sexe avec une routarde

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Frederic Gabriel


gros seinsteenvieux et jeune


La première chose que j’ai vu d’elle, ça a été une masse de cheveux noirs, pas vraiment disciplinée, pleine de vie, et grasse de ne pas avoir été lavée depuis un certain temps. Elle coulait sur ses épaules.
La deuxième, ça a été une partie de ses fesses, charnues et bien galbées, coupées en deux par un sillon profond, visibles parce que son jean sans ceinture était descendu, alors qu’elle était accroupie, donnant à voir un tiers de sa croupe. Son slip était descendu avec, dont on voyait un bout, un slip noir.
Je me suis retrouvé dans cette situation très étrange, alors je ne m’y attendais pas.
J’étais sorti assez tôt, pour me rendre à F… la préfecture, pour faire quelques courses. 12 kilomètres aller, 12 kilomètres retour. Quand on est dans un milieu rural, il faut malheureusement souvent prendre la voiture pour aller faire les courses. Puis, en revenant, avant de rentrer chez moi, je m’étais arrêté au bourg le plus proche, qui était précisément à deux kilomètres cinq de chez moi. Je faisais souvent le trajet à pied, pour aller chercher du pain ou des bricoles…Il y avait une cabine téléphonique qui avait perdu, le progrès aidant, son utilité première, et qui avait été reconvertie, comme dans pas mal de villages en France, en boite à livres, où les gens venaient déposer ou prendre des livres. Si je m’achetais pas mal de bouquins, j’y passais régulièrement pour en déposer, ou en prendre. On faisait pas mal de découvertes dans de tels dépôts.
Et donc, j’allais ouvrir la porte de la cabine, et cette fille était là. Elle regardait les livres, avec l’idée d‘en prendre un sans doute. Un peu plus loin, sur ma droite, une guitare dans son sac était posée sur un banc, avec un sac. J’ai bien compris qu’il s’agissait de ses affaires.
Elle a senti ma présence, a été surprise. Elle s’est redressée.
—Je regardais les livres.
—Vous en avez tout à fait le droit, je lui ai répondu.
Elle était toute jeune. Elle devait avoir vingt-deux, vingt-trois ans, avec tout l’éclat qu’on peut avoir à cet âge-là. Elle avait un joli visage, harmonieux. Elle m’a souri. Elle n’était pas très grande, un mètre soixante-cinq, et les vêtements flous qu’elle portait, un jean, une chemise, un pull et un manteau par dessus laissaient quand même comprendre qu’elle avait un joli corps, bien dessiné.
Pourtant, elle ne faisait rien pour se mettre en valeur. C’était sans doute la première fois que je croisais une fille qui n’avait pas le souci de prendre soin d’elle et de son corps. Elle puait, littéralement, dégageant une odeur acre qui vous montait aux narines. Ca ne faisait certainement pas qu’une journée qu’elle n’avait pas pris une douche. Ca ne semblait d’ailleurs pas la gêner.
Elle avait fait le choix de la liberté. Pas de contraintes. Marcher, s’arrêter où ça lui plaisait, aller de squat en squat…
Ce qui ma poussé à agir, sans doute, ça a été cette réflexion sans doute stupide, que je me suis faite. Qu’une femme avait besoin d’un minimum d’hygiène.
—Quand vous aurez pris le livre qui vous plait, je vous emmène chez moi. Je vis seul en ce moment. Vous pourrez prendre une douche, je vous ferai à manger, et vous vous reposerez quelques heures.
Il y a eu quelque chose qui s’est allumé dans son regard. Visiblement, cette perspective lui faisait plutôt envie.
Elle n’a rien répondu, elle s’est tournée vers les étagères. Elle avait apparemment déjà fait son choix. Elle a pris un bouquin, une histoire des USA en anglais, elle s’est retournée vers moi, m’a dit:
—Je prends mes affaires et je suis prête.
