Vous connaissez SWAM ? Sans doute pas. Aujourd’hui il y a un bon paquet d’applications, et c’en est une parmi d’autres. Elle existe depuis deux ans, mais elle a pris un nouvel essor ces derniers temps. Elle est de plus en plus populaire, et de plus en plus utilisée.
Son principe : Vous avez une piscine, et vous ne vous en servez pas tout le temps. Vous la proposez sur le site en mentionnant les spécificités de la piscine, avec une photo évidemment. Et vous désignez les créneaux auxquels vous la proposeriez. Les personnes intéressées vous contactent. S’il y a un accord, la somme pour la location est à définir entre les parties. La somme n’est généralement pas très élevée, et généralement aussi, un accord est passé. Ca peut être une matinée, une après-midi, deux heures, trois heures…
On a vite compris mon mari et moi que, si c’était l’occasion de se faire quelques sous, qui permettaient d’amortir une piscine qui nous avait coûté cher, c’était aussi l’occasion de déboucher sur autre chose. Tout à fait par hasard, d’ailleurs.
Lui et moi on est mariés depuis dix ans, et c’est vrai que, qu’on le veuille ou non, la routine s’installe très vite.
Et donc il y a eu cette première fois, comme une révélation, et une régénération. Et les autres fois qui ont suivi, sur le même modèle. Sans qu’on n’ait rien calculé. Ca s’est fait tout seul. Ma théorie, c’est qu’il y a des choses qui font partie du non-dit, de l’impalpable…Le manque, l’envie…Les deux combinés…Les choses explosent très vite…
Cette fois, c’est un couple qui nous a contactés. Une voix féminine a laissé un message.
Bonjour, mon mari et moi, nous habitons pas loin de chez vous. Nous n’avons pas de piscine dans notre demeure, et pas ces temps de chaleur, nous apprécierions de pouvoir nager et nous rafraichir.
J’avais rappelé. La fille avait une voix chaude et enveloppante. Ce qui ne signifiait pas grand chose. Mais je me suis très vite mise à fantasmer. On a convenu de 3 heures et d’un forfait de 20 euros. Ca remboursait la piscine, mais très lentement.
C’était une bonne pioche. On l’a su dès les premières secondes.
Ils étaient venus en tenue de ville, mais leurs charmes étaient apparents. Lui était grand, et athlétique, on le devinait bien sous son pantalon et sa chemise, le physique de quelqu’un qui pratique la musculation à haute dose, elle une très jolie femme, blonde, un corps particulièrement bien dessiné,avec quelque chose de vraiment sensuel, qui faisait souvent défaut aux filles très belles. La trentaine tous les deux.
Nous, on était déjà en maillot. Une manière de les inciter à basculer. J’étais assez fière de mon mari. Une silhouette impeccable, qu’il devait à la pratique régulière du sport, tout comme moi. Il portait un simple slip de bain qui dessinait sans exagération ses charmes masculins. Moi j’avais opté pour un maillot blanc, soutien-gorge et slip, qui, je le savais, me rendait grâce. Je m’étais trouvée vraiment bien avec, et j’avais décidé d’en acheter deux autres, identiques, de la même taille. J’étais plus fine que la blonde visiteuse, mais j’avais quand même de quoi offrir aux regards.
On a compris que ça allait démarrer très vite, au vu du regard qu’ils ont, l’un comme l’autre, posé sur nous. Le désir était clairement là, et on a compris que les choses basculeraient vite.
On est pourtant partis sur des faux-semblants, boire un verre, discuter, faire connaissance, alors que, j’en suis convaicue, on ne pensait qu’à la même chose, même si ce n’était pas de la même façon. Ce temps n’a pas été du temps perdu au final. On a dessiné les chemins que nous pourrions éventuellement prendre. Des chemins qui tous avaient la même destination: le sexe.
On en a appris un peu plus sur José et Elyssa. Un couple sympathique. Elle était infirmière, lui responsable du service informatique dans une entreprise. Ils avaient envie de faire trempette à cette période, mais ça n’était pas anormal au mois de juin, et ils avaient entendu parler, par un article dans la presse, de SWAM, ce qui les avait décidés à s’inscrire. Ils avaient été attirés par le confort d’une piscine privée, ainsi que l’absence de foule.
