SEXE ET ÉNERGIES RENOUVELABLES (5)
Cet après-midi là a été très différent de celui qui s’était déroulé un an auparavant. Il y a eu une frénésie de rencontres, de prises de contacts, qui signifiaient sans doute que ce deuxième rendez-vous avait plus de succès que le premier. Ça s’est calmé sur le coup de seize heures, avant de reprendre une heure plus tard, jusqu’à la fermeture à dix-neuf heures.
C’est juste après seize heures que j’ai vu revenir la petite blonde que j’avais recroisée plusieurs fois depuis le matin. Camilla semblait toute excitée.
— Viens vite, c’est le moment ! Qu’on en profite avant toutes les autres ! Je guettais, et c’est arrivé !
— Mais de quoi tu parles, je lui ai demandé ?
Je n’ai pas pu lui en tirer plus. Elle m’a attrapé par la main, et m’a entraînée dans les allées. Elle était surexcitée, et j’aurais été bien incapable de lui tirer le moindre mot. On a bousculé quelques personnes, pris quelque allées… Elle connaissait le chemin bien mieux que moi, c’était certain. On a fini par se retrouver devant le rideau qu’on avait poussé une première fois le matin. Elle l’a à peine tiré sur le côté, pour le remettre en position une fois qu’on a été passées, dans l’espoir, je le comprenais bien, de préserver ce qui ne resterait sans doute pas secret très longtemps.
Je me suis figée, stupéfaite.
De tous les trous débordaient des queues comme je n’en avais jamais vues. Des queues blanches et noires monstrueuses. Ce genre de queue qu’on voyait dans des films pornos, mais dont on se disait que, dans la vraie vie, ça n’existait pas. On ne POUVAIT PAS, avoir un partenaire comme ça. Il y avait un élevage de mecs avec des queues énormes, ils étaient tous dans un enclos, ils en sortaient pour aller tourner des pornos, et le soir on les y remettait. C’étaient sans doute les mêmes qu’on avait amenés ici. La meilleure preuve, c’était qu’ils étaient tous gainés de capotes.
Je me suis posée la question (qui n’a jamais trouvé de réponse) de savoir qui avait amené ces bites ici. Cadeau de l’équipe organisatrice ? D’une entreprise ?
— Oh, des queues pareilles, a gémi la blondinette… Avoir ça dans la chatte… Ça soit être une expérience unique…
Sans doute mue par l’idée qu’une horde de femmes allait bientôt arriver et qu’elle n’aurait plus rien, elle s’est approchée d’une queue, qui s’allongeait plus qu’elle ne se dressait. Elle a roulé sa robe à sa taille et tiré sa culotte à ses chevilles, en dégageant une, pour laisser le sous-vêtement, boule d’étoffe froissée, accroché à l’autre. Elle s’est reculée, et a posé une main sur la cloison, levant la jambe. Je regardais, fascinée. Elle a attrapé le morceau de chair énorme et a amené l’énorme gland contre ses lèvres. Je me suis demandée ce qui allait se passer, mais je n’ai pas été trop surprise de voir le gland glisser entre les lèvres et le sexe rentrer en elle. Un vagin, c’est élastique, et on peut y rentrer beaucoup de choses. Le sien devait l’être en tout cas, car j’ai vu le pieu de chair glisser en elle jusqu’à s’immobiliser. La partie visible avait singulièrement diminué, et j’ai eu cette double réaction de me dire : « Mais comment elle a pu rentrer tout ça en elle ? » Et l’envie, simple et bestiale sans doute, d’être remplie, comme elle. Ce qui m’a convaincue d’essayer, ça a été de la voir reposer sa jambe et aller et venir, pliée dans une position peu naturelle et sans doute pas très confortable, sur le membre qui ne pouvait que, vu sa taille, écarteler son vagin.
Je me suis approchée d’une des queues, aussi longue, aussi épaisse, elle aussi encapotée. Combien ? Vingt-cinq centimètres. Même si on avait que peu de temps devant nous, j’avais justement envie de faire les choses lentement. J’ai retroussé ma robe, baissé mon collant et ma culotte, et pris la queue à pleine main. Je la sentais épaisse, chaude, brûlante même, et dure, au-delà du contact du latex. J’ai approché mes lèvres du gland et je les ai frottées dessus. La sensation était très forte, paradoxale, celle d’un enveloppement, d’une masse contre moi, mais aussi une impression de douceur, et d’une chaleur qui est montée en moi alors que je me caressais avec.
