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Il fut de retour deux heures plus tard. Il était sorti de sa tête, ainsi que ses envies de sexe. Mais tout remonta très rapidement, quand elle entendit la sonnette. Son sexe s’ouvrit, se satura se liquide. Ce dont elle avait envie, c’était d’une queue, qui la pénètre, la fouille bien, et la fasse jouir. La sienne peut-être? Si elle savait être habile…
C’était bien lui, tenant le grille-pain entre ses mains.
—Je te remercie…Je sortirai en acheter un cet après-midi.
—Viens, on a le temps de prendre un café non? Je sais qu’il faut éviter de se contaminer, mais ça n’empêche pas…On reste à un mètre l’un de l’autre.
Julie venait de refaire du café. Elle lui en versa une tasse.
—Tu regardes du porno le soir?
La meilleure des réponses, c’est qu’il devint tout rouge.
—Tu sais, y a pas de honte. Moi je suis une fille, et à un moment, j’étais accro…Mais le sexe en réel, c’est bien aussi. Regarde, ça te dirait rien? On pourrait faire l’amour sans s’embrasser, et avec un masque.
Elle se demandait quel démon la prenait, le démon du manque, sans doute. Elle baissa son pantalon de survêtement, et la culotte avec, et tourna sur elle-même pour lui présenter ses fesses ben rondes, et sa chatte imberbe.
Elle ne s’attendait pas à une réaction aussi immédiate. Il devait VRAIMENT être en manque. Et bien avant le confinement. Ca lui avait en tout cas donné une réelle envie de sexe. Il l’attrapa par les hanches et, baissant son masque, il vint lui donner un premier coup de langue en travers des lèvres…Une vague de plaisir remonta haut en elle. Elle sentit que son sexe s’ouvrait, et qu’elle se mettait à couler sur lui. Il n’était pas si niais que ça. Inspiré par les pornos qu’il matait tous les soirs? En tout ça il léchait bien, sa langue souple et habile, qui tourna sur ses lèvres avant de venir glisser en elle. Elle se cambra en arrière, se laissant faire, tendant son sexe vers lui et lui offrant. c’était bon, à la fois une excitation et un apaisement. Il lui aurait fallu ça…Trois fois par jour…Elle frôla le plaisir, alors qu’il la léchait avec habileté.
—J’ai envie de plus, elle finit par dire, en le repoussant. Tu crois que c’est possible? J’en ai vraiment besoin, là, maintenant…
—Tu veux dire que…
—Regarde, j’ai des capotes là dans le tiroir…
Elle en avait toujours avec elle…Avant le confinement, il y avait toujours pas mal d’occasions. Sur lesquelles elle savait sauter. Donc, elle avait toujours ce qu’il fallait.
Elle le poussa sur le canapé, en même temps qu’elle attrapait la boite de capotes. Son pantalon de survêtement, il en portait un lui aussi, était déformé par sa queue. Elle baissa le pantalon et le caleçon, et la queue jaillit à l’air libre. Elle frémit en voyant apparaitre cette queue qu’elle avait tant fantasmé. Il avait tout ce qu’il fallait. Une belle verge bien longue et bien épaisse, gorgée de sang, qui se dressait fièrement, avec un gland bien dessiné, coupé en deux par une fente dont coulait du liquide. Cela faisait combien de temps qu’elle n’avait pas accueilli
une queue dans son sexe? Elle préférait ne pas se poser la question…Trop longtemps…Elle eut l’impression, l’espace d’un instant, que son sexe se dilatait d’une manière exagérée, pouvoir mieux accueillir sa queue en elle. Mais c’était sans doute une impression.
Elle se pencha sur lui et elle entoura sa queue de sa main. Elle était ferme et très chaude.
—Ne jouis pas tout de suite…J’ai envie de faire durer…
Elle le caressa doucement…La grisaille des jours passés, cette accumulation de tristesse s’effaçait soudain, et les rayons du soleil pénétraient de nouveau dans sa vie. C’était bon de masturber ce sexe, et de sentir les réactions du garçon, qui s’efforçait visiblement de ne pas jouir sur le champ, des tensions s’accumulant dans son corps. Il était plein de vie, il gonflait encore, suppurant sur sa main. Elle le lâcha un instant, et vint lécher sa paume, recouverte de son liquide, qui avait un goût amer. C’était ce genre de détails qu’elle adorait.
