Ils sont routiers. Hier, aujourd’hui, demain. Le métier a changé, mais il reste fondamentalement le même. Des hommes quittent leur foyer pour convoyer des marchandises. Ils doivent les livrer en un temps record. Lutter contre la fatigue, et le stress. Un métier usant. Epuisant. Ils ont pourtant des compensations. La forte solidarité entre routiers. Et aussi le sexe.
Voici quelques unes de ces histoires, confiées par des routiers, dans lesquels le sexe a une place essentielle.
Ca s’est passé il y a une dizaine d’années. Je ne sais pas si vous vous souvenez de cette période. A l’époque, le prix des carburants montait régulièrement, le gouvernement gonflait les taxes, et on se retrouvait régulièrement, mes collègues et moi, à bloquer les dépôts pétroliers.
Ca nous emmerdait de nous arrêter. Quand on est routier, on ne gagne pas des cent et des mille, alors cela signifiait que la paye était bien amputée. En même temps, on songeait à notre avenir. Un carburant trop cher, ça avait des conséquences sur les entreprises de transport. Ca signifiait mettre une ou deux personnes à la porte pour réduire les frais.
Ce qui est bien avec nous les routiers, c’est qu’il existe une grande solidarité entre nous. On s’est regroupés à l’appel de nos organisations syndicales.
On a passé, par grappes, quinze jours sur les barrages.
Le gouvernement a cédé deux jours avant Noel, mais, s’il avait fallu, on aurait passé les fêtes ensemble.
On se débrouillait comme on pouvait. On avait fait une cagnotte, et puis les gens, spontanément, nous amenaient à manger.
Et puis il y a eu ce moment un peu spécial, la veille du jour où le gouvernement a lâché du lest.
Je discutais avec Gégé, au pied du camion, quand j’ai vu arriver les deux Mercos, dont le noir luisant accrochait les lumières des phares et des réverbères. Elles se sont arrêtées juste devant le cercle formé par les camions.
Et là ça a été le déferlement.
Je ne sais pas comment on était arrivé à mettre autant de filles dans les véhicules. Sans doute qu’une Mercédès c’est grand. Je crois bien qu’il y en a eu 9 qui sont descendues de la première voiture, et 10 de la deuxième.
Elles étaient toutes jeunes, entre vingt et trente ans, et toutes plus sexy et attirantes les unes que les autres. Des corps jeunes, souples… Il y avait de tout. Des brunes, des blondes, des rousses, des Asiatiques, des Noires, des métisses…Dans la lumière des phares, leurs corps ont été quasiment mis à nu, d’autant plus qu’ils étaient déjà bien révélés par leurs tenues, robes collantes, jupes courtes, débardeurs, pantalons très moulants… Elles avaient tout pour plaire…
Les camionneurs, dont certains étaient dans leurs cabines, ont tous afflué…Je ne sais pas trop comment les appariements se sont faits…Dans certains cas, sans doute, les filles choisissaient les gars, dans d’autres c’était l’inverse…
Moi, je ne tenais pas spécialement à avoir une fille. Je suis marié, et je n’ai pas trop l’idée de tromper mon épouse…
Et puis je l’ai vue arriver vers moi, au même moment où un collègue passait dans mon dos, et me disait:
—C’est un cadeau du syndicat pour nous aider à tenir. Il y a aussi un buffet qui vient d’arriver, avec de la nourriture, et de quoi boire.
Ironiquement, on ne se doutait pas que le lendemain, le gouvernement céderait.
Je l’ai regardée. Je voulais dire non, et puis quelque chose s’est réveillé en moi. Elle était extrêmement jolie, sans la vulgarité qui colle souvent à la peau des courtisanes. Elle avait un joli visage, vraiment bien dessiné, avec un regard pétillant, pas trop de maquillage, juste un trait de rouge en travers des lèvres, une crinière blonde. Une robe en lainage collait à ses formes. Elle avait un corps bien charnu, avec des seins, des fesses, des hanches, et des cuissardes qui montaient à l’assaut de ses jambes.
