sexe pour un pompiste partie 3

12345
Loading...

alex condamines


à plusieursgode


Elle est arrivée. Surgissant d’une des chambres à l’étage. Je l’ai vue sur la plate-forme, descendre ensuite le long de l’escalier.

J’ai eu tout le temps de l’admirer.

Il y a tout un questionnement sur les ressemblances mère-fille. Dans les deux sens. La mère ressemble-t-elle à la fille, la fille à la mère ? La fille a-t-elle hérité de la beauté de la mère, la mère est-elle le reflet, en plus usé de la fille ? La beauté, la sensualité, se transmettent-elles, ou le brassage génétique bouleverse-t-il la donne ? En tout cas, au-delà de toutes ces questions : certaines évidences s’ancraient nettement dans la réalité. Elle devait avoir un peu plus de vingt ans, et elle était d’une beauté à couper le souffle, une beauté très proche de celle de sa mère, et cependant radicalement différente. Ce n’était d’ailleurs pas tant une question d’âge, mais plutôt de traitement, tant l’une était naturelle, et l’autre modifiée.

Elle avait une silhouette fine, avec, je m’en suis rendu compte quand je l’ai vue de dos, un cul haut perché et rebondi, proche de celui de sa mère. Elle était totalement nue, à l’exception d’un soutien-gorge qui enveloppait sa poitrine. Je me suis posé la question de savoir pourquoi elle avait pu garder ce soutien-gorge, et j’ai envisagé plusieurs hypothèses, sans savoir laquelle était la bonne. Elle n’aimait pas être totalement nue, et elle avait gardé un vêtement. Préférant offrir sa chatte que ses seins. Elle savait que les hommes aimaient voir une fille avec le ventre nu et les seins enveloppés, un classique de l’érotisme toujours apprécié. L’autre option, et c’était peut-être celle qui primait, c’était qu’elle avait un complexe de ses seins petits, ceux de sa mère sans doute à l’origine avant chirurgie, et qu’elle préférait les masquer.

Elle était, en tout cas très attirante. Outre le charme de sa silhouette, ce qui vous sautait immédiatement au visage quand vous la voyiez ainsi bouger, c’était sa sensualité, mais aussi comme une évidence, quelque chose qui flottait autour d’elle, le fait qu’elle aimait le sexe.

J’ai eu en tout cas la réponse aux questions que je pouvais me poser. Dans la main gauche, visible, la jeune femme avait un boîtier semblable à celui que la MILF tenait quelques instants plus tôt, et de son sexe dépassait une languette rose. Elles avaient chacune un jouet sexuel dans le ventre, et leur jeu, c’était de faire s’activer les vibrations et de déclencher le plaisir de l’autre. J’imaginais qu’il fallait une certaine proximité, que les boîtiers fonctionnaient sur une distance réduite. Je me trompais peut-être.

En tout cas, ils marchaient encore parfaitement. Quand elle a senti la présence de sa fille, et alors même que je continuais de la faire bouger sur ma queue, elle a vivement attrapé le boîtier et a déclenché la commande. J’ai vu la fille, qui venait de passer la dernière marche, se tendre et gémir. Elle avait eu une seconde de retard, mais elle aussi avait déclenché la commande. Le jouet a vibré en elle, caressant sa muqueuse mais aussi ma queue. J’ai mieux résisté cette fois.

La jeune blonde s’est approchée. Elle a souri. Je me suis demandé si le sourire s’adressait à moi, puisqu’elle me regardait, ou s’il vivait plutôt une situation qui lui plaisait. Son sexe était dilaté, ses lèvres sorties, ses jus intimes coulant sur ses chairs. Elle a glissé sur le divan, près de nous, et examiné la situation plus en détail. Puis, avec sans-gêne, et le désir de participer, elle est venue sortir ma queue du vagin de sa mère. Dans le sexe qui m’enveloppait, et contre le jouet, elle s’était bien dilatée, La jeune blonde qui aimait les jeux sexuels a plongé dessus donnant des coups de langue dessus, avant de me faire sentir la chaleur intense de sa cavité buccale autour de ma queue, dans un mouvement de haut en bas et de bas en haut. Pour ne pas perdre son excitation, sa mère se frottait le clitoris dans un mouvement circulaire. Pas encore décalotté, il a jailli au-delà de sa calotte, pointant son museau gonflé et avec une capacité érectile qui s’est développée dans les minutes qui ont suivi.

