—Je te sens différent, m’a dit Emilie.
—Ah, j’ai répondu.
—Oui, ça fait plusieurs jours qu’à certains moments, tu as une éclipse, même si ça ne dure que quelques secondes. Avant, c’était pas pareil. Tu étais TOUJOURS avec moi.
Et pourtant aujourd’hui, elle avait tout ce qu’il fallait pour que je sois avec elle. Depuis qu’on se voyait en dehors du garage, elle avait une nouvelle aura. Une lumière intérieure qui irradiait les autres, et ça changeait tout. Je comprenais bien qu’elle envisageait à présent que quelque chose de solide se construise entre nous. Qu’à terme, on s’établisse ensemble. Quel homme n’aurait pas été heureux d’une telle perspective? Emilie était vraiment magnifique, elle aimait le sexe, était imaginative, et la perspective de profiter de ses soeurs, voire plus, aurait rendu n’importe quel homme fou de joie et de désir.
Mais j’avais autre chose dans la tête. Ce monde parallèle qui incarnait un Eden absolu avec des femmes offertes aux capacités physiques hors du commun.
—Tu as des soucis?
—Non ça va.
C’était peut-être ça finalement le souci. Ca allait trop bien. D’un côté j’étais comblé avec la secrétaire du garage qui était devenue ma maitresse et me donnait, autant que je le voulais ses capacités physiques exceptionnelles, de l’autre Emilie et ses soeurs…
Mais ça n’était pas tout à fait vrai, car je pensais de plus en plus à ce monde parallèle, et à la proposition, renouvelée par la superbe brune.
Pourquoi ne pas rester là-bas une bonne fois pour toutes?
La seule chose qui me retenait vraiment, c’était que je sentais que je m’étais attaché à Emilie. Au-delà du sexe, au fil des mois, à travers celui-ci un lien s’était noué.
Cela faisait trois semaines maintenant que j’avais été chez elle pour la première fois, et Emilie avait ajouté une touche d’érotisme à ses tenues, qui, à en juger par les regards masculins qui se posaient sur elle, remuaient pas mal de libidos. Ce jour, elle avait opté pour une robe en lainage couleur rouille, ultra moulante, qui mettait en évidence ses charmes. Elle était très courte, laissant profiter au maximum de ses jambes, gainées par un collant gris mais surtout par de magnifiques cuissardes noires, qu’elle portait d’évidence pour la première fois, et qui sentaient le cuir neuf.
—Quand ils vont te voir, aujourd’hui, tous les hommes vont avoir la queue raide.
—C’est le but, elle avait répondu. Mais le seul dont la queue aura droit à mes faveurs, ce sera toi.
—Je me sens privilégié.
Sous le collant, elle n’avait pas de slip, et comme le lycra était translucide…Il y avait pas mal d’hommes, et sans doute de femmes aussi, qui allaient être perturbés dans la journée.
Elle m’avait défait, m’avait trouvé raide, mais m’avait quand même caressé, plus pour le plaisir que pour me faire encore durcir, avant de descendre son collant, de venir s’asseoir sur moi et de faire rentrer sa queue en moi. Ce n’était pas la première fois, mais je ne me sentais pas lassé, au contraire. Il y avait quelque chose de rassurant dans notre relation, de familier qui n’empêchait ni l’excitation, ni l’imagination, ni la nouveauté.
—Retiens-toi, ne jouis pas tout de suite…
Cette phrase m’avait rappelé la phrase de la secrétaire, tissant un lien entre les deux mondes. Et me rappelant cette question: Ou voulais-je vivre?
—Ah c’est bon, avoir ta queue en moi et la sentir me frotter à l’intérieur, ça me donne du courage pour la journée, elle m’a dit en se faisant monter et descendre sur moi. Ca fait plusieurs fois que tu viens chez moi, mais je n’ai jamais été chez toi…Tu m’inviterais?
—Quand tu veux…Tu pourrais venir manger ce soir?
—Je pourrais rester la nuit?
