5
YANN
J’étais dans ce local, inoccupé jusqu’à l’année précédente, et que nous avions aménagé à plusieurs, après avoir obtenu un local, pour en faire un lieu de détente agréable. On l’avait meublé avec du mobilier déclassé, et on en avait fait un lieu qui avait sinon de l’humanité, du moins de la chaleur. j’étais posé sur un divan. Juste en face de moi, il y avait plusieurs fauteuils. On les avait récupérés dans une recyclerie pour dix euros. Ils allaient être jetés, parce que, depuis un an, personne n’en avait voulu.
Surgie de nulle part, elle avait cette habitude d’apparaître et de disparaître sans qu’on sache vraiment d’où elle venait et où elle allait, elle s’est venue se caler face à moi. Elle était sexy comme toujours, c’était dans son ADN. Elle avait une robe en cuir ou simili-cuir, très courte, ses jambes interminables valorisées par le nylon sombre qui les gainait, mais aussi par les escarpins qu’elle portait, avec des talons aussi fins que longs.
Elle s’est posée face à moi. Il y avait sur son visage un sourire aussi ironique que supérieur, et celui-ci était largement justifié. Elle savait qu’elle me tenait par le désir que j’éprouvais pour elle et qu’elle alimentait amplement.
Elle a commencé à ouvrir ses jambes. Elles étaient parfaitement dessinés. Elles étaient certes fines, mais c’était une finesse bien galbée.
Elle les a ouvertes très lentement. J’avais bien compris qu’elle faisait durer au maximum, jouant avec mon désir, le faisant monter en moi, prendre de l’ampleur. Mais ça ne me gênait pas forcément. J’aimais ces moments où elle m’allumait, où il y avait un basculement, on quittait la routine, chacun dans son rôle. Quoi qu’elle fasse, elle arrivait toujours à me mettre dans mes états.
Je n’ai pas été surpris de constater qu’elle ne portait pas de collant, mais des bas stay-up, accrochés aux trois-quarts de la cuisse. Ce qui m’a plus surpris, par contre, ça a été de constater qu’elle n’avait pas de slip en dessous, le ventre nu. J’ai trouvé ça très audacieux. La robe était vraiment courte, et elle avait du multiplier les occasions, volontairement ou involontairement, d’exhiber sa chatte. Il était vrai que quand elle était cul nu sous un collant, ce n’était pas vraiment différent, à moins qu’il n’y ait empiècement à la place de sa chatte, ce qui n’était pas le cas.
Elle ouvrait lentement les jambes jusqu’à ce qu’elle décide de se figer, suffisamment ouverte en tout cas pour me donner à voir son sexe. Ce sexe que j’avais caressé déjà bien des fois de ma langue et de mes doigts, en m’efforçant d’être aussi habile que possible, et dans laquelle j’avais aussi enfoncé ma queue.
Mon regard a accroché le dessin de son sexe. J’en étais arrivé à ce moment, qui, à mes yeux avait tout son charme, où je connaissais par son coeur son anatomie. Je trouvais que ça avait quelque chose de réconfortant. C’était pour moi, un gage de stabilité. Je me trompais bien sûr totalement.
Paradoxalement, je ne me lassais pas d’en redécouvrir tous les détails. Son bombement, qui me semblait plus marqué que chez d’autres filles, mais c’était peut-être subjectif. Le sillon qui le coupait en deux. La manière dont, même quand il était totalement au repos, ses lèvres sortaient d’elle.
Elle m’a laissé profiter de cette première scène, avant d’amener sa jambe droite sur l’accoudoir pas très haut, puis de glisser ses deux index en elle pour parachever ce que son changement de position avait amorcé. Elle m’offrait son intérieur, aussi loin que le regard pouvait porter, Une muqueuse aux parois roses, avec au fond, le renflement ouvert de son utérus.
—Tu as envie de mettre ta queue dedans?, elle m’a demandé.
Je n’ai rien répondu. Quoi que je dise serait de touts façon une arme qu’elle utiliserait contre moi, comme un boomerang.
—Je te fais une proposition. Tu te branles devant moi, et si le spectacle me convient, je te laisserai venir en moi. Qu’est-ce que tu en dis?
