Truckers 3: exhibitionnisme

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Frederic Gabriel


exhibition et voyeurisme


Ce sont les coups secs frappés à la porte de la cabine qui m’ont réveillé. Je m’étais assoupi. On était en fin de matinée, et je venais de faire cinq livraisons en ville. J’étais parti à trois heures du matin du dépôt. Ma tâche accomplie, je m’étais arrêté sur un parking pour faire une pause qui s’était transformée en un somme.
J’ai ouvert les yeux. Je livrais tous les mardis, et je m’arrêtais toujours sur ce parking, pour ensuite aller manger dans un petit restaurant en centre ville, dont j’appréciais la cuisine, et rentrer, ma journée finie.
Sans doute parce que je ne répondais pas assez vite, elle est montée sur le marchepied, et j’ai eu sous les yeux, un rien surpris, la vision d’un ravissant visage sous une crinière blonde. Un visage harmonieux, bien dessiné, d’une réelle beauté, avec des yeux couleur myosotis, fascinants pour qui, comme moi, aimait les yeux bleus, une bouche très bien dessinée, et des pommettes hautes, marquées, qui donnaient leur équilibre à tout son visage. Ses cheveux, qui auraient du normalement s’épanouir sur ses épaules pour rehausser cette beauté étaient rassemblés sur son crâne en un chignon sévère, qui étouffait leur beauté. J’ai compris pourquoi en voyant le bleu de la chemise et les lettres au niveau d’un des deux seins qui tendaient avantageusement le tissu. Gendarmerie nationale.
—Bonjour, elle m’a jeté. Vous pouvez me dire ce que vous faites là?
—Là, je viens de me réveiller. Ca fait…(j’ai jeté un coup d’oeil à l’horloge du tableau de bord) une demi-heure que je dors.
—Vous êtes chauffeur routier?
J’ai eu envie de lui répondre:
—Ca se voit, non?
Mais j’ai préféré me taire. Inutile de faire de la provocation.
—J’ai besoin de voir vos papiers.
J’avais tout ce qu’il fallait. Mon permis, la carte d’identité. Et les papiers du véhicule. Elle a tout examiné. Avant de me les rendre.
—Je suis en règle, non?
—Pas pour l’incident de la semaine dernière. J’ai sous les yeux une déposition qui a été faite en fin d’après-midi. Je vais vous la lire.
Elle  est descendue du marche-pied et elle a contourné, à ma grande surprise, le camion, pour monter à l’intérieur, et venir s’installer à côté de moi. Le temps qu’elle passe devant le pare-brise, et encore plus par la suite, j’ai pu profiter de ses charmes. J’ai déjà remarqué que, la tenue de gendarme, comme celle de militaire d’ailleurs ou de pompier, censée être neutre a un effet tout à fait contraire. Sans doute simplement parce qu’elle a été conçue pour un homme, et qu’elle fait en conséquence ressortir des formes féminines. Car c’est bien ce qui se passait. Le pantalon soulignait un charnu en harmonie entre sa poitrine, ses hanches, ses fesses, mais aussi, je m’en suis rendu compte quand elle s’est installée près de moi, son pubis, jusqu’à dessiner vraiment très nettement sa vulve, son renflement et la fente qui la coupait en deux. Elle était plutôt grande, avec un vrai corps de femme, comme aiment les hommes. Et je ne fais pas exception à la règle.
Elle a débloqué l’autre serrure, et elle est montée dans la cabine. Elle s’est rapprochée, suffisamment pour que je sente un léger parfum, discret mais prenant, et que je sois troublé par le dessin de son corps. Si certains pensaient que les femmes gendarmes étaient moches, elle en était la contradiction vivante. J’ai senti ma queue se durcir. Ce n’était pourtant pas le moment. Puisque, je le comprenais clairement, j’étais suspect de quelque chose. Mais on ne contrôle pas son désir.
Elle avait à la main, je ne l’ai remarqué que quand elle l’a activée, une tablette. Plongeant son regard dans le mien, elle m’a dit:
—Je vais vous lire le rapport qui m’a été transmis par mes collègues. Ce n’est pas moi qui ait pris la déposition.
Gardant un oeil sur moi, parce que j’étais suspect, elle s’est mise à lire le rapport, rédigé dans un style très professionnel.