J’ai failli lui dire:
-Non pas la nuit…J’ai pas envie que tu m’enlèves ça…
On ferait l’amour, ma nuit serait écourtée…Je voulais aller dans l’autre monde. Il faudrait que je me débrouille pour qu’elle ne reste pas.
—Je crois que je vais jouir, elle a dit, en accélérant le mouvement sur moi.
Elle s’est figée, m’arrosant de liquide. Je pourrais m’essuyer après.
Je pensais qu’elle voulait me finir avec sa bouche ou sa main, mais ce n’était pas ça. Elle s’est décalée,
—C’est la première fois que je les porte. J’ai envie que tu les baptises avec ton sperme…Et puis je suis sûre que c’est bon pour le cuir.
Elle a levé une jambe et l’a faite frotter contre mon gland. La sensation était aussi inédite qu’excitante, et j’ai du me retenir pour ne pas jouir. Contre ma chair, le cuir a d’abord été froid, puis il s’est réchauffé jusqu’à me brûler, lisse et irritant.
—Ca a l’air de te plaire, t’es encore entrain de grossir. Je ne t’ai jamais vu aussi gros.
C’était vrai que la sensation me plaisait énormément…C’était inédit et troublant.
—On dit que tous les hommes sont fétichistes…Ca ne doit pas être totalement faux.
Ca l’a été encore plus, quand, très dilaté, j’ai commencé à jouir. Elle a eu un petit rire pendant qu’on regardait tous les deux ma semence, qui sortait en une réserve inépuisable, maculer le cuir noir de traits blancs. Elle m’a fait passer d’une botte à l’autre. Rêveuse, elle a ramassé quelques traits de sperme, faisant rentrer le reste dans le cuir d’un mouvement circulaire. Jusqu’à se rendre compte que j’étais encore tout dur.
—J’ai envie de te reprendre dans mon ventre…Tu crois qu’on a le temps?
Elle m’avait proposé qu’on fasse un test, il y avait deux semaines, pour pouvoir se passer de préservatif. Comme il était négatif, on se passait tous les deux à présent de protection et, cela lui procurait des plaisirs nouveaux. Ainsi qu’elle me l’avait dit, elle aimait que je la remplisse de sperme, le garder en elle, et le sentir couler dans la journée, en repensant à notre étreinte. ‘Ca m’aide à oublier le côté le plus morose de ce métier.’
Elle avait eu ce qu’elle voulait. On était encore excités, à vif. Elle se frottait le clitoris, et elle a joui quand elle a senti mon sperme jaillir dans son vagin et venir taper contre ses muqueuses. Quand elle a remonté le collant sur elle, j’ai vu un trait de sperme couler au bord de son vagin et venir marquer le lycra. Si elle y pensait toute la journée, c’était mon cas aussi.
On est partis chez moi, elle me suivant en voiture, le soir même.
Bien sûr, je l’ai amenée dans la pièce où il y avait cette gigantesque maquette. Je voulais la partager au moins avec quelqu’un.
—Mais qu’est-ce que c’est? C’est…Impressionnant.
—Le chef d’oeuvre de mon père. Des années de travail, et il l’a retouché jusque dans les derniers jours.
Elle a tourné soigneusement autour de la maquette géante.
—C’est sûr, je n’aurais pas la patience d’en faire autant.
Ca a été plutôt tard, on dinait qu’elle m’a dit:
—Tu vas dire que je suis folle, mais…Je sens quelque chose de négatif ici…
J’ai été surpris par ses paroles.
—De négatif…Tu fais allusion à quoi?
—Des ondes mauvaises…
—Et ça viendrait de moi, je lui ai demandé, un peu surpris.
—Non…De la pièce là-bas…De cette maquette géante.
Ses paroles m’ont fait réfléchir. Je connaissais bien Emilie à présent, c’était quelqu’un de totalement sensé, et si elle disait quelque chose, c’était généralement vrai.
