Sexe pour une rippeuse partie 5

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frederic mancini


femdomstrap-ontabou


De tous les plaisirs que nous connaissions, tous ces matins, le plus singulier, et aussi sans doute le plus pervers était sans doute celui que nous partagions très régulièrement avec deux soeurs jumelles, dont nous ne connaissions même pas le nom.
Nous avions croisé leur chemin quelques mois plus tôt, et depuis, elles nous guettaient et apparaissaient pour que nous partagions des plaisirs humides.
D’ailleurs, alors que nous approchions de cette zone, nous avions pris l’habitude de liquider deux ou trois bouteilles d’eau, on avait des provisions de flotte avec nous.
On est arrivés à l’entrée de cette ruelle et on a commencé notre travail. Elles ont fait leur apparition, en T-shirt pour l’une, en nuisette pour l’autre.
La première fois où nous les avions croisées, c ‘était à cette heure, en plein été. Elles profitaient de leurs vacances et elles rentraient de boite avec deux types.
On avait eu l’occasion de les regarder. Elles étaient vraiment magnifiques, un visage délicatement dessiné, une longue crinière blonde, et un corps menu mais bien dessiné. Et apparemment jumelles.
Ce qui nous avait plus surpris, c’était ce qui se passait entre elles et les deux garçons qui les accompagnaient. On s’était même demandés si on ne rêvait pas. Elles avaient toutes les deux des robes d’été, et l’une comme l’autre les tenaient soulevées pour libérer leur ventre qui n’était enveloppé par nulle culotte. Les deux gars se tenaient face à elle. Ils se masturbaient, leurs queues dilatées d’excitation pendant que les filles les arrosaient de l’urine qui sortaient d’elles en grands jets en arc de cercle. Si on regardait bien, on voyait, au milieu de leurs sexes ouverts,leur urètre contracté, dont jaillissait le flot continu de pisse. Ce n’était sans doute pas la première fois qu’elles arrosaient quelqu’un ainsi, on le voyait à la manière qu’elles avaient de donner de petits coups de reins pour viser telle ou telle partie, mais aussi au fait qu’elles agissaient de concert. Les deux hommes se masturbaient frénétiquement, et le jaillissement de leur sperme a coïncidé avec l’affaiblissement des jets, qui après avoir été à pleine puissance, se sont rapidement taris.
Ce qui a fait tout basculer, ça a été Momo. Il s’est approché des deux filles a sorti sa queue, un peu érigée parce que le spectacle l’avait excité, et il l’a orienté sur la première fille. Un jet d’urine, aussi puissant que ceux qui étaient montés des ventres des filles a jailli, trempant de sombre le centre de la jolie robe bleue.
La blonde n’était pas choquée par ce qui lui arrivait. Au contraire, elle a ri et s’est cambrée pour mieux se faire arroser, amenant ses doigts à son clitoris, au dessus de cet urètre qui se refermait, et elle s’est masturbée, se faisant jouir en concrétisant le plaisir que lui donnait le jet d’urine qui la caressait.
Teddy s’est approché à son tour, et s’est mis à arroser la jumelle qui n’attendait que ça.
Les deux garçons qui venaient de jouir s’étaient joints aux deux rippers, et leurs mictions mêlées avaient trempé les deux filles, les tissus des robes étaient bons à essorer, et leur chair marquée de gouttelettes d’urine. Elles avaient fini par jouir.
Cela faisait plusieurs mois qu’on se voyait maintenant, pour partager un plaisir dans lequel vessies pleines et jets de pisse avaient un rôle essentiel.
Elles sont sorties alors que le jour se levait. Blondes et belles. Et passionnées par les jeux de pipi.
Bernard, le premier s’est laissé glisser au sol, en sortant sa queue. Daisy, celle des jumelles dont les yeux étaient marrons, sa soeur avait les yeux marron-vert, j’avais trouvé ce moyen de différencier Daisy de Lucinda, est venue s’accroupir au dessus de lui. Son T-shirt de nuit est remonté, dévoilant son ventre nu. Son sexe a suivi le même schéma qu’il suivait toujours,il s’est ouvert, l’urètre se mettant en position pour effectuer sa mission, et un premier jet d’urine a jailli, qui est venu tremper la combinaison.
