retraite pour une femme pompier

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alex condamines


au travailfellationMILF


Il ne la reconnut pas immédiatement, quand elle se glissa dans le bureau. Il faillit même lui dire ‘Madame, vous n’avez rien à faire ici, cet endroit est réservé à des professionnels.’ Il allait ouvrir la bouche, parler, mais il la referma, et se mordit les lèvres, Quel crétin. Cela faisait une semaine qu’elle était partie et il ne reconnaissait pas Jacqueline qui faisait partie de la force d’intervention des sapeurs pompiers de G…depuis l’âge de 13 ans. Elle avait été volontaire, puis professionnelle. Elle était ici depuis longtemps, même si elle avait fait des périodes de stage plus ou moins longues à l’extérieur. Plus longtemps que lui qui, à l’âge de 45 ans, dirigeait cette brigade depuis 10 ans, après avoir passé plusieurs concours, et sans forcément envisager de prendre un poste de direction.
Il était dans un métier où plus rien ne vous surprenait. Quand on est sapeur-pompier, il faut savoir, lorsqu’on part sur un lieu d’intervention qu’on peut, et qu’on va souvent tomber sur le pire.
Mais là, il devait bien l’admettre, il était vraiment surpris.
Cela faisait vingt ans qu’il connaissait Jacqueline, et il ne lavait jamais envisagée sous cet aspect…
Sa queue non plus, qui dans son pantalon d’uniforme, prenait doucement vie, se gorgeant de sang.
Elle était vraiment…Magnifique…Séduisante…Et très attirante…
Qu’on ne lui dise pas qu’une femme de cinquante-huit ans ne pouvait pas attirer un homme.
C’était vrai autrefois. Plus aujourd’hui. Les temps avaient changé. Une espérance de vie plus longue, une meilleure nutrition, les femmes prenaient plus soin d’elle, et surtout elles avaient changé leur fusil d’épaule. Elles considéraient qu’à 50 ans, elles avaient encore un réel pouvoir de séduction, magnifié en fait par leur expérience.
Comme d’autres, le capitaine Uribellarea regardait souvent du porno, et il savait bien que sa catégorie préférée, c’était la catégorie MILF. Des femmes d’un certain âge, mais vraiment resplendissantes, d’un éclat que les plus jeunes n’avaient pas, et qui étaient pourvues d’une expérience sexuelle sans pareil.
Et une MILF, il en avait une devant lui.
Il n’avait pas imaginé la voir un jour comme cela.
En fait, il n’avait jamais envisagé qu’elle puisse avoir un potentiel de séduction.
Mais comment en aurait-il été autrement?
Elle arrivait le matin dans cet uniforme commun à tous les pompiers. Rares étaient ceux qui se changeaient. Un uniforme bleu, pantalon et veste, renforcé, épais, pas vraiment sexy. Et elle avait toujours dans la journée, quand elle n’était pas en intervention, une casquette sur la tête. S’il savait qu’elle était blonde, c’était parce que quelques cheveux dépassaient de sous la casquette.
Et donc, il ne l’avait jamais vue en tenue civile.
Ils auraient pu se croiser en ville, mais ça n’avait jamais été le cas, pour une raison très simple: l’immense bâtisse était un centre départemental, et donc les professionnels arrivaient de tout le département, rejoint par les volontaires selon des horaires fluctuants. Elle n’habitait pas ici.
Il ne savait plus où poser les yeux. Elle était un patchwork d’éléments qui le troublaient, la somme du tout étant plus forte encore que le détail.
Il y avait sans doute d’abord cette crinière blonde, qui s’épanouissait à présent librement sur ses épaules, épaisse et longue, elle coulait très bas, sans doute domptée par un lisseur, et sans doute harmonisée avec un colorant quelconque, car il doutait qu’à 58 ans, elle n’ait pas quelques cheveux blancs. Le résultat était pourtant magnifique.
Sous un manteau long, mais ouvert, blanc, on était à la fin de l’hiver, et il faisait encore froid, elle portait un chandail violet assorti à une jupe noire.  Le chandail était moulant et décolleté. Une taille fine, mais une poitrine dont il n’avait jamais remarqué avant, sans doute simplement parce que l’uniforme niait ses formes, qu’elle soit aussi pleine. Deux seins bien ronds et bien hauts. Il y avait une touche troublante dans le fait que le pull, très décolleté, laissait voir un tiers de ses seins, et un soutien-gorge de dentelle noire.