Déclaration faite par Marie-Elizabeth Claverie, âgée de 73 ans, qui réside au 53 chemin du C à R…
Je promène tous les matins mon chien très tôt, sur le coup de six heures, puis à onze heures à nouveau. Je change régulièrement de chemin de promenade, mais je passe souvent, quelle que soit la voie empruntée, par le pont des Arches. J’aime faire une pose là, pour profiter de toute la vallée.

Le pont des Arches était l’élément le plus visuel sans doute de cette ville dans laquelle je me trouvais encore, et qui s’étageait sur plusieurs niveaux, construite sur une colline. C’était un magnifique pont qui avait été monté sur un flanc de la ville, d’où effectivement, on pouvait profiter d’une vue magnifique sur la vallée qui s’étendait en dessous. Et le grand parking sur lequel j’étais garé était juste en dessous, une grande zone commerciale et industrielle. Mais le parking était éloigné, il y avait avant plusieurs bâtisses.

Elle continuait à lire, appliquée.

Ce que j’ai vu ce matin, sur le coup de onze heures, m’a révulsée. J’ai aperçu un homme en bas du pont. Il était installé dans son camion. Le fait d’avoir une vue plongeante m’a permis de tout voir. Il avait en main son membre viril, en pleine érection, et il le caressait. J’ai été littéralement statufiée par cette vision. Incapable de bouger, je l’ai vu continuer à se caresser. Son membre viril a pris du volume, jusqu’à ce qu’il jouisse. Des jets de sperme ont jailli.
Même si j’ai été choquée, je pense avoir eu les bons réflexes. J’ai noté le numéro de sa plaque.
Elle m’a montré la tablette. Avec une expression triomphante.
—Il me semble que c’est votre numéro de plaque, non?
Il m’aurait été difficile de dire le contraire.
Malgré tout, je n’ai pu m’empêcher de sourire.
—Je crois qu’il y a quand même un problème, non?
Elle a semblé un instant décontenancée.
—Je ne vois pas de quoi vous voulez parler?
—Votre témoin a 73 ans, non?
—Effectivement.
—Et elle est arrivée, de ce pont qui est non seulement haut, mais aussi loin, à constater que je caressais ma queue, et en plus que je crachais du sperme. Elle doit avoir une excellente vue. J’ai 42 ans, et de ce pont je ne verrais certainement pas autant de détails. Et pourtant, j’ai plutôt une bonne vue.
—On peut avoir 73 ans, et même plus, et avoir une excellente vue, monsieur.
—Je peux vous assurer que, si j’étais garé là, je ne me tripotais pas. C’est formidable que cette frustrée puisse me prêter des actes qui ne sont que la manifestation de ses manques.
—Vous niez donc tout?
—Mais absolument. Et puis je vais vous dire une chose, si je m’étais tripoté, ainsi qu’elle m’en accuse, j’aurais été plus discret. Je me serais mis quelque chose dessus pour cacher ma bite.
Elle a eu un sourire triomphant.
—Hé bien tout est dit, me semble-t-il. Si vous évoquez de telles stratégies, c’est bien que vous vous tripotez.
—Pas forcément dans mon camion.
—Mais vous vous caressez…
—Pas vous? Je suis convaincu que si…Simplement vous êtes du bon côté de la barrière, et moi du mauvais.
Je l’ai sentie un instant décontenancée, mais elle a retrouvé rapidement son assurance.
—Je suis innocent.
—Il faut que vous me le prouviez.
—Vous savez, les machines à remonter le temps, ça n’existe pas.
—On peut faire autrement.
Je l’ai regardée, parce que je ne voyais pas où elle voulait en venir.