J’ai souri en pensant à une remarque que nous avait fait un collègue il y avait quelques semaines de cela. ‘Mais qu’est ce qui vous est arrivés, vos combinaisons sont trempées?’ On avait inventé une histoire selon laquelle des bidons d’huile, qui avaient été posés dans un container s’étaient renversés sur nous. Il avait semblé convaincu. Il était vrai que les occasions de se souiller ne manquaient pas. C’était d’ailleurs pour cela qu’on avait ces uniformes…Cette occasion-là de se souiller, en tout cas, était la plus délicieuse qui soit. On aurait du du mal à y renoncer.
Lucinda était sortie à son tour. Momo et Teddy sont allés vers elle. Elle a soulevé sa nuisette et un jet d’urine, violent, est venu frapper Teddy de plein fouet. Elle avait eu un petit rire, heureuse de sa performance.
Daisy lâchait, elle des traits d’urine très courts, trempant méthodiquement Bernard en bougeant sur lui. Lucinda, restant debout, se concentrait plutôt sur de longues rasades qui venaient fouetter le corps des deux hommes.
Daisy s’est interrompue avec du pipi encore dans la vessie. Elle avait cependant inondé son partenaire de quelques instants. Bernard avait sorti sa queue, pendant la miction et s’était caressé, tout dur d’excitation, avant de passer une fois de plus une capote. Il lui aurait été bien difficile de lui rendre la pareille immédiatement, son érection bloquant toute miction. Et puis ce n’était de toute façon pas ce que voulait Daisy, qui a attrapé sa queue, et qui l’a amené contre son sexe, bien ouvert, à la fois parce qu’elle urinait et parce que la situation l’excitait. Il a donc glissé en elle sans problème. Daisy s’est assise sur lui, avalant la verge dans son intégralité, avec une expression de félicité sur le visage qui s’est prolongée pendant qu’elle se faisait aller et venir dessus.
Lucinda continuait d’arroser les deux gars. Je les imaginais bien, l’une comme l’autre se remplissant la vessie en nous attendant, leur plaisir du matin, avant de reprendre la routine. On aurait dit qu’elle avait des réserves de pisse inépuisables dans le ventre.
Je me suis approché du couple momentanément formé par Daisy et Bernard. J’ai défait mon pantalon et baissé le slip que je portais dessous. Généralement, détrempé par mes sécrétions, il était bon pour la machine. Je le mettais souvent avec les uniformes. Les gars le récupéraient et le gardaient comme un trophée. J’en avais surpris un qui frottait sa queue avec. J’étais arrivait au moment où il jouissait, il avait amené le bout d’étoffe contre son gland et avait trempé le tissu de son sperme. Depuis, deux à trois fois par semaine, je laissais une petite culotte dans le bain de lavage, que j’oubliais volontairement. Même si je me doutais qu’ils l’auraient préférée avant lavage pour la renifler. Mais généralement, je lançais le cycle immédiatement.
L’eau glacée avait fait son oeuvre. J’avais la vessie pleine à exploser.
Daisy a redressé la tête, et elle m’a souri. Elle savait ce qui l’attendait, et ça la remplissait de bonheur. Elle s’est cambrée et m’a tendu ses seins.
Le premier jet de pipi a eu du mal à sortir, mais ensuite, j’ai été une fontaine, qui a visé le haut de son torse, trempant le tissu jusqu’à ce qu’il soit totalement humide, et faisant apparaître le dessin de ses seins.
Lucinda s’était elle aussi mise en pause, et venait de se caler sur la queue de Teddy qui s’était laissé glisser sur l’asphalte, enfoncée jusqu’à la garde, pendant que Momo lui présentait une verge dure qu’elle caressait doucement. Les uniformes des deux gars étaient tout humides.
Daisy a poussé un petit cri, et je me suis rendu compte qu’elle avait un orgasme, sans doute au moins autant causé par le mouvement de la queue en elle que par les jets de pipi qui complétaient parfaitement la pénétration et lui donnaient du bonheur. Bernard a fait glisser sa queue hors d’elle, arrachant le préservatif qui l’enveloppait, le réservoir rempli de sperme. Il a fallu attendre qu’il dégonfle un peu, c’était un problème pour les hommes, il restait dur d’excitation, avant qu’il ne lui pisse dessus, conjointement avec moi. Un véritable bain d’urine. Daisy se frottait le clitoris en gémissant et en jouissant, en plein trip.