—Bon, si on allait profiter de l’eau, a suggéré mon mari.
Ce qui a sans doute orienté les choses, ça a été qu’ils se sont déshabillés mutuellement. C’était vraiment excitant, et si on avait eu des scrupules, ils se sont envolés.
Le slip de bain de mon mari s’est mis à gonfler, d’une manière qui ne laissait que peu de doutes quant à l’érection qui se développait, même si le jeune couple n’a rien paru remarquer. Une érection due au déshabillage mutuel, avec des gestes sensuels, à la révélation de leur peau, de leurs maillots de bain, un simple caleçon bleu pour l’homme, et pour elle un bikini orange, de deux corps impeccables, même si la perfection ne nous obsédait pas. Je n’étais pas mieux. Mon excitation de femme était plus discrète, mais j’ai senti mon sexe s’ouvrir, et se lubrifier.
On a plongé tous les quatre en même temps dans l’eau, déchirant la surface dans un mouvement commun qui marquait le début des choses sérieuses. J’avais déjà remarqué que le moment du plongeon était comme un pacte signé entre nous, un pacte de sensualité, et que les choses dérivaient très rapidement par la suite.
On a évolué dans l’eau fraiche avec plaisir, nous entrecroisant, nous apercevant sous l’eau et à l’air libre, des corps en mouvement.
Et puis les choses ont commencé à prendre forme.
Je ne sais pas si vous avez déjà pensé au sexe sous l’eau? On peut faire plein de choses. La seule pré-condition, c’est de savoir bloquer sa respiration. Une fois qu’on la maitrise, tout est possible.
C’est moi qui ai pris l’initiative.
Il faut toujours un déclencheur.
Après, tout est venu très facilement.
Je me suis laissée couler au fond de la piscine.L’eau m’a entourée. Un univers aux sons étouffés, silencieux, où l’eau, même si elle était fluide, vous enveloppait, et où tout avait une autre épaisseur.
Dès petite, j’avais toujours été à l’aise sous l’eau, sans doute en partie parce que mes parents louaient des maisons près de l’océan, et que j’avais pu m’y ébattre. C’était pour cela que le sexe underwater m’était aussi accessible.
Les plaisirs sexuels sont variés et infinis, sur terre comme sous l’eau mais ce que j’aimais sans doute le plus, c’était de prendre une queue au degré zéro de l’érection et de le faire gonfler, de mes caresses, buccales ou manuelles.
Le corps immergé, la tête à l’extérieur José se laissait flotter contre l’une des parois de la piscine.
Je me suis glissée jusqu’à lui, souple et rapide et j’ai descendu son slip de bain de quelques centimètres, pour mettre sa queue et ses couilles à nu.
Avait-il pensé que quelque chose allait se produire? La situation l’excitait-il? Sa queue avait déjà pris quelques centimètres, et elle gonflait sous mes yeux, Je l’ai enveloppée de ma main, celle-ci la couvrait entièrement, mais en quelques secondes, j’ai du relâcher la pression, elle en débordait. Je l’ai caressé doucement, le faisant devenir plus ferme et plus long.
Du coin de l’oeil, la respiration toujours bloquée, j’observais mon mari. On s’efforçait de rester toujours en contact visuellement, parce qu’on tirait une partie de notre plaisir de voir ce que l’autre faisait.
Plaisir de voyeur, et de s’imaginer à sa place aussi, sans doute.
Il avait choisi d’attaquer la poitrine d’Elyssa. Les hommes aiment les poitrines bien galbées, et la sienne était bien dessinée. Il avait glissé ses mains dans son dos pour défaire son soutien-gorge . Il avait décroché l’agrafe, et les deux seins avaient littéralement jailli du tissu, d’un ovale bien dessiné, jeunes et fermes, avec des aréoles et des tétons tout roses, que le contact direct avec l’eau, fraiche, érigeait, je le voyais d’ici.
