sexe et fin de mois part 2

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Frederic Gabriel


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Je suis descendue à la bonne station pour me retrouver dans un quartier rénové. Un entrepôt reconverti en appartements. Il habitait au deuxième, et il est venu m’ouvrir. Son regard m’a enveloppée. Je lui plaisais. Il s’est dit que sa première impression avait été la bonne.

Il avait un appartement agréable, meublé simplement. Il y avait un comptoir qui servait de bar. Il m’a proposé un cocktail. Sous mes yeux, il l’a confectionné en mélangeant plusieurs alcools. C’était de couleur bleue au final. Il nous a servi deux verres. Ca avait bon goût. Je sentais en lui un désir très fort ; Je lui plaisais, et son corps le disait, même s’il n’en était pas forcément conscient. C’était plus mon critère pour choisir des hommes qu’une éventuelle beauté. J’aimais qu’ils apprécient le sexe, qu’ils en aient envie, qui prennent du plaisir et m’en donnent aussi.

Il a tiré de sous le comptoir une enveloppe qu’il a faite glisser vers moi.

–Ma contribution.

J’ai jeté un coup d’œil dans l’enveloppe. Il y avait un bon paquet de billets. Il avait été généreux. La formule marchait toujours. Je pouvais déjà être rassurée. Ma fin de mois était assurée, et avec la somme je pourrais même aller au-delà de mes simples besoins alimentaires. J’avais prévu de voir encore les deux autres gars…Je n’allais pas y renoncer ; Ca me ferait du fric en plus, des ressources en plus, et puis j’avais envie de sexe…Ça m’éviterait peut-être le mois suivant…Non, sans doute pas…Même s’il me restait de l’argent, la quête de celui-ci était un excellent prétexte pour des moments de sexe qui avaient une dimension autre dans ces derniers jours de mois que ceux que je pouvais connaître plus banalement, dans ces rapports qui émaillaient mon quotidien.

C’est quand il est revenu de l’autre côté du comptoir que je me suis approchée de lui et que j’ai commencé à me frotter contre lui, dans un mouvement souple, en tournant autour de lui. Il s’est figé, m’a laissée faire. Appréciant apparemment la caresse que je lui prodiguais. Il pouvait. Je n’étais pas certain que toutes les filles lui proposent ce que moi je pouvais lui proposer. En moi un mélange d’expérience et d’envie avait fait que j’étais très forte dans ma catégorie. Je n’aurais pas été jusqu’à dire que j’étais la meilleure, mais j’avais pour moi une inventivité sans limites et une envie constante de sexe.

J’ai tourné autour de lui, le caressant avec le poids et la chaleur de mon corps, mes seins, mes fesses, mon ventre le frottant. Ma main a glissé vers mon pantalon. En tournant autour de lui, j’avais senti la dureté de sa verge. J’avais envie de la mettre à nu, de la caresser. Il y a eu, il y a toujours cette émotion de mettre une queue à nu. Elle a jailli à l’air libre. Chaque queue est différente, mais il y a toujours la même émotion, de la découvrir, de la voir s’épanouir. Celle-là était belle, longue et cependant bien charnue, déjà bien dure. Penser à des queues, les imaginer, les fantasmer, les voir enfin, les regarder, les toucher, les caresser de toutes les manières possibles et imaginables, c’était un plaisir dont je ne parvenais pas à me lasser. On disait souvent que les hommes étaient obsédés par le corps des femmes, par leurs seins, leurs sexes, il devait alors y avoir énormément de masculinité en moi.

Ma main est venue envelopper sa queue et je l’ai caressée doucement, d’un mouvement de va-et-vient très lent, la sentant encore se durcir et s’allonger, devenir plus ferme, plus longue. Ses liquides pré-sécrétifs ont commencé à couler de son méat. Mais moi aussi je sentais que je réagissais, le ventre très chaud, mes liquides intimes coulant sur mes chairs dans mes aines, et le long de mes cuisses. J’étais comme une fontaine quand j’étais très excitée.

