TRUCKERS 4 la fille de Cathy partie 3

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Frederic Gabriel


à plusieursMILFteen


PARTIE 3
Vingt minutes plus tard, on pénétrait dans la ville de L…L’entrée était interminable. Elle s’était développée à une époque où il n’existait pas de plan d’urbanisme, quel qu’il soit, et alternant, dans un mélange qui semblait ne jamais devoir finir, les constructions s’étaient prolongées très loin sur la route. Immeubles de deux ou trois étages, pavillons, mais aussi commerces, entreprises, un lycée professionnel…
Alors qu’on pénétrait dans la ville, elle a fait quelque chose qui m’a surpris. Elle a défait son short. Elle voulait encore se caresser? Ca ne collait pas. Le short aux genoux, elle a plongé la main dans son sac et elle en a retiré une bite de plastique   rouge, longue d’une vingtaine de centimètres, qui si elle n’était apparemment pas moulée sur une vraie bite, longue tige de plastique, bénéficiait quand même d’une paire de couilles et d’un gland obscène, une grosse masse plus large et plus épaisse que la tige elle-même, avec également une fente profonde qui le coupait en deux.
La queue était accrochée à un harnachement qu’elle a fixé à sa taille et à ses cuisses. Le résultat était perturbant. Même si elle était en plastique, on aurait dit qu’il lui était poussé une bite. Elle l’a glissée pour partie entre ses cuisses, et a remonté son jean. Le short était large, et la proéminence ne se voyait pas.
—Ralentis, arrête-toi là…
Elle a désigné, au bord de la route un bâtisse entièrement en verre, un polygone, avec une enseigne qui était le logo d’une compagnie d’assurances.
—Gare-toi devant. Je vais en avoir pour quelques minutes.
J’avais une idée à peu près nette de ce qui pouvait se passer entre elle et lui, idée qui s’est nettement précisée dans les minutes qui ont suivi. En fait, les parois de verre, ainsi que le fait que je sois garé au bon endroit m’ont permis de tout voir, ou presque. Elle s’est d’abord présentée à l’accueil ou une petite blonde, installée devant un écran lui a dit ‘Il est là…’ facile de lire sur ses lèvres, en désignant le bureau. Il se trouvait que le bureau où elle s’est rendue était pile dans mon angle de vision. Un homme d’une cinquantaine d’années, mince, sans plus de cheveux, se tenait debout devant une grande table sur laquelle étaient entassés des documents. Il feuilletait un dossier quand elle a fait irruption dans le bureau. Il a d’abord paru surpris, puis son sourire a dit sa joie de la voir. Il n’y a pas eu pourtant de célébration des retrouvailles. Ils ont tout de suite glissé sur ce qui tissait leur relation: le sexe. Elle a défait le bouton qui tenait son short à sa taille, et la queue de plastique a jailli d’entre ses cuisses. Je l’avais vue s’équiper, mais sous ce nouvel angle, c’était tout à fait obscène. On aurait cru qu’elle avait vraiment une bite. Ce devait être aussi l’avis de l’homme qui s’est penché sur elle et s’est mise à la sucer comme si c’était une queue de chair. Il avait une expression extatique sur le visage qui le métamorphosait. Il tournait sur le sexe de plastique de la langue et de la bouche. Assez curieusement, cette caresse buccale semblait procurer du plaisir à la jeune femme, comme si ç’avait été une queue de chair, le prolongement de son corps. J’ai compris qu’elle reposait sur ses parties intimes, j’aurais dit à mi-chemin entre ses lèvres et son clitoris, et que sans aucun doute, la caresse la plus infime sur le pénis de plastique devait se répercuter sur cette zone sensible.
L’un comme l’autre seraient sans doute volontiers restés dans cette posture qui semblait les satisfaire, mais elle l’a fait se redresser. Ca a été à son tour à elle de glisser à genoux devant lui. Elle est venue chercher sa queue dans son pantalon.
Les apparences sont parfois trompeuses. A le voir, plutôt fluet, on n’aurait pas pensé qu’il avait une aussi belle queue. Pourtant, le membre qu’elle a mis à nu était, bien que pas complètement érigé, déjà de belles dimensions, aussi long qu’épais. J’ai bien vu, qu’au-delà de ce qui s’apparentait, qu’on le veuille ou non, à une sorte de prostitution, c’est avec un réel plaisir qu’elle a tiré le membre viril du pantalon, et qu’elle s’est mise, dans un effet d’écho, à le caresser. La queue s’est spectaculairement épaissie et allongée. Elle est venue appuyer sur le gland, puis sur le méat, fourrant sa langue en plein milieu de l’ouverture. Je me suis dit que j’aurais sans doute joui depuis longtemps, mais il savait maitriser sa jouissance.
