Loading...TRIO GAGNANT
Je suis marié depuis 10 ans avec Sonia, j’ai 35 ans et elle 30. Depuis quelques années j’avais un fantasme classique : voir ma femme faire l’amour avec un autre homme. Je ne savais pas trop comment aborder ce sujet avec elle, j’avais peur de sa réaction. On était un couple « normal », ma femme aime faire l’amour, elle est plutôt libérée, on regarde régulièrement des films pornos ensemble, et elle aime me faire des pipes.
Un jour il y a eu un reportage sur le libertinage à la télé et j’en ai profité pour lui demander ce qu’elle en pensait. J’ai été agréablement surpris par sa réponse qui fut un « pourquoi pas ? ». Inutile de dire que cette idée m’avait émoustillé et cette nuit là nous avons fait l’amour comme aux premiers jours.
Une fois l’idée admise il nous a fallu la concrétiser. Aller dans un club ? Mais où ? Nous n’en connaissions pas, chercher sur internet, sur qui allions-nous tomber ? Ça nous effrayait un peu. Et puis je lui ai suggéré de faire venir un ami à la maison. Qui ? Un couple ? Pas évident, et puis nous nous sommes décidé sur un ami plus jeune que nous, un garçon d’une vingtaine d’années, plutôt timide.
Nous l’avons invité un dimanche, il avait été un peu étonné, on ne l’avait jamais invité seul, mais il avait accepté.
Comme c’était l’été et qu’il faisait très chaud, Sonia n’avait pas mis de soutien-gorge et avait laissé déboutonnés les boutons du haut de son chemisier, dévoilant un peu plus sa belle poitrine. De plus elle portait un short très court, mettant en valeur ses jolies fesses.
Quand Luc est arrivé, j’ai tout de suite remarqué son regard sur la poitrine de ma femme. Il y avait de quoi, tant ses seins pointaient sous le tissu blanc.
Durant le repas Sonia, qui était en face de lui, n’oubliait pas de se pencher en avant afin de lui offrir une vue plongeante sur ses seins.
Et il n’en perdait pas une ! Plusieurs fois il bafouillait, s’étranglait presque. Cela nous amusait, sachant ce que nous avions prévu pour la suite.
C’est à la fin du repas que tout de go je lui demandé :
— Qu’est ce que tu penses de ma femme ?
Il en est resté tout bête, ne sachant que répondre.
— Tu la trouves belle ?
— Oui, bien sûr a-t-il bégayé.
— Et elle a de beaux nichons, non ?
Là, il m’a regardé, n’en croyant pas ses oreilles. Je lui ai répété ma question.
— Tu ne trouves pas qu’elle a de beaux nichons ?
— Euh…
C’est tout ce qu’il arrivait à dire !
— Ne sois pas timide Luc, tiens Sonia, montre-lui tes nichons.
J’aimais être vulgaire, ça m’excitait !
Et Sonia s’est approchée de lui, elle a ouvert son chemisier et lui a mis sa poitrine sous les yeux.
Il a avalé sa salive de travers.
J’en ai rajouté une couche :
— Tu peux les toucher, vas-y ne te gêne pas, ça fait plaisir à Sonia.
Il n’osait toujours pas, alors ma femme lui a carrément mis les nichons dans la figure en disant :
— Allez, vas-y, lèche-les, et ne fait pas attention à Max, il est d’accord.
Je fus agréablement étonné par la réaction de Sonia qui prenait les choses en main.
Cette fois il s’est lâché, il s’est mis à sucer la pointe des seins, à leur donner de grands coups de langue et à les pétrir avec fougue.
Enfin ! J’étais de plus en plus excité.
— C’est bien Luc, j’ai dit, et maintenant encore mieux, je te la donne en entier : tu peux faire ce que tu veux avec elle, oui tout ce que tu veux, elle est toute à toi.
Il n’a pas attendu, il s’est déshabillé en un tour de main, a arraché le chemisier et le short de Sonia, l’a mise à genoux et lui a présenté son sexe en criant presque :
— Vas-y, suce-moi.
Sonia m’a regardé en souriant puis a englouti son membre avec un plaisir évident.
J’étais un peu jaloux, mais mon rêve se réalisait. Je bandais à mort. Je les ai regardés un moment tout en me masturbant, puis j’ai enlevé mes vêtements et je les ai rejoins :
— À mon tour, maintenant. Allez Luc prends-la en levrette pendant qu’elle me suce.
Sonia s’est arrêtée de le pomper, elle a pris ma queue dans sa bouche et a présenté sa croupe à notre ami qui s’est empressé de la contenter.
Ce fut un moment formidable. Elle me suçait comme elle ne l’avait jamais fait pendant que Luc lui donnait de grands coups de bite. Sonia râlait de plaisir. C’était intense.
Puis Luc s’est retiré et il est venu mettre sa queue devant le visage de Sonia, j’ai compris ce qu’il allait faire et j’ai fait de même, on s’est branlé un dernier coup. Sonia a dit un :
— Oh oui !
Et elle a ouvert la bouche en grand pour recevoir notre foutre. Elle en a reçu partout, puis comme dans les films pornos qu’on aimait regarder elle nous a léchés à tour de rôle.
Après une bonne douche nous avons remis ça, mais cette fois c’est moi qui l’ai prise en levrette pendant qu’elle le suçait. Et on s’est encore masturbé sur son visage. La couvrir de foutre j’adorais ça.
Nous étions assis, nus, dans le canapé, complètement satisfaits. On ne parlait pas. Nous étions bien, j’étais heureux, mon fantasme s’était réalisé, Sonia avait été formidable.
Puis Luc en a remis une couche. Il s’est tourné vers Sonia :
— Avant de partir, j’aimerais que tu me suces encore une fois, mais sans ton mari, rien que moi.
— Pas de problème, j’ai dit.
Sonia a obtempéré et a commencé à lui faire une belle pipe. Je les regardais en me masturbant doucement. J’étais comblé ! Mon fantasme se réalisait, c’était comme dans un film porno, mais en vrai, avec Sonia dans le rôle principal.
Puis il a pris la tête de Sonia dans ses mains et a crié :
— Avale !
Sonia s’est laissée faire. Elle a gardé son membre dans la bouche qui tressautait en éjaculant. Je la voyais qui avalait comme elle pouvait au fur et à mesure.
C’était magnifique !
Quand Luc s’est retiré en soupirant de plaisir, j’ai pris le relais et j’ai mis ma queue dans la bouche de Sonia. Elle l’a prise avec plaisir et moi aussi je lui ai demandé d’avaler, ce qu’elle a fait goulûment.
Ce fut un après-midi mémorable.
Le soir nous avons fait l’amour à plusieurs reprises, notre amour avait grandi.
Depuis nous avons continué, nous pratiquons l’échangisme. Sonia adore et moi je ne l’aime que plus.