Du coin de l’oeil, je surveillais Lucinda. Mes deux compagnons d’infortune avaient joui, Teddy avait arraché sa queue de son vagin, crachant son sperme sur la nuisette qui serait bonne pour un tour en machine à laver, Momo lui avait arrosé le visage et les cheveux de sa semence. Il avait fallu, comme pour Bernard attendre qu’ils débandent un peu pour que l’urine commence à sortir. L’un comme l’autre, ils avaient inondé la jeune femme qui, dans un comportement très proche de sa soeur, s’était frénétiquement caressée et avait joui en se faisant arroser des jets chauds.
Leurs culs ondulant sous nos regards, les deux ravissantes blondes avaient rejoint la maison, pendant que nous chargions les déchets.
La tournée touchait à sa fin.

Pour tous les habitants de la ville, les déchets, c’était quelque chose dont ils voulaient se débarrasser, c’était même cela la définition du mot déchet, et ils avaient une sorte de bonne conscience à les mettre dans un sac, puis dans un container. Leur inférieur était à nouveau clean. Mais les déchets existaient bien. Ils étaient simplement ailleurs.
Ce n’était pas un très beau spectacle que de voir la récolte du jour s’entasser sur la zone où nous les déposions, en marche arrière, en faisant basculer la benne. Nous qui les récoltions, nous avions finalement un beau rôle. Ce n’était pas non plus très agréable de récolter toute cette manière et de la conduire vers l’incinérateur. Le seul point positif, dans ce cycle infernal, qui se répétait jour après jour, c’était sans doute que ces déchets produisaient du biométhane.
Ma journée de travail était finie.
Assez curieusement, le lien qui se tissait entre nous quatre, fort quand nous patrouillions, se dissolvait dès que nous avions fini la tournée. Nous partions chacun dans notre coin. Il existait certes, toutefois, un autre lien, celui qui nous unissait tous.
Je suis montée prendre une douche. Il s’agissait de douches collectives, quatre alignées en un seul bac. Bruno, l’un des rippers avec qui j’avais déjà travaillé était déjà sous l’eau chaude en compagnie de Richard, un autre ripper avec qui j’avais aussi travaillé. Ils se masturbaient mutuellement. Ca m’a fait saliver de voir leurs deux bites énormes, gorgées de sang, et repenser à la blonde à qui je devais rendre visite dans l’après-midi. Ils s’embrassaient à pleine bouche.
Je me suis glissée sous le jet d’eau chaude et mes doigts sont venus à la rencontre de mon sexe. Je me suis caressée en les regardant. Leurs queues n’en finissaient pas de s’épaissir, sous leurs caresses mutuelles, et bientôt, ils se sont arrosés mutuellement de sperme. Cette vision m’a faite jouir.
Je me suis habillée, et j’ai été fourrer mon uniforme dans la machine à laver. Pour cette fois, j’emportais ma petite culotte. J’en avais passé une sèche. Je l’ai reniflée en marchant vers ma voiture. Elle avait commencé à sécher. Elle sentait une odeur forte, celle de tous mes jus qui s’y étaient accumulés pendant la matinée.
L’avantage de ce métier, c’était que je pouvais profiter de la journée pendant que d’autres travaillaient. Je suis rentrée chez moi, j’ai fait du ménage, j’ai lu, et   pris une collation à midi. Il me tardait de la retrouver. Après le repas, en attendant l’heure d’aller à sa rencontre, je me suis caressée doucement, me trouvant humide et ouverte. Ca me mettait dans tous mes états d’imaginer ce qui allait se passer entre nous.
Sur la carte de visite  il y avait deux adresses, à gauche celle de l’entreprise dans laquelle elle travaillait, sur la droite celle de son domicile. Je suis partie sur le coup de deux heures.
Elle habitait dans un quartier paisible, une maison blanche avec des portails et des volets métalliques noirs, et un petit jardin.
Sa voiture était garée devant chez elle.
Je m’étais préparée pour venir. Une robe blanche, sous laquelle j’avais passé un collant qui ne masquait rien de mes charmes féminins.
J’ai sonné. Elle est venue ouvrir.
—Je viens d’arriver.
Elle s’était changée, avait passé une autre robe, extrêmement moulante, qui collait à ses formes. Ses jambes étaient toujours gainées de nylon et elle avait passé une paire d’escarpins assortie à la robe.
Si j’avais été un homme, sans doute que ma queue aurait été dilatée de désir. J’étais une fille, et j’ai littéralement senti mon sexe s’ouvrir, et mes jus commencer à couler, mouillant le collant. J’avais irrésistiblement envie d’elle.