J’étais garé un peu plus loin. Elle a récupéré son sac à dos, son étui de guitare, et on est partis côte à côte jusqu’au petit parking. Elle semblait me faire confiance. Sentait-elle qu’elle le pouvait?
C’était curieux. Je ressentais quelque chose d’étrange. Notre mode de vie et notre âge nous séparaient, pourtant j’avais le sentiment, alors que nous avancions dans les rues quasi désertes, que quelque chose se tissait entre nous. Une complicité. J’avais déjà compris que les relations humaines étaient étranges.Pourquoi deux personnes devenaient-elles proches? Et deux autres jamais? Il y avait là pas mal d’inexplicable. J’avais d’ailleurs renoncé à comprendre depuis longtemps. Je me contentais de vivre les choses.
Tout en marchant, elle jetait un coup d’oeil au quatrième de couverture des livres qu’elle avait pris. Trois livres en langue anglaise, complete works of Dashiell Hammett, short stories of Ernest Hemingway, et cette histoire des USA…
—Tu lis l’anglais couramment?
Elle a eu un petit sourire.
—J’ai présenté un doctorat l’an dernier, de civilisation américaine, sur la nation navajo à travers le 20eme siècle. Je suis partie une semaine après. J’y pensais depuis un moment, mais je voulais boucler ce projet. C’était un peu un rêve.
Ca fait pas mal de temps que je pensais à partir. Je supportais de moins en moins les contraintes de la société. Et puis il y a eu ce moment où je me suis dit que j’avais accompli ce que je voulais accomplir et que je pouvais me libérer. J’ai pris ma guitare, un sac.
—Et la vie que tu mènes te convient?, je lui ai demandé, en déverrouillant de loin, les portières de la voiture.
—Je suis plus heureuse que je ne l’ai jamais été. Je me suis débarrassée du superflu, aussi bien sur le plan matériel que sur le plan relationnel. C’est un soulagement énorme. Je profite de choses simples, et cela m’apporte un bonheur immense. Le bonheur ce n’est pas d’accumuler des possessions dont on ne va même pas profiter, mais plutôt d’admirer la beauté d’un ciel, de sentir le vent sur son visage. Et pour mes besoins les plus basiques…J’ai toujours trouvé des gens sur ma route. Comme toi…
—Tu ne penses pas revenir à une vie plus…normale?
—Pas pour l’instant, en tout cas, elle m’a répondu en s’installant dans le véhicule.
J’habitais à cinq kilomètres du village, dans un hameau bien tranquille. Elle a feuilleté les livres pendant que je roulais. C’était très curieux. Elle était sale, elle puait, une odeur âcre qui remplissait le véhicule, et pourtant j’ai senti une poussée de désir. Un diamant reste un diamant, même s’il est couvert de la boue dont on l’a tiré. Et elle était vraiment attirante, dans l’éclat de sa jeunesse. Même ai sa beauté allait au-delà du simple effet de la fraicheur. Un visage harmonieux, et un corps qui ne l’était pas moins, je m’en suis rendu compte quelques minutes plus tard.
On est arrivés devant chez moi. Ca a été amusant, parce que les choses se sont passées très différemment de ce que j’avais pu anticiper. Je m’attendais à une journée banale…Et je ramenais une fille chez moi.
Elle avait toujours ses livres à la main. Elle a tout laissé dans la voiture. Je l’ai conduite jusqu’à la salle de bains.
—Je pense qu’il y a tout ce qu’il te faut pour te rafraichir. Savon, gel douche, shampooing…Il y a un sèche cheveux dans l’armoire. Dis-moi quelle taille tu fais? J’ai des vêtements féminins dans une armoire, souvenir des femmes qui sont passées par chez moi…J’ai peut-être ce qu’il te faut…Je vais laver ce que tu portes.
