Profitant de son escapade, ils se sont donnés rendez-vous.
Toujours heureux et fébrile, comme à chaque rencontre, tendu par l’attente de ces moments intimes, son mâle attend son arrivée.
Il a au préalable pris possession de leur lieu personnel, prévu de quoi se désaltérer, se restaurer.
Enfin la voilà, traversant la place pour venir à sa rencontre.
Elle est belle, naturellement belle et désirable.
Vêtue d’une courte robe ajustée sur ses formes rondes divinement proportionnée.
Ses longues jambes fines misent en valeur par des escarpins haut et coquins.
Des escarpins aux multiples lanières noires.
Sexy comme à chaque instant, il la dévore des yeux.
Ce premier contact leurs rappellent la fragilité de ces moments.
Comme assis sur un promontoire bancal, tantôts prêts à glisser vers des plaisirs magiques et irréels ou bien que la magie n’opère et se retrouver uniquement sur du plaisir charnel.
Mais ils sont toujours attentifs aux désirs de l’autre et désireux que cette magie ne cesse.
Pour cela, une seule solution, gouter à leurs jeux de langue, mélanger leurs sexes et profiter l’un de l’autre.
Ils montent et prennent possession de la chambre.
Elle se pose sur le lit.
Il ne tient plus, il désire voir et lécher son sexe.
Comme obsédé par cet acte privé, obsédé du plaisir qu’il peut lui procurer, sa langue chercheuse est déjà prête à aller au combat.
Car c’est un combat qu’il mène, le combat de leur désirs réciproque.
Mais cette guerre du désir n’a pas de gagnant, c’est une guerre sans vainqueur.
L’un dédié au plaisir de l’autre et réciproquement.
Tess remonte ses talons vers son cul, cale son dos contre les cousins, écarte ses cuisses et exhibe son sexe offert.
Elle est à son habitude bien sur sans culote…
Quoique cette fois elle en porte une qui n’en a que le nom car elle est fendu et donc complètement ouverte pour révéler son fruit délicat fendu en verticalité.
Elle laisse exposer son délicieux minou au regard coquin de son mâle.
Ses promontoires symétriques couvrent son puit élégant, mis délicieusement en valeur par le tissu noir de son string fendu.
Il embrasse la partie sensible entre le haut de sa cuisse et son sexe doux.
Évite absolument de plonger directement dans son fruit de plaisir.
« Exhibe toi coquine, offre-moi ton intimité »
Ses longs doigts fins viennent écarter méticuleusement sa chatte excitée de toutes ces attentions.
Lui reluquent la couleur de son intimité, imagine déjà sa langue venir se mélanger à son suc transparent.
Elle offre son chapeau de plaisir, écarte son ouverture afin qu’il profite du spectacle.
Le résultat est immédiat, sa queue prend des proportions indécentes.
Il admire se douce lui offrant le plaisir de se faire mater.
Le contraste des couleurs de son sexe est particulièrement affriolant.
Passant de la couleur chair sur le bord de ses cuisses, à une partie plus sombre limitant son puit de luxure, virant sur le rose clair et plongeant sur une couleur plus écarlate sur son intérieur.
La voilà, écartant ses petites pétales de chair vive de ses doigts, ouvrir en totalité, l’espace qui normalement sera occupé par son chibre.
Jouant avec excès de cette commissure, il y glisse au plus loin de ses possibilités, sa langue invasive.
Elle se plaque sur ses parois internes, découvrant la texture de son tissus confidentiel.
Son bouton rosacé le nargue par sa présence et sa proximité.
Les doigts de sa maitresse ouvrent et écartent à l’excès son sanctuaire de paillardise.
Elle adore exposer au désir de son amant, l’intérieur de sa grande paroisse de baise, participant ainsi à son lâcher prise.
Sachant qu’il est l’unique clef de voute pour son ouverture, son plaisir est universel.
Tess regarde la tête de son mâle coincé entre ses jambes fines.
