Rendez vous au vieux sanatorium

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Yann Combe


BDSMhumiliationsoumission et domination


Zach arpentait les escaliers de l’ancien sanatorium. Les marches en bois érodé par les années trahissait sa présence. Des visages inconnus se tournèrent vers lui sous la lueur des faibles éclairages de fortune, lorsqu’il atteignit le dernier étage. Il prit sur lui de dissimuler la crainte que lui inspirait l’aspect de ces hommes. Ils apparaissaient un à un, dissimulés par la lumière crépitante des spots de mauvaise qualité. La plupart étaient cagoulés, parfois affublés de cuir noir et de harnais cloutés. Certains lui affichaient un sourire presque malsain, mais leur hochement de tête lui firent comprendre qu’il était l’un des leurs après tout… Zach fit en sorte d’adopter la même posture. Sa grande taille et ses longs bras tatoués lui conférait une stature identique à celle de ces prédateurs d’un soir…

 

On entendait, le long du corridor, des gémissements de femmes, des claquements de fouets et des rugissements de plaisir qui se mêlaient à une musique distordante et saturée. Ce mélange de musiques industrielles aux sons lourds renforçait l’ambiance quelque peu inquiétante des lieux. Les murs décrépits et verdâtres ainsi que l’odeur de renfermé rappelaient à Zach ses premières expériences en urbex : une atmosphère inquiétante et fascinante à la fois se dégageait de cet endroit abandonné. Il parcourait le couloir aux murs défraichis tout en sachant pertinemment ce qui se tramait dans les différentes pièces de l’étage. Il aperçu au travers d’une porte entrouverte deux molosses encagoulés qui prenaient sauvagement une jeune créature habillée comme une pute de bordel. A vrai dire on n’arrivait pas à deviner si cette soumise outrageusement maquillée et perchée sur des talons de 14 cm était une fille ou un travesti venu se faire défoncer l’anus.

 

Zach jeta un œil sur son portable et relut le message que son pote Clyde avait envoyé en début de soirée.

 

“Dans le vieux sanatorium, au dernier étage, au bout du couloir. Tu verras une entrée sans porte, fermée avec un rideau d’hôpital. Je nous ai dégoté une petite rouquine. Tu ne seras pas déçu…” 

 

Effectivement, Zach arriva face à l’entrée en question. Il poussa le rideau de fortune pour pénétrer dans une pièce tout aussi glauque que le reste du bâtiment. Clyde l’attendait sur un vieux sofa miteux et ne daigna même pas se retourner pour accueillir son invité.

 

“On a failli t’attendre vieux frère !”

 

Zach répondit à peine d’un geste de la main. Il fit quelques pas pour retrouver son vieux collègue et son regard se posa sur une sublime jeune femme aux cheveux roux. Cette merveilleuse créature avait un visage de poupée était maquillée comme une pin-up des années 50. Ses yeux verts, ses taches de rousseur et son petit nez délicat…  Puis sa peau nacrée, sa frange bien taillée et sa taille menue… rien en elle ne s’accordait avec le décorum sordide de la pièce.

 

“Tu as vu ? Cette garce s’est apprêtée comme une demoiselle d’honneur ! 

 

S’amusa Clyde en la désignant d’un ton moqueur, une canette de bière à la main. La jeune femme portait un chignon laissant retomber deux mèches bouclées sur les tempes et des épingles raffinées maintenaient sa magnifique chevelure cuivrée. Elle se tenait sous la lumière des spots, vulnérable, timide, peinant à relever le regard. Elle se tenait les mains en avant, comme une écolière, impressionnée par ses hôtes qui la toisaient de leur grande taille. Clyde avait un sourire goguenard et plaisantait avec ses sbires. Il n’était effectivement pas seul puisque deux autres types étaient venus admirer la “prise du jour”.

 

Le maître de cérémonie se leva pour contempler la belle de plus près. Il lui souleva le menton de l’index pour admirer son beau visage puis la contourna pour se placer derrière elle comme un prédateur.

 

“Cette petite pute m’a demandé de… “l’éduquer”. J’ai compris qu’on avait affaire à une novice en la matière. C’est pour cela que j’ai pensé à toi.”

“A moi ?”