Elle me l’a dit, puis, sans pudeur, mais j’imaginais que c’était quelque chose qu’elle avait du laisser au vestiaire depuis belle lurette, elle s’est mise à se déshabiller devant moi. le manteau, le pull dessous. Ses vêtements étaient flous, mais dessous, sa chemise, plus proche de son corps, était tendue par une poitrine charnue. Elle l’a défaite, révélant son torse, sa poitrine enveloppée par un soutien-gorge sans charme qui avait du être blanc, mais ne l’était plus vraiment. Elle était ronde, avec des hanches bien marquées, en partie prises par son jean. Elle a amené ses mains dans son dos, son regard accrochant le mien. Voulait-elle me séduire ou avait-elle simplement commencé à se déshabiller, parce qu’elle vivait au quotidien dans un monde sans pudeur, avant de lire dans mon regard de l’intérêt? Elle avait en tout cas des seins pleins, bien dessinés,avec des aréoles très larges, et deux tétons, qui, sans doute parce qu’elle s’est dénudée, l’air frais, se sont durcis et allongés.
Elle a jeté ses vêtements au sol, entre elle et moi. Ils puaient, elle puait aussi, pourtant, ça ne m’empêchait pas de la désirer comme une femme.
J’aurais du partir, mais je n’en avais pas envie, pas plus qu’elle. Elle ne me le demandait d’ailleurs pas, son regard accroché au mien. Quelque chose se passait entre nous.
Elle a défait le bouton qui tenait son jean à sa taille, et l’a tiré vers le bas. Dessous, elle avait un slip blanc, assorti, qui lui aussi avait besoin d’un bon coup de machine.
En descendant le slip, elle a révélé une toison qui n’était pas taillée, luxuriante. Mais je faisais partie de ces personnes qui aimaient les filles avec des poils. Sa toison montait haut et descendait bas, venant encadrer son sexe, entrouvert sur deux lèvres bistres qui sortaient d’elle, avec chacune une forme et un dessin différent.
C’est quand le pantalon est arrivé à ses chevilles, dernier parement qui masquait sa nudité que je me suis rendu compte que j’avais le ventre en feu, que mon sexe était dur, et que je la désirais, malgré le monde ou les mondes qui nous séparaient.
Son regard dans le mien, elle m’a dit:
—Tu veux venir te doucher avec moi? Tu pourras me frotter, comme ça, je serai bien propre.
J’aurais du accepter, mais je ne sais pas pourquoi, j’ai battu en retraite. J’ai ramassé le tas de vêtements, qui empestaient. J’ai eu une dernière vision d’une croupe, charnue, rebondie, coupée en deux par un sillon profond, alors qu’elle s’engageait dans le bac à douche. Des images de son corps qui m’ont hanté alors que je m’éloignais. Je suis descendu jusqu’à la buanderie en premier pour mettre le linge dans la machine, en lavage rapide, à trente. Je suis remonté dans ma chambre, pour jeter un coup d’oeil à mon armoire. J’avais deux étagères sur lesquelles j’avais conservé des vêtements féminins, souvenirs d’anciennes amies intimes. Je ne les gardais pas par fétichisme et nostalgie, mais simplement par esprit pratique. Si une fille passait et avait besoin d’un vêtement… Ca ne s’était encore jamais produit jusqu’à présent. Le moment était malgré tout arrivé. Il n’y avait pas eu tellement de filles dans ma vie, mais en tout cas il y en avait eu une, Geraldine, qui était restée avec moi plusieurs mois, et avait laissé une pile de vêtements de la même taille. J’ai trouvé un ensemble slip et soutien-gorge bleu ciel, ainsi qu’une robe en lainage grise. Ca la dépannerait.
J’ai pensé aussi qu’elle ne mangeait certainement pas à sa faim tous les jours, même si elle n’était pas spécialement maigre, et qu’un bon petit déjeuner ne serait pas une mauvaise idée. J’ai allumé la cafetière, fait chauffer des croissants surgelés que j’avais au congélateur, sorti de la confiture, du beurre, du jus d’orange.