Je me suis surpris à lui sourire.
—J’ai juste envie d’un peu de compagnie, pas forcément de sexe.
—Pas de problème. De toute façon, j’ai déjà été payée.
—J’ai rien mangé depuis ce matin, si on allait de servir…
En quelques minutes, une équipe au service d’un traiteur avait installé tout ce qu’il fallait pour bien manger. Il y avait de tout, des charcuteries, des mets simples ou plus savoureux, des fruits de mer, des plats en sauce, des fruits, des pâtisseries…Et du vin. On s’est composé chacun un plateau repas, à l’image de mes collègues. La soirée était fraiche, mais pas trop froide, malgré la saison. Je l’ai emmenée dans mon camion. Il y avait largement la place. On a commencé à manger.
—Il est beau ton camion, elle a dit.
J’avais récupéré une bouteille de vin blanc et je l’ai servie.
—Il est surtout fonctionnel. Bon, je suppose que la grève ne va pas durer éternellement et qu’on va repartir sur les routes…
J’ai hésité un instant, avant de lui demander:
—C’est la première fois que tu as des routiers comme clients?
Elle a eu un petit sourire.
—Tu sais, les clients, je n’en ai pas tant que ça…On fonctionne à partir d’un site…On est un groupe de filles qui s’est mis ensemble. L’argent on se le partage. Et on essaye de faire attention à qui on prend comme clients. Je suis assistante de direction, et si j’en suis arrivée là, c’est un peu par hasard. Je sortais, un soir, et un homme m’a abordé dans un restaurant. Une grand type qui m’a bien plu. Il m’a dit sans ambages que je lui plaisais énormément, et qu’il avait envie de passer la nuit avec moi, moyennant finances. J’ai été décontenancée, surtout parce que je ne voyais pas une si jolie fille que ça dans le miroir. Il m’a donné sa carte, a griffonné quelque chose dessus, et me l’a tendue, en disant ‘Si vous changez d’avis…’ Je suis rentrée chez moi, perplexe. En fait, il était plutôt beau garçon, et je crois bien que même sans payer, je n’aurais pas dit non.
Quand j’ai regardé la somme inscrite sur le bristol, j’ai été impressionnée….A peu de choses près, c’était ce que je gagnais en un mois…Ca m’a fait vraiment réfléchir…Me faire payer pour faire ce que j’aurais fait de toute façon gratuitement…
Malgré tout, j’appréhendais un peu…Je n’avais pas envie de tomber sur un sadique…
Je l’ai rappelé entre midi et deux…Je lui ai proposé qu’on se voie, sur le même créneau horaire, le lendemain.
Ca s’est vraiment bien passé. On s’est retrouvés dans un hôtel à la périphérie de la ville, et on a fait l’amour. Je me suis un peu découverte à ce moment-là parce que c’est moi qui ait vraiment pris les choses en main. Je ne pensais pas avoir ce don…Il m’a laissé une somme importante, plus que ce qui était prévu, en rajoutant:
—J’aimerais qu’on se revoie…Et j’ai un ami qui je pense t’apprécierait beaucoup.
C’est comme ça que j’ai vu trois ou quatre hommes par semaine. Ca m’a permis de mettre de l’argent de côté, et de profiter un peu mieux de la vie.
C’est une collègue qui m’a vu avec deux hommes différents qui m’a glissé un jour: ‘Tu sais, tu n’es pas la seule. Ca te dirait de t’associer à nous?’ Et j’ai rejoint ce réseau…Voila tu sais tout…Tu n’as toujours pas envie?
Je ne sais pas ce qui m’a débloqué…La discussion… L’alcool? J’avais envie de sexe maintenant, et de sexe avec elle…Elle me plaisait, et je me disais que ça serait idiot de ne pas profiter de ce moment.