“Tu ne voudrais tout de même pas que je livre cette petite chose fragile aux gorilles que tu as croisés dans le couloir, non ? ils n’en feraient qu’une bouchée !”

“C’est pas faux…”

“Qu’est ce qu’il y a ? Elle ne te plait pas ?” 

“B…bien sur que si !”

 

Zach se surprit à bredouiller. A vrai dire, il ne pouvait décrocher le regard de cette fille magnifique qui semblait peu rassurée de se tenir ainsi à la merci de ces quatre lascars aux allures de taulards et bardés de tatouages.

“Piotr, toi et moi allons lui inculquer les règles qu’une bonne soumise doit connaître dans ce genre d’endroit ! Dan se fera un plaisir de filmer tout ça…”

“J’en ai l’eau à la bouche”

 

Répondit Zach à voix basse.

 

La belle rouquine leva les yeux vers lui. Elle se dandinait et peinait à garder sa stabilité du fait de la hauteur de ses talons aiguilles. Clyde l’avait affublée d’une tenue outrageusement attirante en vinyle noir : un body, de longs gants allant jusqu’en haut du coude et une paire de cuissardes. Un collier à clous noir venait ensserer son cou délicat, pour mieux lui rappeler son statut de chienne soumise. Une laisse avait d’ailleurs été fixée à l’anneau de son collier de soumission.

 

“Viens par ici ma belle …et tâche de ne pas trébucher ! ”

Dit-il d’un ton moqueur…

 

Clyde la guida vers l’autre côté de la pièce où avaient été installées toutes sortes de choses : un cheval d’arçon, une croix de st André, un vieux sommier et diverses chaînes, poulies et crochets… Des bougies disposées ça et là sur des bougeoirs de fortune (des bouteilles de bière vides entre autres) éclairaient les accessoires de dressage qui avaient été mis en place. Des fouets et des cravaches se mêlaient aux menottes et aux laisses. Des harnais cloutés et des sangles étaient accrochés négligemment sur des vieux porte-manteaux.

 

La belle suivit son hôte et Zach ne se fit pas prier pour lui emboîter le pas. Il se régalait à la vue de sa croupe élancée et de sa démarche féline. Le cliquetis des hauts talons et le bruissement caractéristique du vinyle noir se confondaient avec le son lointain des claquements de fouets et des râles des autres pièces du bâtiment. La jeune femme ne semblait pas vraiment effrayée bien qu’elle fût à la merci de quatre inconnus dans cet endroit sordide. Elle évoluait d’un pas gracieux vers le cheval d’arçon et sa démarche élancée rappelait davantage celle d’une gazelle docile escortée par des prédateurs. Ses hauts talons lui conféraient un port altier mais ils lui imposaient aussi une certaine fragilité. Elle était seule et sans défense sous le regard lubrique de quatre molosses qui salivaient devant ce met de choix !

 

Clyde fixa la laisse à un anneau fixé sur une sorte d’établi en métal rouillé où étaient disposés divers éléments de torture : pinces, bougies, cravaches… Cela octroya à la belle un statut à peine plus élevé que celui d’un animal de compagnie. Piotr décrocha du mur deux brins de corde en chanvre brut. Il ligota fermement les poignets gantés de la jeune femme et les lui placa au niveau de la croupe. Il saisit ensuite le second brin et ficela ses bras en prenant soin de rapprocher ses coudes vers l’intérieur du dos. Il s’appliqua à refermer soigneusement les noeuds, puis fixa un anneau sur le lien des poignets. Il fixa un mousqueton et relia l’entrave à une chaîne suspendue au plafond. Il tira sur l’autre extrémité de la chaîne, la faisant glisser sur une poulie arrimée solidement en hauteur. Les bras de la jolie rousse furent hissés au dessus de ses fesses lui imposant ainsi une posture des plus vulnérables. Elle piétinait et tentait vainement de se maintenir en équilibre dans cette position. Pour ne rien arranger, Piotr lui écarta brutalement les jambes en grommelant quelques injures en polonais.

 

“Odłóż to na bok ! Écarte tes cuisses espess’ de p’tite bouffeuse de bites… Dziwka !”

 

Il lui fixa une barre d’écartement menottée aux chevilles de la soumise qui eut encore plus de mal à maintenir sa stabilité.