Je me suis glissée à l’intérieur. Le contact a été immédiat. Je ne sais pas si c’est moi qui suis allé vers elle, ou elle vers moi. On s’est retrouvées collées l’une à l’autre. Nos bouches se sont cherchées, accrochées pour ne plus se lâcher. Nos langues sont venues au contact l’une de l’autre et se sont caressées mutuellement. Je mouillais tellement que j’avais l’impression de me pisser dessus.
Incapable de maitriser cette envie qui m’habitait, j’ai glissé la main dans le peu d’espace qu’il y avait entre nous, sous le tissu de la robe, et je suis remonté le long de ses jambes. Elle s’est cambrée pour me laisser un peu d’espace. Contrairement à ce que je pouvais penser, sous la robe, elle n’avait pas de collants, mais des bas stay-up, dont la partie élastique comprimait ses cuisses, proche de l’aine. Au-delà, il y avait sa chair, et sa queue. Elle n’était pas aussi épaisse et dure que le matin, mais elle s’allongeait. Elle a poussé un petit gémissement quand je l’ai encerclée de la main, et que je me suis mise à la caresser. Je l’ai sentie grossir au creux de ma paume, chaude et brulante.
En un geste de réciprocité, elle a glissé sa main sous ma robe. Il y avait un collant, mais ça n’était pas un obstacle. Elle est montée jusqu’à la ceinture, pour venir glisser la main dessous, et descendre jusqu’à mon sexe. Elle caressait bien, et moi aussi je me suis mise à gémir de plaisir.
Sans lâcher mon sexe, elle m’a entrainée vers le living. Il y avait un divan, et on a glissé dessus. C’est tout naturellement, une harmonie qui s’est mise en place et qui n’a jamais failli tout le temps de notre relation que nous nous sommes calées. On s’est placées tête-bêche, et elle est venue remonter ma robe, et descendre mon collant, tandis que je n’avais qu’à remonter la robe pour avoir accès à ce sexe impressionnant, à présent aussi gonflé qu’il l’était le matin dans la voiture, long et épais, décalotté sur un gland qui suintait.
On est partis à l’assaut du sexe de l’autre, mettant tout notre savoir-faire dans une caresse qui s’est prolongée longtemps. Elle avait déjà du lécher pas mal de chattes, elle m’a mise en transes à force de tourner sur mes chairs sensibles. Et moi je n’arrivais sans doute pas à son niveau, mais j’avais pas d’expérience, et puis j’aimais le sexe. J’ai parcouru sa queue en y mettant tout mon savoir-faire, m’attardant sur certaines zones que je pensais être plus sensibles, tournant sur le gland dilaté, descendant sur ses couilles, et ne cessant de m’émerveiller devant ce décalage de la nature: une fille avec une bite.
Elle a joui dans ma bouche, alors que je ne m’y attendais pas. J’ai laissé son sperme couler dans ma gorge, m’enivrant de cette précieuse substance, la buvant, en faisant tourner ma langue sur son méat, pour ne pas en perdre la moindre goutte. Comme je le prévoyais, sa queue restait totalement opérationnelle, elle n’a même pas dégonflé.
—J’ai envie que tu me prennes, je lui ai dit. J’en ai rêvé toute la matinée, je lui ai avoué.
—Moi aussi j’en ai rêvé. Tu me plais énormément. J’ai envie que tu deviennes ma petite fiancée.
J’avais glissé des préservatifs dans mon soutien-gorge, mais il y en avait une boite sur la table basse. Ce qu’il y avait aussi, c’était un magnifique gode-ceinture qui n’avait pas du servir.
—J’ai envie que tu me prennes, et que tu me donnes du plaisir, elle a dit. Mais j’ai envie de t’en donner aussi. Viens.
J’ai déchiré l’emballage du préservatif et j’en ai extrait la rondelle de plastique luisante de lubrifiant. A force de pratiquer le sexe, j’avais conçu un style qui m’appartenait, un mélange d’expérience et d’imagination. J’ai posé la capote contre mes dents. Elle a paru surprise quand je suis venu poser ma bouche sur son gland. Je suis descendue, mon sexe rentrant dans ma bouche, puis glissant dans ma gorge. Quand je me suis redressée, elle était entièrement encapotée. Je suis venue au dessus d’elle, elle s’était assise sur le divan, et j’ai guidé sa queue vers mes lèvres. La première tentative n’a pas été la bonne, le gland dilaté a fichu le camp dans mon aine. Il s’est enfin enfoncé entre mes lèvres, et je me suis assise sur le membre. Je voulais l’avaler totalement. J’en aurais pleuré quand je l’ai senti entièrement en moi. Je fantasmais sur ça depuis le matin, et avoir enfin satisfaction était quelque chose d’ineffable pour moi. J’avais l’impression que sa queue me traversait totalement. J’aurais voulu la garder en moi pour toujours. Le temps d’une étreinte, c’était déjà bien.