La scène, offerte à mon regard, était très troublante. Elle l’a été encore plus quand ils ont été jusqu’au bout des possibilités offertes par l’objet en plastique. Elle est venue se poser dans un fauteuil, la queue dressée contre son ventre. On voyait bien, dans cette position, la manière dont le base de la queue, le harnachement, venait envelopper sa vulve, sans pour autant la couvrir totalement, en prenant l’extérieur, mais laissant l’ouverture visible, béante d’excitation.
Les minutes qui ont suivi ont été fascinantes. L’homme, en pleine érection, s’est débarrassé de ses vêtements. Nu à partir de la taille, et sans sembler se soucier que quelqu’un fasse irruption dans son bureau, ni qu’on le voie, est venu se positionner au dessus de la jeune femme. Son anus devait être habitué à la pénétration. Il n’a pas même cherché à le préparer, en le caressant du doigt. Non, il s’est laissé descendre dessus. La queue de plastique a glissé en lui sans heurt, rentrant facilement, et continuant son chemin jusqu’à ce qu’il soit totalement fiché en lui, sans le moindre centimètre apparent. Dans l’opération, sans doute parce que le plaisir anal s’est fait très fort, il a débandé, mais une fois qu’il a été rempli par la verge de plastique, sa queue a repris du volume. Elle a retrouvé sa dimension originelle. La jeune femme a contourné sa taille pour venir attraper le membre viril et le masturber. Des jets de sperme ont jailli, sans que, pour autant, sa queue ne diminue de volume. Il s’est fait monter et descendre sur elle, adoptant un rythme qui laissait apparaitre et disparaitre la queue de plastique qu’il souillait des matières accrochés aux parois de son rectum…Il a fini par s’immobiliser, tendu, et sa queue, qui avait encore pris du volume, dilatée à l’extrême par cracher des jets de sperme à n’en plus finir.
Il s’est redressé, rhabillé. Sa queue restait encore roide, mais Alexia en avait fini avec lui. Elle a remonté son short, masquant la queue de plastique souillée. Il lui      tenduune enveloppe, et elle s’est éclipsée.
Elle a retraversé l’entrée, sans prêter l’attention à la réceptionniste qui l’a laissée s’éloigner en la regardant. Elle n’ignorait d’évidence rien des frasques de celui qui était sans aucun doute son patron. Que pensait-elle?  Etait-elle choquée ou au contraire aurait-elle aimé participer? Aurait-elle aimé être celle qui enfonçait le gode de plastique dans son fondement?
Alexia est remontée dans le camion.
—Ca va, je suis dans les temps?
—On sera à l’heure, je lui ai assuré.
—Tu étais aux premières loges, Ca t’a plu? Tu aimerais que je t’en fasse autant?
—Non, ça ne me tente pas du tout.
—Tu ne sais pas ce que tu perds.
Après avoir soigneusement examiné la route et les véhicules potentiellement dangereux, je me suis de nouveau engagé sur la route.
Je l’ai examinée du coin de l’oeil. Le temps que je redémarre, elle s’était endormie.
J’ai pensé au gode, souillé, qu’elle n’avait pas pris le temps d’ôter. L’espace d’un instant, je me sus vu m’empalant sur le membre de plastique. Un long frisson m’a parcouru. Cette idée, qu’un instant plus tôt, je rejetais fermement s’insinuait en moi. Je n’avais pas forcément les mêmes envies, les mêmes obsessions que son client, mais une idée glissait à moi, clairement: Ce serait une occasion nouvelle de prendre du plaisir, et une occasion à ne pas négliger.
Alors que je traversais le bourg, puis  que je repartais sur la départementale, je me suis laissé aller à des pensées érotiques, qui, toutes, nous mettaient en scène, elle et moi. Je prenais vraiment conscience de ce qui avait sans doute été depuis le départ, mais que j’avais voulu nier, pour des raisons évidentes. Je ne voulais pas trahir Cathy. Mais il était impossible de résister à sa fille, qui n’était pas un simple clone, et avait une personnalité aussi attirante que sa mère, et qui lui était propre. Surtout, que quelque chose se passe entre nous me semblait de moins en moins, voire plus du tout répréhensible. Elles étaient deux entités différentes, et je n’avais aucune raison de me sentir coupable de les désirer l’une et l’autre. Je risquai de passer à côté d’un bon moment.