Je surveillais la blonde du coin de l’œil… Sans pudeur, elle gémissait de plus en plus fort en se faisant fouiller par le membre. Elle avait les yeux révulsés, et de la bave coulait de sa bouche. Elle avait les mains entre ses cuisses, et caressait son clitoris.
S’est produit ce que je n’imaginais pas… Je voulais le faire rentrer en moi de quelques centimètres, n’ayant pas le courage ou l’inconscience de la blondinette… Mais l’homme, qui ne s’attendait sans doute pas à cette caresse à explosé, jouissant dans le préservatif. J’ai vu des traits crémeux remplir le latex. Il s’est retiré, laissant un vide.
Avant de m’approcher d’une autre queue, j’avais envie d’aller voir Camilla de plus près. Je suis venue près d’elle, et avec une curiosité sans doute malsaine, je me suis accroupie pour voir comment ça se passait entre ses cuisses. Le sexe allait et venait en elle, et j’ai eu l’impression, peut-être erronée, que le vagin s’était adapté, qu’il s’était ouvert et adapté au membre… En tout cas, elle éprouvait du plaisir, le torrent de sécrétions qui coulaient d’elle, et trempaient le latex, et la chair au-delà du latex le disaient clairement.
— Attends, je vais te faire jouir, je lui ai proposé.
Elle a écarté ses doigts, et je suis venue de la langue sur elle, englobant dans ma caresse buccale ses lèvres, son petit clitoris en érection et la chair enveloppée de latex, que je sentais brûlante contre ma langue, et dont je couvrais une plus ou moins grande surface selon qu’elle était sortie ou rentrée, dans le mouvement qui l’animait. Je suis finalement monté sur son clitoris, et je l’ai pris dans ma bouche pour le sucer. Comme pour pas mal de filles, c’était sans aucun doute son point faible, et sans doute aussi qu’elle était arrivée à un point où la jouissance était toute proche, que j’ai simplement contribué à faire éclore. Elle a été secouée par plusieurs orgasmes, comme une réaction en chaîne. La queue a ripé en reculant et est sortie d’elle. J’ai arraché le préservatif et je l’ai masturbée, d’un mouvement très vif. Le sperme est jailli. J’ai collée la queue à son ventre, le gland arrivait à son nombril, m’efforçant de boire le maximum de ce qui jaillissait sur sa peau, et, j’en étais certaine, lui procurait un plaisir supplémentaire. Je n’avais jamais vu autant de sperme jaillir d’une queue. A queue disproportionnée, réserve de sperme disproportionnée.
Je me suis dit qu’il était maintenant temps que moi aussi je prenne une des queues dans le ventre.
J’ai réalisé dans les secondes qui ont suivi que les peurs de la blondinette n’étaient pas de la foutaise. Une demi-douzaine de filles ont fait irruption dans le local, et en moins de temps qu’il n’en faut pour le dire, elles se sont déculottées et elles ont fait entrer les membres surdimensionnés en elles. Alors que la petite blonde se rajustait, j’ai reculé pour les voir toutes, se tordre de plaisir en faisant aller et venir les queues gonflées en elle. On aurait dit des marionnettes d’un nouveau genre, qui n’auraient pas été animées par des ficelles, mais par des verges d’homme.
Une queue aussi épaisse et longue que la précédente a fait son apparition dans le trou. Camilla m’a fait un petit signe, mais je n’avais plus envie. J’ai préféré m’éclipser.
L’après-midi s’est finie rapidement. Il y a eu un moment où les visiteurs ont déserté, et on a compris qu’on n’avait plus qu’à partir pour nos hôtels respectifs. On pouvait tout laisser en place, le parc des expos serait fermé, et des vigiles tourneraient.
J’ai repris le volant pour nous amener à notre hôtel. On avait pris trois chambres, les garçons avaient décidé que ce serait aussi bien d’économiser de l’argent et qu’ils pourraient dormir par deux. Évidemment, ça prenait une autre dimension pour Frank et Daniel.