–Je te propose un jeu, je lui ai dit.

Il n’y avait rien de prémédité, de préparé. Je suivais toujours mon inspiration. Quand on maîtrise bien les choses, on sait qu’on peut improviser, sans plan défini à l’avance.

–Si tu tiens un quart d’heure sans jouir, je te redonne tout ton argent. Si tu jouis avant…Tu rajoutes un tiers de la somme.

Il n’y avait pourtant pas de ma part de désir d’avoir plus d’argent. Simplement, sexe et argent étaient mêlés. Et je mettais les deux dans la balance. C’était une manière de poser un enjeu.

Il a souri.

–Je relève le pari.

Il avait une montre avec un chrono à la main. Je l’ai attrapé, et je l’ai déclenché.

–C’est parti, alors.

Je me suis accroupie devant lui. Je ne sous-estimais pas l’adversaire, loin de là. J’allais commencer par une fellation, en ayant la certitude qu’il tiendrait. Il faudrait, si je voulais le faire craquer que je sois plus imaginative. Mais ça pouvait déjà le perturber. Et puis j’aimais caresser une queue avec ma bouche.

J’ai dardé ma langue et je me suis mise à parcourir sa chair, arrosée par son liquide pré-sécrétif faisant couler dans ma bouche son goût amer. Je suis restée sur son gland avant de descendre le long de sa tige. Ses gémissements pouvaient me laisser penser que j’étais sur la bonne voie, mais je savais que ça n’était pas le bon moment. Il fallait le travailler, puis basculer sur quelque chose qui le trouble vraiment. Et qui, quand sa résistance serait moins forte, le ferait craquer d’excitation et de trouble.

Je suis descendue sur ses couilles. L’homme avait quelques talons d’Achille. Je les connaissais tous. Je savais que ses couilles, souvent négligées par ses filles, étaient un point sensible et délicat, dont la stimulation pouvait procurer énormément de plaisir. Une peau douce et chaude, extrêmement chaude, et le plaisir de percevoir les couilles, vivantes et gonflées, contre ma langue. J’ai senti qu’il se laissait aller au plaisir, tout en s’efforçant nettement de se maîtriser. Je n’avais pas encore gagné la partie. Il ne se relâchait qu’un peu.

Et puis je n’étais pas forcément en meilleur état que lui. Moi aussi, j’étais très excitée, et mes doigts bougeaient à l’entrée de mon sexe, frottant mes lèvres et mon clitoris, ma main arrosée par mes jus intimes, qui coulaient de manière abondante et régulière.

J’ai jeté un coup d’œil au chrono. 6 minutes déjà. Je savais qu’il y avait des caps. Il risquait de jouir. Je le sentais. S’il arrivait à passer ce cap, il me faudrait partir sur autre chose.

Je percevais bien la tension qui montait en lui. Et qui s’est apaisée, quand bien même il était au bord de la jouissance.

Je n’avais pas besoin de chercher loin la prochaine tentative. En laissant glisser mon regard, ma langue et mes doigts, juste en dessous, il y avait sa zone anale, offerte, que la plupart des filles auraient rejetée avec dégoût. Pas moi. Rien ne me rebutait, et je savais que les hommes éprouvaient un infini plaisir si on les attaquait par-là, plus même que si on frôlait leur queue. Qu’il y ait un goût ne me gênait pas.