Elle m’a évité le premier pas en se penchant sur moi et me caressant à travers mon pantalon.
—Il me semble que tu es dur…Tu crois pas qu’on pourrait faire quelque chose?
Elle a attrapé ma main, et pendant qu’elle me caressait doucement, elle l’a posée au niveau de son genou gauche. Ses jambes étaient gainées de nylon sombre, qui a crissé sous mes doigts. Je suis remonté sur le volume de sa cuisse en même temps qu’elle défaisait mon pantalon pour mettre ma queue à nu.
Le cabine m’isolait, mais en même temps, par le pare-brise et les vitres, je voyais quasiment tout. Elle a sorti ma queue de mon caleçon, j’étais semi-dur, et elle a entrepris de me caresser de ses lèvres et de sa langue. Elle était indéniablement habile. Etait-ce quelque chose d’inné ou bien avait-elle acquis de l’expérience à force de fréquenter des hommes? C’était une bonne question, qui méritait d’être posée.
Pendant qu’elle me caressait, allant et venant le long de ma tige, avant de descendre sur mes couilles et de les gober, puis, quand elles ont été bien au chaud dans sa bouche, les parcourant de sa langue, je regardais ce qui se passait dehors.
Des couples s’étaient formés, se formaient, et à ce moment, sans aucun doute, les préoccupations syndicalistes étaient bien loin. Si un journaliste était venu à ce moment, il n’aurait pas été déçu. Si certains avaient choisi de s’accoupler dans les cabines, d’autres n’avaient pas eu ce souci. Juste en face de moi, une blonde charnue avait roulé sa robe à sa taille pour offrir sa croupe à un homme qui, quand j’ai regardé, glissait sa verge congestionnée en elle. Un peu plus loin, une ravissante brune, accroupie, avait deux queues à sa disposition, qu’elle caressait manuellement, faisant aller sa bouche de l’une à l’autre. Pour d’autres, cela se passait dans le camion, mais selon la taille des pare-brise on voyait partie ou tout de leur accouplement. J’ai pensé un instant que ce n’était pas une bonne idée mais le plaisir que j’éprouvais, et le fait qu’on se sentait isolés, tous ensemble, a certainement joué.
Elle m’a caressé un long moment. Je me sentais extraordinairement bien, les tensions de ces jours de grève oubliés. En plus, elle était agréable.
Elle a fini par défaire sa jupe, et ôter son slip, pour se retrouver nue à partir de la taille. Il lui restait le débardeur qu’elle a fait passer par dessus ses épaules. Elle avait une belle poitrine, des seins fièrement dressés. J’ai plongé dessus de la bouche, venant caresser les tétons, que j’ai eu le plaisir de sentir durcir sous ma langue. Elle s’est calée sur mes genoux, me laissant jouer avec ses seins, en même temps qu’elle caressait doucement ma queue.
—Tu veux venir dans ma chatte?
J’ai eu un mouvement de tête positif. Il y avait quelque chose qui passait entre nous, qui serait bien évidemment très fugace, l’espace de quelques minutes, mais ce quelque chose me plaisait.
Elle a récupéré le petit sac à main qu’elle avait abandonné à la place du conducteur, la mienne, et elle en a tiré une capote, dont elle est venue envelopper ma queue. Deux secondes plus tard, elle se positionnait juste au dessus de moi. Il y avait une espèce de sourire sur son visage, comme si faire ainsi l’amour avec moi, alors même qu’elle était tarifée, lui procurait du plaisir. C’était peut-être le cas…Mais je ne me suis pas vraiment posé la question…Elle s’est efforcée de se positionner juste au-dessus de ma queue, et elle s’est laissée descendre dessus. Les lèvres de son sexe sont rentrées en contact avec mon gland, ça m’a lancé de l’électricité dans le ventre, et elle s’est laissée descendre sur moi, avalant ma queue. J’ai eu la délicieuse sensation de sa chatte autour de moi, qui m’a enivrée. Elle s’est posée sur moi. J’avais envie de prendre sa bouche, mais je connaissais bien ce qui était peut-être une légende, peut-être une réalité, que les courtisanes ne se laissaient pas embrasser.
