sexe pour un pompiste partie 1

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alex condamines


au travailMILF


Extrait d’un article de presse

Survivance des temps passés, la station-service E… est la dernière station de la ville à proposer un service avec des pompistes. Nombreux sont ceux qui s’y arrêtent, car ils apprécient les services rendus par le patron et ses employés.

Quand j’ai trouvé ce travail, pour payer mes études et tout ce qu’il va avec, j’ai été enchanté, parce qu’il y a ici un fort parfum de nostalgie. C’est une sorte de machine à remonter le temps, qui ramène vers une époque que je n’ai pas connue. Parce que les stations-service hors supermarché, et qui plus est avec un ou des pompistes, il n’y en a plus.

Dans cette ville riante, baignée de soleil, dans le Sud, il y a encore des stations en automatique. Et puis il y a nous. Chez les autres, on vient avec sa CB, on se sert, après avoir inséré sa carte dans une fente, tapé son code, eu un accord. Chez nous c’est radicalement différent. Il y a un contact humain, un bonjour, un au revoir, quelques paroles…

Nous sommes quatre, en plus du patron. Quatre pompistes, on n’est pas tous les quatre sur place, on a des horaires, du temps plein, du mi-temps…Deux étudiants, et deux plus vieux, autour de 40 et de 50, qui ont eu, si on a bien compris, pas mal d’accidents de la vie avant d’arriver ici.

En centre-ville, on est situés à un grand carrefour qui donne sur plusieurs axes qui définissent ce qu’est la ville. Une avenue et des immeubles de taille moyenne et trois rues, l’une de petits commerces, l’autre de bureaux, et la troisième de pavillons.

Malgré la concurrence des supermarchés, on se débrouille plutôt bien. On a une clientèle d’habitués. Dans les supermarchés, en se servant soi-même, on ne trouve aucun contact humain. Ce que les gens viennent chercher ici, ce sont quelques paroles, quelques plaisanteries, dans un monde où la froideur est la règle.

D’ailleurs, les contacts ont lieu sur bien des plans…

Elle est arrivée sur le coup de 15 heures.

Elle venait chercher de l’essence deux à trois fois par semaine, en fonction de ses besoins. Je ne savais pas grand-chose d’elle sinon ce que disait son véhicule. Une Peugeot 508. J’étais passionné de bagnoles depuis toujours, je connaissais bien les prix, et je savais que ce n’étais pas demain que je pourrais me payer un véhicule à 55 000 euros. Un véhicule magnifique, d’un rouge flamboyant. Elle appartenait sans aucun doute à la haute bourgeoisie de la ville, celle qui habitait sur les collines, qui avait des maisons dessinées par des architectes et de gigantesques piscines.

J’étais dans le magasin, j’ai vu le véhicule, et sa silhouette, au volant.

A sa dernière venue, mon collègue, Mike, qui avait 50 balais, était partie la servir. Il était revenu en souriant doucement.

–Elle veut que ce soit toi qui la serves.

J’avais bien remarqué, à son regard posé sur moi, un magnifique regard bleu océan, que je l’intéressais.

Je n’imaginais pas, en me précipitant pour aller vers le véhicule, que ce jour était celui du basculement.

Je ne savais ni son nom, ni son prénom. Tout ce que je savais, c’était qu’elle était une des plus belles MILF sur laquelle il m’avait jamais été donné de poser le regard. Elle avait du être magnifique dans sa jeunesse, mais l’âge lui donnait un charme particulier. Il arrive qu’on pousse un véhicule au maximum pour le tester. On aurait dit que les années avaient poussé au maximum sa beauté, et surtout sa sensualité. Car ce qui faisait sa force ce n’était pas tant une certaine perfection corporelle que le charme qu’elle exsudait par chaque pore de sa peau. Elle était définitivement troublante, et le moindre geste, le moindre mouvement, le moindre sourire, le moindre mouvement de cil vous mettait en transes.

Elle devait faire un mètre soixante-douze, moyennement grande donc, mais elle portait toujours des chaussures avec des talons fins et hauts qui avaient pour double avantage de la grandir et de la cambrer. Je ne l’avais jamais vue avec autre chose que ces talons fins, généralement des escarpins, ou des bottes et des cuissardes. Elle était très fine, et je soupçonnais chez elle une obsession de ne pas prendre de poids, justifiée par le fait que j’avais déjà remarqué à l’arrière de son véhicule des tenues de sport. J’avais le sentiment qu’il y avait chez elle la volonté de garder le contrôle, pour pas mal de choses.

