dans mon orifice puis se retire, provoquant un déversement de sperme qu’il prend soin de faire couler dans un autre haricot.
— Tu as aimé ? me dit-il avec un grand sourire. Tu veux voir ton anus ?
Les images s’affichent alors en gros plan sur l’écran vidéo et montrent mon trou du cul complètement dilaté par la pénétration que je viens de subir…
Le gynéco s’essuie la queue puis se tourne dans ma direction.
— Tu en veux encore ou tu es rassasiée ?
— Si tu peux encore assurer, on peut continuer…
Il s’assied à nouveau sur son tabouret, prend un gant de toilette humide et vient laver mon orifice anal. Il en profite pour nettoyer également ma chatte qui continue à crier famine…
— J’aime laver mes patientes après l’examen… et les voir repartir chez elles satisfaites de ma prestation.
Après ces ablutions, il s’approche de mon sexe, prend soin de remonter le fauteuil à hauteur de sa bouche puis entreprend un cunnilingus dans les règles de l’art.
Contrairement à la plupart des hommes qui s’attaquent directement au clito (surtout que le mien est vraiment attirant…) il lèche consciencieusement l’intérieur de mes cuisses, puis s’attarde sur mes grandes lèvres, puis enfin sur mes nymphes, et enfin sur mon vagin, qu’il darde de sa langue pointue, puis qu’il pénètre de deux doigts, cette fois sans les gants d’examens.
Je deviens folle quand il se concentre enfin sur mon clito décalotté qui se dresse comme un mini pénis hors de ma vulve.
— Tu es vraiment trop bonne ! Je vais te branler la chatte et tu vas jouir, je te le garantis !
Toujours assis entre mes cuisses ouvertes, le médecin aspire mon bouton et le suce, comme on branlerait une bite. Il me fait une pipe ! Les sensations sont incroyables. Des ondes de plaisir m’inondent subitement et je sens mes yeux se révulser alors qu’il augmente la succion sur mon clitoris. Sa langue titille aussi ma vulve et sa bouche aspire mes petites lèvres.
Je deviens folle au contact de cet homme qui me dévore et j’explose sur le visage du gynéco, le barbouillant de cyprine tiède.
— J’adore ta chatte ! Tu es vraiment une patiente exceptionnelle ! Me dit-il comblé.
Je suis également très heureuse de t’avoir rencontré Francis !
Pour moi, maintenant tu seras toujours le Docteur Zerog, mon gynécologue préféré.
— Allons prendre une douche, maintenant. Après autant d’efforts, nous en avons bien besoin !
Jouxtant le cabinet médical, une immense salle de douche permet à une dizaine de personnes de se laver simultanément !!
RÉCIT DE ZEROG :
Ophélie est vraiment extraordinaire, Marine me l’avait bien dit.
Par contre, ce qu’elle m’avait caché, ce sont toutes ces installations médicales qui permettent des jeux sexuels débridés. Je la questionnerai, et je pense ne pas être étonné de découvrir d’autres salles dans cette grande bâtisse que je crois maintenant, être dédiée aux plaisirs charnels.
Une chaude et très réaliste description qui m’a fait bander, me masturber et éclater abondamment dans un mouchoir. Je le relirais un peu plus tard pour m’en imprégner et en faire profiter mon épouse pendant que je l’enculerais.