Se dessinaient dans mon esprit des possibilités, des fantasmes dont je ne savais s’ils pouvaient prendre un contour, qui m’ont accompagné jusqu’à ce qu’on arrive à A…Elle s’est réveillée, sans doute mue par son instinct, au moment où on dépassait le panneau.
—On arrive…Je te dépose…Il faut que tu me donnes une adresse…
Malgré nos deux pauses, j’étais largement en avance. J’avais une heure devant moi.
—Je vais te guider…Il faut que tu tournes sur la gauche au prochain rond-point…
J’ai suivi ses préconisations jusqu’à me garer devant une bâtisse aux murs ocres, de trois étages. Une petite brune, dans les âges d’Andréa est apparue à la fenêtre, qui attendait sans doute sa venue.
Quelque chose s’est allumé dans le regard d’Andréa quand elle m’a dit:
—Accompagne-moi, on va te payer un café…Histoire de te remercier…Je me serais sans doute débrouillée autrement, mais je te suis quand même très reconnaissante de ce que tu as fait pour moi.
L’appartement se situait au deuxième. La petite brune  nous attendait sur le seuil. Elle portait un leggings très moulant qui, comme son T-shirt collait à ses formes menues mais bien marquées. Elle avait un visage bien dessiné avec quelque chose de mutin dans le regard qui la faisait soeur d’Andréa .
Les deux filles se sont collées l’une à l’autre, avant de s’embrasser d’une manière passionnée, restant longtemps plaquées l’une à l’autre. Je ne semblais pas exister. La jolie brune a glissé sa main entre elles deux, et s’est écriée:
—Dis donc, il t’est poussé une bite…
—J’ai fait plaisir à quelqu’un…Dis-moi, nous sommes bien impolies…Je te présente Marc…C’est l’amant de ma mère…Il a eu la gentillesse de me conduire ici. Je lui ai promis un café. Mais je pense qu’il mérite un peu plus. Leanna te plait? Je suis sûre qu’elle apprécierait qu’on lui donne du plaisir à deux.
Pour mieux me convaincre, elle a attrapé le bord du leggings, et elle l’a tiré vers le bas, m’offrant la vision de son corps, avec la complicité de celle-ci. Son corps était fin, mais parfaitement dessiné, avec des jambes bien galbées, un pubis gonflé qu’elle ne rasait que partiellement, surplombant la fente d’un sexe dont jaillissaient ses lèvres. Elle a fait se tourner sa complice pour me présenter ses fesses menues, mais bien rondes, avant de soulever le haut, sa taille fine et ses seins hauts perchés, dont la fraicheur a fait se tendre les tétons.
Sans doute que j’avais encore des réticences à aller avec elle, parce qu’elle était la fille de Cathy, mais aucune à aller avec la petite brune, qui me plaisait énormément. Ca a été une porte d’entrée, et ça, elle l’avait bien compris. Je me suis approché et je suis tombé à genoux devant la brune, venant glisser mes doigts sur son sexe. Il était encore sec quand j’ai posé mes doigts sur ses lèvres pour les caresser, mais le simple contact de mes doigts contre elle a ouvert un robinet, qui s’est mis à couler et inonder mes doigts d’un liquide aussi abondant qu’odorant. Alexia s’est accroupie près de moi, et ses doigts se sont joints aux miens pour une double caresse, qui a fait gémir la petite brune de plaisir. Alexia m’a jeté un regard qui disait, c’est du moins comme ça que je l’ai compris ‘Enfin…’ Enfin, je venais vers elle, et vers sa copine…
Et c’était vrai que tous mes verrous avaient sauté d’un seul coup.
Mes mains ont glissé le long de ses jambes, pour arriver à ses fesses, dont la rondeur a rempli mes mains, pendant que je portais ma langue sur la chair qui sortait d’elle, qui gonflait d’excitation, et ruisselait de ses jus les plus intimes, et que je la parcourais de ma langue, ses sécrétions coulant dans ma gorge, remplissant ma bouche d’un goût sucré.
Dans le même temps, Alexia s’est penchée sur moi et elle a attrapé ma queue dans mon pantalon. A des degrés divers, j’avais été dur depuis qu’elle était montée dans le camion près de moi. Je me suis rendu compte, quand, avec une habileté qui n’appartenait qu’à elle, elle s’est mise à me parcourir de la langue, que j’avais envie d’elle depuis la première seconde. Une envie intense qui venait enfin de trouver un début d’exutoire. Etre ainsi pris entre deux feux, caresser les lèvres de la brune, et sentir la bouche d’Alexia sur moi était comme la promesse d’un moment intense.