Alain et Michel ont décidé de partir se balader en ville. Frank et Daniel voulaient eu aller faire quelques courses. Frank m’a soufflé :
— On t’attend dans une heure…
Ma soirée aurait le mérite d’être occupée, même si j’avais rêvé pendant des semaines de la passer avec Andréa. Il ne faut sans doute rien prévoir dans la vie. Une leçon que j’aurais du apprendre plus tôt. Mais je passerais quand même de bons moments. Un SMS de la brune somptueuse a relancé son invitation : ‘Je t’attends en fin de soirée, je dois régler quelques problèmes d’ordre professionnel. Sophie’ C’était parfait ainsi.
J’ai été flâner dans un centre commercial tout proche avant de rejoindre la chambre de Frank et Daniel. A mesure que le moment approchait, je sentais l’excitation monter en moi, et effacer la fatigue qui s’était accumulée toute la journée. Ça serait la première fois que je ferais l’amour à trois, et avec de tels paramètres.
C’est Frank qui est venu m’ouvrir. Il avait laissé tomber sa veste, et de sa braguette ouverte sortait une queue en pleine érection.
— On avait envie, on a commencé sans toi.
Je me suis glissée dans la pièce. Daniel était dans la même tenue, la queue elle aussi sortie de son pantalon. Une bouteille de champagne était posée sur la table basse, avec trois flûtes, pas encore remplies. Daniel a versé le liquide doré dans les trois flûtes. On a trinqué à la réussite de l’entreprise. Deux secondes plus tard, Frank se penchait sur lui et prenait sa queue dans la bouche pour la sucer avec avidité, tandis que j’optais pour une approche plus subtile. Il restait un tiers du champagne dans mon verre, et je me suis penchée pour verser quelques gouttes le long de la queue de Frank, que je suis ensuite venue laper. Une caresse qui l’a surpris. J’ai fini mon fond de verre sur son membre, plus dur quand je l’ai lâché pour venir m’occuper de celui de Daniel tandis que ce dernier se penchait sur Frank. J’avais la main dans mon collant, et je me caressais, plus excitée par ce moment que je ne l’aurais imaginé, et par les possibilités qui s’ouvraient. Quelques minutes plus tard, on a changé de configuration. L’important c’était qu’on reste en contact tous les trois, un lien magique pour ainsi dire. Je suis venue me percher tout en haut du dossier du canapé, après avoir enlevé ma robe, et descendu mon collant. Quand je l’ai baissé, l’odeur forte de mes sécrétions m’est montée aux narines. J’étais bien trop excitée. Je me suis hissée sur le dossier, suivant mes envies, et j’ai ouvert mes cuisses autant que je le pouvais. On s’est assemblés dans une nouvelle position, Daniel penché sur la queue de Frank pour continuer à le sucer, pendant que Frank, la tête penchée en arrière, venait lécher mon sexe.
On dit souvent, un de ces clichés qui flotte dans l’air du temps, que les homosexuels ont plus de talent pour prodiguer certaines caresses. Qu’un homme suce mieux qu’une femme… Il faudrait sans doute que je leur demande si ç’avait été ma bouche sur eux qui avait été plus habile ou celle de leur partenaire habituel, mais une chose était sûre, j’avais rarement été aussi bien léchée par une fille. La tête basculée en arrière, je sentais sa langue tourner à l’extérieur de moi, puis se glisser en moi, souple et habile. J’avais l’impression enivrante qu’elle se glissait sur, sous et dans des parties de mon intimité que personne n’avait jamais encore caressées. Surtout, il avait l’habileté de rester un instant à un endroit, puis de partir sur un autre, créant des points d’excitation, qui, tous réunis, m’ont embrasés. Je sentais que je coulais comme je n’avais pas encore coulé de toute la journée, inondant son visage de mes sécrétions. Et j’avais l’impression que mon sexe était béant, ouvert autant par ma position que par l’excitation. Daniel a lâché la queue de Frank, à force de caresses buccales, elle avait gonflé d’un tiers. Je me suis laissée redescendre et j’ai attrapé dans mon sac la boite de préservatifs dont je m’étais munie au matin… J’en ai tirée une que j’ai dépiautée, pour en