Sa finesse, taille fine, jambes fines, mais extrêmement bien dessinées renforçaient l’attrait que pouvaient exercer ses parties plus charnues, celles, typiques d’une femme, sur lesquelles un homme aime poser les yeux. Elle avait une croupe haute, charnue, avantagée par une cambrure naturelle que ses talons accentuaient encore, mais aussi une superbe paire de seins, haute, ferme, bien ronde, dont j’étais absolument convaincue qu’elle devait pas mal de choses à la chirurgie. On aurait pu craindre le pire concernant son visage, mais il me semblait rester pur, et c’était tant mieux parce qu’elle avait la chance d’avoir un visage remarquablement harmonieux, des traits fins, et du Botox ou de la chirurgie l’aurait défigurée au lieux de l’améliorer.

Ce qui me troublait le plus, pourtant tenait en deux points. D’abord j’étais fan absolu de sa chevelure. Elle avait une crinière qui était à la fois longue et épaisse, d’un blond qui semblait naturel, des cheveux magnifiques, auxquels, sans nul doute, elle apportait beaucoup de soin, et puis il y avait son regard. Une nuance de bleu comme je n’en avais jamais vu auparavant, et surtout un mélange de lucidité, elle semblait lire en vous de manière implacable, et en même temps un désir de vous séduire jusqu’à l’hypnotisme. C’était une femme, j’étais jeune et sans doute sans expérience, mais je l’avais bien compris, qui était désespérément seule.

La portière s’est entrouverte juste avant que je n’arrive à sa hauteur. J’ai vu une jambe gainée de nylon sortir. Elle avait des bottes de cuir, froissées au niveau de la cheville, avec des talons ultra-fins qui devaient faire une dizaine de centimètres, luisantes, neuves ou alors déjà portées mais soigneusement entretenues.

Je me suis trouvée face à elle. Qui se tenait de trois-quarts face à moi et me souriait. Sa main aux ongles peints me tendait la clef du véhicule. Elle s’offrait à moi comme ça n’avait pas encore été le cas, et j’en ai pris plein les mirettes. Déstabilisé et avec la sensation d’avoir pris un coup de poing dans l’estomac.

Elle était superbe. Érotisée à l’extrême. Et elle s’offrait à mon regard.

–Je voudrais que vous me fassiez le plein. Et je ne dirais pas non à un coup d’éponge sur le pare-brise.

On offrait des services accessoires qui nous permettaient de nous faire un peu de liquide et pouvaient fidéliser le client.

Comme toujours, elle était habillée très près du corps, J’avais déjà un peu tout vu sur elle, des robes collantes, des jeans, des caleçons, des pantalons en vinyle qui ne laissaient pas grand-chose à l’imagination…Des hauts collants, eux aussi, serrés, décolletés…

Ce jour-là, elle avait un perfecto fuchsia, assorti avec le débardeur de la même couleur. La manière qu’avaient ses seins de tendre le tissu, ses tétons nettement visibles, bien durs, disaient qu’elle ne portait pas de soutien-gorge, mais aussi qu’elle n’en avait sans doute pas besoin avec des seins arrangés et qui ne tomberaient jamais.

Mon regard a glissé sur ses jambes. J’étais fan de nylon, j’aimais qu’une femme gaine ses jambes de bas, de collants, je considérais que ça magnifiait ses jambes. Celles de la MILF dont je ne connaissais pas le nom étaient vraiment superbes, fines mais pas trop maigres et impeccablement dessinées, et les bas stay-up qu’elle portait les mettait en valeur.

Mon regard a glissé en remontant sur elle. Il y avait les jarretières élastiquées des bas, qui enveloppaient sa cuisse à mi-chemin et…Plus haut encore, son ventre nu qu’elle offrait sans ambiguïté à mon regard, et ce d’autant plus qu’elle avait délibérément posé un pied hors de la voiture, gardant l’autre près des pédales, ce qui l’ouvrait au maximum. Elle était sans doute partie en hâte de chez elle, et elle n’avait pas eu le temps de prendre un slip, ou bien ils étaient tous à la machine, car elle offrait nettement à mon regard un sexe nu, que nul tissu ne couvrait.

C’était une arme de séduction massive. La première fois qu’elle s’exhibait aussi, dans une tentative de séduction évidente, ou alors je ne comprenais rien.

Mon regard est venu sur son intimité. Elle n’avait pas fait le choix de céder à la mode ambiante, et elle avait donc gardé une toison pubienne qui s’étalait sur son pubis, peut-être une manière de dire, de prouver qu’elle était une vraie blonde. Elle avait juste gommé les poils sur le pourtour de son sexe et donné une forme à sa toison, le fameux ticket de métro, mais un ticket large, et, contrairement à ceux qui étaient fans du sans poil, je trouvais ça bien.