La jupe…Pouvait-on parler de mini-jupe? Non plutôt de micro-jupe. Il ne se rappelait pas d’avoir vu auparavant une jupe aussi courte…Le plus étonnant c’était sans doute qu’elle contredisait cette règle non écrite qui voulait que plus une femme avançait en âge, moins elle pouvait se permettre des vêtements sexy. A 58 ans, elle avait vraiment des jambes magnifiques, bien dessinées, fines, sans aucune tache, aucune imperfection, et son collant les mettait nettement en valeur.
La touche la plus érotique, c’était sans doute ses cuissardes. Elles étaient bleu roi, en cuir, avec des talons, et elles remontaient le long de la jambe, la prenant, la gainant, jusqu’au dessus du genou, méritant ainsi leur nom. Ca ajoutait une touche vraiment irrésistible. Sans nul doute, tous les hommes devaient se retourner sur elle dans la rue.
—Je suis passée dire bonjour. J’ai vu les gars en bas. J’espère que je ne te dérange pas?
—Me déranger? Ah non pas du tout. Ca me fait plaisir que tu sois revenue. Et puis de toute façon, tu reviens quand tu veux. Tu es et tu as été l’un de nos meilleurs éléments.
Dommage qu’on ne se soit pas rendu compte plus tôt que tu étais aussi sexy. Ou plutôt tant mieux. Ca nous a évités d’être perturbés.
Elle s’est laissé glisser sur le fauteuil. A croisé ses jambes, le temps de lui laisser apercevoir un slip noir, assorti au soutien-gorge, tendu par son pubis et sa vulve. Il allait y penser le reste de la journée.
—Ca fait tout drôle de démarrer une nouvelle vie. Mais bon, j’ai plus de temps, alors j’apprécie plutôt. J’ai toujours eu pas mal de passions en dehors du métier, alors je peux en profiter.
Cela faisait un peu plus d’une semaine maintenant, un jeudi après-midi qu’ils avaient fêté son départ. Un moment qu’ils avaient voulu mémorable. Jacqueline avait toujours été un membre important de l’équipe, faisant preuve de bravoure. Elle avait sauvé plusieurs personnes, et avait reçu plusieurs médailles.
Comme ils savaient qu’ils pouvaient être appelés à tout moment, ils avaient prévu large. Elle travaillait ce jour-là, son dernier jour, à partir de midi, ils avaient donc eu toute la matinée pour décorer, installer le buffet, et les cadeaux.
Elle se doutait bien, c’était une tradition établie, qu’il y aurait quelque chose pour son départ, ça se passait comme ça quand un pompier partait depuis toujours, et elle avait bien remarqué qu’ils complotaient, mais elle avait été réellement surprise, et pleine d’émotion.
Une semaine après, une page était tournée, et un nouveau monde se mettait en place.
Enfin pas totalement.
Puisqu’elle était là face à lui.
—J’avais envie de te revoir.
—Moi?
—Oui, j’ai pensé qu’on pouvait envisager les choses différemment.
C’est certain, je les envisage différemment depuis quelques minutes, pensa-t-il en laissant son regard glisser sur sa silhouette.
—Ici, on est tous pris dans la fureur et le bruit, dans la dureté de ce que notre mission exige. On n’a pas vraiment le temps de se regarder. Alors je suis revenue parce que j’avais aussi envie que tu me regardes différemment. Au moins une fois. Que tu vois que je peux aussi être plus qu’une femme du feu. Une femme en feu. Qui a le feu dans le ventre, à vrai dire. Pour toi.
Il ne savait quoi dire.
—Tu sais, j’ai toujours été de liaison en liaison, sans que jamais rien ne dure. Et j’ai entendu dire, parce que tout se sait, que tu n’avais pas une vie amoureuse plus harmonieuse que la mienne.
Elle s’était levée et était venue se poser sur le bureau, tout près de lui, lui jetant sa féminité en plein visage. A quelques centimètres de lui, elle lui offrait son corps, chaud et parfumé, désirable. Il avait envie de tout. Venir poser ses mains sur ses jambes, et caresser doucement celles-ci…Se glisser sous le chandail et remonter jusqu’à ses seins bien ronds…
—Ca fait très longtemps que je te regarde, et je me dis qu’on pourrait essayer quelque chose, toi et moi…Que ce soit pour quelques jours ou plus…Je comprends bien que toi, tu n’y as pas encore pensé, et c’est normal. Tu m’as vue uniquement sous mon uniforme, comme une collègue…Moi, j’ai dépassé ce stade il y a plus longtemps.
Elle se tut un instant, puis ajouta, d’une voix différente:
—Je voulais te montrer que je pouvais être une femme. T’es intéressé?