gainer le membre… Je suis venue me placer au dessus, et, la tenant, je l’ai guidée par la main vers mon sexe. Elle s’est naturellement ajustée, et a glissé jusqu’au fond de moi… Daniel est monté sur le canapé et est venu présenter son sexe à Frank, qui l’a gainé de sa bouche, et l’a sucé avec avidité, pendant que je me faisais aller et venir sur le membre fiché en moi, qui forait mes chairs. Je me posais plein de questions. Frank et Daniel avaient ils été toujours attiré par des garçons, avaient-ils mis leurs queues dans des bouches et des chattes de filles ? En tout cas, ils ne semblaient pas hostiles à venir en moi. J’ai éprouvé un plaisir intense, mais je voulais plus… Je me suis dégagée, et j’ai dit à Daniel, en me laissant glisser contre Frank…
— Viens en lui et en moi…
L’image s’était formée dans mon esprit quelques secondes plus tôt, mais ça s’est passé exactement comme j’avais envie. Tandis que je faisais tourner ma main sur ma chatte, qui coulait comme jamais, après s’être couvert d’un préservatif,Daniel est venu poser son gland contre ma muqueuse anale. J’aimais me faire sodomiser, je me faisais prendre régulièrement par là, aussi, et sans qu’il paraisse surpris, il a pu facilement se planter en moi, et glisser dans mon conduit anal. A chaque fois, être prise par le cul me donnait l’impression aussi étrange qu’enivrante d’être totalement remplie, plus que par la chatte, et le va-et-vient d’une queue dans le conduit resserré me rendait folle.
Ce qui m’a encore plus transie, ça a été de le voir agir comme j’espérais qu’il le fasse… Il m’a fouillée un moment puis est ressorti de moi, et il a appuyé son gland dilaté contre la muqueuse anale de son copain, qui s’offrait, sa queue roide traînant à quelques centimètre de ma vulve, que je frôlais en même temps que je me caressais. Il est rentré en lui et s’est mis à le fouiller. Me délaissant, j’ai attrapé le membre de Frank et je l’ai masturbé doucement, alors que Daniel… allait et venait en lui. Je ne pensais pas le faire jouir, mais c’est bien ce qui s’est produit. Il a balancé des traits de sperme qui ont atterri sur ma chair. Pourtant, il n’a pas débandé pour autant. Daniel… est revenu en moi, puis a pris un rythme régulier… L’excitation de se sentir fouillée, approcher de la jouissance, la voir se dérober parce qu’il basculait sur l’autre… J’ai fini, alors qu’il se dégageait une fois de plus de moi et partait sur l’autre, par attraper sa queue, et enlever le préservatif souillé. J’ai collé sa queue à celle de Frank… et j’ai massé doucement les deux verges gonflées de sang, dilatées à l’extrême, les faisant en même temps frotter contre mes lèvres. Ils avaient maîtrisé leur jouissance trop longtemps, et leurs spermes sont sortis, se mêlant, et maculant ma peau. J’ai joui dans un même élan.
Pourtant on avait encore faim de sexe, et je me suis basculée à quatre pattes sur le divan. On a inversé la situation, Daniel me rejoignant, tandis que Frank… se caressait rapidement pour se refaire durcir, et se gainait d’un préservatif, pour venir sur nous.
J’ai quitté la chambre beaucoup plus tard que prévu. 23 heures. J’étais tellement bien dans cette parenthèse que j’avais oublié Sophie. Paniquée, j’ai attrapé mon téléphone. Elle m’avait envoyé un SMS une heure plus tôt, avec un message ‘On reporte à demain matin. Je passe te réveiller. Donne moi le numéro de ta chambre.’ Et comme justificatif, une photo, où on la voyait souriante, radieuse, entourée de corps sans tête semi dénudés, qui étalaient autour d’elle des queues en pleine érection. Elle aussi passait un bon moment.
Quand je suis arrivée à la chambre, je me suis rendue compte que, de toute façon je n’aurais pas pu faire plus. J’étais lessivée.J’ai ôté ma robe, mes bottes, mon soutien-gorge, et je me suis laissée lisser sur le lit, avec mon collant à la main. J’ai respiré l’odeur de mes sécrétions, qui s’était accumulée une journée durant, forte, intense, et je me suis endormie le nez dans mes collants.
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