TRUCKERS 5 : la femme du patron partie 1

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Frederic Gabriel


au travailexhibition et voyeurismeMILF


Ils sont routiers. Hier, aujourd’hui, demain. Le métier a changé, mais il reste fondamentalement le même. Des hommes quittent leur foyer pour convoyer des marchandises. Ils doivent les livrer en un temps record. Lutter contre la fatigue, et le stress. Un métier usant. Epuisant. Ils ont pourtant des compensations. La forte solidarité entre routiers. Et aussi le sexe.
Voici quelques unes de ces histoires, confiées par des routiers, dans lesquels le sexe a une place essentielle.

LA FEMME DU PATRON
partie 1
Je rentrais de livraison il était 18 heures…Encore une bonne journée, bien remplie. J’ai ralenti, et je me suis garé sous le hangar, alignant mon camion avec les autres.
—Ca s’est bien passé?
Je descendais de mon camion avec les dossiers à la main. Je ne l’avais pas entendu. Il était au fond de l’entrepôt.
—Aucun problème. J’ai livré tout ce qu’il fallait livrer.
—Ca te fait de bonnes journées. Tu as un moment?
J’ai eu un instant d’inquiétude, mais je me suis efforcé de le masquer.
—La journée est finie, non? Alors j’ai tout mon temps.
Il m’a entrainé vers les bureaux.
Je savais qu’il était content que nos chemins se soient croisés. Jean-Marc R… dirigeait une entreprise de transports. Il n’avait pas une grosse entreprise. Mais c’était une boite qu’il avait su rendre rentable, et qui fonctionnait bien. Avec une trentaine de camions qui transportaient aux quatre coins du département, pour deux cent clients, de l’eau minérale, des pâtes, des menuiseries, de l’alu, de l’acier…Il la gérait seul, et avec une dizaine de chauffeurs. Sa force, il me l’avait expliqué, c’était que, contrairement à de grosses boites, il était toujours proche des clients, et qu’il leur répondait jour et nuit. Il avait gagné leur confiance, et ils faisaient appel à lui, alors qu’ils auraient pu aller trouver des boites plus importantes.
Son principal souci, c’était de trouver des chauffeurs. Aussi incroyable que cela puisse paraître, il vivait régulièrement cette incroyable réalité qui faisait qu’offre et demande ne collaient jamais. Il avait publié 250 offres, sur des sites divers, dans la presse, sans jamais avoir de réponse. Il y avait d’un côté des chômeurs qui ne trouvaient pas d’emploi, et de l’autre des demandes qui ne trouvaient jamais preneur. La faute a pas mal de choses, on pouvait chercher des raisons, elles étaient nombreuses…Le manque de qualifications qui faisait que les personnes qui auraient pu avoir un travail n’avaient pas la formation pour cela…Le fait que certains, malgré tout, ne souhaitaient pas avoir d’emploi. L’exigence de certains métiers qui devenaient plus techniques…Tout cela faisait qu’au final, deux mondes ne s’accordaient jamais, et donc que le chômage restait ce qu’il était.
Et j’étais arrivé. Le sauveur. C’était à peu près ça…Le hasard d’ailleurs. Je travaillais pour une petite compagnie à 800 kilomètres de là, et le patron nous avait annoncé qu’on était rachetés par un plus grand groupe. Ca ne me plaisait pas trop, et je pensais partir ailleurs. Je n’étais pas le seul. On avait regardé ensemble sur des sites, mes camarades et moi, si on trouvait des annonces, et j’étais tombé sur la sienne. Je n’avais pas vraiment d’attaches dans la région, pas de famille, et je m’étais dit que ce serait bien de partir dans le Sud. Je l’avais contacté, et j’avais proposé de descendre pour un entretien. Ledit entretien avait été positif. J’avais le travail. En conséquence, j’avais emballé mes affaires, et j’avais pris la direction du Sud. Je louais une petite maisonnette, pas loin du siège de la compagnie.
On s’est retrouvés dans son bureau.
—Ca faisait plus d’un an que je cherchais un chauffeur. Ca faisait une pression supplémentaire sur les autres, parce que je ne voulais pas perdre de marché. Je sais ce que je te dois.
Il m’a tendu une enveloppe.
—Tiens, c’est ma manière de te marquer ma gratitude. Une prime. Tu pourras t’offrir ce que tu veux avec.
J’étais content. L’argent, on en a toujours besoin.
Il s’est levé.
—Bon, écoute, à demain.
On s’est serrés la main, signe d’entente, sans aucun doute. Il m’appréciait, je le sentais bien. Et je l’appréciais aussi. On n’avait pas toujours la chance d’avoir un patron comme lui.
Il n’était pourtant pas parfait. Il buvait pas mal, et surtout il avait une addiction au jeu qui faisait que, plusieurs soirs par semaine, il partait jouer au poker. Il m’avait proposé plusieurs fois de me joindre à lui, mais j’avais toujours refusé. J’avais le sentiment qu’on ne jouait pas pour gagner, mais pour perdre.
Je l’ai regardé s’éloigner vers A… pendant que je reprenais ma voiture. Il avait acheté une maison qu’il avait retapée dans un petit village qui se situait à un kilomètre de là. On voyait la maison de l’entreprise, et réciproquement.
J’ai été me garer devant chez lui. Il m’avait proposé, quand on avait fait connaissance, de me ramener chez lui. Il m’avait présenté son épouse. Une grande et belle femme qui abordait la cinquantaine, comme lui.
J’avais été ébloui moins par sa beauté, même si elle était bien réelle, que par cette sensualité à fleur de peau, qu’elle exsudait. Ce soir-là, je m’en souvenais très bien, cela faisait huit mois maintenant, elle portait une simple robe noire, fluide mais qui collait cependant à un corps que les années n’avaient pas abimé, mais plutôt magnifié.
Son regard bleu s’était posé sur moi, et je m’étais demandé ce qu’elle pouvait bien penser.
La soirée avait été remplie par les discours de son mari, intarissable. Il avait parlé de lui, de son passé, de son présent, de son avenir. Sa femme était beaucoup plus discrète. J’avais juste appris qu’elle avait un salon de coiffure dans le village.
Et puis il y avait eu ce premier moment où j’avais senti, alors que son regard était dans le mien, que quelque chose venait frotter contre ma cheville. J’avais été surpris, avant de comprendre qu’il s’agissait du cuir d’une des deux bottes couleur fauve qu’elle portait. Elle m’avait caressé doucement la jambe, sans aller plus loin.
Là où elle avait été plus loin,ç’avait été quand son mari avait reçu un appel en urgence. Quelques mots, un client qui avait besoin de lui très tôt le lendemain matin. La proximité entre son domicile et l’entreprise lui permettait de faire des va-et-vient entre l’un et l’autre, et il nous avait laissés seuls.
—Ca t’intéresse?
On en était au café. Je l’avais regardé partir.Il m’avait fait un petit signe de la main en ajoutant:
—C’est toujours comme ça. Marié avec le métier 24 heures sur 24.
J’avais perçu, du coin de l’oeil, que son épouse se déplaçait, prenait sa tasse de café, et aller se poser sur le divan attenant.
Je me suis tourné vers elle.
Je dois bien dire que je n’ai pas vraiment été surpris par le spectacle qu’elle m’offrait. Elle avait caressé ma jambe tout le reste du diner. C’était donc dans la continuité des choses.
Quand elle s’était assise, la robe, tissu fluide, avait glissé le long de son corps, et elle n’avait rien fait pour la redescendre. Elle était à l’heure actuelle tire-bouchonnée autour de sa taille.
J’en ai pris plein les mirettes. Ses jambes étaient gainées de nylon, ça je l’avais déjà remarqué. Le nylon de bas stay-up, qui laissaient la partie la plus haute de ses cuisses à nu. Elle avait un slip de dentelle rouge, assorti au soutien-gorge dont on voyait les bretelles là où la robe laissait sa peau nue. Slip qu’elle avait écarté et fiché dans son aine pour me donner à voir son sexe.
Je n’avais jamais vu une chatte comme celle-là. On aurait dit que toutes les chattes des filles dont j’avais croisé la route étaient un ersatz par rapport à celle-ci. Une vraie chatte.
Elle avait fait le choix de ne pas se raser, et il était évident qu’un rasoir ne s’était jamais approché de sa chatte. Question de génération sans doute. Ses poils prospéraient, libres, touffus, remontant haut sur son ventre, et s’épanouissant autour de son sexe proprement dit.
Son sexe était impressionnant. Non seulement parce qu’il était volumineux, mais aussi parce qu’il avait une configuration particulière. Ses lèvres faisaient une grosse masse de chair, avec des replis et des convolutions, sortie d’elle, dans un état qui n’était pas du à l’excitation, j’ai pu le constater par le suite, mais permanent, comme une proéminence naturelle.
Devant moi, elle s’est mise à se caresser. J’ai trouvé ce geste extraordinairement audacieux, et en même temps il était dans la continuité de cette autre audace qui avait consisté à me caresser du cuir de sa botte. Je voyais très bien comment cela se passait. Une femme sans doute mariée depuis pas mal d’années. L’usure, inévitable dans un couple. Et pourtant en même temps, les envies, toujours présentes. Envie de sexe, de plaisir mais aussi plus simplement d’attention, d’affection. Avec un autre partenaire.
Ses doigts glissaient sur ses chairs, m’hypnotisant. Ses lèvres gonflaient encore. Et puis, entre les replis, du liquide a commencé à apparaître, qui a rendu luisantes ses chairs.
