L’abbé préparait son bagage lorsque se présentèrent à lui une petite employée du fort, tout juste majeur, et un soldat à peine plus âgé insistants pour soulager leur conscience des graves pêchés qu’ils avaient commis. Toujours prompt à interpréter les signes de la Providence dans le sens qui lui convenait, le Père Vaire voyait dans cette juvénile double apparition impromptue un signe du Très Haut l’affranchissant d’une visite au fortin dont il savait par avance qu’elle serait moyennement appréciée par le colonel Jan Vintedeu. Il ferait donc de son mieux pour recommander au Ciel les âmes de tous les soldats si fraichement représentées et déposées ici à ses pieds.
– Bénissez moi mon Père car j’ai pêché, avait commencé la petite Pérette.
– Et quelle est cette faute qui te fait déserter la garnison ? Tu n’aurais pas profité de ton petit camarade soldat ici présent pour t’adonner à des jeux de pécheresse, mon enfant ?
– Oh ! Si, mon Père. Je connais Pinochaud depuis peu, mais de le voir chaque jour à quatre pattes récurer le sol des cuisines et prendre des claques sur son postérieur par le chef Gigi, quand celui-ci veut se secouer ses mains pleines de farine après avoir pétris la patte à pizza… Comprenez moi, je trempe mes cuisses à l’idée qu’il pourrait être mon esclave et que je lui ferais alors rougir ses petites fesses bien rondes tout en lui tirant sur sa colonne que j’imagine bien droite au dessus de ses belles chouquettes pleines de crème !
– Voyons petite, tes pensées ne sont pas si pendables, le Malin te met à l’épreuve des plaisirs de la vie d’Adulte. As tu seulement oeuvré pour les mettre à exécution ?
– C’est que l’occasion m’a été donné de partir à la recherche des délicieuses morilles, dont le chef raffole pour préparer ses spaghettis, en compagnie de Pinochaud. Je connais bien les bois qui entoure la garnison, j’y jouais petite avec les garçons du village. Il n’y a pas une cabane de chasseur, pas une cachette qui me soit inconnue. Le meilleur endroit pour folâtrer dans la rosée entouré des délicats Morchella se trouve au pied du grand frêne de la grotte au loup. Ce matin, la lumière bleutée qui perçait à travers le feuillage dense du majestueux arbre a plongé Pinochaud dans une transe qui m’a d’abord un peu effrayée. Il s’est agenouillé et s’est mis à caresser fiévreusement les chapeaux des phalus esculentus. Comme il s’apprêtait à les enfourner dans sa bouche sur leur pied, en se penchant il a tendu ses petites fesses toutes rondes qui me fond tant fantasmer découvrant le haut de sa raie. Je me suis cru en plein rêve, alors je lui est baissé son pantalon pour lui caresser ses belles miches à la peau toute lisse ; puis, n’y tenant plus, j’ai introduit ma langue dans sa couronne. Le coquin ne se défendait pas allant jusqu’à assurer qu’il n’avait d’intérêt que pour les morilles qu’il cueillerait après en avoir gouter quelques unes. Quand je lui ai introduit mon majeur dans son trou noir il s’est mis à sangloter qu’il méritait d’être fessé d’importance parce qu’il venait, par maladresse, d’écraser une pauvre morille noire. C’est à ce moment que j’ai eu un doute :
– Toi, tu ne te mets pas à quatre pattes que pour cueillir les champignons et accomplir les tâches ménagères !! Que je lui ai dit, mon Père.
Le bon curé écoutait religieusement le récit de la petite Pérette, machinalement sa main gauche s’était égarée sur le postérieur relevé de Pinochaud puisque celui-ci se prosternait à ses pieds.
