THÉÂTRE PORNO
Norbert est rentré.
Ma vie se déroule calmement entre mon salon de coiffure et la maison.
Ma vie sexuelle est d’un calme !!!!!
Baise à la pépère deux à trois fois par semaine. A mon, grand regret, après mes refus au début de notre mariage, Norbert n’essaye plus de me sodomiser où de franchir mes lèvres avec sa bite. J’aurais accepté cette fois, j’en ai tellement envie.
Je n’ose pas le lui proposer, ils se poserait sûrement des questions.
Cela fait un mois que mon parrain m’a (soit disant) fait le prêt pour l’achat de mon salon. Norbert a envoyé le premier chèque.
Maintenant, il faut que j’aille récupérer cet argent. (Pour ceux qui n’ont pas lu « sodomisée par mon tonton », je résume : J’ai acheté mon salon avec de l’argent gagné avec mon cul, mais pour mon époux, c’est mon parrain qui me l’a prêté, donc nous le remboursons tous les mois, mais comme le prêt est virtuel, je récupère cet argent.)
Je dois me rendre dans cette maison bizarre où il m’a reçue et baisée, la première fois. Mon parrain m’a appelé pour me dire de ne pas faire d’effort de toilette, je serais préparée sur place. Préparée à quoi ? Mystère.
La patronne de cette maison discrète, m’attendait. Elle me fit entrer dans une pièce où se trouvaient de nombreux vêtements.
J’avais l’impression d’être au théâtre. Deux filles étaient là. Elles me déshabillèrent. Constatant que quel que poils avaient repoussés sur mon pubis, elles me firent allonger sur une table, et firent disparaître les quelques poils superflus autour de ma chatte et de ma rosette. J’étais de nouveau lisse comme un bébé.
Puis elles m’habillèrent. Surprise, elles me vêtirent comme au dix-neuvième siècle. Comme j’avais l’air étonnée, la patronne me dit que j’allais jouer dans une pièce de théâtre un peu particulière.
Elle me fit entrer sur scène.
Décor : une pièce sortie tout droit de la comtesse de Ségur. Dans une cheminée, un grand feu. Devant la cheminée, un homme en tenue d’intérieure lit un journal, à ses côtés, une femme tricote. Un jeune homme debout, attend. La parfaite scène de famille.
Dans la salle une vingtaine de personnes, en majorité des hommes, mais il y avait également quelques femmes.
L’homme laisse tomber son journal.
— Approchez Camille, ma fille vous savez pourquoi vous êtes là.
Ainsi je m’appelle Camille, et je suis sa fille. OK.
— Non ; père.
— Ne faites pas l’innocente. Vous êtes là parce que votre mère vous a vu pratiquer une fellation sur votre frère.
— Ce n’est pas de ma faute, père, il m’a forcée.
Le garçon (mon frère donc) intervient :
— Ce n’est pas vrai père, c’est elle qui me l’a proposé en échange de mon silence.
— Et pourquoi ce silence ?
— Je ne devais pas vous dire que je l’avais vu se masturber.
— Ainsi Camille en plus d’être une vicieuse, vous êtes une menteuse. Cela mérite une punition, approchez.
Mon « père » me coucha en-travers de ses genoux
— Oh non père, pas la fessée, je n’ai plus dix ans.
— C’est tout ce que vous méritez, même à 16 ans. Et pour que ce soit vraiment une punition, ce sera cul nu et devant les domestiques.
Ma « mère » appela les domestiques, 2 black costaud et une jeune femme. Mon ‘père’ releva ma robe, m’ôta ma culotte. J’étais cul nu, devant les ‘domestiques’ et devant toute la salle. Le projecteur était braqué sur mon cul. Un premier coup s’abattit sur mes fesses. Je sursautais, puis les coups s’enchaînèrent, la première douleur passée, je commençais me sentir toute chose. Décidément, je commençais à aimer me faire fesser. Une douce chaleur envahissait mon bas-ventre, je sentais ma chatte s’ouvrir, s’humidifier, j’écartais les cuisses, cambrais les reins pour offrir ma moule aux spectateurs.
Mon « père » réagit aussitôt.
— Petite catin, tu aimes ça, la fessée, et offrir ta chatte.
Il me caressa la fente, ses doigts fouillaient ma moule et mon cul, s’attardant sur mon clito. Je n’en pouvais plus, au bord de la jouissance, j’attendais depuis trop longtemps ce moment où, soumise, je m’offrais comme une pute.
Mon « frère » profita de mon abandon pour fourrer sa bite dans ma bouche. Je m’empressais de la sucer avec avidité.