Je n’aurais pas du me laisser manipuler une fois de plus. Mais je m’étais dit que si y avait une possibilité. Quand elle me manipulait comme cela, il y avait la plupart du temps une fin de non-retour, mais aussi, parfois, un aboutissement, manoeuvre habile qui me faisait espérer les fois suivantes.
Ca ne me gênait d’ailleurs pas de me donner du plaisir devant elle. C’était une manière de retourner la situation, car si elle me troublait en s’offrant ainsi, de la manière la plus intime qui soit, je savais que voir ma queue gorgée de sang, dressée, décalottée, avec du liquide sortant de mon méat, la troublait aussi.
Elle m’excitait tellement que la voir simplement, sans même qu’elle s’exhibe, me faisait durcir très vite. C’est une queue en pleine érection que j’ai dégagée, et sur laquelle j’ai fait aller et venir ma main.
Elle a ôté ses doigts de son intérieur. Ils n’étaient plus nécessaires, à vrai dire, car son sexe s’était autant dilaté que ma queue, et il restait ouvert naturellement, sans qu’on le force.
Beaucoup d’hommes aiment voir une fille se caresser. Je n’étais pas vraiment différent. Elle a amené ses doigts sur la zone de son clitoris, et elle s’ est mise à se caresser, en frottant la pulpe de son index sur ses chairs les plus intimes. Elle ne quittait pas ma queue congestionnée des yeux, et son plaisir était double, à la fois de mater ma queue et de se toucher.
A ma grande surprise, sans doute parce qu’elle était dans un bon jour, elle m’a dit:
—J’ai envie de te sentir dans ma chatte…
ou simplement parce que le plaisir de me sentir en elle l’emportait sur celui de jouer avec moi.
Elle s’est levée. La robe est redescendue, de quelques centimètres seulement. Elle a fait les quelques mètres qui nous séparaient, pour venir pile devant moi. Elle a remonté sa robe à sa taille, en s’efforçant de la caler à sa taille, me dévoilant son ventre nu sous un autre angle. Elle a attrapé ma queue, j’ai senti sa main autour de moi, chaude et douce. Elle m’a caressé, moins pour me faire durcir, j’étais déjà très dur que pour éprouver la sensation de ma queue dans sa main. Puis elle s’est laissée descendre sur moi.
C’est au moment où mon gland allait rentrer en contact avec ses lèvres que je me suis réveillé en crachant mon sperme.
Le jour du forum était enfin arrivé. On était là pour superviser. Il y avait comme toujours du mouvement, du bruit.
On devait être sur le pont très tôt. En effet certains, qui venaient de très loin, arrivaient sur le coup de sept heures. Donc on s’était positionnés tous les trois, dans le hall, sur le coup de six heures et demi. Chaque année c’était pareil. Il y avait le calme et puis tout d’un coup, tout se mettait en branle, et le mouvement amorcé ne cessait que le soir.
J’étais relativement serein par rapport à Tiphaine. Mes angoisses des jours précédents s’étaient calmées. Le trait était tiré, et même si elle ne me laissait pas totalement indifférent, je me sentais capable de surmonter cela.
Ce qui me préoccupait plus, c’était Alix. Je me posais beaucoup de questions concernant notre relation, ce que je pouvais ressentir pour elle, et ce qu’elle pouvait ressentir pour moi.
Se pouvait-il qu’on bascule sur autre chose? Et était-ce une bonne chose?
Elle était superbe aujourd’hui, dans une robe que je lui voyais pour la première fois, noire, simple, mais qui mettait en valeur sa silhouette, la simplicité est parfois la meilleure des choses, le visage dégagé parce qu’elle avait rassemblé ses cheveux dans un chignon, soulignant le dessin classique de son visage. Elle avait opté, une touche un rien inhabituelle chez elle, pour une paire de cuissardes de velours jaunes, qui tranchaient avec le noir de sa robe, et lui donnaient une touche sexy. Une manière peut-être de me dire qu’elle pouvait l’être autant que celle qui allait arriver d’ici quelques minutes.
On avait l’habitude de se déplacer entre l’entrée du gigantesque hall et le grand parking mis à la disposition des visiteurs. En effet, ils arrivaient souvent avec beaucoup de matériel et on les aidait à le transporter.
C’est comme ça que j’ai revu Tiphaine.
Les gens venaient souvent avec des fourgonnettes, des camionnettes, bref du véhicule permettant de transporter leur matériel.