 

Clyde vint la narguer de plus près. Il saisit son menton, lui ouvrit la bouche et lui écarta délicatement les mâchoires. Il y plaça un bâillon en caoutchouc noir en forme d’os de chien et boucla la sangle en prenant soin de ne pas défaire son chignon. Il était étonnant de voir Clyde agir avec autant de prévoyance… Il la manipulait comme un objet précieux, sans pour autant prêter attention à son confort. Il caressait les courbes de sa proie avec un plaisir presque malsain. Cette dernière se contorsionnait et gémissait, alors que son hôte lui pelotait les seins engoncés dans le vinyle noir, faisant crisser la matière de manière lascive. Il la contourna ensuite et se plaça derrière elle pour mieux lui “flatter” la croupe. Une lueur obscène illumina son regard lorsqu’il ouvrit la fermeture-éclair qui dissimulait les orifices de la jeune femme. Le bruit de l’ouverture se mêlait au crissement des cuissardes que provoquait la belle en reprenant ses appuis.

 

Zach se délectait à la vue de cette jolie rouquine qui se tortillait, ligotée et enchainée à la merci de ses bourreaux. De la bave coulait de son bâillon et la pauvre peinait à déglutir. Clyde fouilla dans le fatra d’outils de persécution qui trainaient sur une étagère. Il en sortit une paire de pinces à tétons avec de légers poids, et les disposa sur l’établi. Il caressa à nouveau la poitrine de la belle en humant le parfum de ses cheveux ambrés. Il ouvrit le haut de la fermeture-éclair de sa tenue en vinyle noir et dégagea ses seins ravissants. Il pinça les mamelons entre ses doigts avec un malin plaisir puis récupéra les pinces pour les installer. Les seins de sa captive pointaient alors vers le bas et elle gémit …de douleur ou de plaisir (peut-être les deux). Il saisit ensuite une cravache à larges bords et alla se positionner derrière elle.

Au premier coup, la belle se contorsionna comme elle le put et poussa un gémissement.

Clyde prit un plaisir sadique à fouetter la belle rouquine qui se crispait et convulsait au rythme des coups de cravache. Le cliquetis des chaînes et le crissement de ses cuissardes faisaient écho à ses cris adorables. Au bout de quelques minutes, son  maître et hôte fit une pause et alla à nouveau flatter sa croupe puis remonta son menton du bout de la cravache.

 

“Une belle petite pute… qui apprend vite à rester à sa place ! Hein ma chérie ?”

“Hmmmmm…..”

 

La belle profita de ce répit pour tenter de déglutir et ravaler sa salive qui avait formé une flaque au sol… Ses mèches cuivrées étaient légèrement trempées de sueur. Elle osa lever un regard discret vers Zach, comme pour lui demander de l’aide. Mais ce dernier s’assit sur le sofa pour mieux savourer la scène et attrapa une bière dans la glacière. Clyde lui sourit et lui fit un clin d’oeil complice. Puis il appela Piotr et lui fit signe d’aller chercher quelque chose dans une de ses mallettes. Le polack à la barbe broussailleuse en sorti un plug d’un noir luisant et un flacon de vaseline. Il écarta les deux bords de la fermeture éclair pour mieux dégager l’anus de la jeune femme. Il tartina généreusement son orifice puis enfonça progressivement le plug anal en prenant un plaisir malsain à entendre la belle renacler comme une jument. Une fois que le plug fut  totalement englouti, Piotr fit quelques va-et-vient en lui susurrant quelques insultes dans sa langue. Il ouvrit ensuite sa braguette et sorti de son pantalon en cuir une énorme verge qu’il se mit à astiquer avec le reste de vaseline qui lui restait sur les mains. Il saisit ensuit la laisse sur l’établi et enroula la chaîne autour de sa main calleuse. Il força la belle à se cambrer d’avantage comme une pouliche indisciplinée. Celle-ci protesta comme elle le put, hurla de peur et tenta maladroitement de ne pas se laisser malmener. Piotr la ramena sans difficulté vers lui puis il attrapa la croupe de la captive. Il enfourcha la jeune femme et introduit progressivemet son gland rougi par l’excitation dans son vagin tout en maintenant l’énorme plug anal. Il grommela de plaisir et surrenchérit avec une ou deux insultes dans son jargon d’ouvrier polonais. Il fit quelques va-et-vient tout en maintenant la “bride” de sa main gauche. La jeune femme gémissait, un filet de bave coulait de sa bouche couleur vermeille. Elle était à la merci de ce gorille, sous le regards de pervers tout aussi vicieux que lui.