La fille n’aimait pas rester inactive. Elle avait écarté le slip de bain de mon mari, et son sexe, en pleine érection avait jailli dans l’eau, venant coller sa longueur et son épaisseur contre son ventre. Si mon partenaire avait une belle queue, mon mari n’avait pas à avoir honte de la sienne, loin de là, et la fille a eu une expression qui, même sous l’eau était visible, et lisible, un mélange de surprise et de joie. Elle l’a caressé doucement, alors qu’il plongeait sur sa poitrine.
La toute première fois, quand j’avais eu envie de faire une fellation sous l’eau à mon partenaire, je craignais de ne pas m’en sortir…Et puis…C’était venu tout seul, et depuis je me débrouillais parfaitement. Une bouche qui enveloppe une queue, et la serre bien. L’eau restait à l’extérieur, et ensuite, c’était parti pour une caresse qui devait obligatoirement se faire bouche fermée, mais ce n’était pas un problème. Je frôlais la queue avec ma langue, tournant dessus. Et je pouvais aussi faire coulisser mes lèvres dessus, en les gardant bien serrées.
Sous l’eau, dans ce milieu particulier, l’excitation de la situation était démultipliée.
Je savais par expérience que cette excitation était partagée par mes partenaires, qui montaient d’autant plus vite qu’ils vivaient une situation inédite. Le sexe sous l’eau était quelque chose qui comprimait le temps, et raccourcissait des situations qui auraient duré plus longtemps à l’air libre. C’est pour ça que je n’ai pas été surprise quand le premier jet de sperme a jailli dans ma cavité buccale, au goût d’amertume. Il s’est vidé en moi, et j’ai avalé son sperme avec avidité, trait après trait, ma bouche resserrée pour ne pas avaler d’eau, mais aussi ne rien laisser perdre de sa semence.
Mon mari, plus habitué, n’avait pas encore joui, mais la fille a eu elle aussi un orgasme, à la confluence de la bouche de mon mari, qui travaillait ses tétons, et de sa main, glissée dans son slip, qui caressait son sexe dans un mouvement circulaire.
On s’est arrachés à l’eau. C’était bien dans la piscine, mais aussi devant, d’une manière certes plus classiques. Mes poumons manquaient d’un air que j’ai accueilli avec bénédiction.
On s’est calés sur les transats, autour de la table sur laquelle j’ai déposé des verres à cocktail et un pichet de punch ainsi qu’un gâteau maison.
C’est à partir de ce moment que les choses sont parties sur un chemin autre.
On ne savait jamais ce qui arrivait, mais on savait qu’avec SWAM, une sorte de loi des séries, on basculait toujours sur de l’imprévu. Donc on était en même temps surpris, et pas surpris du tout.
On avait disposé d’épaisses et larges serviettes de bain pour que nos hôtes puissent se sécher.
Le moment où ça a basculé, ça a été celui où José a pris l’une des serviettes et s’est approché de mon mari. D’une main, il a passé la serviette sur ses chairs, de l’autre, il a attrapé le sexe en érection qui n’avait pas débandé, et il s’est mis à le masturber d’une main ferme. Sans que cela surprenne mon mari. Ce dernier, depuis l’adolescence était bisexuel, tout comme j’aimais jouir avec des filles. On se retrouvait sur une ligne de conduite qui faisait qu’on cherchait notre plaisir, sans contraintes morales, sans tabous.
Une fois qu’il l’a eu rapidement épongé, il a descendu, avec cette main qui venait de poser la serviette, le slip de bain, mettant à nu sa queue et ses couilles. Mon mari était très dilaté. Il a baissé également son slip. S’il avait joui, la queue était redevenue oide. Il a approché son ventre de celui de mon mari et collé sa queue contre la sienne, avant d’envelopper, de la main, les deux sexes, et de les caresser d’un seul mouvement.
Ca me troublait toujours de voir mon mari avec un autre homme. Comme ça le troublait de me voir batifoler avec une fille. Et cette caresse, habile, dont je n’avais jamais été témoin avant, qui englobait leurs deux queues, était très excitante. Opinion d’ailleurs partagée par Elyssa, qui, proche de moi, regardait avec autant de fascination.
La jeune femme s’est rapprochée imperceptiblement de moi, à venir se coller tout près de mon dos, suffisamment pour que je sente l’épaisseur de son corps et sa chaleur près de moi.