Il ne répondit pas, mais sans doute que dans son expression, dans sa posture, dans sa manière de se tenir, il y avait une manière d’être qui disaient clairement que oui, il était intéressé. Suffisamment en tout cas pour qu’elle attrape sa main, et qu’elle ouvre ses jambes pour lui donner accès à ses parties les plus intimes. Elle amena sa main directement sur le renflement de son sexe. Il y avait des obstacles, celui du collant, et celui du slip, mais ils n’empêchaient pas d’avoir une perception fine de son sexe, au bout de ses doigts, renforcée en fait par celle des étoffes. Il la caressa, se remplissant des sensations diverses, liées à son excitation. Le renflement de son sexe, une masse imposante, sa configuration, une ouverture au milieu de ses chairs qui s’agrandissait et s’humidifiait ses jus venant tremper son slip, et y faire des tâches sombres. Elle s’était légèrement laissée aller en arrière, s’abandonnant au plaisir de la caresse…
Les pas approchant les avaient amenés à une réalité qu’ils n’avaient ni l’un ni l’autre pris en compte.
Ce n’était pas vraiment le bon endroit pour s’adonner à des activités plus personnelles, car il y avait toujours quelqu’un qui montait à son bureau, pour des raisons souvent futiles.
Quand le pompier pénétra dans le bureau quelques instants plus tard, il les trouve, lui derrière son bureau, elle assise sur le fauteuil visiteur.
—Patron, On vient de recevoir le matériel que vous avez commandé, les lances. On les a vérifiées, elles sont en parfait état. Tenez, on a fait un état de validation.
Il le tendit au capitaine des pompiers qui l’examina attentivement avant de le poser dans une bannette.
—Un très bon travail, c’est parfait.
Claven était un nouveau pompier pro, il était en poste depuis deux ans. Lui aussi dupé par cette apparence si différente, il n’avait pas reconnu son ex-collègue. Il l’avait saluée d’un ‘Bonjour, madame’ et l’avait observée en coin, troublé lui aussi par cette féminité exacerbée, avant de repartir, sans qu’à aucun moment il ne manifeste qu’il l’avait reconnue. Amusés, Jacqueline et le capitaine n’avaient pas eu à coeur de le détromper.
Il les avait laissés. Dans le bureau régnait à présent une atmosphère très différente de celle qui l’habitait lorsque Jacqueline était arrivée. Ils s’étaient ouverts l’un sur l’autre, et une envie commune s’était affirmée.
—Tu as toujours ce débarras à côté du bureau, elle avait demandé?
Le capitaine avait compris, et il s’était levé, attrapant un gros trousseau de clefs, pour en chercher puis tenir une.
Le bâtiment était un labyrinthe aux ressources multiples. Il avait poussé une porte, sur sa gauche, et l’avait entrainée dans un couloir étroit qui passait le long de portes fermées, jusqu’à arriver devant l’une d’entre elles. Il l’avait ouverte. A l’intérieur, du matériel en attente d’utilisation était entreposé. Ici, ils seraient tranquille.
Elle s’approcha de lui. Elle était nettement plus petite que lui, mais c’était tout sauf un problème. Il se plia en deux, se penchant sur elle pour que leurs bouches se rejoignent. Ce fut elle qui prit l’initiative, sa langue glissant entre ses lèvres et venant chercher la sienne, en même temps que sa main sortait sa queue dilatée de son pantalon, et le masturbait avec habileté. C’était un moment divin…Son baiser, sa main sur sa queue, sentir son corps chaud contre lui…Dire qu’il avait failli passer à côté de ça…Il s’en voulait…Outre ses qualités professionnelles, le courage et l’intelligence dont elle avait fait preuve tous les jours, Jacqueline était une femme, cela se comprenait vite, séduisante, sensuelle, et pour qui le sexe n’était pas un domaine de crainte ou de tabou, comme c’était le cas pour bien des femmes plus jeunes, mais au contraire, un domaine d’épanouissement où tout était possible. Elle lui en administra la preuve dans les secondes qui suivirent, quand elle se pencha sur son membre, et balada sa langue sur son gland avec délicatesse, faisant monter la chaleur dans son ventre, et suppurer son méat.
Elle avait un petit réticule avec elle, délicieusement assorti à ses cuissardes, dont elle sortit une boîte de préservatifs. Elle en prit un, déposa son sac sur une étagère, puis défit le préservatif. Il se demanda ce qu’elle voulait faire quand, au lieu de le faire coulisser sur sa queue, elle posa le préservatif contre ses dents. Il comprit
quand elle se pencha sur lui. Elle ouvrit la bouche et descendit sur sa queue. Il eut une sensation de chaleur, avant qu’elle ne remonte. Ca n’avait duré que quelques secondes, mais elle était parvenue à ses fins, sa queue était impeccablement enveloppée de latex.
Il ne lui restait plus qu’à la pénétrer.
Un énorme tas de tapis étaient entassés les uns sur les autres, dont la hauteur totale les dépassait. C’étaient des tapis qu’ils utilisaient pour leur salle de sport, usés jusqu’à la corde, ils avaient été remplacés par d’autres, plus neufs. Un club de sport devait venir les récupérer. Ca n’avait jamais été le cas. Ils attendaient là depuis.
Sa croupe, gommée par son uniforme avait retrouvé des dimensions plus féminines une fois qu’elle avait laissé celui-ci au placard. Bien rebondie, elle tendait le tissu de la jupe. Ce que le tissu promettait, sa chair le tenait. Quand elle l’avait roulée à sa taille, elle lui avait proposé qu’il descende lui-même le collant et le slip, ses fesses avaient jailli à l’air libre, charnues et généreuses. Il vint frotter son gland contre. Elle poussa un petit gémissement.
—Ca fait longtemps que je rêvais de ça…Et d’un millier d’autres choses…Mais on aura tout le temps…Le métier de pompier n’est pas évident, mais tu auras bien des moments libres…
—J’irai te rejoindre, lui répondit-il, une phrase lancée en l’air, qui, quand elle retomba, prit une autre dimension. Il comprit que s’ouvraient devant lui de merveilleux moments, quelque chose qui le changerait, alors que sa vie était bien trop solitaire et froide.
Elle tendit sa main en arrière, attrapa sa queue et la prit en charge, la balada sur la surface de sa croupe, avant de la faire descendre dans sa raie. Il perçut, contre son gland, la chair fine, au fond du sillon, mais aussi les plissements de son anus. Elle ne l’entraîna pourtant pas par-là, mais glissa plus bas, et vint faire glisser sa queue entre ses lèvres, bien ouvertes et ruisselantes. Il fut avalé par sa chaleur, et n’eut qu’à pousser pour rentrer en elle, jusqu’à la remplir totalement.
Accroché à elle, il se mit à la fouiller. Difficile à croire qu’il puisse vivre un moment pareil. C’était tellement incroyable…Ce n’ était même pas qu’il l’ait désirée pendant longtemps, en pensant que cela était impossible, et qu’elle se soit enfin donnée à lui. C’était…Qu’il n’avait jamais eu conscience de tout ce qu’il pouvait y avoir d’intéressant sous cet uniforme asexué…Il s’en voulait. Toutes ces années, il était passé à côté de quelque chose de formidable. Des qualités humaines, Jacqueline en avait, ça il le savait depuis longtemps. Mais il n’avait pas vu qu’elle était une femme, avec une sensualité, et une sexualité…
Son sexe coulissait en elle. Il sentait les réactions de son corps, qui criaient son plaisir. Elle frémissait, se tendait, se tordait. Elle ruisselait autour de lui, contredisant tout ce qu’il avait pu entendre dire sur le fait qu’une femme devenait sèche après sa ménopause…
Il sentait le plaisir monter en lui. La jouissance le remplit, intense, alors que le premier trait de sperme jaillissait dans la capote, et venait cogner contre ses parois internes, déclenchant, sa jouissance en effet domino.
—Tu finis à quelle heure, elle lui demanda alors qu’ils revenaient dans son bureau. Ils s’étaient rajustés. Ce moment qu’ils venaient de vivre ensemble, il ne l’oublierait pas. Il savait qu’il avait envie de beaucoup d’autres de tels moments, semblables et différents à la fois. Le sexe avec elle, c’était vraiment très bon, et il sentait bien qu’elle n’avait qu’à peine dévoilé ses batteries. C’est bien trois heures aujourd’hui?
Elle connaissait son emploi du temps très précisément. Une autre preuve d’intérêt sans doute.
—Je t’attends chez moi. Si tu ne connais pas l’adresse, je pense que mon dossier est encore là Je vais aller faire quelques courses et puis je rentre. J’ai très envie de sentir encore ton sexe en moi. Je pense que c’est une offre qui t’intéresse, non?
Il la regarda s’éloigner. Oui, la vie pouvait être surprenante, il le savait parce qu’il était pompier, mais elle pouvait l’être d’une manière positive, ça Jacqueline venait de lui prouver.

 

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