 

Clyde s’approcha de sa captive alors que Piotr continuait à la ramoner. Il défit la boucle du bâillon qui entravait sa bouche délicate. Elle murmura une sorte de contentement larmoyant et déglutit enfin, un flot de bave coulant de ses lèvres. Il saisit le chignon de la belle et le défit sauvagement pour empoigner sa magnifique chevelure d’ambre. Il défit la fermeture de sa braguette pour sortir sa verge déjà dure d’excitation. Il releva brusquement la tête de la pauvre fille pour mieux la dévisager.

 

“C’est bien… A présent tu va me sucer la queue”

“Bien Maître.”

 

Et la jeune femme de s’exécutuer avec déférence. Elle goba la queue de son tortionnaire, la suça, la pompa avidement. Elle devait s’adapter aux “coups de pilon” de Piotr qui la chevauchait en l’empoignant brutalement. On entendait ses gémissements se mêler aux bruits de succion et aux moqueries des deux pervers qui la malmenaient.

Le polonais extirpa sa bite violacée du sexe de la jeune femme et alla se servir une bière. Il sirota sa canette en ne perdant rien du spectacle. Il saisit une cravache fine en cuir noir luisant. Il se mit à fouetter la pauvre captive qui hurla de surprise, lâchant ainsi la verge de Clyde de sa bouche. Ce dernier s’empressa de ramener la tête de sa soumise en la tirant par les cheveux. Il la réprimanda sévèrement avant de lui enfourner son énorme bite.

 

Après quelques minutes interminables de sévices, la jeune rouquine fut autorisée à prendre un peu de répit. Piotr défit la chaîne qui retenait ses bras endoloris en hauteur, puis lui ôta les menottes qui entravaient ses jambes. La jeune femme alletait comme un petit animal se remettant peu à peu de ses émotions… Ses magnifiques cheveux roux tombaient en cascade, masquant une partie de son visage. Les coulures de rimmel sur ses joues trahissaient les quelques larmes que la belle avait versées. Elle se tenait debout au milieu de ses bourreaux. Ces derniers la toisaient comme des adultes regardant une gamine ayant commis quelques bêtises. Il faut dire que, malgré la hauteur de ses talons aiguilles, elle parvenait à peine aux épaules des quatres types de la pièce.

Clyde défit ses liens rustiques pour lui installer un monogant en cuir noir. Celui-ci compressait ses bras frêles derrière le dos à chaque fois qu’il en resserrait les sangles. Il lui ordonna de se placer en direction du canapé où était assis Zach en prenant soin de réarranger ses cheveux cuivrés. La peau de ses épaules dénudées apparaissaient au travers de quelques mèches éparses.

 

“Maintenant tu vas honorer notre invité. Tu vas marcher vers lui, t’agenouiller et tu vas lui sucer la queue comme tu ne l’as jamais fait”

 

“Oui Maître !”

 

La belle s’exécuta et marcha lentement en s’efforçant de maintenir son équilibre, la laisse toujours maintenue à son collier. Elle s’approcha et fit en sorte de maintenir sa grâce féline du mieux qu’elle le put. La posture que lui imposait le harnais ne lui facilitait pas la tâche… Zach savoura chaque instant de la scène. Il se délectait à la vue de cette créature fragile dont le harnachement noir et luisant contrastait avec sa peau nacrée. Le bruit caractéristique des cuissardes en vinyle et le cliquetis de la chaîne suspendue au collier de la belle vinrent briser le silence qui régnait dans la pièce. La ravissante soumise manqua de perdre l’équilibre lorsqu’elle ploya le genou face à son nouveau Maître. Elle parvint, non sans mal, à se mettre à genou puis osa lever les yeux un bref instant. Ses yeux verts se portèrent sur l’entre-jambes de Zach. Elle s’inclina timidement vers lui et ouvrit sa bouche vermeille, invitant l’hôte de la soirée à y engouffrer son énorme verge.