Elle sent toute l’implication qu’il met dans ces gestes afin de lui procurer un sommet de luxure.
Elle imagine sa langue parcourir la périphérie de sa source chaude, s’arrêtant sur ses crêtes fragiles, glissant à nouveau sur la jonction supérieure.
Puis venir aspirer, effleurer, mastiquer, maltraiter sa petite boule suave, synonyme externe de son plaisir féminin.
Égoïstement, elle profite de ce moment dédié à sa féminité.
Son homme relâche l’intensité de son attention et lève la tête.
Il découvre les yeux de sa délicieuse femelle encore perdu dans ses sensations de plaisir.
Un sourire complice éveille leurs regards.
Il introduit tout en la regardant dans les yeux, un doigt curieusement investigateur de ce vestibule.
Son cheminement interne est guidé par toutes ses émotions ressenties.
Il se cale sur les sensations de sa belle et capte tous mouvements internes de son sexe.
Chaque ramification de sa chatte est pour lui, un guide à sensation.
Chaque mouvement de son corps l’autorise à progresser davantage.
Il s’arrête au moment précis où elle laisse tomber sa tête en arrière tout en lui verbalisant son épicurisme.
« C’est là, c’est là, ouiiii « lui dit-elle.
Trop fier de participer à cette chasse au trésor, il fouille plus intensément sa perle privative.
Le bout de son doigt découvre une partie moins lisse, striée d’une multitude de vaguelette microscopique.
Pas plus grosse que le bout de son petit doigt, il a l’impression de guider les plaisirs féeriques de sa douce.
En appuyant plus intensément sur ce point, son corps se cambre et sa gorge laisse échapper un long soupir profond de plaisir.
Elle extériorise le bonheur charnel qu’il lui procure.
Les mains de sa femelle agrippent les draps, son corps se tend, ses jambes s’ouvrent.
Elle s’abandonne à lui.
Encore abasourdit par son orgasme cosmique, son mâle recherche son regard.
Ces yeux sont dans le vague, dissout de consistance, perdue dans les spasmes de son corps.
Sa chatte se contracte encore par soubresaut autour de ses doigts curieux.
Dès qu’il amorce le moindre mouvement, sa catin désinvolte lui bloque les mains afin qu’il ne bouge.
Il ne peut plus jouer avec ces parties privées, celle-ci sont irritablement tendus par l’excès de son plaisir.
Elle est là, inerte, la chatte ouverte, le sexe offert et luisant, ne prenant même pas la peine de cacher sa nudité.
Elle savoure son orgasme.
Il prend conscience du cadeau qu’elle lui a donné : elle s’est abandonnée à lui.
Ces seins couronnés de ses tétines fermes et légèrement colorées repose sous l’inertie de leurs volumes.
Ils posent, tel 2 promontoires érotiques, face à lui, prêt à être encore gravies par ses mains d’alpinistes.
Car le bougre tout émoustillé par sa petite salope a toujours la gaule.
Sa délicieuse vicieuse revient peu à peu à la raison.
Son regard gagne en cohérence et recherche le sien.
L’emprise vaginale féminine commence à se détendre autour de ses doigts toujours lover dans son fruit de luxure.
Elle reprend vie, atterrissant de ce long voyage galactique, où elle a un instant perdu toute rationalité existentielle.
Il retire délicatement ses doigts trempés de son jus intimes.
L’odeur de son intimité endogène, réveille son appétit masculin.
Leurs regards se rencontrent enfin, et touchant cette réalité, il devine son désir manifeste.
Il lèche ses doigts, profitant aussi de sa saveur.
C’est comme un suc délicat et neutre, laissant une touche de revient s’y.
Mais c’est plus ses doigts qu’il veut y mettre mais sa queue.
Il se redresse, prend son membre et le branle du bout de ses doigts.
Cette délicieuse pute ne manque pas un seul épisode de cette branlette privative.
Elle admire son gland, apparaitre et disparaitre sous ses vas et viens manuels.
Il est violassé, gonflé et bombé de plaisir.