Elle vint masser doucement ses couilles. Il frémit, et un trait de sperme jaillit, qui vint maculer son avant-bras. Délicatement, elle cueillit le trait de sperme du bout de la langue et l’avala.
Il était temps de passer aux choses sérieuses. Elle avait envie de le sentir en lui.
Elle glissa au dessus de lui, et vint se caler de telle manière que son vagin soit juste au dessus du sexe dont le gland était maintenant très dilaté. La simple anticipation de cette pénétration faillit la faire jouir. Elle attrapa sa queue et la guida vers ses lèvres. Elle se laissa un rien descendre, et ça lui fit comme de l’électricité dans le corps quand la tête de la queue et ses lèvres rentrèrent en contact. Cette matinée serait décidément à marquer d’une pierre blanche. La déprime du confinement était pour le moment écartée.
Elle se laissa descendre, et elle sentit la queue glisser en elle, frottant contre ses parois vaginales. Jamais sans doute, elle n’avait pris autant de plaisir à sentir un garçon l’envahir. Oui, malgré le confinement, malgré les masques, le sexe était encore possible.
Elle se retrouva assise sur lui, le sexe totalement avalé. Elle aurait voulu garder cette queue en elle pour des journées entières. Même sans bouger, sa présence était…Elle se sentait revivre…Est-ce que c’était lui qui était en elle, ou elle qui, à l’inverse, l’enveloppait? Difficile de savoir, c’était sans doute un peu des deux…
Elle posa ses mains sur ses cuisses, et elle se fit monter et descendre, sur son sexe, la caresse de la queue contre ses parois vaginales devenant plus forte, plus intense, et la faisant monter de plusieurs degrés dans le plaisir. Elle avait l’impression qu’une fontaine s’était ouverte au fond de son sexe, et qu’elle faisait couler du liquide, de manière de plus en plus abondante, de son ventre, arrosant leurs chairs.
Elle amena deux doigts sur son clitoris, et elle se mit à le frotter. Elle sentit qu’il sortait de sa gaine, et s’allongeait, comme c’était le cas chaque fois qu’elle prouvait un plaisir très fort. Mais comment en aurait-il été autrement, même des séances de masturbation fréquentes, elle était devenue totalement accro, ne remplaçaient pas, ne remplaceraient jamais la présence d’un sexe en elle.
Elle se mit à jouir. Sans doute parce qu’elle n’avait pas joui avec un sexe dans le ventre depuis…Elle préférait ne pas y penser, elle eut plusieurs orgasmes qui se succédèrent, et chacun fut très fort.
Elle se sentait soulagée d’avoir enfin joui. Un peu plus heureuse, un peu plus épanouie.
Elle se détacha du garçon, qui se rhabillait déjà.
—Dis-moi, on pourrait remettre ça cet après-midi…Ca te changera des pornos dont tu te délectes…
—Ben, c’est-à-dire…
—Quoi?
—Ca sera pas possible.
—Pourquoi?
—Ben en fait, je prétends que je vais faire des courses, mais je vais voir ma copine…
—Tu regardes du porno tous les soirs et tu as une copine?
—L’un n’empêche pas l’autre. C’est deux plaisirs différents…Mais on pourrait se voir demain matin…
—Va t’en…
Il n’insista pas…Ca avait été bien une fois, et ça avait apaisé ses tensions, mais elle n’avait pas envie d’être l’une des distractions d’un type qui se serait partagé entre deux filles…Sans oublier le porno…Elle n’exigeait pas l’exclusivité, mais elle ne voulait pas non plus être le dindon, ou plutôt la dinde de la farce…
Elle se remit au travail…La tête ailleurs…Difficile d’oublier ce sexe qui avait bougé en elle, ainsi que le plaisir qu’elle avait pu éprouver. Elle aurait bien pris de faire encore l’amour…
Après tout…
Quand on est en manque…Qu’importait qu’il ait un petite copine…Elle était bien pudibonde soudain…Avant, elle se souciait rarement, si elle avait envie d’un gars, qu’il puisse avoir une régulière…Ca ne l’avait jamais gênée pour arriver à ses fins.
Mais c’était trop tard.
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