J’aidais une équipe à descendre des roll-up quand j’ai entendu un long gémissement.
Et ce gémissement, je l’ai reconnu.
Sans doute que tous les gémissements ne se ressemblent pas. Le sien en tout cas était pour moi, unique. Non qu’il le soit vraiment, mais je savais l’identifier.
J’ai contourné la camionnette discrètement. Je n’ai pas été déçu. Elle n’avait pas changé. Toujours cette manière de prendre du plaisir où elle avait envie, quand elle avait envie…Elle s’arrangeait toujours pour tordre les règles en sa faveur…
L’arrière d’un van était grand ouvert, laissant voir du matériel. Apparemment, la moitié du contenu avait déjà été vidé. Sans doute elle et le garçon qui l’accompagnait avaient-ils jugé nécessaire de faire une pause, ou bien l’avait-elle entrainé saisie par une de ces envies irrésistibles dont on ne disait que les femmes n’avaient jamais.
Si j’avais pu en douter, en tout cas, en huit mois, elle ne s’était pas dégradée. Au contraire, elle avait gagné un éclat, une maturité qui la rendait encore plus irrésistible.
Pour la journée portes ouvertes, elle s’était faite élégante. Elle avait un tailleur jupe veste gris trié de bandes blanches, qui semblait porté pour la première fois. Une veste sur un débardeur bleu ciel dont je ne voyais qu’une partie et une jupe qui reprendrait sans doute sa position initiale plus tard, mais qui, pour l’instant, était remontée à sa taille, alors qu’une boule d’étoffe du même bleu que le débardeur, elle avait toujours été sensible aux accords, était descendue et étirée entre ses chevilles.
Je retrouvais ce corps, et son dessin, que je connaissais depuis pas mal de temps, que j’avais oublié petit à petit; Je me testais. Pas si désagréablement surpris que ça de constater que je pouvais maintenir une distance entre elle et moi. Et que je n’éprouvais pas de jalousie pour le gars qui faisait aller et venir sa queue congestionnée, et sans doute gainée précipitamment d’une capote dans le sexe qu’elle lui offrait, niché en dessous de deux fesses rondes et cambrées. Je la retrouvais dans le dessin de son corps, mais aussi dans ses gémissements…
La queue du gars était longue et épaisse, et j’avais l’impression qu’elle prenait encore du volume à chaque aller et retour…
Elle s’est retournée, et elle s’est laissée glisser devant lui, m’offrant son visage. Elle était vraiment magnifique, et elle ferait encore de nombreux ravages dans la gent masculine.
Elle a retiré le préservatif vivement, et elle est venue tourner de la langue sur le gland congestionné. Elle était parfaitement maquillée. Ca m’a rappelé une sortie à deux. On devait aller chez des amis à elle, pour une soirée. Elle s’était aussi faite belle. Elle m’avait dit, alors que je conduisais:
—Arrête-toi sur le parking là…J’ai envie de sexe…Je vais te prendre dans ma bouche, j’ai envie de sucer une queue…
Elle avait tiré ma queue de mon pantalon, et m’avait masturbé doucement, en léchant mes couilles. Elle changeait constamment de technique, et c’était une de ses forces. Quand elle avait senti que j’approchais de la jouissance elle m’avait dit:
—Je voudrais que tu craches ton sperme sur mon visage, mais je n’ai pas envie de refaire mon maquillage…Je vais te prendre dans ma bouche, et tu vas tout cracher dans ma gorge…J’aime aussi boire ton sperme…
Je me doutais qu’elle allait agir à l’identique.
Comme une confirmation qu’elle n’avait pas changé, quand elle a senti qu’il allait jouir, elle l’a gainé de sa bouche, ses joues déformées par la queue, et elle ne l’a pas lâché alors que, sa queue agitée de spasmes, il jouissait, se vidant de tout son sperme en elle.
Je me suis éclipsé, rassemblant le matériel, et les laissant partir devant.
J’avais imaginé que, si nous devions nous revoir, je serais bouleversé, et que je retrouverais la force de mes sentiments pour elle. Au lieu de cela, je n’ai ressenti qu’une plate et morne indifférence. Ce qui m’avait ému autrefois ne me touchait absolument plus. Je ne voyais qu’une fille superficielle qui cherchait à paraître, mais qui n’avait aucune profondeur. Tout le contraire d’Alix, moins soucieuse de son apparence, mais au final plus belle parce qu’elle avait en elle de la chaleur, de l’attention, de l’affection.