Elle m’a attrapée par les hanches et elle m’a faite monter et descendre sur elle, sa queue caressant mes parois internes et me donnant en même temps le sentiment qu’elle rentrait à chaque fois plus profond en moi, en creusant mes chairs.
—-Je savais que ça allait être bien entre nous, mais je ne pensais pas que ca serait aussi bien, je lui ai dit.
Et c’était vrai. J’étais venu avec plein d’envies, mais sans imaginer ce qui allait se produire entre nous, et j’avais cette merveilleuse surprise de sentir qu’on fonctionnait en harmonie. J’imaginais un avenir où elle et moi nous pourrions nous revoir, et passer encore d’aussi bons moments ensemble. Ca ne serait pas un one shot.
Elle m’a entrainée dans une autre position, puis encore une autre position. Sa queue restait roide, on aurait dit qu’elle ne jouirait jamais. Mais c’était bien ainsi, elle me donnait un maximum de plaisir. Il y a eu un moment de latence, puis j’ai joui, et encore joui, le corps secoué par des orgasmes.
Je me suis dégagée. Le gode ceinture, posé sur la table basse me faisait de l’oeil. j’avais envie de l’utiliser, et aussi de lui donner du plaisir en retour. Que tout soit partagé.
Je me suis revue me harnachant le matin pour prendre la femme brune qui sortait à notre rencontre, puis mon ex. Le contexte était totalement différent. Deux mondes qui restaient totalement étanches, et pourtant, ce matin il y avait eu une ouverture de l’un sur l’autre que je ne regrettais pas. Elle me promettait de beaux moments.
Elle s’est basculée à quatre pattes sur le divan pendant que je me harnachais. J’ai regretté un instant de ne pas avoir une vraie queue, plus sensible, mais le plastique me permettrait quand même de sentir pas mal de choses, en tout cas les frémissements de son corps pendant que je la fouillerais. Elle avait une belle croupe, charnue et rebondie, et son anus m’attendait, ses plissements se dessinant avec netteté dans sa chair la plus intime.
Je me suis approché, et j’ai posé la tête du gode contre sa muqueuse anale. Je l’ai sentie ouverte, et je me suis enfoncé en elle comme elle avait pu s’enfoncer en moi. J’ai rentré toute la queue de plastique. En même temps, ma main a contourné sa taille pour venir caresser sa queue. Je l’ai caressée, puis je l’ai lâchée pour me mette à aller et venir en elle. J’ai adopté un rythme binaire, j’allais et venais dans le canal anal sensible, puis je me posais, et, le gode en plastique entièrement enfoncé en elle, je masturbais sa queue.
On a changé de position. Je l’ai guidée dans la position que je voulais. Assise sur moi, même, si plus lourde que moi, elle s’était arrangée pour qu’une partie de son poids repose sur le divan, le gode fiché en elle, tournée vers moi, pour que je puisse avoir accès à ses seins et à sa queue, et que je puisse surtout les voir. Je faisais aller et venir le gode en elle, puis je me concentrais sur ses seins, plongeant sur leur rondeur, mordant ses tétons, et sur sa queue, que je caressais.  Elle était collée contre son ventre, figée dans sa dilatation extrême et fascinante.
Il y a eu un ultime va-et-vient de la bite de plastique en elle, et elle a explosé en criant. Un torrent de sperme est sorti d’elle, jet après jet, nous arrosant, pendant que je remontais chercher mon clitoris et que je me faisais jouir.
Le reste de l’après-midi a été plus calme. Il y a eu des discussions, un goûter et l’évidence que nous allions nous revoir dès le lendemain.
Je l’ai quittée pour rentrer chez moi, sur le coup de dix-huit heures. Je me couchais très tôt sur le coup de vingt heures, pour être en forme dans mon boulot de rippeuse.
Mais la journée du lendemain serait plus radieuse que celles qui avaient précédé.
J’avais oublié ce que c’était d’être heureuse.
Je suis rentrée chez moi en souriant.

 

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