Sexe pour un gardien de cimetière partie 1

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frederic mancini


adultèreMILF


Partie 1

J’étais sous la treille dehors, quand j’ai entendu, dans mon dos, le bruit de la porte métallique. Il y avait un petit couinement, quand la porte s’ouvrait, même si je l’entretenais régulièrement, et si je la graissais, et aussi un choc léger quand elle venait taper contre le pilier.J’ai souri et j’ai continué de boire mon café en attendant qu’elle approche.
Cela faisait dix ans maintenant que Mathilde et moi étions amants. Mariée à un homme plus vieux qu’elle, avec une grosse différence d’âge, 30 ans, il était dans la logique des choses que celui parte plus tôt qu’elle. Même si la logique n’est pas toujours respectée. Elle s’ était retrouvée, à 42 ans, femme encore très désirable, sans homme dans sa vie, et sans forcément  l’envie de se lancer dans de grandes manoeuvres pour en retrouver un.
Parfois les solutions les plus simples sont les meilleures, et c’est tout naturellement qu’elle s’est tournée vers moi. Tout nous y poussait, à vrai dire. Cela faisait vingt ans que le couple habitait à côté de chez moi. J’étais célibataire, ne cherchant pas vraiment à me marier, préférant aller d’une femme à l’autre, habité depuis très longtemps par l’idée, l’obsession même qu’il ne fallait pas se limiter à une seule femme, mais en connaître maximum, chacune étant unique, comme un enrichissement.
Mathilde était une très jolie femme, qui m’inspirait depuis longtemps du désir, blonde, grande, avec des formes pleines. Elle exploitait largement sa féminité, la poussant à son maximum, pour plaire à son mari. Difficile de ne pas éprouver du désir pour elle, quand elle portait des hauts très décolletés, des robes collantes, des jupes fendues très hauts, des pantalons tellement moulants qu’ils ne laissaient pas grand chose à l’imagination…
Et puis il y avait déjà eu des rapprochements entre nous. En tant que voisins, mais aussi parce qu’une certaine amitié était née entre nous, son mari, elle et moi, nous nous voyions souvent. Elle était passée, alors que celui-ci était encore en vie, un dimanche après-midi, son mari était parti assister à un Grand Prix Automobile, sa passion. Je me souvenais bien de ce premier dimanche. Elle était particulièrement sexy, avec une jupe en cuir moulante, un chandail jaune canari, avec un col en V dont ses seins semblaient devoir jaillir, et les jambes gainées du nylon de ce qui s’était révélé être, par la suite, des bas, alors que j’avais d’abord pensé qu’elle portait un collant.
Je regardais une série à la télévision. Elle s’était posée près de moi, et m’avait dit, sans transition:
—J’ai envie de sexe.
Je n’avais pas été tant surpris que ça. Je n’y pensais pas constamment, mais je me disais souvent qu’on finirait par en arriver là un jour. Elle était affamée de sexe…Combien de fois je les avais surpris faisant l’amour…Leur relation était d’évidence, mais cela ne me choquait pas, essentiellement basée sur les plaisirs de la chair. J’avais bien senti aussi que je ne la laissais pas indifférente. Brouter toujours dans la même prairie… Le cheval le moins difficile a forcément envie, un jour, d’aller tenter d’autres pâturages.
Sans vraiment attendre un accord de ma part, elle s’était penchée sur moi et avait dégagé ma queue, d’autant plus accessible que je portais un simple pantalon de survêtement. Ma queue était au degré zéro de l’érection, mais la chaleur et la douceur de sa main sur moi m’avaient fait me durcir très vite. Elle avait plongé sur ma verge, la caressant avec une habileté dont j’avais été partiellement témoin auparavant. Me travaillant de la langue et de la bouche, elle m’avait intimé de retenir au maximum ma jouissance, ce que j’avais fait, jusqu’à ce que j’explose finalement. A ce moment j’étais dans sa bouche. Quand le premier jet de semence avait jailli, elle avait resserré ses lèvres sur moi autant qu’elle le pouvait, avec la volonté de ne pas perdre une goutte, et mon sperme avait coulé dans son gosier.