Elle savait en tout cas se servir de sa chatte. J’ai été surpris, un rien décontenancé même par cette caresse qu’elle a esquissé, inédite pour moi, qui a consisté à resserrer ses muscles vaginaux autour de ma queue. C’était délicieux, et j’ai failli jouir.
—Retiens-toi. Ne jouis pas tout de suite.
On est restés ainsi, immobiles,avec juste ses muscles intimes travaillant, se contractant autour de ma queue, puis se détendant. Le plus curieux sans doute, c’était que, si les filles de joie étaient réputées ne prendre aucun plaisir, elle semblait en éprouver un, bien réel, en tout cas celui de m’en donner.
Ca n’était pourtant que le début, et elle m’a guidé vers d’autres plaisirs, qui ont fait que j’ai vraiment apprécié ce moment, alors que, quelques minutes plus tôt, j’étais réticent. Elle a resserré une fois encore ses muscles vaginaux autour de ma queue, pour une caresse inédite, pivotant autour de ce centre pour se présenter à 180 degrés…Il a fallu, alors qu’elle tournait, que je me contrôle pour ne pas jouir, tellement cette caresse était forte…Elle m’a présenté son dos, et ses fesses rebondies.
—Si tu as envie de me sodomiser, tu peux. Je n’ai rien contre, au contraire. Il faut juste que tu m’ouvres un peu.. Donne moi ta main…
Elle a tendu le bras en arrière, pour attraper mes doigts. Elle les a attirés contre sa muqueuse anale, en dégageant un qu’elle a appliqué contre sa rondelle, dont j’ai senti les plissements. Elle l’a doucement appuyé contre elle, et j’ai senti que je glissais en elle, dans un intérieur chaud et humide. Elle a poussé un petit gémissement de plaisir.
—J’adore me faire prendre par là. C’est vraiment comme ça que j’éprouve de la jouissance.
Elle a fait bouger mon doigt en elle, et j’ai senti que sa muqueuse anale s’ouvrait, et que je coulissais mieux en elle. J’ai aussi senti, à sa manière dont son corps frémissait, que je lui donnais du plaisir. Quand elle a repoussé ma main, elle était bien ouverte, et, alors que je n’y pensais pas encore quelques minutes plus tôt, j’avais très envie de la prendre par derrière.
Mon voeu a été très rapidement exhauçé. Elle s’est soulevée pour faire sortir ma queue de sa chatte. Enveloppé du préservatif qui dégoulinait de ses jus intimes, j’étais tout dilaté. Elle m’a attrapé, et est venue poser mon gland contre sa muqueuse anale. Elle s’est laissée descendre sur moi. C’est rentré tout seul. J’ai bien perçu la différence entre ses deux orifices, le canal était beaucoup plus serré. C’était d’ailleurs de là que provenait le plaisir. Je me suis retrouvé complètement emmanché en elle, fasciné par le spectacle de ses deux fesses ouvertes sur ma queue fichée en elle. Ma femme refusait obstinément que je la sodomise. Elle avait résumé son point de vue d’une phrase radicale ‘Un trou du cul c’est fait pour chier pas pour mettre une bite dedans. J’ai pas envie que tu me fasses mal.’ Mais, comme tous les hommes, j’avais ce fantasme, de prendre une femme par les fesses. Je n’aurais pas imaginé que ça se passerait ce soir.
J’étais autant excité par la vision que j’avais sous les yeux que par le fait de sentir ma queue étroitement comprimée par le canal étroit qui me caressait.