Cela correspondait d’ailleurs plus ou moins à ce que je commençais à percevoir la nuit. J’avais l’intuition, sans que cela repose sur rien d’autre qu’un ressenti, que ceux que je croisais n’étaient pas aussi heureux qu’ils voulaient bien le dire. Le sexe, pratiqué à outrance m’apparaissait à présent comme une sorte de dérivatif qui leur permettait d’oublier. Et je commençais à me demander si j’y avais bien ma place. Mon père avait pu y trouver le bonheur. Ce ne serait pas forcément mon cas.
Ca a été deux jours après que j’ai eu un SMS de Monique, la mère d’Emilie. Je vous ai invité à passer me voir quand vous seriez libre, mais vous n’êtes jamais passé. Ca vous dirait de venir boire un café cet après-midi?
J’ai débarqué chez elle sur le coup de trois heures. Je venais de finir ma journée. Elle est venue ouvrir et m’a jeté un regard et un sourire sans équivoques, dans lesquels on pouvait lire plusieurs messages. J’ai envie de sexe moi aussi. Je sais ce que tu fais avec ma fille. Avec moi aussi tu pourrais avoir des moments sympas…
Elle avait des kilos en trop, mais ça lui allait bien d’avoir des rondeurs aussi marquées. Elle m’a fait rentrer, puis elle a attrapé ma main, et elle l’a fourrée dans son caleçon qu’elle portait à même la peau, la plaquant contre son sexe. Un jaillissement de sécrétion vaginale est venu taper contre la paume de ma main.
—Touche , tu me diras si le paysage te plait et si tu as envie qu’on aille plus loin, après le café.
Je l’ai caressée en même temps que je prenais la mesure de ce qu’elle m’offrait. Un pubis gonflé, un sexe qui s’ouvrait au contact de ma main, l’inondant, un clitoris dont l’extrémité venait appuyer contre moi. Ce qu’elle avait à me donner c’étaient ses formes voluptueuses de MILF, exacerbées par l’âge.
—Viens je vais te faire quelque chose qu’aucune fille ne t’a fait sans doute.
J’ai failli lui répondre que c’était un peu une spécialité familiale. Elle nous a servi deux tasses de café, qu’elle a disposées sur la table basse à côté du divan. Puis, elle a fait tomber sa veste de survêtement. Dessous, elle avait un T-shirt qui est passé par dessus ses épaules. Restait un soutien-gorge rouge, grande taille, qui enveloppait une poitrine volumineuse, qu’elle a mise à nu. Contrairement à ce que j’aurais pu craindre, ses seins, s’ils étaient très charnus, ne tombaient pas. Ils s’épanouissaient, dans toute leur plénitude.
Elle est venue caresser en même temps ses deux tétons, les frottant de la pulpe de ses doigts. Ils ont pris un volume qui m’a impressionné, aussi bien en épaisseur qu’en longueur. Je n’en avais jamais vu de pareils, et pourtant Emilie avait partiellement hérité des tétons de sa mère. Mais il est vrai que la copie n’égale jamais l’original.
—Tu veux en prendre un dans ta bouche?, elle m’a proposé.
J’ai plongé dessus, la bouche la première. A téton exceptionnel, sensation exceptionnelle. Sa chair m’a rempli la bouche. C’était assez proche de ce que dans l’autre monde, je pouvais ressentir quand je prenais le sexe d’Adrienne dans ma bouche. Et en même temps différent. J’ai fait tourner ma langue dessus. Elle a gémi, partie sensible chez elle comme chez pas mal de femmes. J’ai été d’un sein à l’autre, d’un téton à l’autre pendant qu’elle se masturbait, la main fourrée dans son caleçon, qu’elle a fini par baisser pour se mettre à nu. Son clitoris, en haut de l’ouverture de son sexe était en harmonie avec ses tétons. J’en avais rarement vu un aussi gros.
Une fois dégagée, elle m’a défait.
—Tu as une belle queue, elle a fait remarquer. Emilie doit bien en profiter. Et elle n’est pas la seule.
Décidément les femmes V… ne gardaient aucun secret entre elles. Mais cela ne me déstabilisait absolument plus. Au contraire, je trouvais que ça participait de l’excitation que ces femmes pouvaient procurer.