Elle a pausé ses mains sur mes épaules, les faisant glisser le long de mon dos, jusqu’à ce qu’elles dépassent l’élastique de mon slip et viennent gainer mes fesses.
Sous l’effet de la caresse de la main de José, les queues des deux hommes s’épaississaient, bien charnues, avec des glands qui laissaient couler d’abondance leurs liquides pré-sécrétifs se mêlant.
Elyssa a tiré bas mon slip, me mettant à nu. Elle a lâché mes fesses, et est venue poser son index là où mon sillon fessier prenait naissance dans ma chair.
Elle avait des ongles bien longs, effilés, et c’est d’une lente et longue griffure qu’elle est descendue dans ma raie, Ca a fait monter un frisson dans mon corps, et je n’ai pas pu me retenir de gémir. Elle s’est arrêtée un moment pour caresser ma muqueuse anale… J’ai failli lui crier qu’elle pouvait glisser son index dedans et le faire aller et venir, mais elle a préféré continuer, jusqu’à atterrir sur mes lèvres. Celles-ci étaient dépliées et sorties, Elles les a caressées de l’ongle, jusqu’à ce qu’elle décide de glisser un doigt en moi. Cette simple pénétration m’a fait éprouver une vague de plaisir, en même temps que je me sentais lâcher un grand trait de sécrétions vaginales…Elle a poussé ce doigt unique en moi, jusqu’à ce qu’il vienne cogner contre mon utérus, et j’ai cru que j’allais jouir.
Son doigt, elle l’a laissé à l’intérieur, et elle a fait ce qu’aucune queue n’aurait fait, elle m’a caressée, venant frôler mes parois internes. Son doigt virevoltait en moi, souple, rapide, habile, à la fois une frôlement qui me ravissait et une tension pour mes nerfs, une tension qui a monté d’un cran quand j’ai vu mon mari et son amant jouir, et s’arroser mutuellement d’un sperme blanc et crémeux, qui s’est étalé sur leurs chairs. J’étais au bord de la jouissance, mais je la contenais, parce que je sentais que ce n’était que le début.
—Touche-toi le clito, pendant que je te caresse…Ton plaisir sera plus fort.
Ce qui me troublait, c’était moins la suggestion en elle-même que le fait qu’elle me propose ainsi de me caresser, me dictant ses envies, ses fantasmes. J’ai obéi, je suis venue chercher mon clito en haut de mes lèvres, il était sorti de sa gaine, et je me suis touchée, alors qu’elle risquait un deuxième doigt en moi, pour une caresse plus puissante, qui m’a faite exploser au bout de quelques secondes.
J’avais pourtant envie de plus. Elle aussi, et les deux hommes aussi apparemment.
Mon mari a entrainé notre invité vers un transat, et il s’y est laissé glisser. Sur une petite table de jardin du même bleu que les transats, il y avait une petit coffre, qu’on avait garni de boites de préservatifs. Avec l’habileté de l’habitude, il s’est rapidement garni de latex, avant d’attirer José sur lui. Il a fait en sorte que celui-ci me présente son visage et son torse, pour que je puisse profiter au maximum de la scène, de ses réactions, de ses émotions…Que je vois bien aussi son corps musclé, qui méritait d’être vu, et la queue roide qui n’avait pas débandé, quant bien même il avait joui, collée contre son ventre, comme la fausse promesse d’une érection qui pourrait durer éternellement…
Mon mari a ajusté son gland, épais d’excitation contre les plissements anaux du jeune homme. Il y a eu un moment d’équilibre, puis il a commencé à glisser sur la queue, l’absorbant et la faisant disparaître en lui. D’évidence, vu la facilité avec laquelle la queue glissait en lui, ce n’était pas la première fois qu’il se faisait sodomiser. La pénétration a été fluide, jusqu’à ce que, la queue totalement absorbée, il repose sur les couilles de mon mari. Il s’est mis à masturber le jeune homme, dont la queue s’était partiellement ramollie quand mon mari l’avait pénétré, mais qui retrouvait de la vigueur très rapidement. Il a ensuite glissé sur ses hanches pour le faire monter et descendre, sa verge apparaissant puis disparaissant. Ca devait être bon, en tout cas, le visage de José exprimait un réel plaisir.