Je savais aussi qu’en plus du plaisir, il y avait la surprise, qui le déstabiliserait. Je n’étais pas sûre que beaucoup de filles se soient risquées là. Ma main droite enserrant sa queue et la caressant doucement, ma main gauche tournant sur mon sexe, ma langue travaillant ses chairs franchement, dans une caresse d’abord circulaire autour de ses plissements anaux, gravés dans sa chair, puis en attaque directe sur la muqueuse. Il s’est mis à gémir, pris par un plaisir très fort, Les fissures qui marquaient sa zone intime se sont ouvertes petit à petit, laissant l’accès à ses muqueuses internes, chaudes et souples, contre lesquelles ma langue s’est aventurée. Je frottais sa queue en même temps. L’œil fixé sur le chrono. Le temps passait inexorablement. Neuf minutes. Ce qui me contrariait n’était pas tant de lui rendre l’argent que l’image que j’avais de moi-même, celle d’une fille capable de susciter la jouissance d’un gars comme je voulais, quand je voulais. Alors j’ai accentué le travail de ma langue. Sa muqueuse anale s’est ouverte, et je suis allé plus loin à l’intérieur.

Avant de renoncer.

J’ai compris que je n’allais arriver à rien.

Je devais partir sur une autre stratégie. Casser le rythme et redémarrer quelque chose de nouveau.

Je me suis redressée, et j’ai attrapé le tissu de ma robe pour le soulever. Son regard était collé à moi, et sa queue agitée de spasmes. J’avais peut-être rebondi habilement. J’y suis allée très lentement. Dévoilant mes jambes, remontant sur mes cuisses, attendant cependant un moment pour que son regard puisse accéder à mon pubis. Sans doute qu’il devait se demander si j’avais une culotte dessous ou pas. Le blanc du slip lui a déchiré les yeux et laissé immobile. Sa queue a été agitée de spasmes, gagnant de la dureté, plus longue encore, plus épaisse. Je me suis dit que j’avais peut-être trouvé le bon angle d’attaque. Difficile de savoir ce qui pouvait plaire à un homme jusqu’à le faire jouir, et ce n’était pas sûr que lui-même le sache.

–Je vais te frotter contre moi, je lui ai dit, mais on va être clair…Tu vas rester à l’entrée de ma chatte sans rentrer dedans.

Il y a eu quelque chose dans son attitude, rien de bien précis, dans le positionnement de son corps, dans sa posture, et dans cette queue qui avait gagné une nouvelle vigueur, aussi, qui m’a laissé penser que cette fois c’était bon. On était à la 11ème minute, il me restait donc très peu de temps, mais je pouvais encore gagner.
Je me suis baissée, j’ai attrapé sa queue, et je suis venu la faire tourner contre mon sexe, enveloppé par le coton de la culotte. J’ai tenté de me mettre à sa place. Sentir le relief de mon sexe contre son gland, son dessin, et la douceur du coton, n’avoir qu’un accès indirect à mes parties les plus intimes, j’ai cru qu’il allait jouir sur le champ. J’ai lu dans son regard un effort surhumain pour aller au-delà. Mais je faisais figure d’arroseur arrosé, parce que la sensation de son gland congestionné et humide contre moi me mettait moi aussi dans tous mes états, et effectivement, le sentir à travers la culotte en coton, qui frottait contre moi, contre ma chair et mes muqueuses, et venait surtout frotter contre mes muqueuses et s’enfoncer entre mes lèvres était très forte.

–Enlève-moi ma culotte. Maintenant.

Il a obéi, remontant ses doigts pour les passer sous l’élastique de la culotte, et descendant celle-ci, Il s’est pris de plein fouet la vision de mon sexe, dilaté et trempé comme l’était le slip, et l’odeur intense de mes sécrétions vaginales. Je me suis positionnée différemment, venant me caler vraiment en aplomb…Le meilleur angle pour bien sentir les caresses que je comptais maîtriser. J’ai attrapé sa queue, la tenant fermement, pour lui faire comprendre que c’était moi qui menais le jeu, et j’ai amené mon gland contre mon intimité.

Je savais ce que je lui offrais. Avec la certitude que j’allais le faire jouir, même si on était à 12 minutes 30. Il n’y avait plus aucun obstacle entre nos chairs, et sa chaleur la plus intime m’a brûlé, alors que je faisais parcourir à son gland un chemin qui passait, c’était du moins ce que je souhaitais, même si le parcours devait être un peu chiffonné et maladroit, contre le relief déchiqueté et irrégulier de mes lèvres, et mon clitoris.