Ce qui me surprenait le plus, sans doute, c’était de constater qu’elle éprouvait du plaisir, en contradiction même avec sa profession, autant et sinon plus que moi. Elle se tordait sur moi, fouillée par ma queue qui la caressait. Son visage, dont je voyais une partie dans le rétroviseur accroché au plafond reflétait son plaisir, et j’ai compris, à défaut de le voir, que, si je voyais son bras gauche bouger, c’était parce qu’elle se caressait le sexe, sans doute le clitoris ou autour, pour se donner du plaisir.
J’ai rarement joui comme ce soir-là avec elle. L’orgasme qui m’a saisi a été d’une rare intensité…Je me suis vidé dans le préservatif. Mes jets de sperme n’en finissaient pas de jaillir. J’ai senti, comme un prolongement à ma jouissance, qu’elle aussi éprouvait du plaisir. Elle s’est cambrée, et a poussé une sorte de cri, très spécial, un mélange entre râle et feulement.
Elle s’est dégagée. On s’est arrangés, mais elle n’est pas partie tout de suite.
—Je reste avec toi, si tu as encore envie…Je suis payée pour toute la nuit, de toute façon…
—C’était bien comme ça. Autant rester sur ce souvenir.
L’espace au centre était vide. La plupart des filles étaient dans les camions, s’accouplant avec les camionneurs, ou, comme nous, dans le moment d’après.
Je l’ai regardée. Il existait à cet instant, entre nous, une intense complicité qui disparaitrait au petit jour. C’était un moment unique, spécial, dont il fallait profiter.
On s’est doucement endormis l’un contre l’autre.
Quand je me suis réveillé, le lendemain matin, toutes les filles avaient disparu.
On s’apprêtait à continuer la lutte, mais un gars du syndicat est arrivé. Il avait une expression triomphale.
—Le gouvernement a cédé.
C’est comme ça qu’on est tous rentrés chez nous.
Ma femme m’attendait.
On était restés en contact pendant le mouvement, et elle m’avait toujours soutenu. Cela faisait vingt ans qu’on était mariés, et on était toujours très proches. Il existait entre nous des liens très forts, qui avaient su perdurer au fil du temps. On jouait, c’était peut-être ça le secret, sur plusieurs tableaux, l’amitié, la complicité, les sentiments, et le sexe.
—Je suis content que tu rentres enfin à la maison…
—Je repars demain.
—Je t’ai préparé un bon petit repas.
Une blanquette de veau mijotait au coin du feu. Elle s’est approchée de moi pendant qu’elle finissait de cuire. J’appréciais de nombreux aspects de sa personnalité. Ce qui me séduisait énormément, c’était qu’elle s’efforçait, même à la maison, d’être toujours sexy. La libido ça s’entretient, et notre entente passait clairement par la séduction et le sexe.
Elle portait une jolie robe en lainage courte et moulante, avec ce que j’ai d’abord pensé être un collant, avant de me rendre compte qu’il s’agissait de bas stay-up, et des bottes hautes, couleur fauve, luisantes. Elle s’est approchée de moi pour me donner sa bouche, dans un baiser long, qui a impliqué nos langues. On les a frottées un moment. J’ai glissé ma main sous sa robe, au niveau de son genou, et je suis remonté. A travers l’électrique du nylon, j’ai senti la chaleur de son corps, qui a remonté dans mes mains, m’a envahi. J’ai senti ma queue de durcir.
lLe moment avec la fille, dans le camion, resterait une parenthèse. Une délicieuse parenthèse, que je n’oublierais pas de sitôt. Quelque chose de vraiment très bon, mais ma vie était ici. J’avais la chance d’avoir une femme belle, désirable, et avec qui je m’entendais parfaitement…
Elle s’est redressée, et m’a laissé faire, immobile, alors que je remontais de plus en plus haut, heureuse des caresses que je lui prodiguais. J’ai pu effectivement constater qu’elle ne portait pas de collants, mais des bas auto-fixants qui laissaient le haut de ses cuisses ainsi que son bas-ventre à nu. Je suis monté sur sa croupe, pleine, charnue que j’ai caressée, allant tout en haut, là où son sillon fessier s’amorçait, et m’immisçant dans la fente profonde, pour descendre au fond de sa raie. Elle a eu un long frisson quand j’ai frôlé son anus. J’ai repensé à ce qui s’était passé entre la prostituée et moi. Peut-être que… Mais j’ai continué ma route. Je suis arrivé sur un sexe juste entrouvert, mais caresser ses lèvres a fait qu’elle s’est ouverte, et j’ai senti ses jus couler sur ma main. Elle m’a laissé la caresser, s’ouvrant et coulant de plus en plus.