A côté de la boite à préservatifs, il y en avait une autre plus grande. Elle contenait une partie des jouets que j’achetais régulièrement. J’en avais un peu partout dans la maison, la chambre, le living. J’adorais les objets sexuels, et j’étais fascinée par tout ce qu’il y avait, tout ce qui sortait, je faisais toujours de nouvelles découvertes, et j’achetais tout, comme une gamine qui veut avoir toujours de nouveaux jouets. On s’en servait régulièrement entre nous.
—Tu veux qu’on en essaie un ensemble, je lui ai demandé, alors que j’attrapais le coffret.
Je lui ai présenté le coffret. Elle a fouillé dedans, avant d’en sortir un double gode rouge vif, d’un plastique luisant, dont la longueur serait un gage d’une jouissance partagée. Etait-ce la couleur qui l’avait attirée, ou la possibilité d’une jouissance partagée?
Elle s’est laissée aller en arrière, m’offrant son ventre, complétant l’offre en enfilant ses doigts dans son sexe et s’ouvrant autant que cela lui était possible. J’ai eu un aperçu de son intérieur, tout rose, jusqu’à son utérus. Comment ne pas avoir envie de rentrer en elle?
C’est tenaillée par le désir que j’ai amené le gode en moi, lentement, autant pour avoir le plaisir de le sentir glisser en moi que celui de la sentir m’observer, avec une fascination trouble.
Je suis venue sur elle comme un homme vient sur une femme. Avec le désir et la volonté de la pénétrer. Comme si j’avais vraiment une queue. Mais c’était quand même un peu ça. Un postiche et l’imagination pouvaient faire des miracles. Du ventre et de la main, j’ai guidé la queue de plastique jusqu’à ce qu’elle vienne taper contre ses lèvres.
Son regard a accroché le mien, disant sa joie d’être remplie. J’ai poussé le gode en elle, la remplissant jusqu’à ce que je ne puisse plus faire rentrer le plastique d’un millimètre. Elle a eu un gémissement, avant de me dire:
—C’est bon…
Ce qui a été bon, ça a été quand, contractant mes muscles vaginaux, j’ai été capable de contrôler la queue de plastique, comme si j’avais eu une vraie bite, et de la faire aller en elle, de lui donner du plaisir. Et de la voir réagir, son sexe se dilatant, coulant abondamment sur ses chairs, se tendre, se cambrer, fermer les yeux et se laisser aller au plaisir. Ce qui l’était encore plus, c’ était d’avoir du plaisir en retour, car chaque mouvement, le plus infime soit-il se répercutait sur mes chairs, dans mes muqueuses, et me procurait du plaisir en retour. Je sentais que je coulais, autant qu’elle, mes liquides intimes dégoulinant autour du gode.
Je ne l’ai pas faite jouir, même si les liquides qui coulaient d’elle ont pris une autre nature, devenant plus épais, blancs, comme le sperme d’un homme.
J’ai fini, et elle l’a bien senti, par relâcher la pression autour du pénis de plastique, et nous avons inversé les rôles. Je me suis laissée aller, alors que, dans des mouvements de bassin souples, elle allait et venait en moi.J’avais l’impression délicieuse qu’à chaque nouveau mouvement, sa queue allait plus loin dans mes chairs, remontait dans mon corps. Sans doute plus prompte qu’elle à jouir, j’ai vite explosé dans un orgasme qui en a entrainé d’autres, autant parce que la queue de plastique me caressait bien à l’intérieur que parce que j’avais le regard collé aux chairs des deux hommes. Mon mari, sentant que son partenaire allait jouir, a dégagé sa queue de l’anus qui est resté ouvert, il a amené son membre près de la tige de son amant. Ils ont éjaculé une fois encore de concert, se souillant mutuellement de leurs spermes.
Mon mari et moi nous avons échangé un regard complice. Ce n’était sans doute pas encore fini, mais c’était déjà une après-midi à marquer d’une pierre blanche. Grâce à SWAM.