J’ai vu à son visage, à la manière qu’il a eu de le crisper, de fermer à moitié les yeux qu’il allait jouir dans les secondes qui suivaient. 13 minutes 10. J’étais bon. J’avais gagné. Mais perdu d’une certaine manière, car j’ai senti que moi aussi je jouissais, et cet orgasme qui est monté en moi, je ne l’avais vraiment pas senti arriver…Il a explosé en moi, dans mon ventre, très fort, très intense, je crois bien que si j’avais cherché à le stopper, je n’y serais pas arrivé, crachant, comme quand j’étais très excitée, des jets de liquides intimes, en même temps que lui jouissait, et qu’il commençait par éjaculer un sperme dont j’ai senti la chaleur crémeuse contre mes lèvres, mon clitoris, mon pubis. Il y a eu plusieurs jets qui sont venus frapper contre l’entrée de mon sexe, l’intérieur de mes muqueuses, et la sensation a été tellement forte que j’ai joui à nouveau, cette fois en criant, et crachant encore des liquides qui ont arrosé sa queue, ses couilles, son ventre et ses cuisses.

Je m’étais penchée pour bloquer le chrono mais il a reconnu, alors que l’orgasme flottait encore sur nous ‘Tu as gagné !’ Outre l’argent, ce que j’avais gagné c’était un plaisir fort. Je n’avais pas imaginé que ce serait aussi bon.

J’ai redescendu la robe. La queue encore raide, je crois qu’il aurait bien pris qu’on redémarre quelque chose, il est parti me chercher de l’argent. Une somme généreuse.

J’ai enserré sa queue de ma main, et je l’ai masturbé doucement. Une sorte de prime pour m’avoir donné cet argent. Certes, il y avait eu le pari, mais il aurait pu être de mauvaise foi. Comme tous les hommes, il aimait se faire masturber, et ce simple mouvement de va-et-vient a très vite fait venir la jouissance en lui, jusqu’à ce qu’il crache des traits de sperme tellement copieux que je me suis demandée d’où ils venaient.

Je suis enfin partie. Il était encore nu, la queue à moitié érigée. S’il avait envie, il se débrouillerait tout seul.

De retour chez moi, j’ai compté les billets. Il avait en fait plus que doublé la somme, piochant dans ses réserves de liquide sans compter sans doute. Ma fin de mois était assurée.

Mais moi aussi j’étais comme lui. J’avais encore envie de sexe. J’aimais prendre du plaisir seule. C’était une ressource inépuisable, un plaisir aussi sinon plus fort pour moi que du sexe à deux, et je me donnais souvent du plaisir seule, quand j’étais excitée. Comme en ce moment. Je me suis basculée en arrière sur le divan, et je me suis mise à me caresser. J’ai fiché mes doigts en moi, il y en avait qui auraient dit que ça ne remplaçait pas une bite. Pour moi, c’était un plaisir différent, intense, et qui me faisait jouir très vite, puis enchaîner les orgasmes. J’ai joui très vite, et j’ai continué sur cette lancée, une chaîne d’orgasmes, arrosant mes chairs et le divan, qui en avait vu d’autres. J’étais hors du temps, mais ça a sans aucun doute pris du temps avant que je n’aie épuisé mes orgasmes.

Il y a eu un appel. J’ai reconnu la voix du gars. On s’était rencontré il y avait deux semaines de cela, et je n’avais pas pensé qu’il ait envie de me revoir. On ne savait jamais. Toujours l’élément de surprise.

J’avais assez de fric pour deux fins de mois, mais il m’avait plu, il me faisait envie, et puis plus d’argent, ce serait plus de possibilités.

J’ai posé les bases d’un accord. Ça lui convenait.

Ma prochaine soirée était prise.

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