Le pot de la cafetière venait de se remplir des dernières gouttes d’un liquide odorant quand elle a surgi dans la cuisine. Elle avait récupéré un de mes peignoirs, mais celui-ci n’était pas fermé. La voir ainsi, métamorphosée, a provoqué un sursaut de désir chez moi, même si je n’avais pas vraiment débandé. Ca me faisait penser à ces pubs pour des produits bidon où on voyait un objet terne devenir brillant, après avoir été enduit par un liquide miracle et soigneusement frotté. Débarassée de sa langue de crasse, elle avait retrouvé son éclat, et elle était vraiment désirable. Même si je me créditais d’avoir vu avant qu’on pouvait avoir envie d’elle.
Elle s’est approchée de moi. Elle avait su trouver aussi le chemin des eaux de toilette entreposées dans la salle de bains, et celle qu’elle avait choisie, bien que destinée à un public masculin, lui allait bien.
     Toute proche de moi, elle m’a irradié de sa chaleur. Ses seins, son ventre, à quelques centimètres de mon corps. Elle a attrapé ma main, et l’a posée contre son sexe. J’ai perçu ses lèvres contre ma paume, leur épaisseur et leur charnu. Il y a eu surtout le basculement d’un point d’excitation zéro à une métamorphose due à son excitation. Elles ont gonflé au bout de mes doigts, et ses jus intimes ont commencé à couler, mouillant ma chair. Elle a utilisé ma main comme un instrument, se caressant dans un mouvement de va et vient. J’ai aimé le fait qu’elle se serve de ma main plutôt que de me laisser la caresser.
—J’ai envie de sexe.
—Tu n’es pas obligée de payer la douche et le repas.
—Non j’ai envie. J’aime le sexe. Tu sais dans les squats, sans doute parce qu’on a le temps, on ne fait que ça, boire, fumer et baiser…Et puis tu me plais…
Peut-être, que tout nous séparait, mais en l’espace de quelques secondes, tout s’est aboli. Elle a tendu la main vers mon pantalon, et elle m’a caressé à travers le tissu.
—Bon, je vois que je ne te laisse pas indifférent.
Pendant que d’une main, elle se caressait avec la mienne, de l’autre, elle m’a mis à nu, et elle m’a caressé doucement. Sa main était chaude et douce sur moi, une caresse irrésistible, et j’ai gémi. Mais elle était dans le même état d’excitation que moi, et son sexe s’est largement ouvert, ses lèvres prenant tout leur relief, et ses liquides intimes coulant avec une abondance qui m’a surpris, trempant littéralement sa main. Mais je ne valais pas mieux, j’ai senti que mes liquides présécrétifs coulaient de mon méat, venant tremper sa main.
—Tu as envie, dis donc. Mais moi aussi. Tu vis seul?
—J’ai pas eu de copine depuis six mois, j’ai avoué.
—Tu vas pouvoir te rattraper. J’ai pas eu de sexe depuis un certain temps, moi aussi, et ca me manque. J’ai vraiment besoin de ça. Je suis trop accro. C’est comme une drogue pour moi.
Ce n’était sans doute pas mon cas, mais j’avais très envie. Elle était vraiment désirable, et même si je n’avais pas ressenti le manque, toutes ces semaines, là, mon envie était très forte.
Elle a dirigé la caresse, un moment, avant de se dégager. J’étais très dur, la queue collée contre le ventre. Elle s’est laissée glisser sur une chaise, et elle a attrapé le pot de page à tartiner que j’avais posé sur la table. Elle a plongé trois doigts dedans, et elle les a ressortis enduits d’une couche de pâte cacao. Elle a entouré ma queue de sa main et elle m’a souillé de la pâte, avant de venir lécher ses doigts avec ce qui restait. Entre ses cuisses, son sexe, bien visible, était largement ouvert, ses intérieurs bien visibles, aussi bistres que ses lèvres largement sorties d’elle à présent, masse de chair gonflée, proéminente à l’entrée de son intimité.