En dessous de sa toison, il y avait son sexe de femme, qu’elle m’offrait, j’imaginais plus qu’à mon regard. Une ouverture dont émergeaient ses lèvres, chair délicate qui se dessinait différemment de chaque côté, Ce qui m’a le plus troublé, pourtant, ça n’a pas été de voir son intimité, mais cette métamorphose, qui s’est marquée d’une manière nette, à la fois perceptible et moins nettement perceptible : j’ai vu ses lèvres gonfler, prendre du volume, se charger de sang, et, en même temps, il y a eu un jet de sécrétion qui est sorti d’elle, et qui a coulé sur sa chair, venant son perdre dans le siège. Je me suis imaginé un instant venant renifler le siège si elle descendait pour y traquer l’odeur de son sexe, pas forcément la plus récente, mais toutes les empreintes intimes qui se seraient déposé en d’autres temps. J’avais toujours conçu, dès la première seconde où j’avais posé mon regard sur elle sans doute, qu’elle aimait le sexe, qu’elle était en recherche du plaisir, non pas tant pour le plaisir en lui-même, mais parce qu’il lui permettait de s’oublier, et d’oublier sa solitude.

L’espace d’un instant, j’ai eu une vision très nette de ce qui aurait pu se passer, comme l’écriture d’un monde parallèle. Et qui ne s’était pas fait. Parce que ce n’était pas le lieu, pas le moment. C’est souvent comme ça, au final, que se construisent les fantasmes. Ce qui pourrait être…Mais n’est pas…Sans doute que je me serais approché d’elle, et que je serais venu poser ma langue sur son sexe, venir laper les traces de ce premier jet de liquide, et peut-être, par ma caresse linguale, en susciter un autre, qui aurait coulé dans ma bouche. Parcourir ses lèvres, pour les faire se gonfler, sentir le relief de sa chair contre ma bouche, glisser ma langue en elle, venir caresser ses muqueuses les plus intimes, agacer le clitoris en haut de ses chairs…Un programme alléchant.

Mais il ne s’est rien passé, et, pendant qu’elle continuait de m’offrir son sexe, j’ai simplement approché d’elle et j’ai pris la clef de la voiture.

Au cas où je n’aurais pas compris le message, ses doigts, quand j’ai attrapé la clef, ont effleuré les miens et appuyé. Je pensais qu’elle allait me dire quelque chose, mais elle s’est tue. Il est vrai que le message corporel était suffisamment éloquent.

J’ai contourné le véhicule pour m’approcher de la pompe.

Ce qui m’arrivait n’était pas un cas isolé. Ici, on baignait dans un érotisme permanent, et les quatre hommes, sans compter le patron, qui travaillaient ici, étaient quasiment chaque jour, victimes de tentatives de séduction. Ce qui était intéressant, c’était que ça couvrait toutes les tranches d’âge. Ca allait des filles de vingt ans souvent fascinées par des hommes plus mûrs, à des filles de trente ans qui vivaient la routine du mariage, du travail et rêvaient d’autre chose, rêvant en imaginant qu’une relation avec un homme, même brève les boosterait, et puis il y avait aussi les femmes plus âgées, qui n’avaient plus de partenaire, ou un partenaire absent et qui avaient encore envie, désespérément de sexe et au-delà, de chaleur humaine.

Et donc chacun d’entre nous naviguait dans ces eaux, S’engageant ou non dans des relations qui n’étaient que d’un instant, mais qui n’en avaient pas moins de valeur. Des moments courts, de plaisir, de rapprochement, pouvaient être riches et intenses, et laisser des souvenirs durables. Quant à compter sur quelque chose de plus long.…C’était le règne de l’éphémère. A l’image d’un plein…Quelques minutes seulement.

J’ai ouvert le réservoir et attrapé le pistolet. J’ai senti une présence près de moi. Elle est venue se coller contre moi, le poids de son corps pesant contre moi et ne me laissant rien ignorer de la masse de ses seins, de la chaleur de son ventre.

–Ce pistolet, ça m’évoque plein de choses, elle m’a dit. A quelle heure vous finissez aujourd’hui ? elle m’a demandé.

–Je suis libre dans une heure.

–Ca vous dirait de venir prendre un verre à la maison ? La voiture a besoin d’un pistolet pour faire le plein, et moi aussi j’ai besoin d’un pistolet pour d’autres pleins.

J’ai eu envie de lui répondre que sa métaphore était moche, mais elle traduisait sans aucun doute ses envies. J’étais en tout cas intéressé. Elle ne me laissait pas indifférent. Elle était un parfait concentré de sensualité, et je me voyais bien passer de bons moments avec elle. Contrairement à d’autres, je n’étais pas forcément attentif aux propositions des clientes, mais elle me troublait, et j’avais envie de sexe.

–Si vous me laissez votre adresse, je pense que je peux passer sans problème.

Elle a paru satisfaite de ma réponse, et elle est retournée s’asseoir dans la voiture. J’ai fini de faire le plein avant d’attraper un seau et une éponge. En passant près de la portière ouverte, je lui ai tendu mon portable :

–Si vous me marquiez votre numéro, votre prénom, et l’adresse dans le bloc-notes ce serait parfait.

