Rita Eldorado Cadillac

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12 JUSQU’A LA LA LI (extrait)
Bien à l’abri des regards indiscrets, Rita Cadillac laissait libre cours à son tempérament de feu. La Reine lui avait recommandé le jeune capitaine Dard dont les deux cousines connaissaient, par l’entremise de Marie de Montalenvert, les aptitudes et la bonne volonté à honorer une femme de haut rang. La perspective d’être vue et envisagée par ce grossier général Prépus, qui l’avait possédée tant et plus quelques jours plus tôt, était un motif d’excitation supplémentaire pour l’aristocrate française. Il lui avait tellement taraudé le conduit arrière, lui enfilant moult objets dans la chaudière, la cravachant comme une pouliche de grand prix sans jamais la gratifier d’un lâché spermatozoïdal synonyme de relâche – anomalie certainement due à l’anneau d’argent situé à la base des testicules – qu’à un moment, n’en pouvant plus, elle lui avait tordu les joyeuses emprisonnées, si fort, que le général avait tourné de l’œil. Craignant de l’avoir fait passer de vie à trépas, elle s’était appliquée à le ranimer en s’occupant avec sa bouche de son dard resté dressé. Alors qu’il était encore à moitié inconscient, le corps du général avait repris ses droits sur l’esprit et, profitant de l’aubaine, avait déversé dans la bouche de Rita un flot de sperme épais qu’elle avait avidement aspiré. Puis, remontant au dessus du visage hébété de Prépus, elle avait laissé couler toute la production recueilli sur la figure de l’affreux général revenu à lui. Celui-ci, eut du mal à masquer la honte qui le submergeait. Une fois qu’il eu retrouvé sa contenance, en échange d’une lourde bourse remplit de pièces d’or, il fit jurer à Rita de ne rien dévoiler de l’affaire afin que sa réputation d’homme à la volonté de fer ne souffrit point. Il ignorait, à ce moment, que Rita Cadillac était une cousine très proche de Marie-Elizabeth, Reine du Kantibez.

Attaché les bras levés en arrière, les testicules entravées au dessus de l’anneau d’argent et tendues à rompre par l’étoffe de soie rouge, le général comprenait toute la stratégie dont il était le dindon. La farce, en d’autres circonstances l’eut amusé et il aurait trouvé cocasse la situation, mais à ce moment des festivités il sentait confusément que la situation lui échappait, en témoignaient les soubresauts de son bas ventre qu’il avait du mal à contenir. Blême à l’idée de perdre cette bataille qu’il considérait comme une formalité, il en éprouvait malgré tout un puissant désir : Planter sa majesté Paupaul dans les augustes croupes qui s’agitaient sous ses yeux, luisantes de leur jus de femmes perverses, dont il ne savait plus laquelle était la Reine, ni quel joufflu appartenait à la Cadillac.
Le capitaine FD, serait promu commandant au lever des couleurs, avait annoncé la Reine. Pour fêter cette promotion, il lui avait été intimé, vivement, l’ordre de prendre possession du bastion qui lui faisait front. Rita Cadillac la tête renversée, le four à pain grand ouvert, reposait sur ses coudes offrant une vue imprenable sur ses intérieurs au regard de Prépus. Le beau Frédéric, brandissant son fer de forgeron, avait investit la fournaise et s’appliquait à bien entretenir le foyer incandescent qui l’accueillait. N’en pouvant plus, Marie-Elizabeth était venue au dessus de Rita et lui avait posé sa toison d’or sur la bouche. Sa consciencieuse cousine avait alors entrepris de lui faire un tour du propriétaire intégral, elle fourrageait la précieuse case trésor, léchant les lèvres, aspirant le bouton de rose gonflé comme une baudruche, investissait de sa langue l’intérieur souverain. La Reine partait dans des pâmoisons impressionnantes, ahanait et giclait comme une fontaine dans la bouche de Rita Cadillac. C’en était trop, avisant les 30 cms de ce bon Kurt, réduit au rang d’esclave, elle se déplaça jusqu’à lui et présenta son anus pour y enfoncer jusqu’à la garde le massif attribut du général. Si elle s’était contentée de se faire remplir l’arrière boutique, Kurt aurait sans doute résisté ! Mais la Reine s’était mise à onduler, valser, monter, descendre, lui avait attrapé d’une main les boules qu’elle tenait comme l’on tient le pommeau d’une selle, de l’autre elle les cinglait. Puis elle avait appeler à la rescousse Rita pour qu’elle vint couvrir la bouche du Burzilmouton de son sexe équarrit par le futur néo commandant, intimant l’ordre à celui-ci de s’emparer de sa bouillonnante caverne royale pendant que son anus laminait la verge de Prépus.

