J’ai ralenti en arrivant au premier des ronds points de G…Aicha m’avait prévenu une heure plus tôt. elle ne serait pas là. Mais elle m’envoyait une copine à elle.
Elle avait décidément une palanquée de copines.
Je me suis garé sur la zone habituelle.
Elle est arrivée à pied, venant du centre ville, rejoignant cette zone périphérique par une rue de traverse.
J’ai largement eu le temps de la regarder. Elle était magnifique. J’avais rarement vu une fille aussi grande ni aussi charnue avant, sans qu’il soit question d’obésité. Elle devait faire un mètre quatre-vingt-quinze, et avec les cuissardes à talons aiguille qu’elle portait, elle approchait les deux mètres. Elle avait des seins, des cuisses, des fesses, des hanches…Très brune, avec des cheveux d’un noir de jais, elle était moulée par un caleçon collant sous lequel, j’en étais convaincu, elle ne portait absolument rien, qui collait à ses formes, ses hanches, ses cuisses, et soulignait le dessin de son sexe d’une manière très étroite, une fente déchirant le renflement de sa vulve, et sous son blouson de cuir, le tissu de son débardeur orange porté à même la peau était tendu à craquer par ses seins ronds. J’ai senti ma queue se remplir de sang. Elle était vraiment très désirable.
Elle a grimpé sans hésiter à l’intérieur de la cabine.
—Salut, je suis une copine d’Aicha. Elle m’a beaucoup parlé de toi.
Il y avait toujours ces phrases d’intro, qui se ressemblaient toutes. Et puis on passait très rapidement aux choses sérieuses. Je me posais beaucoup de questions qui demeureraient sans réponse. Comment ces filles acceptaient de venir ainsi passer un moment avec moi. Que leur racontait Aicha? Que j’étais un bon coup? J’étais sans doute victime du préjugé qui voulait que c’était surtout les hommes qui voulaient du sexe sans lendemain, juste un moment de plaisir. C’était aussi le droit des femmes.
—Je te plais? Si tu as envie de me caresser, ne te gêne pas, je suis là pour ça.
Ca a brisé la glace. Je me suis penché sur elle et j’ai fait descendre son blouson, avant de faire tomber son débardeur. Ses seins volumineux mais fermes me faisaient envie. L’air a fait se durcir ses tétons. Je suis venu poser ses mains sur ses seins, et je les ai caressés doucement, avant de glisser sur ses tétons. J’en avais rarement vu d’aussi épais. Surtout, ils avaient des capacités érectiles impressionnantes, les tripoter les a fait s’allonger sous mes doigts sans que leur gonflement semble vouloir cesser. Je suis venu en prendre un dans ma bouche, pendant qu’elle me défaisait et sortait ma queue de mon pantalon. C’était impressionnant, parce que, si j’avais déjà eu des tétons dans ma bouche, je n’en avais jamais eu d’aussi épais. Il me remplissait la bouche. Je n’avais jamais sucé la queue d’un homme, mais j’imaginais que ça devait un peu être comme ça. J’ai fait tourner ma langue dessus. Ca devait être plutôt bon, car elle s’est mise à gémir, et, si une de ses mains caressait ma queue, l’autre frottait son sexe à travers le caleçon.
Je l’ai senti encore s’allonger, avant qu’elle ne le dégage, et ne me dise, sur un ton assuré:
—Je vais te faire des choses que personne ne t’a fait avant.
Elle avait déjà abondamment trempé le caleçon, il fallait croire que ça lui faisait de l’effet qu’on joue avec ses tétons, le tissu humide collait à ses lèvres, en dessinant le relief.
J’ai compris ce qu’elle voulait dire quand elle s’est penchée sur moi, sa main enveloppant son sein, et qu’elle est venue caresser ma queue. Ce n’était vraiment pas le genre de caresse auquel je m’attendais et le plaisir est vite monté en moi, sous les frôlements de ce téton qui ressemblait au nez de Pinocchio. Mais ma queue aussi ressemblait à son nez. Elle s’est baladée sur moi, experte, ce n’était sans doute pas la première fois qu’elle faisait ça, tournant sur ma tige, mon gland, ne négligeant pas de descendre sur mes couilles. J’étais tellement troublé, tellement excité aussi, que je devais faire un énorme effort sur moi-même pour ne pas jouir immédiatement.
Elle avait énormément de savoir-faire, je l’ai compris quand elle a amené son téton, je ne savais pas s’il était au maximum de son érection, mais je le trouvais énorme, contre mon méat, et qu’elle s’est mise à caresser cette partie ultra-sensible. Sa chair se trempait des coulures de mon liquide pré-sementiel. Elle a finalement poussé le téton dans mon méat…Ca m’a procuré la sensation enivrante d’être pénétré, d’une manière inédite. Elle s’est mise à aller et venir, comme la queue d’un homme peut aller et venir dans une chatte, et j’avais l’impression qu’elle s’enfonçait à chaque fois plus loin, qu’elle rentrait plus haut, plus profondément dans ma chair…L’orgasme a fondu sur moi et je n’ai rien pu faire pour le contrôler…Quand elle s’est retirée de mon méat, sentant sans doute que je jouissais, mon sperme est sorti, les jets crémeux venant maculer ses seins. J’ai remarqué qu’elle avait fourré sa main dans son caleçon, et qu’elle se caressait, d’une main vive. Sa jouissance a accompagné la mienne.
J’étais tellement excité par Solène, c’était son prénom que je n’ai pas débandé.