—Je vous propose qu’on examine votre queue ensemble. Elle parle d’une queue de 18 centimètres. On peut vérifier vos dimensions, ça permettra de confirmer ou d’infirmer ses dires, ou les vôtres.
J’ai été très surpris. Mais je n’ai pas eu le temps de me remettre de ma surprise. Déjà elle tendait la main vers mon pantalon, et elle a attrapé ma queue, qui avait déjà bien durci de la voir et de la sentir près de moi.
—Vous avez des méthodes vraiment surprenantes, je lui ai dit. C’est ce qu’on enseigne dans les écoles de police?
—On nous apprend à examiner soigneusement les preuves. C’est ce que je fais…Bon on va voir si on arrive à la dimension mentionnée.
Elle s’est mise à me masturber d’une main douce et habile, tournant autour de ma queue.
Pour certains, le sexe, c’était uniquement une pénétration, une queue qui s’enfonçait dans un vagin et y jouissait. Pour d’autres, c’était mon cas, c’était une multiplicité d’autres actes qui pouvaient procurer un plaisir qui n’était pas forcément inférieur, loin de là. Mes premiers émois sexuels, je les avais connus avec une ravissante rousse, taille fine mais seins énormes. On avait été attirés l’un par l’autre, alors que nous n’étions pas bien vieux, et nous avions été partagés entre l’envie de céder à ce désir de l’autre, celle d’éprouver du plaisir, et la crainte d’aller trop loin. Il y avait eu bien sûr ces flirts très basiques, ceux qui consistent à s’embrasser, à caresser le corps de l’autre, et puis on était passés à un flirt plus poussé. Elle m’avait proposé un jour ‘Et si on se caressait mutuellement?’ Elle avait une jupe courte, une simple culotte dessous, je caressais ses jambes depuis un moment, elle m’avait laissé écarter sa culotte, me donnant la première vision, en vrai, pas sur un magazine ou dans un film d’un sexe féminin, suivi, par un premier contact, quelques minutes plus tard, avec ses chairs humides et complexes. En retour, elle était venue chercher ma queue dans mon pantalon. On s’était caressés sans savoir trop où on allait, surpris sans doute l’un comme l’autre de donner du plaisir, mais aussi d’en éprouver, et d’aller jusqu’à l’orgasme. Cette période de flirt, de plus en plus intense, et rapproché, avait pris fin deux ans plus tard par une pénétration avec capote, quand elle s’était mise à prendre la pilule, et que la double barrière contraceptionnelle l’avait rassurée. Mais j’avais toujours gardé le souvenir de ce moment intense d’une main qui te masturbe jusqu’à te faire jouir, et sans le réclamer ouvertement, j’avais guidé mes partenaires, quand j’avais senti que cela était possible, vers cette pratique, sans forcément en faire une obsession.
J’ai été vite raide.
—Très bien, on va examiner soigneusement cette queue. Elle me paraît être dans une érection qui n’est peut-être pas absolue, mais qui est bien dessinée. Bon je n’ai pas de mètre, mais…Oui, il me semble bien, qu’elle est en dessous de 18 centimètres, allez on va dire 16 ou 17…Ca pourrait vous innocenter…En même temps, elle s’est peut-être trompée…Bon, on va voir si on peut arriver à ces fameux 18 centimètres…Je ne vois qu’une solution…Vous allez m’aider à me déshabiller. Je vais venir mettre votre queue dans mon ventre. On arrivera peut-être à 18 centimètres…Tiens, aidez-moi à me déshabiller.

