Ca s’est passé il y a déjà une vingtaine d’années de cela, et pourtant, j’ai l’impression que c’est hier. A l’époque j’étais instituteur remplaçant. Je ne sais pas si vous avez vu cette série déjà vieille L’INSTIT, avec Gérard Klein. Hé bien c’était moi. J’étais disponible pour remplacer quelqu’un de malade, plus ou moins longtemps, quelqu’un qui prenait un congé de maternité, quelqu’un qui avait un accident…Autant de situations qui me valaient de me déplacer généralement sur un département.
Je venais d’obtenir ma mutation, passant du centre de la France au Sud-Ouest. Je n’étais pas marié, mais c’était l’occasion pour moi de me rapprocher de ma famille. Mes parents, oncle et tantes, cousins, étaient en effet tous installés dans des départements du Sud, et je savais que je pourrais les voir plus.
Généralement, j’allais d’un remplacement à l’autre, il y avait peu de temps morts, mais il y en avait. En fait, alternaient des périodes avec beaucoup d’absences, qui n’étaient généralement jamais toutes comblées et des périodes où il n’y en avait aucune. Je pouvais rester ainsi plusieurs jours sans avoir de travail. J’allais de période de travail, intenses, à des périodes de creux, les unes donnant de la valeur aux autres.
Affecté sur un nouveau département, je suis donc arrivé à R…Une petite ville de province, de taille moyenne. J’ai été me présenter aux autorités administratives. Les papiers dûment remplis, il ne me restait plus qu’à attendre. Je savais que généralement dans les premiers jours, il n’y avait personne à remplacer.
J’ai fait le tour de la ville. Un lieu en apparence paisible, dont je savais déjà, pour avoir fréquenté pas mal de villes de province, que ce n’était pas forcément le cas. Une apparence trompeuse. Elle était belle, riche de multiples quartiers, d’une architecture héritée du passée, une église magnifique, des promenades le long de la rivière.
J’ai pris une chambre à l’hôtel de la Promenade, en attendant de trouver un appartement à louer. Le propriétaire, à qui j’ai exposé ma situation, a été d’accord pour me faire un prix d’ami pour la location de la chambre et les repas que je pourrais prendre, le midi et le soir.
J’ai toujours aimé le sexe, intensément, et j’ai décidé de profiter de ces quelques jours de liberté pour partir à la recherche du plaisir. Je savais déjà qu’ici, comme ailleurs, sous des apparences neutres, il se passait pas mal de choses, et que des gens de tous âges cherchaient du plaisir, ou en offraient. Il suffisait de les rencontrer.
Ca a d’ailleurs démarré très rapidement.
L’hôtel où je me trouvais était une immense bâtisse qui avait sans doute connu son heure de gloire en d’autres temps, aujourd’hui fanée sans être délabrée. Il y avait, semblait-il, très peu de clients, à en juger simplement par l’occupation du parking et clairement, il y aurait sans doute un moment où les bénéfices ne rentrant plus, le patron fermerait où laisserait les lieux à quelqu’un qui aurait le courage d’entreprendre une rénovation des lieux, et d’impulser une nouvelle dynamique.
J’étais arrivé le matin. J’avais passé la matinée à remplir des papiers, je venais d’aller déjeuner dans un snack de la ville et de faire un petit tour.
Je ne m’attendais pas à ce que j’ai trouvé en remontant dans ma chambre.
A l’entrée de l’étage, il y avait un salon aménagé, décalé en ce sens qu’il était légèrement sur la gauche et que le sol était un peu plus bas. Il était masqué sans l’être vraiment par des tentures. Celles-ci n’étaient ni ouvertes, ni fermées, un entre-deux qui m’avait incité à m’y risquer le matin même.
C’est en passant devant que j’ai entendu un gémissement.
J’ai été décontenancé, et, parce que j’ai pensé qu’il pouvait y avoir quelqu’un de mal en point dans le local, je m’y suis risqué, prêt à apporter mon secours à quelqu’un.
C’est certain, je ne m’attendais pas à la situation que j’ai découverte.
Les lieux débordaient d’un mobilier datant d’un autre temps, marque d’un luxe suranné. Ici, je l’avais vu le matin, un divan, une table basse, et autour de la pièce des commodes, un paravent.
Je ne connaissais pas la jeune femme qui était installée sur le divan. Cliente ? Employée ? Difficile à savoir. C’était la première fois que je la croisais. Elle avait une trentaine d’années. Une belle brune, yeux mi-clos, l’esprit et le regard ailleurs, avec une chevelure soyeuse, épaisse et longue, et un corps voluptueux, un vrai corps de femme, dont une partie était masquée, soulignée par une robe moulante, et l’autre à nu. Elle portait une robe vert printemps qui prenait sa poitrine et son torse, et aurait sans doute également couvert le bas de son ventre et ses jambes si la robe avait été en position normale. Ce qui n’était pas le cas. Le haut dessinait une silhouette parfaite, collant à son torse, et à sa poitrine, avec un décolleté qui donnait à voir une partie de deux seins ronds et bien dessinés sans excès.