– Alors que je lui administrais une fessée comme celle que les chasseurs me passaient quand ils me surprenaient endormie dans leur cabane, continuait Pérette, Pinochaud s’est mis à bander comme un cerf ! Son membre avait pris une telle dimension que je n’ai pu résister à l’envie dévorante qui me taraudait la bouche de déguster la belle asperge qui pendait entre ses jambes ! La tête était tendre, la tige rigide ; il m’a fallu la gouter jusqu’à la faire disparaitre entièrement ; j’en avais les larmes aux yeux de la sentir se glisser derrière ma glotte ! Mais Pinochaud continuait de m’assurer en pleurnichant qu’il ne tendait pas volontairement son derrière dans les cuisines pour recevoir les rudes flatteries du Chef. Et plus il était évident qu’il mentait, plus son membre gonflait et moi je commençais à manquer d’air, alors pour le punir je l’ai assis sur mon poing afin qu’il glisse jusqu’à mon coude. Son asperge a soudainement repris sa taille de jeune pousse, c’est donc bien qu’il me mentait !
Le chien de berger semblait perdu dans la contemplation d’une vision à lui seul visible : Ainsi le colonel Vintedeu lui sacrifiait ces deux jeunes agneaux afin qu’il ne vinsse pas au fort recommander la garnison au Seigneur ? Quelle belle attention ; il écarta toute autre raison suspicieuse préférant faire son devoir puisqu’on le lui suggérait avec autant de savoir vivre. Sa main droite passa sous le menton de Pérette tandis que sa gauche relevait par les cheveux l’ingénu Pinochaud.
– Ma fille, mon fils, l’évangile dit : Tu seras puni par où tu as péché. Pour effacer vos coupables actions vous devez reproduire sur moi même, représentant de Dieu, le péché de chair que vous avez commis. Oui, mon fils en l’occasion Le Tout Puissant ne fait pas de distinction entre ses ouailles. Fille ou garçon, c’est du pareil au même. Il n’est de tâche qu’un homme ne puisse accomplir à l’égal d’une femme dés lors qu’il s’y adonne avec toute la conviction de son âme. Le pardon ne vous sera accordé qu’après que vous aurez expié à quel point vous regrettez votre misérable attitude. Je t’en prie ma chère enfant, montre à ce gredin comment il faut s’y prendre. Allons mon garçon ne me fait pas languir, la prochaine aube sera probablement la dernière que nombre de valeureux soldats comme toi verrons se lever. Tu ne voudrais pas ajouter à ton fardeaux la damnation éternelle d’une partie de ce régiment ?
Pérette maugréait tout en passant sa langue le long de l’épais tronc dont elle tenait les lourdes intendantes dans une main et que Pinochaud l’imitait. La jeune femme se disait que l’absolution serait plus efficace si se sacré pervers de Père Vaire venait à bénir son petit camarade en lui faisant l’honneur d’une introduction Divine. Elle profitât de ce que les langues se mêlaient sur le haut du gland suintant de désir, pour appuyer sur la tête de l’innocent afin qu’il gouta les joies que procurent une bonne tige dans la gorge. Le curé apprécia à sa juste valeur l’initiative de cette petite effrontée et glissant son pouce entre les lèvres pulpeuses de Pérette :
– Sais tu, chère Ange, que ma charge est bien lourde et que tu pourrais oeuvrer à la soulager en t’installant durablement dans la sacristie ?
– Mon Père, c’est un grand honneur que vous me faites. Cependant, dés lors que vous aurez fait connaitre les joies du pal à Pinochaud il nous faudra retourner à la garnison. Le Chef des cuisines et le colonel seraient bien contrits de devoir dépêcher une patrouille afin de nous ramener au fort.
Vexé par cette réponse effrontée à laquelle il ne s’attendait pas, le curé se leva de son siège pour saillir puissamment le pauvre Pinochaud qui fondit en larmes, mais implorait Pérette de lui avaler sa belle asperge comme elle l’avait si bien fait sous le frêne.
Fermement encouragée par le prêtre, celle-ci s’exécuta et prit un malin plaisir à attraper les quatre boules de cuir qu’elle tira fort faisant augmenter la taille et le diamètre des membres dont l’un, imposant, équarrissait un conduit presque tout neuf et l’autre, primesautier, lâchait sa laitance.
Au bout de quelques ruades vigoureuses le Père Vaire se retira et attirant Pérette, il s’engouffra dans la bouche encore pleine du sperme de Pinochaud afin que l’insolente fasse pénitence et, tenant fermement la tête entre ses mains, libéra la charge à laquelle il faisait sans doute allusion un instant plus tôt. Amen !
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