Un moment durant lequel nous nous sommes désassemblés pour mieux nous assembler. Deux minutes plus tard, nous glissions sur un lit défait, dans la chambre de l’appartement. Les deux filles se sont déshabillées mutuellement devant moi, en frottant leurs langues sorties l’une contre l’autre et en se caressant de leurs mains qui virevoltaient sur leurs corps. Défaire le short de jean et le descendre a fait apparaitre le gode que j’avais oublié. Il a jailli comme l’aurait fait une queue. Il avait été maculé d’avoir fouillé l’anus de l’agent d’assurances, mais ça n’a pas empêché Leanna de porter sa bouche dessus et de la faire monter et descendre. Elle a glissé ses mains dans le dos d’Alexia pour la désharnacher et a fait passer l’ensemble du corps de la jolie blonde au sien.
Elles se sont laissées glisser sur le lit, où je les regardais en me masturbant, pour apaiser les tensions qui étaient en moi.
—J’ai trop envie d’une queue, a murmuré Leanna, se penchant vers la table de chevet, sur laquelle une grosse boite de préservatifs laissait entrevoir que l’appartement recevait des visites, masculines, mais sans doute féminines aussi, et que je n’étais certainement pas le seul homme à en avoir franchi le seuil. Avec une habileté qui confirmait cela, elle a sorti le préservatif gluant de son emballage et l’a fait coulisser sur ma queue.
L’attirail dont elle s’était harnachée enveloppait son sexe, mais laissait une ouverture qui permettait aisément d’accéder à sa muqueuse, du regard et de la queue, muqueuse que je voyais rose et luisante au milieu de l’enchâssement de cuir. Elle est venue se placer au dessus de moi, et s’est laissée descendre sur moi. Mon gland a ripé et est venu cogner contre le cuir. Elle l’a ramené contre son ouverture, et l’a tenu jusqu’à ce que je sois enfoncé en elle de quelques centimètres. Les premières sensations ont afflué, de chaleur et d’humidité, autour de mon gland planté en elle, descendant le long de ma queue puis dans tout mon corps, me remplissant de chaleur. Elle est restée comme ça un moment, sans me rentrer plus en elle, se tournant vers Andréa qui est venue prendre sa bouche, en même temps qu’elle masturbait vivement le pénis de plastique. Un torrent de sécrétions a coulé, inondant ses chairs, ainsi que ma queue. Très lentement, centimètre après centimètre, elle s’est laissée glisser sur moi, faisant une pause au bout d’un ou deux centimètres, toujours embrassée et caressée par Andréa, jusqu’au moment où ma queue a tapé contre son utérus.
Elle s’est mise à se soulever, se faisant aller et venir sur moi, pendant que sa complice tournait autour d’elle, la caressant de la bouche et des mains. Nous étions dans le plaisir de sentir nos muqueuses se frotter. Nous sommes restés un moment ainsi, jusqu’à ce qu’elle s’arrache à ma queue, le latex trempé de ses sécrétions. Un échange de regards entre les deux filles, et Andréa est venue se positionner au-dessus de moi. Je me suis rendu compte que ce moment, j’en avais envie sans doute depuis la première seconde. Je m’étais créé des barrières. Elles venaient toutes de voler en morceaux, en quelques secondes. Et son regard me disait clairement qu’elle aussi avait envie, pas forcément depuis la première seconde, mais depuis longtemps aussi. Elle a attrapé ma queue, la caressant doucement. D’avoir été dans l’intimité de Leanna m’avait encore plus allongé et durci.
Elle est descendue, son sexe se rapprochant du mien.  Nos regards se sont accrochés, et une étrange intimité s’est nouée entre nous deux. Quelque chose très fort est passé à ce moment-là, en grande partie parce que nous avions l’un et l’autre attendu et espéré ce moment, même si ça n’était que pendant quelques heures. C’était un aboutissement, et cet aboutissement était la source d’une très grande complicité.
On  a eu un moment de plaisir avant que l’assemblage que nous avions constitué ne se dissolve pour passer à autre chose. Dans les minutes qui ont suivi, nous avons multiplié les combinaisons, sans que l’un d’entre nous n’en soit l’instigateur. Dans l’étrange alchimie que peut représenter le sexe, les images de nos assemblages s’imposaient à nous trois en même temps, presque par télépathie, et nous les accomplissions.