Au bout d’un moment, elle s’est penchée sur moi, pour me défaire, et elle m’a mis à nu.
—Ben dis donc, tu as une belle érection…C’est vrai que pendant le blocus, t’as pas du avoir l’occasion de faire l’amour? Tu t’es branlé? Ca m’excite de penser à ça, tiens…
Elle s’est penchée sur moi et elle s’est mise à me caresser avec sa bouche. Si elle ne voulait pas se faire sodomiser, par contre, elle était vraiment experte en fellation, et elle me donnait à chaque fois infiniment de plaisir.
Chez nous, comme dans pas mal de foyers, la télévision restait allumée toute la journée. Un moyen de ne pas rester seul sans doute, mais aussi au-delà de garder un oeil sur le monde.
Penchée sur moi, elle baladait sa langue sur ma queue. Elle est venue longuement sur mes couilles avant de remonter sur mon gland, qu’elle a balayé.
Sur l’écran, en face de moi, c’était le journal. Un journaliste s’exprimait, en parlant de la fin du blocus.
Elle a enfoncé sa langue dans mon méat, et l’a poussée aussi loin qu’elle le pouvait.J’ai senti la jouissance monter en moi. C’était une de ses techniques favorites, et ça marchait toujours. Elle connaissait bien mes ficelles.
Un de nos reporters a infiltré le mouvement. Il nous a ramené un montage d’images qui vous montre ce que pouvait être l’un des blocus.
Ca m’a fait tout drôle. Le reporter infiltré parlait devant la caméra…Et c’était Dan, l’un des camionneurs qui nous avait rejoint dans les premiers jours…
Il avait filmé des images qu’il commentait, en caméra cachée. Les réunions debout en cercle pour décider de la suite à donner au mouvement…Les repas…
Mais parmi les routiers, il y avait aussi des moments de plaisir…
Bien que filmé de nuit, avec une sensibilité d’objectif et les réverbères pas très loin, on voyait les les lieux comme en plein jour.
Et moi avec la petite blonde qui me baladais au milieu des autres routiers, pour la faire monter dans le camion la première et la suivre.
Je crois que je n’ai jamais eu un orgasme comme celui-là. J’ai explosé de jouissance, crachant jet de sperme après jet de sperme dans la bouche de ma femme, qui a resserré ses lèvres sur moi pour ne pas en perdre une goutte, comme à son habitude. En même temps, je me suis senti me glacer.
Le reportage était fini.
Elle s’est redressée, la bouche encore pleine de sperme. Elle a avalé, avant de me dire:
—C’est curieux dis donc tu fais une drôle de tête…On dirait que tu as vu un fantôme…
—Tu crois pas si bien dire, j’ai répondu.
Je me suis demandé si j’arriverais à passer entre les mailles ou si elle verrait le reportage tôt ou tard.
CETTE HISTOIRE VOUS A PLU ? N’OUBLIEZ PAS DE LA COMMENTER ET DE LA PARTAGER !
Vous êtes auteur ? Cliquez sur ce lien pour lire quelques conseils d’écriture
Abonnez-vous à la page Facebook de MesHistoiresPorno et des Nouveaux Interdits : https://www.facebook.com/nouveauxinterdits
Retrouvez en cliquant sur ce lien les autres histoires de Frédéric Gabriel