—On aurait pas du, je me demande si c’était une bonne idée, avait-elle conclu ce moment de sexe, avant d’aller se servir un café au percolateur dans la cuisine.
Des visites du dimanche après-midi pendant que son mari allait participer à des événements sportifs, il y en avait eu d’autres, tout comme des ‘On aurait pas du, je me demande si c’était une bonne idée’, phrase qui était devenue pour ainsi dire sa marque de fabrique, son trait personnel.
Et puis son mari était mort. Elle avait observé une période de deuil, qui n’avait pas duré très longtemps, jusqu’à ce qu’elle vienne me trouver, deux mois étaient passés durant lesquels on n’avait pas eu de rapports sexuels, et qu’elle me dise, en retroussant la robe qu’elle portait ce jour-là et sous laquelle elle ne portait absolument rien:
—J’ai trop envie de sexe. Viens…
Elle m’avait fait basculer sur le divan. J’étais venu explorer son sexe de la bouche et des doigts, la caressant longtemps, m’enivrant de ses sécrétions vaginales, avant qu’elle ne me dise:
—Mets ta queue dans mon ventre.
Je m’étais rendu compte, alors que je me glissais dans la gaine chaude de son vagin que ça m’avait manqué de la pénétrer, mais aussi tous les jeux autour, pendant ces deux mois. Il s’était crée entre nous un étrange lien, avec plus d’attachement qu’on ne l’aurait admis.
Difficile de définir précisément les relations qui peuvent exister entre hommes et femmes, d’en percevoir toutes les nuances.
Elle avait tout cas, trouvé, dans le rapport que nous avions l’un à l’autre, nous nous voyions pour des moments de sexe, mais aussi d’autres plus banals, on dinait souvent ensemble, début d’une soirée qui n’aboutissait pas forcément à un rapport,  une sorte d’équilibre. Ce qui était vrai aussi pour moi. J’allais vers d’autres femmes, sans culpabilité, mais je revenais toujours vers elle.
Je venais d’avaler ma dernière gorgée de café quand elle s’est posée devant moi. Secrétaire médicale, elle était prête pour aller travailler, sexy comme toujours. Un simple tailleur mais qui mettait en valeur sa féminité. Elle m’a fait un sourire  qui disait pas mal de choses, l’affection, le désir, avant de rouler sa jupe à sa taille. Dessous elle avait des bas stay-up et un slip rouge vif, qu’elle a amené dans son aine, dévoilant le dessin de son sexe. Elle s’est penchée pour tirer bas mon pantalon de pyjama, dévoilant ma queue qui se remplissait rapidement de sang. Le désir restait bien présent entre nous, il n’y avait rien d’usé. C’était un point plutôt positif.
Malgré les années, on utilisait toujours des préservatifs. Elle avait un côté un rien hypocondriaque, et puis ça valait mieux parce que j’avais une très nette tendance à batifoler à droite à gauche, même si je me protégeais toujours. Elle a plongé ses doigts dans son décolleté pour en tirer un préservatif emballé qu’elle a dépiauté. Elle en a gainé ma queue longue et dure.
—Je ne sais pas ce que je ferais sans ta bite…C’est une drogue dont j’ai du mal à me passer.
Elle est venue poser ses doigts contre ma queue, et l’a caressée doucement, l’effleurant, avant de descendre sur mes couilles qu’elle a délicatement pressées. Elle avait remarqué que j’adorais qu’on me caresse à cet endroit-là et elle me faisait passer par un éventail de sensations, qu’elle frôle mes couilles ou qu’elle les serre plus fort. Je devais me retenir pour ne pas jouir quand elle me caressait là… La toute première fois où elle avait travaillé mes couilles, j’avais joui, crachant mon sperme à grands traits. Mais j’avais encore la chance, même à mon âge, 53 ans, de pouvoir garder la queue dure, même si j’éjaculais…