— Décidément, ma fille est une vraie salope. Hyacinthe, venez l’enculer puisqu’elle n’attend que ça. Regardez la s’ouvrir dans l’attente de votre mandrin. Mais venez lui montrer ce que vous allez lui mettre dans le cul.
Un des deux blacks s’avança vers moi, il me présenta sa bite, un monstre. Son gland était de la taille d’une balle de golf, il faisait au moins huit centimètres de diamètre et trente de long.
Je hurlais.
— Non père, il est trop gros, il va me déchirer.
Dans le feu de l’action, j’avais oublié que ce n’était pas mon père, j’avais réellement peur, comme une gamine de seize ans qui va se faire sodomiser pour la première fois.
Mon père insista.
— Ton cul est prêt j’y ai mis quatre doigts, je l’ai humidifié avec ta mouille. Tu vas aimer cela croit-moi.
Entre temps il avait dégrafé mon corsage. Ses doigts me tordaient les tétons. Une caresse à laquelle je ne résiste pas. J’écartais encore plus mon cul, je me cambrais, m’offrant à cette pine qui allait me défoncer la rondelle.
Le gland appuya sur ma rosette, le black me tenait par les hanches, il força. Je serrai les dents dans l’attente du passage de son mufle. Il franchit enfin l’obstacle, j’avais l’impression d’être ouverte en deux. Sans ménagement, il s’enfonça en moi, je sentais mes intestins se dilater, j’étais concentrée sur la progression de son engin, mes chairs qui s’écartaient, la jouissance commençait à m’envahir. C’était bon, cette bite dans le cul, il y avait longtemps que je n’avais pas ressentie cette sensation, être totalement remplie, être à la merci de mes baiseurs, une bite dans la bouche, une dans le cul. Il ne manquait qu’une dans la chatte et je serais comblée. Je voulais profiter au maximum de ce moment, avant de rejoindre mon époux et de retomber dans la monotonie de la baise à la papa.
Mon « frère » lâcha sa purée, que je m’empressais d’avaler. Hyacinthe me ramonait consciencieusement le fondement, se retirant presque complètement pour m’envahir de nouveau. Dans le silence de la salle où tous les spectateurs avaient leurs yeux rivés sur cette bite énorme qui défonçait mon joli petit cul, on n’entendait plus que mes gémissements de jouissance. Je sentis la bite gonfler encore, Un long jet de foutre m’envahit les intestins, suivit par de nombreuse autres. Je poussais un long cri de jouissance. Hyacinthe décula, je restais là, cuisse ouverte, le cul dilaté, rejetant le sperme qui coulait le long de mes cuisses.
Mais ce n’étais pas fini. Mon « père » s’adressa au public.
— Mesdames, Messieurs, si vous voulez profiter de cette petite salope, elle est à vous.
Ce fut la ruée, une dizaine de personne se précipita sur scène. Ils s’emparèrent de moi, me déshabillèrent entièrement. Nue, mon corps était parcouru par des mains, des bouches. On me mordait les tétons le clito, des langues envahissaient ma chatte, ma bouche.
Je me laissais aller. Je n’étais que jouissance. Mes partenaires s’organisèrent. Une bite força mes lèvres, une langue pris soin de ma chatte avec douceur. Ce devait être une femme, elle me léchait sur toute la longueur, buvant ma mouille, aspirant mon clito. Elle fut remplacée par une bite de bonne taille. J’étais traitée comme une pute, mes baiseurs n’étaient pas là pour me faire jouir, mais pour prendre leur plaisir. C’était normal, vu l’endroit où nous étions.
Pourtant à force de me faire perforer par tous ces clients, dans toutes les positions, je finissais par avoir de multiples orgasmes, surtout quand je fus prise par trois hommes, un dans la chatte, un dans le cul, un dans la bouche. Quand tous les trois crachèrent leur foutre je crus que j’allais m’évanouir.
La séance était terminée. Une femme vint me lécher la chatte pour boire tout le sperme qui s’écoulait, mélangé à ma mouille.
Je pris une douche. La patronne me remit mon enveloppe, en liquide. Bien que cet argent soit à moi, j’avais l’impression qu’il réglait mes prestations. D’ailleurs mon parrain l’avait dit. Il fallait que je me montre très gentil pour toucher mon argent.
Ce vieux vicelard m’avait vendu, comme une pute, mais cela ne me déplaisait pas.
Je rentrais chez moi en espérant que mon époux ne remarque pas mon air fatigué.