Tirant sur son membre, le gland, telle un pistil gorgé de pollen, pointe son orifice vers le visage enjoué de sa petite chienne aux abois.
Elle reluque cette délicieuse pute ; elle reluque le bout de sa trompe intrusive.
Profitant de la forme encourageante de son gourdin, il utilise ce moment pour tapoter le méat sensible de sa femelle.
Le cèpe martèle l’entrée de ces chairs domestiques.
Sous l’effet de ce tambourinage, sa délicieux chatte (fine et distinguée), commence à s’ouvrir comme un fruit trop mur gorgé de soleil.
Elle en coule d’avance et son jus de plaisir suinte délicatement de ses parois internes.
Ces petites lèvres encaissent se martellement intime.
L’onde de ces chocs traverse son sexe, court vers sa colonne pour filer droit au cerveau.
Son cerveau primaire, celui qui ne réfléchit pas, la forme animale de sa féminité, capte cet appel de baise.
Elle va la prendre cette queue oui, elle va la prendre entière.
Mais pour le moment, elle se régale du spectacle.
Elle avance enfin ses mains pour tâter le membre de son mâle.
Délicatement du bout de ses doigts, elle vient tâter le jonc.
Touche ce bout qu’elle a prestement envie de sucer.
Le prendre en bouche, rouler sa langue autour du gland, caresser ses couilles chargées de lourdeur éjaculatoire.
Tout en avançant sa bouche pour gober le cèpe, elle regarde son mâle droit dans les yeux.
Celui-ci découvre, au travers de son regard, tout le désir qu’elle a de partager ce moment avec lui.
C’est profond et intense.
Ses lèvres s’ouvrent pour absorber sa boursouflure rosacé masculine.
Elle se referme sur sa tige, pousse sa tête en avant et absorbe son membre raide.
Ses mains délicates tapotent les bourses pleines.
Elle effectue plusieurs vas et viens pour profiter de la grosseur de son érection.
Sa bouche desserre l’étreinte, se sépare de l’extrémité du gland et descend le long du tronc.
Arrivant sur les couilles, elles les gobent une à une tout en branlant son mâle.
Son cèpe privatif tape le long de son visage.
Elle arrête sa succion testiculaire, recule son visage et continu sa branlette enfantine tout en le regardant dans les yeux.
Et c’est à cet instant encore, qu’il voit dans ses yeux son désir de se faire prendre.
Elle se laisse tomber sur le dos, écartant ses longues et douces cuisses, laissant l’ouverture exagérée de son petit abricot mûr à la merci de son guerrier d’homme.
Elle sait que sa féminité aura raison de son imprudence.
Elle s’offre à lui, entourant de ses jambes le dos de son partenaire.
Lui ressent son appel à l’introduction.
Il prend alors son sexe à sa base faisant gonfler sa tête mure.
Colle celle si sur son puit jouissif, tapote pour écarter les chairs délicates et introduit progressivement tout son outil masculin en elle.
Sa chatte démultiplie sa cavité pour gober la progression de son mâle.
Elle absorbe littéralement l’intégrité de son membre.
« Trop facile » pense t’il …
Suite à quelques simples aller/retour pour exciter sa douce, qui n’a d’ailleurs plus besoin d’être excitée car complétement ouverte, il commence à marteler le fond de son étui jouissif.
Elle absorbe ces avances masculines, tout en succombant aux plaisirs ressentis.
Laisse pousser ses petits soupirs de plaisir l’envahir et plonge ses yeux dans les siens.
Elle encourage ses aller venu.
Elle lui fait signe que son orgasme approche en l’encourageant de plus belle.
Il redouble de cadence, claque son corps contre elle, sort et réintroduit sa bite raide, repoussant à chaque pénétration les tissus délicats.
Elle succombe ainsi ouverte, nue, son corps exprimant son plaisir au travers de spasme animal.
Sans contrôle, perdue dans la jouissance de leurs corps mélangés, leurs regards se perdent l’un à l’autre.
Ils profitent …
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