Elle s’est laissée descendre sur moi. Dans un réflexe, je l’ai attrapée par les hanches. Elle a guidé ma queue vers l’ouverture de son sexe. Dans le peu de temps pendant lequel elle a glissé sur moi, j’ai vu son sexe se transformer d’excitation, s’ouvrir, ses lèvres se remplir de sang et s’allonger,  et ses liqueurs intimes couler avec intensité de son sexe, faisant luire ses chairs. Je me suis dit, alors que mon gland était avalé par ses lèvres, que c’était sans doute curieux, mais que l’effet qu’elle me faisait n’était pas prêt de s’épuiser.
Elle a avalé totalement ma queue, ses lèvres venant reposer contre mon pubis…Les sensations ont afflué autour de ma queue, remontant dans mon ventre…Le plaisir, comme toujours, a été immédiat, et intense… J’ai lâché ses hanches pour venir prendre sa croupe à pleines mains. J’adore ses fesses, elles sont pleines et fermes, mais surtout bien cambrées. J’aime les prendre dans mes mains, même si elles débordent.
Ce n’est pas toujours le cas, mais c’est moi qui ai donné le rythme…Mes mains accrochées à sa croupe, je l’ai faite monter et descendre sur ma queue. Ses muqueuses ont caressé ma queue, une caresse exquise qui m’a fait monter vers le plaisir, comme le frottement de mon membre dilaté contre ses chairs les plus sensibles lui procurait aussi du plaisir…Un échange de bons procédés. Pour moi, le plaisir c’était aussi voir tous les signes de la jouissance sur son visage, et dans les vibrations de son corps…
Elle  a fini par se soulever et extirper ma queue de son vagin…Je me regardais , dilaté à l’extrême, le capote ruisselant de ses jus intimes. Elle a attrapé ma queue et l’a guidée vers sa muqueuse anale, un mouvement léger vers l’arrière, pour amener mon gland contre les plissements de son anus. Elle s’est laissée glisser, et  a avalé ma queue. La première fois où elle m’avait entrainée à la sodomiser, j’avais pensé que ce serait difficile, et craint de lui faire mal, mais j’avais glissé en elle avec une facilité qui m’avait fait comprendre que non seulement ce n’était pas la première fois qu’elle se faisait sodomiser, mais qu’elle en avait tellement l’habitude que sa muqueuse s’était assouplie, et qu’il y avait peu de risques de lui faire mal.
Je savais, quand j’étais dans ce conduit délicieusement serré, que le compte à rebours s’enchainait très vite…Je me disais à chaque fois ‘La prochaine fois, je tiendrai plus longtemps…’ mais la fois suivante c’était pareil…La sensation m’excitait trop…Mais elle aimait aussi ce plaisir. Ce qui déclenchait également mon plaisir, sans aucun doute, c’était qu’elle amenait sa main sur son sexe et qu’elle se caressait, à chaque fois d’une manière différente. C’était cela aussi qui me faisait perdre le contrôle, qu’elle tourne sur son clitoris, s’enfonce les doigts entre les lèvres…
Elle est venue décalotter son clitoris, qui a jailli à l’air libre, tout gonflé, long et épais…Elle s’est mise à le caresser fébrilement. J’ai su, à voir cette caresse, que je n’allais pas tenir plus longtemps…Elle a joui avant moi. Je savais qu’elle avait un clitoris hyper-sensible, qui induisait tous les orgasmes, je m’en étais déjà rendu compte. J’ai explosé, lâchant un premier trait de sperme, qui l’a faite jouir à nouveau. Elle a continuer à se frotter de plus belle, allant d’orgasme en orgasme alors que je jouissais en elle, jusqu’à l’épuisement. On est restés longuement enlacés, avant de se séparer sans un mot. On se reverrait le soir, pour un diner commun.
Je suis passé sous la douche, puis je me suis habillé, et je suis parti pour une nouvelle journée de travail.

 

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