– Oooohhhhh !!! Madame, enfin vous n’y teniez plus ! Garce que vous êtes, s’enfiler comme ça, sans sommation, la plus célèbre arquebuse du Burzilmu !! Continuez à me chevaucher, vous  allez criez bien plus fort que cette sacrée Cadillac, à moins que ? Mais ne serait-ce pas toi, traitresse qui me colle ta jolie fleur trempée sur le museau ?

– Aaahhh, Marie-Elizabeth ! Ce diable d’homme à la langue sacrément bien pendue, s’exclama Rita en se mordant le poing.  Il me l’a enfouie tel un caméléon jusqu’au fond de l’utérus et il la fait tourner comme une toupie ; ah ça, moi qui croyait avoir fait le tour de tous les jeux de langues, me voici bien aise d’en découvrir un nouveau. C’est que j’en ai reçu de la menteuse dans la boîte à plaisirs, croyez moi, cousine. De la pointue, de l’épaisse, de la large comme une queue de castor, de la râpeuse et de la baveuse façon omelette. Tiens je me souviens d’un prince norvégien qui se l’était enduit de crème dessert me badigeonnant la tirelire avec une gourmandise d’affamé ; il m’avait ensuite enfournée à la viking pour finir par me gratifier d’une crème fouettée comme jamais mon délicat palais élevé aux délices de la gastronomie française n’avait eu le loisir d’en déguster ! Et voilà maintenant que votre invité m’aspire le bouton et me le tête comme un bambin le sein maternel ! L’animal, je vais l’inonder de mon foutre féminin, le noyer dans la cyprine !! Mais vous, êtes vous prête, ma bonne, pour recevoir la première décharge de cet être démoniaque au fond de vos fesses ? A la façon qu’il a de me mettre des coups de béliers avec son nez je le sens mure pour jouer l’Etna, le retour de l’explosion ravageuse !

– Ooohh Rita ! Une fois de plus vous aviez raison.  Ce bougre de soldat a la virilité dévastatrice ! Je lui pratique le tourniquet chinois, ainsi que me l’a enseignée l’épouse d’un marchand arrivé par la route de la soie, et lui continue à s’arc bouter dans mon conduit comme s’il devait y entrer son corps tout entier. Ajoutez à ce singulier traitement le futur commandant qui se prend pour un bûcheron et me fend la buche à grand coup de rein ! OOuucchhh, il est grand temps de reprendre la main !! Venez aspirer les joyeuses de ces messieurs, ma bonne amie, vous en profiterez pour pratiquer un massage de la prostate au camarade Kurt.

Prépus fumait telle l’âtre d’un forgeron. La perspective d’un doigté rectal prometteur sembla donner un regain d’ardeur au général qui pourtant commençait à tutoyer la zone fatale de l’apoplexie. Dardant tels deux boules de feu, ses yeux avaient du mal à rester dans leurs orbites, quant à son visage, l’intensité de l’action l’avait fait virer au cramoisie. Il était grand temps de lui faire lâcher un peu de lest !

– C’est ça, fille de joie ! Viens investir la rondelle de Kurt. Ah, ah, ah !!! Il n’a pas encore sombré le général Prépus ! C’est qu’il a de l’endurance le maître étalon du Burzilmu !! Mais… Mais… Mais… Je viens !?! Ouiiih, je jouis !?! Tu la sens la bonne secousse, dit, ma cochonne ?! Ce jet herculéen que je lui envoie à la Reine du Kantibez ! Aaarrghh ! Retire toi que j’envoie une bonne giclée à cette maudite trainée française qui m’attise la prostate ! Huuuuh !  Les vilaines elles m’ont mis le canal en feu, ça bruuuule… Oui, oui, éteins moi cette incendie avec ta bouche… Aaaahh sacré nom de Zeus, de nom de Zeuuusss !!! Tu y a pris goût à la liqueur de Kurt, oui, oui, oui, pompe bien… Ouuuhh que c’est bon !  Et toi le bel âtre !! Vise un peu ce que c’est qu’un homme, un vrai, je décharge et je suis prêt à remettre le couvert immédiatement !!!

Marie-Elisabeth avait expulsé FD et l’anus plein de la semence du général elle regardait les jets somptueux, richement fournis, jaillissant haut pour retomber sur la langue tendue de Rita Cadillac qui n’en perdait pas une goute.
Un tel feu d’artifice était bien digne d’une fête nationale.

 

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  1. Paille le à
    Paille

    Une écriture rythmée avec des personnages qui aiment le sexe, j ’en friçonne.

  2. Nocquet le à
    Nocquet

    Sacrée Rita, un récit tres bien ecrit, j en suis toute émoustillée.

  3. Geneviève le à
    Geneviève

    Sacrée Rita.! Une histoire très bien écrite, j en suis toute émoustillée

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