Leanna est venue se placer à quatre pattes. Elle s’est tournée vers Alexia. Elle s’offrait à elle dans cette position, les fesses ouvertes sur ses plissements anaux, et plus bas sur son sexe qui semblait se dilater plus à chaque minute, béant à présent, laissant largement voir les muqueuses roses et brillantes…
Le regard d’Alexia brillait d’excitation. Sans que je sois vraiment surpris, elle n’a pas approché la queue de plastique de la muqueuse vaginale, mais des plissements imprimés dans sa chair. J’ai pensé, une réflexion sans doute stupide, que la queue de plastique était trop grosse, trop large, pour s’insérer dans un conduit aussi étroit, mais c’était justement ce qui faisait le charme et le plaisir de la chose. La tête de plastique est venue caresser les plissements anaux, sans chercher à pénétrer dans l’anus. Leanna s’est cambrée et a gémi, appréciant cette caresse. J’ai remarqué que sa main glissait entre ses cuisses et qu’elle se frottait le sexe dans un mouvement vif, pour démultiplier son plaisir. Un geste pas tellement différent du mien, alors que je faisais aller et venir ma main sur ma queue, troublé par le spectacle.
Mon trouble a été sans doute encore plus fort quand la queue de plastique a commencé a rentrer en elle. D’évidence, ce n’était pas la première fois qu’elle se faisait sodomiser, que ce soit par des hommes, ou par Alexia avec laquelle elle semblait avoir une complicité très forte, vu la manière dont le pénis de plastique était rentré en elle, et dont il glissait en elle…Cambrée, elle gémissait, mais c’était de bonheur.
J’ai regardé la queue de plastique rentrer, aller au fond d’elle, puis Alexia adopter un rythme lent de va-et-vient, rentrant puis sortant…J’avais envie de la caresse d’une main ou d’une bouche de femme. J’ai contourné les deux femmes et je me suis approché de la bouche de Leanna, mettant mon sexe à portée de sa bouche. Elle s’est tendue vers moi, et elle a glissé sur ma queue, jusqu’à en prendre un tiers…J’ai gémi de plaisir en sentant la cavité chaude et humide de sa bouche autour de moi. Elle s’est mise à aller et venir sur moi. Ce moment était particulier, j’en avais bien conscience, il y avait là quelque chose de fort, d’exacerbé même, que je ne connaîtrais pas de sitôt. Une harmonie.
Elle s’est finalement immobilisée et elle a baladé sa langue autour de la partie de ma queue qui était figée dans sa cavité buccale. Mes liquides pré-sécrétifs inondaient son palais.
Elle a planté son regard dans le mien, et elle m’a dit:
—Je veux que vous me preniez tous les deux.
Il a fallu qu’on s’ajuste. Alexia est sortie d’elle, je me suis allongé, Leanna est venue au dessus de moi, elle a attrapé ma queue, elle l’a guidée vers sa vulve. Nous nous sommes emboités. L’attrapant par les hanches, Alexia l’a sodomisée à nouveau. Leanna a poussé un râle de plaisir.
C’était la première fois que je me trouvais ainsi dans un plan à trois. C’était une sensation particulière. Et cette sensation particulière passait par une infinité de détails, dont sans doute le fait de sentir le corps du partenaire, mais aussi celui d’un autre, sa chatte autour de moi, me gainant, mais aussi et surtout, présence qui s’est précisée petit à petit, dans son épaisseur, celle de cette queue, dont j’étais séparé uniquement par une fine paroi, et dont la présence a fait évoluer notre rapport. Je ne cherchais plus uniquement à me faire caresser par cette muqueuse vaginale que je sentais, chaude, souple, humide et caressante autour de moi, mais à me frotter contre la queue qui devenait plus présente à chaque seconde. Je voyais bien, au visage d’Alexia que, même si sa queue n’était pas de chair, mais de plastique, elle avait également des sensations, et elle poussait le membre artificiel contre le mien.
Leanna a amené ses doigts en haut de son sexe. Son clitoris était resté jusqu’à présent invisible, elle l’a décalotté de la pulpe de ses doigts, le faisant apparaitre, tige de chair prolongement du cercle implanté dans ses chairs, et elle s’est mise à le frotter entre ses doigts pour le faire s’allonger et se durcir, gémissant…On a joui ensemble, moi le premier sans doute, crachant ma semence dans le préservatif, dont les jets sont venus  taper contre les muqueuses vaginales, et au-delà contre la queue de plastique. Alexia a poussé un hurlement, et Leanna une longue plainte.
