Le temps avait glissé trop vite. Ce stage me rendait infiniment heureuse, autant parce que j’avais eu l’occasion d’apprendre vraiment mon futur métier, que pour tous ces moments de sexe.
Mon seul regret, c’était de ne pas avoir pu profiter de la queue de Norbert, qui me restait inaccessible.
Un matin, je m’en suis ouvert à son épouse. J’étais sur son sexe, je la fouillais de ma langue, m’efforçant de rentrer aussi loin que possible, me remplissant la bouche de ses jus. Elle gémissait. J’ai fait une pause, et je lui ai dit:
—Je n’ai qu’un regret. J’aurais voulu profiter de la queue de ton mari, depuis le premier jour. Tu ne t’en es pas rendue compte, mais quand je suis venue la première fois, je vous ai vus dans le glace de surveillance, imparfaitement, mais c’était en fait aussi excitant que si je vous avais vus directement. J’ai vu cette queue, bien longue, et j’aurais voulu en profiter.
—Ah, mais je crois que ça ne va pas être possible, elle m’a répondu.
—Pourquoi?
—On a souvent eu des stagiaires. Des filles très girondes. Autant que toi. Mon mari a toujours eu une règle: jamais de sexe avec les stagiaires. C’est un homme de principes. Donc, sa queue, je pense que tu n’en profiteras pas.
Elle a semblé réfléchir, avant d’ajouter:
—Mais il y a toujours un moyen. Je vais t’expliquer comment.
Elle m’a expliqué son scénario, et je l’ai trouvé excellent.
Ca s’est passé deux jours avant que je ne doive partir.
Un moment en début d’après-midi, qui, en son début, a énormément ressemblé à ce premier moment qui m’avait tant marqué. Moi, j’étais dans l’ombre, et j’attendais. Supposée faire l’inventaire des réserves. En fait, j’étais dans l’ombre du deuxième bâtiment, et par la porte ouverte, à défaut de voir, je pouvais entendre. Il était dans le cagibi. Bélinda s’est approchée, je l’ai vue passer. J’étais dans l’ombre, mais elle savait que j’étais là, elle a fait un clin d’oeil dans le vide, et elle lui a dit:
—J’ai envie de te sucer la queue. Phrase sans doute crue, mais qui au moins précisait clairement son envie.
—Ca fait toujours plaisir, il a répondu.
Je me suis glissée, traversant la ruelle, dans l’entrée latérale. Sous un autre angle, je pouvais voir dans le miroir de surveillance la queue de Norbert qui se gorgeait de sang, s’allongeant et s’épaississant sous la caresse buccale de Bélinda, qui faisait tourner sa langue sur sa chair. C’est toujours excitant de voir une queue prendre du volume.
C’est quand il a été bien long et bien dur qu’elle lui a dit:
—Ca te dirait de réaliser un de tes fantasmes?
—Je crois que j’en ai déjà réalise pas mal, il lui a répondu. A quoi tu penses?
—Tu m’as souvent dit que tu rêvais de te faire enculer.
—C’est le genre de fantasme qui ne se réalise pas facilement.
—Je crois que tu te trompes.
C’est à ce moment-là que j’ai fait mon apparition. Apparemment semblable aux autres jours, mais ça n’était pas vraiment le cas. Métamorphosée depuis une demi-heure à peu près. Autre et différente et surexcitée par cette métamorphose.
Finalement, ce vieux de rêve de l’humanité de changer de sexe n’était pas si difficile que ça à accomplir. Un simple gode ceinture suffisait. On se sentait autre. Mais pas supérieure, loin de là, comme bien des hommes convaincus que d’avoir une bite, ça changeait tout.
C’était Bélinda qui m’avait harnachée. Et une fois qu’elle avait disposé le gode ceinture de manière correcte, elle avait eu un geste qui m’avait plu. Elle avait attrapé la queue, et l’avait masturbée doucement. L’occasion pour moi de me rendre compte de la manière dont il fonctionnait, et que le moindre mouvement, si infime soit-il, avait un impact sur le socle, et en conséquence sur le sexe auquel il était collé…Difficile de ne pas éprouver du plaisir, et de ne pas jouir dans ces conditions. Et j’avais bel et bien joui, traversée par un premier orgasme, puis, alors qu’elle branlait le gode avec plus d’ardeur, par d’autres.