Elle a eu un sourire qui m’a enveloppé, avant de tendre les mains vers mon pantalon pour l’attraper, en faisant venir le caleçon avec. Doucement, elle m’a fait basculer en arrière. J’avais bien compris qu’elle ne voulait pas prendre ma queue dans sa bouche. Elle a dardé sa langue, et elle est venue tourner sur mes couilles. J’ai gémi de plaisir. Il y avait eu bien des filles qui m’avaient masturbé ou pris dans leur bouche, mais elles ne s’étaient que rarement attaquées à mes couilles. J’ai eu cette pensée étrange, qui est restée en moi par la suite, et a sans doute orienté ma sexualité différemment que se faire caresser les couilles par une main, par une langue c’était aussi, sinon plus fort que la plaisir qu’on pouvait avoir par sa queue.
J’ai perdu toute notion du temps, du lieu, dans une bulle de plaisir.
Ce qui est venu après était logique, et je dois dire que je m’y attendais.
Bien évidemment, aucune fille ne m’avait fait ça avant.
Elle a glissé sur ma zone anale, et elle a entrepris de me caresser avec sa langue. Le plaisir a été si fort que j’ai joui dans les premières secondes, crachant à nouveau du sperme. Ca ne l’a pourtant empêchée de continuer. Je me suis mis à gémir. C’était très bon, et j’aurais voulu qu’elle ne s’arrête jamais. Mais ça n’était pas parti pour. Je la surveillais du coin de l’oeil, même si j’étais en plein nirvana. Elle avait ôté son caleçon, jambe et ventre nu, et elle se masturbait. Son sexe était entrouvert sur des lèvres impressionnantes, et le clitoris qui saillait était plus gros sans doute que certains micro-pénis. Elle dégoulinait littéralement de ses liquides intimes. Je pourrais renifler la banquette après, et m’enivrer de ses odeurs les plus personnelles.
Elle m’a laissé profiter du plaisir qu’elle me donnait, avant de me dire:
—Tu as envie d’aller plus loin?
J’ai dit oui, bien évidemment. Je savais bien que ce qu’elle me donnait, personne d’autre ne me le donnerait, et je voulais en profiter jusqu’au bout.
De son immense sac à main, elle a extirpé un gros gode noir, long et luisant, et un harnachement. Elle a ajusté le harnachement autour de sa taille, avant d’y accrocher le gode. Ainsi équipée, elle était pourvue d’une bite qu’elle a enduit d’une sorte de crème blanche, avant de s’approcher de moi et de faire peser le gland contre mon anus que le travail de sa langue, avait, sans que je m’en rende bien compte, ouvert.
Si on m’avait posé la question, j’aurais sans doute répondu avec ma conviction, que ça faisait mal de se faire sodomiser. Pourtant, elle est rentrée en moi sans que j’éprouve la moindre souffrance. J’ai senti la queue de plastique glisser en moi jusqu’à être totalement rempli.
J’avais pensé, juste avant qu’elle glisse en moi, que ce devait être vraiment très bon. Je ne m’étais pas trompé.
En souriant, parce qu’elle savait sans aucun doute ce que je ressentais, elle s’est mise à faire aller et venir la queue de plastique en moi.
J’avais pénétré pas mal de filles, sans imaginer qu’un jour ce serait moi qui serais pris et qui éprouverait autant de plaisir.
Je me suis laissé aller, dans ce temps que j’aurais voulu ne jamais voir finir.
Un orgasme comme celui-là, je n’en avais jamais eu. J’ai explosé en me libérant de mes dernières réserves de sperme.
Elle m’a laissé reprendre ses esprits, en se desharnachant. D’excitation, son sexe était maintenant béant. Surtout, son clitoris, en pleine érection se dressait, comme une mini-queue.
—Tu veux bien t’occuper de moi avant que je parte?
Je voulais être à la hauteur de son originalité et de sa force. Je ne sais pas si je l’ai été, mais je pense quand même que je me suis pas mal débrouillé. J’ai glissé un doigt, puis un autre, et encore un troisième dans son sexe, et je me suis mis à la caresser à l’intérieur.
—Mets tous tes doigts, elle m’a dit.
Effectivement, ça rentrait. Ca m’a procuré une étrange sensation, trouble et excitante de trouver ma main entièrement avalée par son sexe. J’ai caressé ses muqueuses intimes, sensation délicate. Puis je suis venu sur son clitoris. Je l’ai excité de la pointe de la langue, avant de le prendre dans ma bouche, comme j’avais pris son téton. Il y avait cette même dimension irréelle, comme si j’avais eu une queue dans la bouche.D’ailleurs, son clitoris, c’était un peu sa queue à elle.
C’est sous cette double caresse, mes doigts en elle, et ma bouche le long de son clitoris qu’elle a explosé de plaisir, éjaculant des jets puissants. J’avais la satisfaction de lui avoir, au moins en partie, ce que je lui avais donné.
Il a fallu se séparer. A cet instant, Aicha était bien loin. J’aurais voulu la garder encore près de moi, prolonger le plaisir qu’on avait connu. Il restait encore sans doute pas mal de voies à explorer.
Elle s’est rajustée et m’a dit:
—On a passé un très bon moment. A un de ces jours, peut-être…
Je l’ai regardée s’éloigner. La prochaine fois, ce serait Aicha. C’était toujours aussi bien entre nous, mais je n’oublierais pas cette heure.
Aicha était ouverte à toute nouvelle proposition.
Je pourrais toujours faire des suggestions.
Et espérer que je reverrais bientôt Solène.
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