Ce que j’avais pensé être une relation à deux, déjà intense comme rarement, a pris une autre épaisseur dans les minutes qui ont suivi. Un homme, deux filles, pour qui le sexe et le plaisir étaient une raison de vivre. Et autant de combinaisons possibles. On en a exploré quelques-unes dans les minutes qui ont suivi.

Ca a démarré très fort. Elle a longuement caressé ma queue de sa bouche, la main entre les cuisses, avant de se redresser légèrement et de l’amener vers la muqueuse anale de sa mère. C’était bien ce qu’on avait prévu, mais ça avait une autre dimension que si j’étais simplement rentré en elle par cette voie. Il y avait sa fille, souriante, les yeux brillants d’excitation, qui avait orienté ma queue gorgée de sang, avait appuyé mon gland contre la muqueuse anale, avant que sa mère n’avale d’un coup de reins le membre, et ne se laisse glisser dessus jusqu’à m’absorber totalement.

La jeune blonde a été une participante active dans les minutes qui ont suivi, rajoutant nettement du piment et de l’excitation, pour moi, mais aussi pour sa mère. Ca m’a d’ailleurs tellement excité que j’ai failli jouir, plus que de sentir la gaine étroite de son conduit anal autour de ma queue. Sa langue agile est venue d’abord caresser le pourtour du sexe de sa mère, tournant sur ses lèvres, puis elle est remontée sur son clitoris, qu’elle a sucé, ses lèvres se calant autour de la longue tige fine. Les deux femmes avaient enfin ce qu’elles cherchaient, L’intensité d’un plaisir dont j’imaginais sans mal que les deux femmes le prenaient à trois depuis quelques temps déjà.

Elle a fait glisser plusieurs fois ma queue hors du rectum de sa mère. Malgré les souillures qui marquaient le latex, elle a caressé la queue de sa langue et de sa bouche avant de la refourrer dans la conduit étroit.

Jusqu’à ce qu’elle dise à sa mère :

–À mon tour !

Il y avait quelque chose d’impérieux dans ces paroles. Sa mère s’est retirée. Avec un petit rire qui marquait sa joie de pouvoir enfin profiter de ma queue. Elle l’a guidée vers sa muqueuse anale et elle s’est laissé glisser dessus. Vu la facilité avec laquelle je suis rentré en elle, j’ai bien compris qu’elle avait l’habitude d’un sexe aussi intense qu’extrême, qui recherchait tous les moyens d’avoir du plaisir. Elle m’a absorbé en entier, lâchant un long soupir quand j’ai été en elle, et elle s’est mise à bouger sur moi, pour bien sentir ma queue frotter sa muqueuse, se caressant le clitoris en même temps. Sa mère s’était posée près de nous, et elle se caressait elle aussi.

L’une comme l’autre, elles avaient délaissé leurs télécommandes, en les posant près d’elles sur le canapé.

L’occasion rêvée pour moi de m’en emparer. Elles étaient calées dans les paumes de mes mains.

J’ai mis en action celle qui correspondait au jouet inséré dans la muqueuse de la femme mûre.

C’était bien efficace, j’ai pu le constater de visu… Elle a été emportée par une vague de plaisir, qui a fait même qu’elle a cessé de se caresser pour se laisser totalement prendre par la jouissance…Son sexe s’est mis à couler de manière importante, et elle a gémi, jouissant sans aucun doute, et enchaînant les étapes de jouissance…

Je me suis dit que ce serait intéressant d’en faire autant avec celle qui, empalée sur ma queue, éprouvait déjà du plaisir. J’ai actionné la télécommande, et je l’ai vue perdre le contrôle elle aussi.

Gardant les télécommandes dans mes mains, et elles semblaient tout à fait partantes pour cela, alors même qu’elles se calaient dans d’autres positions et me faisaient venir sur elles et en elles, la mère m’y incitant quelques secondes plus tard, quand, lassée d’être abandonnée, elle a glissé à quatre pattes, attrapant le poignet de sa fille pour l’inciter à se caler dans la même position. Je me suis redressé, venant me poser au-dessus de leurs ventres offerts comme jamais, avec leurs regards sur moi comme une provocation. En guise de réponse, j’ai déclenché les télécommandes. Ca marchait à chaque fois. Elles se tordaient de plaisir. J’ai coupé le mécanisme et je suis venu de nouveau me planter en elles. J’avais soif de me gainer de leurs muqueuses, de les sentir m’envelopper. Dans une alternance entre un sexe plus classique et l’utilisation des jouets, on a eu beaucoup de plaisir, et on a bien joui.