—Tu vois comme c’est bon? Je ne m’en passerais plus aujourd’hui. Un compagnon fidèle.
J’avais une courte jupette à volants. Elle l’a soulevée, et a montré à son mari la bite de plastique. Moi je n’avais d’yeux que pour sa queue, qui m’avait tant fascinée, bien dure, dressée.
—Je peux exhausser ton voeux le plus cher. Celui que tu m’as avoué une fois, mais que tu as préféré oublier depuis, et que tu n’oses pas vraiment t’avouer à toi-même. Ca te dit?
J’ai vu à son regard qu’il ne disait pas non.
Ca s’est mis en place très rapidement, sans qu’un seul mot ne soit échangé. Il s’est levé, et m’a laissé la place sur le fauteuil. La queue de plastique, dressée, avait quelque chose d’obscène. Bien plus qu’une vraie queue en fait.
Il s’est retourné, et m’a fait face, après avoir oté son pantalon et son caleçon. Exactement comme je le souhaitais. Je pouvais voir ainsi sa belle bite, collée à son ventre. Il s’est fait descendre pour approcher son anus de la queue de plastique. J’ai pensé un instant qu’il aurait fallu utiliser du lubrifiant, mais c’était déjà trop tard. Il a fait peser tout son poids sur la tête du pénis artificiel, et celle-ci est rentrée en lui de quelques millimètres seulement. Il a donné un coup de ventre, eu une grimace, sans doute de douleur, et la queue est rentrée cette fois vraiment, de plusieurs centimètres.
Il a glissé le long du gode jusqu’à se retrouver totalement emmanché. Alors, seulement, il a eu un sourire. J’aurais aimé avoir une vraie queue, mais ce n’était pas si mal que ça. Avec un peu d’imagination, il était facile de penser les sensations de son canal anal et de son rectum autour de la bite.
Debout devant nous, Bélinda avait baissé son jean et le slip en dentelle rouge qu’elle portait dessous, et elle se masturbait d’une main fébrile, dans des bruits visqueux.
Prenant appui sur les accoudoirs du fauteuil dans lequel j’étais installée, Norbert s’est mis à se faire monter et descendre sur la verge de plastique. Son visage, ses yeux, trahissaient son plaisir. Plaisir qui était aussi le mien, parce que le socle frottait contre mes parties sensibles. Tous les trois, on était vers une montée du plaisir commune, qui nous rapprochait intensément. Nous avions été proches pendant tout le stage mais nous l’étions plus que jamais à  ce moment précis.
Je craignais, que, le plaisir ne se localisant dans sa sphère anale, sa queue ne dégonfle, mais au contraire elle prenait des proportions inusitées. Et Dieu sait que le j’avais vu souvent gonflée, moi la voyeuse.  J’ai porté ma main desss, m’en remplissant. Epaisse, chaude et douce,  je l’avais enfin à portée comme j’en avais tant rêvé.
On avait adopté ce rythme, en parvenant, sans vraiment l’avoir cherché, à se caler les uns sur les autres. La main de Bélinda se masturbant, la mienne jouant avec la queue de son mari, et le gode fouillant le conduit anal de Norbert. Il a poussé une sorte de feulement et a balancé du sperme partout, alors que, n’arrivant plus à retenir la jouissance qui montait en moi depuis un moment, ‘ai explosé en hurlant, éjaculant comme un homme, et nous arrosant d’un liquide blanc.
Dans les deux jours qui ont suivi, je l’ai utilisé pas mal, ce gode. Harnachée du matin jusqu’au soir, je me plaisais à croire qu’il m’était vraiment poussé une queue. Je l’ai sodomisé plusieurs fois, le faisant jouir à chaque fois, et ayant, moi, des orgasmes intenses.
Nous nous sommes séparés, mais je retourne encore les voir. Et le gode fonctionne encore.
Voici l’histoire intime de mon stage.
Il faut maintenant que je passe le cahier à la prochaine.
Ce sera Mara, qui était en stage dans une grande surface de vente de matériels sportifs.

 

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