Les choses ont suivi leur cours, dans le mouvement perpétuel du forum.
Ca a été vers onze heures que nous nous sommes croisés. On est tombés nez à nez, je transportais des chaises, elle revenait avec un café du point buvette.
Elle m’a regardé et m’a souri. Dans ce sourire, il y avait la certitude d’avoir encore de la puissance sur moi. Illusion qui s’est délitée, lui faisant perdre de la contenance, une expression de profond dépit marquant son visage. Elle m’a tourné la tête et a continué sa route, partant vers la gauche, vers son stand.
J’ai été pris dans un tourbillon. Il a fallu s’occuper de mille et un détails. Ca n’a pas arrêté.
Je l’ai recroisée plusieurs fois.
Son regard a accroché le mien. J’ai lu beaucoup de messages que j’ai peut-être interprétés. Mais, c’était à présent une certitude, je ne ressentais plus rien pour elle.
Mais j’ai aussi croisé plusieurs fois Alix. Son regard a aussi accroché le mien. J’y ai lu beaucoup de messages que j’ai peut-être interprétés. Ou pas. Une sorte de reproche. Tu n’as pas su comprendre ce que tu m’inspirais. J’étais aussi bien pour toi qu’elle. Moi, je ne t’aurais pas fait de mal.
Elle était magnifique. Mais ça, je n’avais pas su le voir plus tôt.
Sur le coup de seize heures, les choses ont commencé à se calmer. Le forum s’est vidé petit à petit.
Il fallait maintenant défaire ce qui avait été assemblé. Trois heures de travail pour tout ranger. Même si on avait de l’aide.
On s’est retrouvés elle et moi, par hasard, ou pas, dans la salle où on rangeait le matériel. Je venais d’amener une floppée de vidéo-projecteurs. J’allais ressortir. Elle arrivait. On s’est trouvés nez à nez. A quelques centimètres l’un de l’autre. On s’est regardés longuement.
On n’a pas dit un mot, et ça a été l’explosion. Quelque chose de violent, d’autant plus violent qu’elle avait envie depuis longtemps, et que j’avais pris conscience de ce que j’avais pu rater. Nos bouches se sont accrochées, et on s’est embrassés frénétiquement, et nos langues mêlées, en même temps que nos mains caressaient le corps de l’autre à travers nos vêtements. Quand on s’est détachés, je lui ai dit:
–Je suis.. J’ai été vraiment idiot. Je n’ai pas su voir l’évidence. Que tu étais celle qu’il me fallait. Et que je t’intéressais depuis longtemps.
–Ce qui est important c’est que tu le voies maintenant. Sans doute que tu n’étais pas prêt avant, elle m’a répondu avec cette bienveillance qui était la sienne.
Elle est partie vers la porte. Je me suis demandé ce qu’elle faisait, avant de comprendre qu’elle la bloquait. Elle s’est retournée.
—J’ai envie de sexe, là, maintenant. On peut avoir dix minutes pour nous…
Elle est revenue vers moi, glissant vers une table, contre laquelle elle s’est appuyée. Elle a soulevé sa robe noire, dévoilant ses jambes gainées du nylon d’un collant qui s’engloutissaient dans les cuissardes de velours jaunes qui me fascinaient. Sous le collant elle avait un slip noir, assorti au soutien-gorge dont j’apercevais les bretelles sous le chemisier.
—Viens, j’ai envie, maintenant.
J’avais eu de nombreux torts, mais sans doute celui de la regarder comme si elle était une créature totalement asexuée. Elle me jetait au visage que ce n’était pas le cas, et qu’on pouvait la désirer. Et ça me remuait cent fois plus que d’avoir revu quelqu’un qui ne comptait plus pour moi, j’en avais maintenant la certitude.
Elle allait glisser ses doigts dans le collant pour le tirer vers le bas, mais je me suis tendu vers elle, j’ai attrapé le rebord du sous-vêtement, et je l’ai descendu doucement, m’arrêtant un instant pour prendre au passage le slip dans ma descente. Les cuissardes limitaient la descente de sous-vêtements mais c’était quand même suffisant pour que je puisse accéder à son ventre.
Elle avait des cuisses épaisses, sans doute quelques kilos de trop autour de la taille, mais cela n’empêchait pas qu’elle soit désirable.
Je me suis penché sur elle, alors qu’elle basculait en arrière sur la table, quand elle a compris que je voulais la caresser.
Son pubis était orné d’un triangle blond qu’elle avait soigneusement taillé, mais laissé dans sa quasi intégralité, ne suivant pas la mode, et juste en dessous, son sexe s’ouvrait, le renflement gonflé s’écartant pour laisser jaillir des lèvres gorgées de sang. Je suis venu sur elle de ma bouche, glissant sur elle, et la faisant gémir, dans des caresses qui seraient forcément brèves et imparfaites. Mais ce n’était qu’un avant-gout du plaisir que nous pourrions avoir quand nous aurions plus du temps, et dont la brièveté entrainait l’intensité. Elle a gémi, d’un gémissement différent de celui de Tiphaine, comme la preuve rassurante qu’elle était bien différente d’elle.
J’en avais maintenant la certitude, Tiphaine resterait dans le passé, un souvenir qui se dissolvait, alors qu’elle venait juste de quitter le forum.
—Viens dans mon sexe, j’ai envie qu’on s’unisse comme ça…
Elle a eu un sourire teinté de mélancolie.
—Ca fait pas mal de temps que je me trimbale avec des capotes sur moi, en espérant qu’on les utilise. Ce jour est enfin arrivé, et je n’y croyais plus.
Elle a glissé une main dans la poche de sa veste, et elle en a tiré un préservatif emballé de papier d’argent.
—J’espérais plus aujourd’hui…Je me disais que ce serait un tournant…Soit tu retournais avec elle, soit tu venais vers moi. Définitivement.
Elle s’est penchée vers moi et elle m’a défait, mettant ma queue à nu. Elle l’a caressée doucement, avant de faire glisser le latex dessus. Elle m’a pris par les hanches, et amené vers elle. La tête de mon sexe a rencontré ses chairs intimes. J’ai eu un mouvement de hanches, et je me suis retrouvé en elle…Elle s’est laissée aller en arrière, pendant que je glissais en elle. Je ne me suis pas totalement enfoncé dans son sexe, seulement aux trois quarts, mais les sensations étaient déjà très intenses. Elle s’est mise à couler sur moi, d’un liquide chaud et abondant, en même temps qu’elle défaisait son chemisier, révélant son soutien-gorge. Elle en a extrait deux seins lourds, dont les tétons se sont érigés sous mes yeux, qu’elle s’est mise à caresser de ses doigts…
Je me suis poussé en elle jusqu’à ce que mon gland vienne cogner contre son utérus, avant de me mettre à aller et venir en elle, surpris de ce plaisir, partagé, et intense.
Le plaisir l’a très vite submergée, elle s’est tendue, premier de plusieurs orgasmes qui l’ont secouée, la faisant m’arroser de ses jus intimes de manière intense à chaque pic de plaisir. Quand elle a senti que j’allais jouir, elle m’a arraché d’elle, et elle a fait glisser le préservatif pour mettre ma queue dilatée à nu. Je me suis demandé où elle voulait en venir. Elle a amené ma queue contre une des cuissardes, et elle m’a masturbé jusqu’à me faire jouir, mon sperme souillant le jaune de la cuissarde de blanc.
—Ca me fera un souvenir.
On s’est rajustés. Je ne l’avais jamais vue aussi radieuse.
—On finit de ranger, elle a proposé, en allant débloquer la porte, et ensuite on part ensemble. Ca te dirait qu’on aille passer les prochains jours dans ma famille?
J’avais conscience que je prenais un nouveau chemin, et que celui-ci serait plus beau que celui que j’avais emprunté avec Tiphaine.
Elle m’a souri, et on a été chercher le matériel qui restait à ranger.
Elle a rajouté:
–C’ était bien avant. Ce sera mieux maintenant. On finit de ranger, et on aura tout le temps du monde pour nous. Jusqu’à l’éternité.
Avec du soleil dans la tête, ragaillardis par cette relation qui commençait et nous promettait de belles choses, on a repris nos tâches de rangement. La soirée serait bientôt à nous, et elle serait belle.
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