Une fois qu’elle a eu bien nettoyé ses doigts, elle s’est penchée sur moi, et elle s’est attaquée à la queue, lapant le cacao et me caressant en même temps, à mesure qu’elle me nettoyait, centimètre après centimètre. Ca m’a procuré un plaisir terrible. Oui, sans aucun doute, elle aimait le sexe, et elle avait de l’envie, de l’imagination, et pas mal d’expérience. Le résultat la mettait loin devant les femmes qui avaient croisé ma vie jusqu’à présent. Le hasard avait fait une belle rencontre.
—Ne jouis pas encore. J’ai envie de ta queue à l’intérieur de moi, qui me caresse longtemps, et me donne du plaisir.
Une fois que ma queue a été de nouveau une chair lisse, nettoyée de la moindre trace de la pâte, sa bouche a glissé sur moi. Elle m’a avalé aux trois-quarts, et s’est mise à faire aller et venir ses lèvres sur moi, en même temps qu’elle amenait sa main entre ses cuisses, sur son sexe, pour se caresser,dans un mouvement circulaire, pour se donner du plaisir et soulager sans doute la tension qui montait en elle, comme elle montait en moi. Elle m’a relâché et m’a dit:
—Je vais te faire quelque chose qui va te plaire, et que certainement aucune fille ne t’a fait,  mais je veux que tu te maitrises pour qu’on puisse encore continuer à se servir de ta queue après…Quoi que…Je pense que si tu jouis une fois, tu peux encore rester dur? Je te vois bien comme ça…
Elle est descendue plus bas que ma queue pour venir appliquer sa langue sur mes couilles. Le premier contact a été électrique. Elle l’a prolongé en venant tourner sur leur surface, langue dardée. Non effectivement, aucune fille ne m’avait fait ça avant, et je n’avais imaginé que ça puisse être aussi bon. Et ça l’a été encore plus quand elle a amené sa main sur ma queue, pour, en même temps, me caresser doucement. C’étaient deux plaisirs différents qui se fondaient dans un seul, quelque chose d’intense qui remontait dans mon corps et je devais me retenir pour ne pas jouir. J’avais envie de me laisser aller, mais quelque chose me retenait, qui tenait moins d’ailleurs à l’idée de perdre ma capacité d’’érection, je pensais que je pouvais redevenir dur tellement elle m’excitait qu’à la volonté de lui montrer que je pouvais me contrôler. Mais ça n’a pas été parfait, car j’ai cédé un instant, crachant deux jets de sperme dans les airs avant de tout bloquer.Ils ont atterri sur son visage. Elle s’est interrompue pour les attraper du bout des doigts, et les avaler, avec une mine gourmande.
Quand elle s’est redressée, elle m’a demandé:
—Tu as des préservatifs?
J’ai été jusqu’à un tiroir du buffet, la queue collée contre le ventre, frémissante de désir. Mon envie d’elle avait quelque chose d’irrésistible. Ca n’avait pas toujours été le cas avec mes partenaires. Elle avait en elle un gout pour la liberté, que ce soit dans la vie de tous les jours ou dans sa sexualité qui faisait la différence.
Il me restait une boite de préservatifs, non périmée, souvenir d’une ancienne conquête. 
     Je lui ai tendu, pour la laisser prendre les choses en main. Elle a déchiré l’emballage d’une capote, a attrapé la rondelle enduite de produit, et l’a posée sur mon gland,  avant de la faire coulisser le long de ma queue.
—Viens, je peux plus attendre, j’ai envie que tu me remplisses maintenant.
Elle s’est redressée et m’a poussé vers la chaise. Je me suis laissé tomber dessus. Elle est venue me surplomber, son sexe dilaté criant son envie d’être remplie. Elle souriait largement quand elle s’est laissée descendre sur moi, attrapant ma queue alors qu’elle en était toute proche, et la guidant vers ses lèvres. Mon gland est rentré en contact avec la délicatesse de ses chairs. J’ai failli crier alors que je glissais en elle et que, pour la première fois, sa muqueuse chaude et délicate frottait contre ma queue, caresse exquise.
Elle s’est retrouvée assise sur moi, mon sexe totalement avalé.
—C’est tellement bon de se sentir remplie, elle a dit.