Je suis parti ce début de soirée-là en pensant ne pas revenir, et pourtant ça a été le cas.

Ce qui s’est passé une semaine plus tard, sans doute que j’en avais envie, mais que cette envie, je ne l’avais pas clairement formulée dans ma tête.

Elles m’avaient dit que je pouvais passer. Les expériences fortes, on a envie de les prolonger.

Il y avait la mère, la fille, ou la mère et la fille…Généralement, elles se baladaient à poil dans la maison et aux alentours, la tenue la plus habillée, c’était le maillot de bain, le haut ou le bas, pas forcément les deux, et puis Alexia aimait conserver son soutien-gorge.

Elle m’attendait. Avec un autre soutien-gorge, et sa nudité qui m’a sauté au visage et au corps. Elle s’est plaquée contre moi, nos langues se sont accrochées. Je venais pour un moment de sexe, c’était ce qu’elle attendait elle aussi, un moment fort, ça n’empêchait pas une complicité profonde. Beaucoup de choses peuvent passer par le sexe.

J’avais déjà bien vécu sur le plan sexuel, beaucoup d’expériences, d’envie, et quand, cinq minutes plus tard, elle a délaissé ma queue, qu’elle travaillait depuis cinq minutes, pour descendre sur ma zone anale, je n’ai pas été vraiment surpris. Je connaissais suffisamment bien les deux femmes maintenant pour savoir que ce qui aurait fait horreur à d’autres femmes ne leur faisait pas peur. Elles n’hésitaient pas à prendre des chemins vers le plaisir sombres et tortueux, et c’était bien comme ça.

La plupart des femmes n’avaient pas conscience, ou alors si, mais c’était une zone qui les dégoûtait trop, que la zone où le plaisir masculin était le plus fort, ce n’était pas forcément sa queue, mais bien son anus.

Raison pour laquelle, j’avais d’abord pensé, elle était venue dessus de la langue.

Un moment très fort. Le plaisir dans ce qu’il avait de plus intense.

Je n’avais véritablement compris son intention que lorsque j’avais vu dans sa main un objet de plastique noir, plutôt allongé.

J’avais aussitôt compris.

La première fois, j’avais sorti d’un de leurs sexes l’objet qui leur donnait du plaisir. Je voulais le voir. Une boule rose, un concentré de technologie, comme on disait, avec cette longue tige qui permettait certes de l’adapter, mais contenait aussi l’antenne.

Ce jeu auquel elles s’adonnaient me plaisait. Et quand j’étais en leur compagnie, je m’appropriais les télécommandes pour déclencher leurs jouissances. C’étaient des engins diablement efficaces, je m’en étais rendu compte. Il fallait avoir une volonté de fer pour leur résister.

Elle avait posé un pot avec de la crème sur la table basse. Elle en a cueilli une noisette du bout des doigts, dont elle a enduit l’objet avant de le faire pénétrer facilement en moi, autant à cause de la crème que parce que sa caresse buccale m’avait dilaté. Je me suis senti habité.

Elle a attrapé une télécommande.

–Tu es comme nous, maintenant.

Ce qu’elle voulait dire par là c’était qu’elles ne se séparaient plus de leurs jouets, je les trouvais toujours avec ces tiges plastiques dépassant de leurs sexes.

Elle a déclenché l’appareil.

Je ne pensais pas que ce serait aussi fort…La caresse ressentie quand j’avais ma queue contre l’objet n’était rien comparée à celle-là. J’ai joui, crachant des jets de sperme dans les airs, mais, le temps qu’elle a laissé l’objet marcher, j’ai eu ensuite un autre orgasme, sans jet de sperme cette fois.

Dans la boîte, il y avait deux télécommandes. Elle m’en a tendu une.

–Il y en aura une pour nous quand tu viendras, et l’autre pour que tu te donnes du plaisir tout seul.

J’avais parfois hésité à rendre visite à certaines clientes. Pas cette fois. J’avais vraiment décroché le pompon. Ma vie avait pris un nouveau sens. Et quand des clientes m’abordaient, pour la première fois, je leur disais non. J’avais trouvé mon nirvana, de manière exclusive.

Vous avez aimé ce texte, vous aimerez sûrement ...

Donnez nous votre avis !

Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *