Ils sont routiers. Hier, aujourd’hui, demain. Le métier a changé, mais il reste fondamentalement le même. Des hommes quittent leur foyer pour convoyer des marchandises. Ils doivent les livrer en un temps record. Lutter contre la fatigue, et le stress. Un métier usant. Epuisant. Ils ont pourtant des compensations. La forte solidarité entre routiers. Et aussi le sexe.C’est alors que j’arrivais à G… que j’ai eu reçu le SMS.
On pourra pas se voir aujourd’hui. Je suis loin de G… pour des démarches administratives. Mais je t’envoie quelqu’un qui me remplaçera avantageusement.
J’ai été déçu. Cela faisait trois ans qu’on se voyait, Aicha et moi, à chaque fois que je passais à G… et il existait entre nous un lien fort. Qui reposait sur l’affection, et le sexe.
Elle et moi, on s’était connus tout à fait par hasard. Ce hasard qui, sur les routes, joue un rôle important pour moi, et me permet souvent des rencontres surprenantes.
Tous les quinze jours, je venais livrer de la droguerie à cinq moyennes ou grandes surfaces à G… L’entrée de la ville était une interminable zone industrielle et commerciale, les deux se mélangeant.
Je venais de finir mes livraisons, ce matin-là. Il était midi moins dix. Ma remorque vide, je devais repartir pour l’entreprise. Mais comme j’étais en avance, je devais normalement faire ma dernière livraison aux alentours de 14 heures, j’ai pris le temps de faire une pause. Et de manger.
On était en avril, et c’était une belle journée.
J’avais l’habitude de repérer les plus infimes détails quand je passais quelque part, parce que tout pouvait servir, tôt ou tard. Et j’avais une excellente mémoire.
J’avais déjà remarqué le food truck. Il était peint avec des nuances de mauve, et l’ardoise posée juste devant annonçait des plats appétissants et variés.
On pouvait emporter à manger, mais aussi consommer sur place, il y avait trois tables de bistrot, rondes, et repeintes en mauve, avec des sièges assortis.
C’est là que mon chemin a croisé celui d’Aicha pour la première fois. Elle était assise, seule, avec du riz et du veau au curry, et je suis tombé sous son charme dès la première seconde. Elle était là le regard ailleurs, rêveuse, avec un corps de rêve et une sensualité qui éclatait au visage de quiconque la regardait. Elle avait une crinière noire, épaisse et bouclée, qui coulait sur ses épaules, un visage que la Nature avait délicatement dessiné, rehaussé par un peu de maquillage, surtout du mascara autour des yeux, qui soulignait leur beauté et leur profondeur, et un corps aux rondeurs indéniablement féminines. Elle portait un tailleur en jean, veste et jupe, avec sous la veste un T-shirt blanc, tendu par des seins lourds. La jupe était courte, laissant voir la totalité de ses jambes. Elle portait une simple culotte blanche, visible parce qu’elle avait les jambes ouvertes, gonflée par son sexe.
C’était la première fois que je m’arrêtais à ce food truck. Je n’aimais pas les routiers, et je prenais souvent des repas dans des endroits insolites, comme ici.
L’homme derrière les fourneaux était tout jeune et sympathique.
—J’adore le chili con carne…Quand il est bon…
—Le mien est excellent…S’il ne vous plait pas, je vous le rembourse…
J’avais d’abord pensé le manger dans la cabine, mais l’image de la jeune femme, qui se reflétait dans le miroir derrière le cuisinier me persuadait de rester sur place. Elle me plaisait énormément, et, même s’il ne se passait rien, j’aurais eu la chance de la côtoyer quelques minutes.
Je suis allé régler, et je me suis calé à deux tables d’elle, avec sur mon plateau l’assiette de chili, un mille-feuilles, des couverts et du pain.
J’allais m’asseoir, quand elle m’a jeté:
—Si ça vous dit, vous pouvez venir vous asseoir en face de moi. Je viens juste de commencer. On mangera ensemble.
Je n’allais pas dire non.
Il y avait en elle quelque chose d’étincelant, qui m’ a frappé encore plus quand j’ai été en face d’elle. Elle dégageait une telle énergie, une telle force…
Elle m’a souri.
—Vous avez un beau camion.
—Oh, ce n’est pas le mien, c’est celui de mon entreprise.
—Vous y passez le plus clair de votre temps, non? Alors c’est un peu le votre quand même. Et vous transportez quoi?
—Hé bien ce qu’on nous demande de transporter. On a plusieurs contrats…Moi je fais pas mal de droguerie. Je tourne sur cinq départements. J’ai des semaines bien remplies. Et vous?
—Je suis secrétaire médicale chez un dentiste qui est installé en centre ville. Là, c’est l’heure de ma pause. Je viens ici deux à trois fois par semaine. On y mange bien. Il y a un restaurant administratif pas loin du cabinet, mais je préfère manger ici. Ca me sort.
On a continué de manger tranquillement. Sans l’avoir fait exprès, j’avais pris le même dessert qu’elle. On en était tous les deux en plein milieu du mille-feuilles quand elle m’a dit:
—On va finir notre dessert, il est pile treize heures. Et je reprends à quatorze. Vous êtes pressé de partir?
—Cet après-midi, j’ai juste à rentrer et je recharge pour demain. Donc non, j’ai un peu de temps.
—J’aimerais aller faire l’amour dans votre camion. Je suis sûre que c’est super confortable. Ca me ferait une belle pause déjeuner. Vous avez envie?
J’ai été un peu surpris que ce soit aussi facile. Je n’avais même pas eu à la draguer, à lui faire des avances. C’était elle qui avait fait tout le boulot.
Pour mieux me convaincre, se tournant légèrement pour que le cuistot ne voie rien, elle a glissé sa main sous sa jupe, qui avait largement eu le temps de remonter, et écarté sa culotte quelques secondes, me donnant tout le temps de voir son sexe, très brièvement, mais les images sont restées gravées sur ma rétine. J’ai aperçu une toison touffue, sauvage, qui dévorait son pubis et glissait le long de son sexe, l’encadrant, et deux lèvres, étendues en avant de son sexe, deux bouts de chair roses dont chacun avait une orientation différente, l’un droit, l’autre tordu sur le côté.
L’image est souvent revenue par la suite, elle m’ a hanté, comme pas mal d’autres d’ailleurs. J’ai aimé cette impudeur, le fait qu’elle puisse s’exhiber comme cela, pour séduire un homme, alors qu’on ne se connaissait pas.
—Je serai enchanté de vous faire visiter ma cabine.
On a rapporté nos plateaux, côte à côte. Elle marchait près de moi, et je sentais la densité de son corps, toute proche, ainsi que l’odeur délicate de son parfum. Le cuisinier nous a souri.
—J’espère vous revoir bientôt…
Elle a marché à mes côtés jusqu’au camion. Elle avait des escarpins rouges avec des talons fins…
—Pffff, elle a soupiré. Je les étrenne aujourd’hui, ils me font mal. Demain, c’est baskets toute la journée.
J’ai tout de suite aimé ce côté nature qui était le sien, une constante depuis trois ans qu’on se voyait, quand je passais. Elle était très spontanée, disant ce qu’elle pensait. Et dans ses envies de sexe aussi.
J’ai débloqué les portières. Elle est montée du côté passager.
—Ouahh, c’est immense…Vous êtes à l’aise…
Elle hésitait encore entre vouvoiement et tutoiement.
Elle a tout regardé avec des yeux émerveillés, avant de passer la tête à l’arrière, pour examiner l’aménagement dont l’élément central était la couchette, qui pouvait sans mal accueillir deux personnes.
—On n’a pas beaucoup de temps…Il faut qu’on en profite…
Sans plus attendre, elle s’est penchée vers moi, et elle a défait mon pantalon. La semi-érection qui m’avait saisi lorsque j’avais aperçu sa chatte venait de se transformer en quelques secondes en une érection quasi totale, qu’elle a découvert au bout de ses mains et qu’elle a mis à nu.
—Tu as la queue dont toute fille peut rêver.
Elle m’a caressé doucement.
—Tu peux me toucher aussi, tu sais, j’en ai envie. Enfin, à vrai dire, j’en ai eu envie dès que je t’ai vu arriver. T’as une copine?
—Pas en ce moment.
—Moi j’ai pas de mec non plus. Comme ça, on aura l’esprit plus libre.
On a glissé sur la couche, où j’étais habituellement seul. C’est venu tout seul, on s’est mis tête-bêche. J’ai descendu son slip, pendant qu’elle caressait doucement ma queue, en commentant:
—J’aime sentir une queue durcir dans ma main…
Faire l’amour avec elle, je devais le découvrir par la suite, c’était une action rythmée par ses multiples commentaires, sur ses envies, ce qu’elle avait vécu, ce qu’elle vivait. On pouvait trouver ça irritant, ou, comme moi, que ça avait beaucoup de charme.
Les filles que j’avais eues ces dernières années étaient toutes rasées, en contraste c’était excitant de voir cette chatte luxuriante. Je trouvais que ça mettait en valeur, comme un écrin, son sexe, qui s’est ouvert, laissant voir un intérieur tout rose et brillant, pendant que je parcourais ses poils, doux sous mes doigts. On s’est caressés mutuellement, elle tournant sur ma queue de ses doigts, moi venant sur ses lèvres, avant de remonter sur son clitoris, que j’ai décalotté, et caressé doucement, point de saillie, qui glissait doucement hors de sa gaine et s’allongeait, fin et délicat. Comme pour toutes les filles, sans surprise, c’était un point sensible. Elle s’est mise à gémir, alors que j’accentuais ma caresse, et qu’en dessous du clitoris, ses lèvres s’ouvraient, et que ses jus intimes se mettaient à couler, humidifiant ses chairs et les poils autour…
Elle s’est penchée sur moi, et sa bouche chaude a enveloppé ma queue. C’était vraiment très bon. Elle m’a avalé d’un tiers, et, une fois que j’ai été calé dans sa bouche, elle s’est mise à me caresser de sa langue. Je devais me maitriser pour ne pas jouir sur le champ. Je me suis penché sur elle, comme un juste retour, et je lui venu caresser son sexe de ma bouche, son goût m’envahissant, alors que je parcourais ses lèvres. Elle inondait ma bouche, marque nette de son plaisir.
Nos caresses sont devenues plus précises. Je suis remonté sur son clitoris, appuyant ma langue dessus, pendant qu’elle se concentrait sur mon gland. J’ai senti, en me concentrant sur cette partie de son sexe qu’elle était, certes comme toutes les femmes, très sensible de côté là, mais sans doute plus que d’autres. Son corps frémissait, et son sexe s’est mis à couler avec plus d’intensité.
On a eu un positionnement quasi identique. Je n’ai pas lâché son clitoris, mais elle n’a pas non plus cessé de travailler mon gland. Je me suis rendu compte que je jouissais alors que j’avais déjà craché plusieurs jets de sperme, qui tous, sont restés dans sa bouche obstinément close, coulant dans son gosier jusqu’à la dernière goutte. J’ai intensifié mon action sur son clito, Elle s’est tendue, a lâché une sorte de feulement, explosant de jouissance en éjaculant des jets de liquide qui sont venus éclabousser mon corps et ma chemise.
C’est peut-être parce que cette première fois avait été très bonne qu’on s’est revus ensuite. Elle m’a tendu son portable pour que j’y rentre mon prénom et mon numéro, et j’en ai fait de même avec le mien. je n’étais même pas sûr qu’on se reverrait. Mais sans doute que ce bon moment qu’on avait passé ensemble, meilleur que ce qu’on aurait pu imaginer, avait été une sorte de garantie que ce serait le cas. Cela faisait à présent deux ans qu’on se retrouvait. Les échanges de SMS permettaient plus de précision. Je serai un peu en retard, je serai à l’endroit prévu. Je me garais sur cette vaste bande de terre où d’autres se parquaient comme moi, et elle me rejoignait. Difficile d’expliquer pourquoi une relation fonctionne bien…Ou pas…Il y a toujours quelque chose d’irréel, de magique, d’inexplicable. Il existait une grande complicité entre nous, même si je doutais que notre relation aurait pu s’épanouir autrement que dans ce cadre.
Et puis il y avait les remplaçantes.
La première fois ou ca s’est produit, ca faisait six mois qu’on se voyait, très régulièrement. J’arrivais dans la ville quand j’ai eu un SMS. Je ne l’ai regardé qu’une fois arrivé à mon lieu de parking habituel.
Je suis malheureusement pas libre aujourd’hui, mais, pour que tu aies ton plaisir, je t’ai envoyé une copine à moi. Tu ne seras pas déçu…Mais n’oublie pas ma petite chatte…Je t’envoie une photo, tu y penseras quand tu seras tout seul.
Le message était accompagné d’une photo, prise par ses propres soins, du moins je l’imaginais, de sa chatte en gros plan. Elle avait fiché son index et son majeur dedans, et elle les avait écartés, pour s’ouvrir sur son intérieur, un intérieur tout rose, dont je pouvais voir tous les détails.
J’ai remarqué la fille, qui avançait vers moi d’un air décidé. La remplaçante, ce devait être elle. Aicha avait du lui donner tous les détails, la plaque d’immatriculation, une description de moi, voire une photo, puisqu’une fois on s’était photographiés mutuellement.
C’était une petite blonde avec un minois rond, et des yeux bleus, qui tirait sur une cigarette en approchant. Elle avait arrangé ses cheveux blonds au dessus de sa tête en une espèce de chignon qui partait à l’assaut du ciel…
J’ai ouvert la fenêtre quand elle est arrivée à hauteur du camion.
—Salut beau brun. C’est ta copine adorée qui m’a envoyé.
Elle était enveloppée dans un grand manteau noir qui lui arrivait aux chevilles. Elle a défait les boutons qui le fermaient, en a écarté les pans, pour m’offrir son anatomie. Dessous, elle ne portait strictement rien, pas même une petite culotte.
—Tu es intéressé?
Elle avait des formes menues, mais bien réelles, des petits seins hauts perchés, un sexe ouvert sur ses lèvres en dessous d’un triangle blond taillé au rasoir. Elle était d’évidence fan de tatouage, elle en avait un peu partout.
—Monte dans le camion. Tu dois avoir froid, non?
On était encore en mars, et il ne faisait pas très chaud. Elle n’a pas reboutonné son manteau, et j’ai remarqué, alors qu’elle s’installait près de moi, qu’elle avait la chair de poule. J’ai attrapé ma thermos de café, et je lui en ai versé une tasse.
Elle était vraiment ravissante, dans son style bien à elle. Et elle me faisait envie.
D’une main, elle m’a rendu la tasse vide, de l’autre, elle a défait mon pantalon pour sortir ma queue. Elle a eu une expression ravie quand elle a sorti mon membre de mon caleçon. Elle aimait le sexe, c’était une évidence, et ça l’a été encore plus quand elle m’a pris dans sa bouche, pour faire aller et venir celle-ci sur ma queue.
Pendant qu’elle me caressait buccalement, j’ai amené ma main sur son corps, que j’avais envie de découvrir. Tatouée ou pas, sa peau était très douce. J’ai tourné sur elle, m’arrêtant sur ses seins, menus, avec des tétons que j’ai fait gonfler au bout de mes doigts. Apparemment, cette caresse lui plaisait, car elle a gémi, interrompant un instant sa fellation. Je suis descendu le long de son ventre, trouvant son sexe gonflé, ouvert, et humide. Je l’ai caressée doucement, tournant sur ses lèvres.
Si elle était à poil sous le manteau, celui-ci bénéficiait de deux grands poches qui n’étaient pas vides. De la poche de gauche, elle a tiré un préservatif dont elle a déchiré l’emballage pour en gainer ma queue bien raide. Puis, faisant glisser le manteau, nue comme un ver, elle est venue se positionner sur moi. Par chance, la cabine était haute. Mais elle devait se moquer éperdument qu’on la voie nue.
Elle a attrapé ma queue et elle l’a guidée vers son sexe. Elle s’est laissée descendre dessus, et j’ai eu la sensation enivrante de sa muqueuse autour de moi. Mon gland est venu taper contre son utérus. On est restés un moment immobiles, elle est venu chercher ma bouche, nos langues se sont jointes, pour une caresse intense. J’ai pris la dimension de son sexe, et de son corps autour de moi, chaud et délicat. Je suis venue l’attraper par les fesses, son petit derrière rond s’emboitait parfaitement avec mes mains, et je l’ai faite monter et descendre sur moi. Le latex qui entourait ma queue se souillait de ses sécrétions vaginales, grasses et blanches, qui se déposaient dessus. Si elle me procurait du plaisir, elle était, elle, en plein trip, yeux mi-clos, gémissant alors que ma queue caressait ses parois vaginales.
Elle s’est redressée, et j’ai vu ma queue sortir de a chatte. A force d’avoir été caressée par ses muqueuses intimes, ma queue avait encore pris du volume, tellement dilatée qu’on aurait pensé que sa peau allait se déchirer dans les minutes qui suivaient.
—Viens, on va faire autrement…Moi, ce que j’aime, c’est me faire prendre par les fesses…C’est autrement bon.
Elle a amené mon gland contre sa muqueuse anale. Je me suis dit que ça ne rentrerait jamais, qu’elle était trop serrée…J’avais peur de lui faire mal…Et puis, je ne sais pas ce qui s’est passé, mais j’ai vu que mon gland était déjà en elle…Elle a eu un sourire pervers et elle s’est laissée descendre sur moi. Elle était très étroite, ma queue serrée, mais ma queue a glissé en elle jusqu’à ce qu’elle soit assise sur moi.
—J’adore me sentir remplie par là.
La meilleure preuve de son excitation, c’était de regarder son sexe. Il était tout gonflé, et ses jus ne se contentaient pas de suinter, ils coulaient, issus du plus profond de son ventre, trempant sa chair et la mienne. Elle a amené sa main sur son sexe, et elle s’est mise à se caresser, ses doigts rapidement luisants, pendant que je la faisais monter et descendre sur ma queue. La sensation de la compression autour de moi était excitante au possible. Je devais me retenir pour ne pas jouir.
Elle avait totalement décollé de la réalité, en plein trip, partagée entre les sensations que lui procuraient ma queue, et celle que lui donnait sa main, frottant son sexe congestionné. Elle a joui, éjaculant sur moi au même moment où mon premier jet de sperme venait taper contre ses muqueuses les plus intimes.
Depuis…Il y avait eu d’autres filles qui assuraient l’intérim d’Aicha. C’était un concept qui me plaisait bien. J’avais revu certaines plusieurs fois, comme la petite blonde. Il y avait eu aussi une grande rousse magnifique, et deux brunes.
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