J’avais bien compris ce à quoi les tétons ultra gonflés devaient servir, et je ne m’étais pas trompé. Empoignant son sein, elle est venue promener le téton le long de ma queue. Une caresse aussi inédite qu’excitante. Ca m’a d’ailleurs tellement excité que j’ai lâché un jet de sperme qui est venu maculer son sein, jet de sperme qu’elle a récupéré de la pulpe des doigts pour le laper. Elle est même descendue sur mes couilles, avant de changer de sein, et de venir tourner sur mon gland congestionné. Je devais vraiment me maîtriser pour ne pas jouir. mais s’il y avait bien une chose que j’avais apprise, dans un monde comme dans l’autre, c’était à tenir.
—Viens sur mon clito maintenant. Tu as vu comme il est gros?
Il était effectivement impressionnant. Long, épais, décalotté à présent. On s’est calés dans une position différente, je me suis laissé glisser sur le divan, et elle est venue en surplomb de moi. Elle a attrapé ma queue, et mon gland est venu frotter contre son clitoris, tout gonflé. C’était un peu comme lorsque Adrienne et moi nous frottions nos queues l’une contre l’autre, mais en même temps différent, car son clitoris n’avait pas le volume d’une verge d’homme. Mais sans doute que ce décalage, le fait qu’il soit une taille en dessous, rendait les choses plus excitantes encore.
—Quand tu sentiras que tu vas jouir, je veux que tu enfonces ta queue dans mon vagin, aussi profond que possible. J’ai envie de sentir ton sperme jaillir, que tu m’en remplisses, que je la garde en moi et que je le sente couler.
J’ai eu envie de lui dire que c’était une passion familiale, héréditaire peut-être, mais je me suis tu.
Elle ne s’est pas contentée de balader son clitoris sur ma queue, comme elle l’avait fait pour son téton, elle a été beaucoup plus loin.
Elle s’est penchée sur moi, a attrapé ma queue, et sa langue est venue tourner sur mon méat. Ensuite, elle a baladé sa langue dessus, s’efforçant après de la pousser dans l’ouverture qui couronnait mon gland. Je croyais deviner où elle voulait en venir. Et je me disais que c’était impossible.
Quelques secondes plus tard, on regardait tous les deux son clitoris appuyer contre mon méat, avant de s’y enfoncer de quelques millimètres. Puis elle a glissé en moi, et je me suis senti rempli, comme une femme peut sentir son vagin rempli par la queue d’un homme. Ca m’a surpris, mais ça m’a aussi procuré du plaisir, et j’ai cru que j’allais jouir. Mais dans un sursaut, je suis parvenu à me maitriser. Elle m’a enfilé les trois quarts de son clitoris, avant de bouger en moi…La sensation me submergeait totalement, une caresse somptueuse. Je suis arrivé en tout cas à contrôler et on a pu profiter de ce moment, parce que j’ai bien compris qu’elle prenait aussi du plaisir. Son sexe était béant, un Niagara coulait d’elle.
—Et j’ai plein d’autres choses à te proposer…
—Je reviendrai, j’ai dit.
Etre l’amant d’Emilie, ça permettait au final d’avoir plein de bonus et de goodies…
—Je vais plus tenir très longtemps…
Elle a dégagé son clito. La caresse l’avait fait encore allonger et épaissir. Je sentais que j’allais exploser d’ici une poignée de secondes. Elle a guidé la tête de ma queue vers ses lèvres et elle s’est laissée descendre sur moi, en prenant soin toutefois de ne pas s’appuyer sur moi. J’ai senti la chaleur brulante de sa vulve autour de moi. J’aurais peut-être pu tenir quelques secondes de plus, mais c’est l’onctuosité de sa vulve autour de moi, et cette chaleur intense qui ont fait que j’ai explosé, crachant jet de sperme sur jet de sperme et la faisant crier. Elle avait des kilos en trop, et pas mal d’années au compteur, mais c’était bien au final ce qui lui donnait tout son charme. Et l’idée que, dans les semaines à venir je pourrais bénéficier de moments aussi exceptionnels, dont je n’arrivais même pas à imaginer le contour m’électrisait.
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