Mes mains ont glissé autour de sa taille. Je suis venu placer mes paumes sur sa croupe charnue pour la faire aller et venir sur ma queue. On a perdu le contrôle, emportés par le plaisir qui s’est répandu en nous, et autour de nous, nous liant l’espace d’un instant. Je l’ai posée pour venir sur ses seins qui me faisaient envie. Elle m’a laissé prendre des tétons déjà bien durs dans ma bouche. Aucune femme n’avait le même plaisir avec ses seins, mais les siens, a en juger par les gémissements qu’elle a poussés, et les jets de mouille qui ont arrosé ma queue, toujours fichée en elle, étaient ultra-sensibles. Je les ai encore sentis s’allonger et s’épaissir. Elle a glissé sa main entre nous, pour venir se frotter le clitoris et elle a joui, se tendant et éjaculant sur ma queue. J’ai lâché ses seins, et alors qu’elle se frottait encore le clitoris, qui était à présent bien visible en haut de son sexe, sorti de la chair qui le couvrait, fin et allongé, je l’ai faite aller et venir sur moi. Elle avait arrosé nos chairs en jouissant… J’ai senti qu’une tension montait en moi, alors qu’elle criait sans retenue…Elle a lâché une phrase, une seule:
—Ta queue m’ouvre en deux…
avant qu’elle ne jouisse, se tordant sur moi comme une marionnette désarticulée, alors que ma semence venait cogner contre ses parois internes, jet après jet. Je n’avais pas souvent eu un plaisir aussi fort.
Elle toujours installée sur moi, on est revenus à plus de calme. Elle m’a souri.
—C’était bon, mais j’ai envie de plus. Tu as du temps?
—Toute la journée, et aussi celle de demain.
—Si on allait sur un lit? On pourra faire plus de choses.
J’ai attrapé la boite de préservatifs pour l’emporter avec moi et je l’ai guidée vers ma chambre. Je n’avais pas fait le lit, mais ça n’était pas un problème. Elle a glissé dessus à quatre pattes, s’offrant à moi dans cette position que tous les hommes apprécient, à quatre pattes, ses parties intimes offertes à mon regard et à ma queue, sa croupe charnue ouverte par sa position sur les plissements de son anus, tout autant que son sexe gorgé de sang, largement ouvert, lèvres et clitoris saillant. Une position qui me criait de venir à nouveau en elle, un désir qu’elle a précisé en me jetant un regard sans équivoque.
Même si j’avais joui, mon érection était intacte, maintenue par ce désir qui me brûlait le ventre. J’ai attrapé un nouveau préservatif et je m’en suis gainé, pour rentrer en elle, et la fouiller, alors qu’elle criait son plaisir sans retenue.
Elle est finalement restée beaucoup plus longtemps que je ne l’avais, et qu’elle ne l’avait sans doute prévu. Avait-elle besoin de faire une pause? Appréciait-elle ces moments de sexe ensemble? S’était-il tissé un lien entre nous? Sans doute un peu des trois. Il s’était produit quelque chose de magique, même si j’avais le sentiment que cette magie était fragile. Il y a eu une semaine, puis encore une autre semaine, et une troisième.
Un matin, je me suis réveillé. Elle avait disparu. Il y avait un mot sur la table de la cuisine.
Merci pour tout, mais je dois reprendre ma route.
Je me suis senti terriblement vide.
Je n’avais pas anticipé ce qui s’est produit un mois plus tard. Je rentrais un soir. J’ai aperçu, dans la lumière de la journée finissante une silhouette qui est sortie de l’ombre.
C’était elle, dans le même état que lorsque nous nous étions rencontrés pour la première fois. Elle m’a souri.
—J’ai envie d’un séjour un peu plus long.
C’était ll y a un an, et elle n’est pas encore repartie.

 

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  1. assas le à
    assas

    J’apprécie vos histoires, bien écrites avec un scénario crédible et toujours de l’imagination.
    Parfois même j’ai l’impression de lire certains de mes fantasmes !!
    Au plaisir
    Assas

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