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YANN
J’étais allongé sur mon lit, je lisais tranquillement, quand elle avait fait irruption dans la pièce. Elle était totalement nue, sauf pour une paire de bas stay-up. Elle aimait gainer ses jambes de nylon que ce soit celui d’un collant ou de bas. Elle me le disait souvent, avec cette absence de modestie qui la caractérisait: ‘J’ai des jambes parfaites.’ Et elle rajoutait ‘Mais le reste de mon corps n’est pas mal non plus.’
Le pire sans doute, c’était que c’était vrai. La nature avait été vraiment généreuse avec elle.
Mon regard avait glissé sur elle. J’avais déjà eu plusieurs petites copines, mais c’était sans doute la première fois que je sortais avec une fille qui inspirait aussi facilement le désir, et de manière aussi forte. J’avais connu et je croisais des filles vraiment très jolies, mais elle, elle avait quelque chose de plus, une sensualité naturelle qui faisait qu’en la regardant, on pensait immanquablement au sexe.
Mon regard s’est appesanti sur elle, alors qu’elle faisait les quelques pas qui la rapprochaient de moi, et venait se caler pile devant le lit. Sa crinière blonde, fournie, elle était fière de ses cheveux, son visage fin, qui contribuait pour beaucoup dans le trouble qu’elle inspirait. Certains visages disaient l’innocence. Le sien disait tout le contraire. Il y avait surtout dans ses yeux quelque chose de sombre, qui tendait vers l’obscurité, que je n’avais pas su voir au début, et qui disait clairement ce qu’elle était. Elle était quelqu’un de dur, sans sentiments, et qui aimait manipuler les gens.
Mon regard a glissé sur ce corps que je connaissais par coeur, et dont j’avais pu profiter. En en payant le prix. Très cher. Et que je désirais encore. Ma queue, qui s’était gorgée de sang en quelques secondes, pouvait en témoigner. Un corps allongé, délié, membres et muscles fins, Une poitrine pleine et dressée, dans tout l’orgueil de sa jeunesse, une taille fine, des hanches marquées, une croupe haute, et cambrée, charnue et coupée en deux par un sillon profond, et ce sexe dont dépassaient deux bouts de lèvres, le triangle blond taillé en haut de sa fente sans doute laissé là pour prouver qu’elle était une vraie blonde.
—J’ai envie que tu te branles devant moi.
Notre sexualité était particulière. Elle m’avait sorti d’une sexualité très classique pour m’entrainer vers ce type de jeux, ce qui m’avait énormément pu. Je n’aimais pas trop la routine. Ca n’avait été que plus tard que j’avais compris qu’elle y associait aussi une nette dimension de domination, qui la plaçait toujours au-dessus de son partenaire. Si je lui avais demandé par l’exemple l’inverse, elle aurait sans nul doute refusé. Que je me branle devant elle, c’était clairement l’occasion de me placer en dessous d’elle.
Pourtant, aucun frein, pas même celui de ma dignité, ne m’a empêché d’attraper ma queue à pleine main et de me caresser. Je savais qu’il y avait malgré tout, et paradoxalement, une manière d’inverser les choses, même si elle ne s’en rendait pas compte. Je maitrisais totalement le rythme de ma masturbation, me frottant très vite, puis plus lentement, l’hypnotisant. De la sorte, c’étais moi qui la tenais en mon pouvoir.
Enfin, cela ne changeait pas grand chose à notre relation, ou seulement de manière très provisoire. C’était bien elle qui malgré tout, me dominait, dans notre relation au quotidien, m’imposant sa volonté, ses caprices, et moi je cédais à chaque fois, parce que j’étais épris d’elle.
De manière sans doute semi-inconsciente, elle a amené ses doigts sur son sexe, et elle s’est mise à se caresser. C’était souvent comme ça entre nous. Elle me marquait de son empreinte et puis les choses s’inversaient. Ne quittant pas ma queue du regard, elle s’est mise à tourner sur son sexe. Celui-ci était toujours très réactif. Je ne l’avais jamais vue avec le sexe fermé, une simple fente dans ses chairs. Elle avait toujours les lèvres sorties. Quand elle commençait à s’exciter, elle ruisselait littéralement, un liquide d’aspect visqueux coulait d’elle, et ses lèvres gonflaient et s’allongeaient. Très vite des filets gras pendaient au bout de ses lèvres. J’avais rarement vu une fille qui avait les lèvres aussi longues…
On s’est caressés en face à face. Ma queue était gorgée de sang, et du liquide suintait de mon méat. Son sexe s’était métamorphosé, largement béant entre ses lèvres qui ouvraient le chemin de son intérieur.
Ca a été très vite ensuite.
Elle avait un corps unique, une sexualité unique, un sexe unique. Si toutes les filles mouillaient quand elles étaient excitées et avaient du plaisir, ce n’était rien comparé à ce qui arrivait à Tiphaine. Quand l’orgasme la prenait, elle éjaculait des jets d’un liquide blanc, qui ressemblait à du sperme, mais un rien différent.
Dilaté à l’extrême, j’ai joui, d’un orgasme puissant, crachant jet de sperme après jet de sperme. Orgasme auquel a répondu sa jouissance à elle, sans doute précipitée par le fait de voir mon sperme sortir. Elle s’est cambrée en arrière, et a craché de puissants jets de liquide qui sont venus me frapper.
C’est à ce moment que, me vidant encore de mon sperme, je suis sorti de mon sommeil, palier par palier, et que je me suis rappelé que Tiphaine et moi nous n’étions plus ensemble depuis quasiment sept mois.
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