Les mains légèrement tremblantes, j’ai tendu les mains vers elle. Elle s’était redressée, et elle m’a laissé faire. J’ai remarqué qu’il y avait une large tache sombre sur son pantalon, qui disait, sans doute autant que son regard brillant, son excitation. J’ai débouclé la ceinture, tiré le pantalon vers le bas, dessous elle avait une culotte rose, marquée elle par une tâche d’humidité bien plus large et collée à son sexe. Elle s’est soulevée sur le siège, pour me permettre de tirer le slip vers le bas, ce que j’ai fait après en avoir attrapé les bords sur chacune de ses hanches. Son sexe m’est apparu, rasé, bombé, avec des lèvres charnues sorties d’elle, un gros paquet de chair dilaté, arrosé par ses jus intimes qui coulaient d’elle d’abondance. Dans un réflexe, elle a laissé glisser ses doigts sur elle, et elle est venue se frotter, avant de glisser deux doigts dedans, et de s’ouvrir, pour me laisser voir son intérieur. le rose de ses parois intimes.
Elle a attrapé quelque chose dans la poche poitrine de sa chemise. Un préservatif dont elle a défait l’emballage, révélant une rondelle de latex luisante de lubrifiant, qu’elle a fait glisser le long de ma queue.
Elle est venue s’installer au dessus de moi. Ma queue était toujours raide. A savoir si elle avait basculé sur ces dix-huit centimètres qui étaient la clef de tout. Elle a attrapé mon membre et elle l’a guidé vers ses lèvres, mon gland rentrant en contact avec ses lèvres, un contact chaud et humide qui m’a envoyé de l’électricité dans le corps, avant de glisser entre. Elle m’a totalement avalé, venant se poser sur moi. Elle a poussé une sorte de soupir, en fermant les yeux.
Restant ainsi posée sur moi, sans qu’on ne bouge, elle a défait veste et chemise, dévoilant des seins volumineux, enveloppés dans un soutien-gorge blanc avec des petites fleurs dessus. Elle a fait jaillir ses seins du tissu qui les enveloppait, m’offrant leur charnu, leurs aréoles roses, et les tétons qui dardaient, signe, de son excitation, autant que l’abondance de ses sécrétions qui arrosaient ma queue.
Elle n’a pas dit non, mon envie rejoignant peut-être ses désirs quand je me suis penché vers elle et que ma bouche est venue envelopper ses tétons. Ils étaient longs et épais, ils sont devenus plus longs et plus épais quand je les ai caressés de la pointe de la langue.
Elle m’a laissé faire avant de se faire monter et descendre sur ma queue, dans un mouvement régulier qui nous a procuré du plaisir à l’un comme à l’autre. Sans aucun doute, le souci de mesurer si ma queue faisait dix-huit centimètres n’en était plus vraiment un. Quand j’ai joui, mon sperme partant en de multiples traits dans le préservatif, sa jouissance a fait écho, la cambrant alors qu’elle inondait nos chairs de quelque chose qui se rapprochait très fortement d’une éjaculation.
Après on s’est nettoyés sommairement, et rajustés.
—Ma prestation t’a convenu?, elle m’a demandé, alors qu’elle renfermait sous sa chemise des seins dont j’aurais aimé profiter un peu plus.
—C’était très bien. Tu étais totalement crédible.
Quand on est routier, on aime bien avoir des distractions qui compensent la dureté du métier. Moi mon plaisir, c’était les femmes que l’on payait et avait qui on pouvait faire l’amour sans prise de tête. Sur chaque lieu de livraison, j’avais des contacts.
Cela faisait un an que je venais ici tous les mercredis. J’avais fait la connaissance d’Alexandra par un site, et j’étais devenu un de ses clients. Elle me rejoignait quand j’avais fini mes livraisons et on passait un moment ensemble.
Ce qu’elle aimait, c’était se déguiser et jouer un rôle. Si notre première fois avait été très classique, elle était passée ensuite à divers rôles qui m’avaient enchanté.
—L’uniforme te vas très bien. Enfin, ce n’est pas nouveau.
L’infirmière qui partait travailler, la femme pompier qui avait fini sa journée, la militaire, c’était déjà fait. Elle devait donc fatalement, un jour ou l’autre, basculer sur la femme flic.
—A mercredi prochain.
Je l’ai regardée s’éloigner en redémarrant le camion.

 

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