Ca n’était pourtant pas la fin, mais le commencement. Je n’ai pas vraiment débandé, et parce que nous avions encore envie de sexe, et de prolonger ce moment, nous sommes partis sur d’autres combinaisons. Alexia s’est défaite du gode-ceinture, que Leanna a noué autour de ses reins. D’un seul mouvement, Alexia était près d’elle, sur ses genoux, elle est venue planter le gode en elle, un coup d’estoc magistralement donné. La queue avalée, occupant l’espace interne. J’ai compris qu’il ne me restait qu’une voie, pour reconstituer, dans une modalité différente, cet assemblage à trois qui nous avait séduits et nous avait donné du plaisir. Enveloppé d’un nouveau préservatif, je suis venu poser mon gland dilaté contre son anus, et je me suis glissé dans le conduit étroit, dont la simple perception autour de moi a failli me faire jouir.

—Alors, ça s’est bien passé avec ma fille?, m’a demandé Cathy, en même temps qu’elle sortait ma queue de mon pantalon, deux jours plus tard, pour la caresser de sa bouche.
—Impeccable. On est arrivé pile à l’heure prévue, et ensuite j’ai été livrer.
—Mmmm…Que tu es gros…C’est bien. J’ai envie de sexe depuis ce matin. De te sentir en moi, bien épais, que tu me caresses à l’intérieur.
Je me suis posé la question de savoir si j’étais aussi gros parce que j’avais envie d’elle, aujourd’hui, elle était comme toujours très attirante avec une robe noire moulante et des cuissardes rouges, ou parce que je repensais à ce qui s’était passé entre nous. Je lui avais menti sur un point: j’avais heureusement un créneau large, parce que j’avais largement dépassé le moment que je m’étais fixé pour livrer. Sans regret. Depuis je repensais à ce qui s’était passé entre nous.
Cathy a fait tourner sa queue sur mon gland, buvant mes pré-sécrétions abondantes, avant de basculer en arrière sur son fauteuil. Elle a soulevé sa robe dévoilant des bas stay-up, et un ventre nu.
-J’ai été travailler sans culotte aujourd’hui. Ca te plait?
—Que des hommes puissent te voir et qu’ils se branlent en pensant à toi, ça me plait énormément, oui.
—Elle t’a allumé?
—Elle a essayé, oui.
—Et tu as résisté?
Elle m’a guidé vers le divan, où elle a basculé à quatre pattes. Ca a fait remonter en moi des souvenirs tout frais, qui, de toute façon me tournaient dans la tête. Je n’avais aucun scrupule, car pour moi, trahir la mère, c’était la retrouver dans la fille, or, même si elles se ressemblaient énormément physiquement, elles étaient totalement différentes dans leur sexualité. J’ai glissé en elle, me sentant pris par la gaine chaude et souple de son sexe.
—Je ne pense pas que ça t’aurait fait plaisir que je fasse l’amour avec ta fille. Ca aurait été une sorte de trahison, et je n’aime pas trahir les gens.
Je me suis mis à bouger en elle pendant qu’elle frottait son clitoris.
—Si jamais tu touches à ma fille, je t’arrache les yeux.
—Ca ne me viendrait pas à l’idée, j’ai répondu, en repensant à ces dernières secondes, ou, alors que je quittais l’appartement, Leanna sous la douche, la jolie blonde m’avait accompagné jusqu’à la porte et dit:
—J’ai envie qu’on s’envoie encore en l’air ensemble. Tu viens souvent chercher de la marchandise à T?
—Trois matins par semaine, le lundi, le jeudi et le vendredi…
—Jeudi prochain, je serai à l’appart. Passe. On a encore plein de choses à faire ensemble. Je voudrais te sodomiser avec le gode. Je suis sûre que tu le souhaites aussi. Je le lis dans tes yeux.
Fouillant la vulve de Cathy avec ardeur, alors qu’elle me faisait remarquer:
—Ben dis donc, tu as vraiment envie aujourd’hui…
Je me suis demandé si c’était elle que je prenais, ou si je me voyais déjà dans la vulve de sa fille, jeudi prochain…

 

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  1. Assas le à
    Assas

    En attendant la partie 4 , peut être
    Encore un récit de votre part, sans vulgarité et qui sort de l’ordinaire, comme les aime.
    Bravo
    Assas

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