 

Zach saisit la fine chaîne qui lui servait de laisse et l’enroula autour de la main droite. Il saisit la base de sa queue pour mieux l’enfoncer entre les lèvres de la soumise qui engloutit goulument le gland turgescent. La belle peinait à se maintenir en équilibre en raison de la posture contraignante qui lui était infligée. Elle dû mettre cet inconfort de côté et se dévouer au plaisir que prodiguait sa langue et sa bouche pulpeuse. Son seul et unique devoir était de prodiguer à “Maître Zach” une longue fellation et d’avaler le foutre de ce dernier…

Elle suçait, léchait et pompait le sexe de Zach et gémissait à chaque va et vient. La jolie rouquine ondulait et offrait un spectacle délicieux à l’assemblée qui la dévisageait avec un regard presque malsain. Les bruits de succion et les râles de plaisir se mêlaient aux grincements du vinyle noir qui engonçait sa silhouette délicate.

 

Zach extirpa sa verge, laissant couler un long filet de bave de la bouche de sa soumise. Cette dernière put reprendre son souffle et profiter de ce bref répit pour soulager ses mâchoires endolories.

Il se tint debout, l’entre-jambes placée au-dessus de la bouche de son esclave… et lui enfonça sa verge de plus belle. La pauvre se retrouva cambrée en arrière, les bras comprimés par le harnais,ses sublimes cheveux cuivrés tombant en cascade sur ses épaules. Elle engloutit la bite violacée par l’excitation et la suça en se contorsionnant. Zach la saisit par les cheveux et fit des va-et-vient incessant en haletant comme un taureau. Son visage écarlate trahissait une extrême excitation et il ne peut retenir plus longtemps sa semence brûlante… Il emplit de son foutre la bouche délicate de la belle, qui continuait à dévorer et à lécher le gland puis la plante de la verge avec sa langue habile.

 

Zach s’écroula en arrière et s’affala sur le sofa avec un râle de contentement. Piotr et Clyde ricanaient à la vue de leur esclave, souillée et avilie de la sorte.

 

“Assez rigolé… on va “en finir” avec cette jolie petite garce !”

Dit Clyde d’un ton narquois, bien décidé à abréger la séance.

 

A peine avait-elle pu se ressaisir et prendre le temps de ravaler sa salive que les deux acolytes se rapprochèrent de la belle, la queue à la main. Ils la conduisirent sur le vieux matelas taché et troué qui gisait négligemment sur le sol. Ils la posèrent sur le ventre, sans plus d’attention que pour un morceau de viande puis ôtèrent le plug anal de son orifice. Clyde lui écarta les jambes, empoigna ses bras engoncés dans le monogant et enfonça sa verge dans l’anus élargi et lubrifié. Il chevaucha la belle qui n’avait plus la force de résister… Les deux autres molosse, Piotr, et celui qui tenaient la caméra se masturbaient devant le spectacle… Il besogna la pauvre soumise pendant un temps qui parut une éternité à cette dernière. Elle se retrouva face aux trois molosses prêts à ne faire qu’une bouchée de leur “proie”. Comme des prédateurs prêts à porter le coup fatal, ils s’approchèrent d’elle d’un pas lourd. Ils lui enfoncèrent un à un leurs queues et la forcèrent à les sucer jusqu’à ce que la jeune rouquine engloutisse la moindre goutte de leur semence.

 

Éclairée par la faible lueur des bougies, la belle se tenait là, affalée sur ce matelas moisi, les bras toujours immobilisés dans le dos. Elle regardait le sol et reprenait son souffle en continuant à déglutir …et à digérer la quantité de sperme que ses tortionnaires avaient déversé dans sa bouche. Elle n’avait rien perdu de sa superbe, malgré les sévices et les humiliations qu’elle subit de ses quatre hôtes d’un soir.

 

Ce ne fut certes pas la dernière fois que Zach participa à ce genre de soirée. Toutefois, il se souvint toujours de cette jeune femme qui incarna ce que tout “dominant” rêve de posséder ne serait-ce qu’un soir.

 

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