Elle a pianoté de ses mains expertes sur le clavier, pendant que je m’attaquais au pare-brise. Ca aussi, c’était une sorte de résurgence du passé. Ce qui l’était moins sans doute, ça aura été les gestes qu’elle a accompli une fois qu’elle aura eu rentré ses données dans le téléphone. Elle s’était remise dans sa position première, une jambe sur le béton souillé, l’autre à l’intérieur, elle a choisi de basculer sur une autre position, pour me donner à la voir à travers le pare-brise. Je me suis demandé si les pompistes autrefois se faisaient allumer par des clientes…J’imaginais que même si ce n’était pas forcément le cas, ils devaient avoir de belles vues sur des intimités enveloppées de culottes…L’illustration de cette expression totalement dépassée aujourd’hui, se prendre un jeton.

En tout cas, elle m’a offert bien plus qu’un slip tendu par un sexe féminin. Elle a amené sa jambe gauche très loin de l’autre, en la posant sur le siège passager, et elle m’a offert à nouveau une vue plus qu’impeccable de son sexe, mais en allant bien plus loin. Elle a glissé ses deux index à l’intérieur, et elle m’a permis de voir, loin en elle, le rose de ses muqueuses les plus intimes. Elle souriait en même temps, heureuse de s’exhiber, mais heureuse aussi sans doute de penser, et elle avait effectivement raison, que cela consistait en une arme on ne peut plus efficace pour me séduire et me convaincre, au cas où j’aurais encore douté, de lui rendre visite. C’était sans doute assez primaire d’être face à elle, de voir cette muqueuse, de penser y enfoncer sa langue, ou sa queue, mais le plaisir sexuel repose sur pas mal de primaire. Quand elle a su qu’elle avait laissé une image forte sur ma rétine et dans ma mémoire, elle a basculé sur autre chose, histoire sans doute de me faire profiter de ses talents. Elle a laissé son sexe se refermer, partiellement, du moins, et elle est venue en haut de ses lèvres, là où ses chairs masquaient son clitoris. Elle a fait tourner son doigt dessus, et un miracle de la nature s’est produit. Son clitoris a glissé hors de la gaine de chair qui le couvrait, et, à force d’excitation, il a pris de l’ampleur. J’ai été impressionné de le voir s’allonger de manière conséquente, long et fin. Elle a été un peu prise à son propre piège, car le plaisir est monté en elle. Je me suis dit, en continuant de nettoyer le pare-brise, qu’elle allait jouir devant moi, mais ça n’a pas été le cas.

Je me suis redressé. Le pare-brise était aussi transparent que son sexe bien humide, qui avait teinté ses chairs d’une pellicule luisante.

–J’ai fini.

Son sac à main était posé près d’elle, sur le siège du passager. Elle a attrapé un porte-monnaie dont elle a extrait un billet conséquent. Je me suis demandé si ce billet était le résultat d’un service impeccable, un appât, ou une manière de payer à l’avance en partie ou totalement, ça dépendait de la manière dont elle pensait, le moment de plaisir qu’on aurait ensemble.

J’ai failli refuser, mais j’avais besoin d’argent, alors j’ai empoché le billet.

Elle est partie payer, descendant du véhicule et tirant sur sa mini pour la mettre en une position convenable. Au maximum de son étirement, le tissu laissait voir deux jambes superbes, mais il était trop court pour masquer les parties élastiquées des bas. Avec un déhanchement dont je me suis demandé s’il était naturel ou accentué, ou s’il était devenu naturel à force d’avoir été accentué, elle est partie payer. Je l’ai rejointe et j’ai posé la clef sur le comptoir. J’ai remarqué que tous les hommes présents dans la boutique, deux clients, et deux de mes confrères, un à la caisse, un autre qui lisait une notice, ont porté son regard sur elle, et que ce regard était aussi fasciné qu’empreint de désir. Il y avait quelque chose en elle qui fixait l’attention, sans doute cette sensualité exacerbée et totalement maîtrisée, mais aussi, ce que peu de femmes avaient en elle, elle exsudait la promesse d’un sexe qui soit riche et varié, et porteur de plaisir.

Elle est retournée à son véhicule, et j’ai pris en charge de nouveaux clients. Il y avait toujours des heures de pointe.

Une heure plus tard, pourtant, je laissais ma combinaison au vestiaire, et je montais la rejoindre.

 

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  1. Assas le à
    Assas

    Merci pour votre histoire qui fait remonter des souvenirs.
    A l’époque étudiant, j’avais un job de vacances l’été dans une station service, et c’était l’époque ou les jupes courtes et légères fleurissaient en été. En effet, certaines conductrices de tous ages ne cachaient pas grand chose. Parfois, ça allait plus loin … Des souvenirs à partager par l’écriture.

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