Renversée en arrière sur le divan, elle avait retroussé sa robe, le tissu rassemblé au niveau de sa taille et descendu au niveau de ses genoux un string blanc, tout simple, figé là, pour se caresser. Ses jambes, faites au moule, étaient gainées par des bas stay-up dont la partie maintenant le nylon était élastiquée, une matière noire et large qui laissait la place à la nudité du haut de ses cuisses, de ses aines, et de son sexe. Un sexe sur lequel sa main tournait dans un geste circulaire, régulier et hypnotique, dont la répétition était la garantie d’une jouissance vers laquelle elle semblait s’acheminer. Son sexe était totalement imberbe, pas un soupçon de poil sur la pente naturelle de son pubis, qui amenait vers une fente que l’excitation et le plaisir avaient déjà largement ouverte sur ses intérieurs, laissant sortir des lèvres gorgées de sang et suinter des liquides intimes qui coulaient avec abondance, donnant de la luisance à ses chairs. La manière dont ses jus coulaient, atteignant à présent la lisière de ses bas disaient qu’elle mouillait beaucoup, mais aussi sans aucun doute que cela faisait un petit moment déjà qu’elle se caressait.
J’ai été pris entre plusieurs tentations. Je n’avais pas eu la prudence de jeter un coup d’oeil discret, je m’étais donc dévoilé, même si elle ne semblait pas m’avoir aperçu. J’avais envie de rester là, la regarder jouir. J’avais toujours trouvé troublant, et je n’étais pas le seul, de voir une femme se caresser devant soi. J’étais en même temps tenté de me reculer et partir. Qu’elle ne me voie pas. Même si je commençais à penser que, tout en semblant ailleurs, elle m’avait DEJA vu.
Et puis c’est parti autrement.
L’espace d’un instant, elle avait le regard ailleurs. Le suivant, il était posé sur moi. Elle m’a dit :
–Viens me fouiller la chatte avec ta langue. J’ai envie que tu me caresses. Tu peux me l’enfoncer dedans jusqu’à toucher mon utérus.
C’était le genre de proposition que l’on ne refuse pas. D’autant que j’avais toujours aimé faire des cunni à des filles, avoir leur sexe pile sous les yeux, pouvoir l’explorer du regard et de la langue.
Je me suis laissé tomber à genoux, alors qu’elle ouvrait les jambes pour me laisser accéder à ses parties les plus intimes. Elle a écarté sa main, luisante de ses sécrétions, pour me laisser le champ libre.
J’ai posé ma langue sur elle, Immédiatement son goût le plus intime m’a envahi, amer et intense, légèrement sucré. J’ai parcouru ses lèvres, la faisant gémir. Elle ruisselait de ses jus dont une partie coulait dans ma bouche. Elle avait ramené son doigt sur son clitoris, mais, quand elle a compris que je voulais le frotter de la langue, elle l’a écarté. Je suis venu appuyer de la langue sur la tête fine et ronde, lui donnant, semblait-il, du plaisir, la frottant longuement, avant de glisser en elle, sans vraiment espérer réaliser son souhait. Ma langue n’était pas suffisamment longue pour atteindre son utérus, dont je distinguais pourtant bien la forme et l’ouverture, tellement son vagin était dilaté. Ce que je pouvais faire, en tout cas, vu comme elle était ouverte, et elle s’ouvrait encore, c’était de venir caresser de la langue ses parois internes, qui ruisselaient de ses jus.
Dans un même temps, je ne sais pas si elle s’en est rendue compte, je me suis dégrafé pour mettre ma queue à nu. J’étais en pleine érection, la queue d’autant plus tendue de désir, que je n’avais pas trop pensé aux femmes, ni au sexe ces derniers temps. Ca me revenait à la figure comme un boomerang. Il fallait que j’apaise la tension qui était en moi, et me caresser m’a permis cela.
–Je crois que je vais jouir…
Je l’ai caressée de plus belle, alors que le plaisir montait jusqu’à un point extrême, Elle a explosé de jouissance, amorçant un cri qu’elle a étouffé, se crispant, et éjaculant des jets de liquide qui sont paris dans ma gorge et sont venus gifler mon visage. Sa jouissance a entraîne la mienne, J’ai craché du sperme à n’en plus finir, comme si je me libérais de la semence accumulée pendant ces semaines sans plaisir, ni avec une femme, ni seul.
Groggy, je me suis rajusté et éclipsé sans que nous parlions. La dernière image que j’ai eu d’elle, ça a été cette femme, semi-nue, les chairs trempées, les yeux clos, figée dans un temps de post-jouissance.
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