—Approche-toi. Je sais que tu aurais forcément des scrupules à aller très loin. Je te demande juste de me laisser caresser ta queue, pendant que moi, je me caresse. C’est possible, ça?
J’ai été jusqu’à elle. Elle pensait que j’avais des scrupules, je n’en avais pas vraiment. C’était pourtant l’homme qui m’avait embauché, mais mon envie d’elle était très forte, et elle submergeait tout. C’était d’ailleurs encore le cas aujourd’hui. Si elle m’avait demandé de venir me nicher entre ces lèvres qui me fascinaient, je l’aurais fait sans hésitation.
Mais cette première fois, ça ne s’était pas passé comme ça.
Elle avait lâché un instant sa chatte, et, des deux mains, elle avait défait mon pantalon. Ma queue avait largement eu le temps de durcir, entre le moment où sa botte était venue frotter contre mon pantalon, et celui où elle me mettait à nu. Elle a eu une moue gourmande en voyant ma queue surgir à l’air libre.
—Mmmm…Exactement ce qu’il me fallait…Une belle queue bien longue et bien dure…Je ne vois plus très souvent la bite de mon mari, ça compensera parfaitement.
J’avais compris dans les minutes qui suivaient qu’elle était la maitresse dont tout homme aurait pu rêver. Elle avait beaucoup d’imagination, une imagination sans nul doute aiguisée à la fois par le manque et par une pente naturelle vers le sexe. Elle aimait ça, elle aimait les plaisirs, innombrables et variés que ça pouvait procurer de faire l’amour, et surtout, elle ne se réduisait pas, contrairement à beaucoup de femmes, à une simple pénétration, elle savait qu’il y avait des possibilités de jeux innombrables, et qu’ils pouvaient procurer autant, sinon plus de plaisir.
C’est d’ailleurs bien ce qui s’est passé cette première fois. Pas de pénétration, mais beaucoup de plaisir.
Elle s’est légèrement redressée, et, en même temps qu’elle frottait son sexe de ses doigts habiles, elle s’est aventurée sur ma queue. Se contentant d’une caresse buccale simple mais efficace. Elle a fait tourner sa langue sur mon gland. C’était, pour moi comme pour tout homme, la partie la plus sensible de ma queue, et j’ai éprouvé très vite un plaisir fort. Mes jus pré-jouissance se sont mis à couler d’abondance, qu’elle a lapé avec gourmandise. Elle a glissé sa main libre jusqu’à mes couilles, qu’elle a caressé doucement. Comme mon gland, c’était une partie ultra-sensible, et les deux foyers de jouissance se sont conjugués, pour faire monter en moi un plaisir que j’ai retenu aussi longtemps que possible, jusqu’à exploser. Le premier jet de sperme est parti en travers de son visage. Elle a plongé sur moi de sa bouche, et je me suis vidé dans sa cavité buccale bien chaude, mon sperme coulant dans sa gorge.
Si j’avais joui, ce n’était pas son cas. Elle s’était surtout concentrée sur moi, elle est revenue sur elle-même. Son sexe avait évolué, ses lèvres encore plus gonflées, et ses jus coulant avec abondance, mouillant ses chairs et faisant une lâche sous ses fesses.
Le plus spectaculaire, c’était sans doute de constater que son clitoris avait jailli d’elle d’une manière vraiment spectaculaire. Sans surprise, il était à la dimension de ses lèvres, et de son sexe. Une longue tige fine, dardée, qui montait d’elle. Je n’en ai d’ailleurs jamais revu de pareil.
Elle a attrapé ma main, et elle m’a fait masser cette tige de chair. Une sensation particulière au bout de mes doigts. Il fallait croire qu’elle avait besoin de ça pour jouir…Elle s’est tendue, et elle a explosé de jouissance, en criant, et en éjaculant des jets de liquide qui sont venus frapper tout ce qui était proche de sa chatte.
Quand il est revenu, un quart d’heure plus tard, son mari nous a pourtant trouvés sagement assis,  elle sur le divan, moi sur un fauteuil en face. Sa robe couvrait bien ses jambes. Hormis quelques tâches qui avaient commencé à sécher, il n’y avait rien qui aurait pu suggérer qu’on avait eu du plaisir ensemble.
Elle m’avait demandé, avant qu’il n’arrive mon numéro de portable, en me précisant:
—Quand je serai libre, je t’appellerai. On passera de bons moments ensemble. Ca te dit?
C’est curieux comme, dans la vie, on peut manquer totalement de scrupules. Elle m’attirait énormément, et cela passait devant, loin devant la loyauté que j’aurais pu avoir envers un homme qui m’avait donné du travail.
Et depuis huit mois, nous nous étions souvent revus. Chez elle. Dans des chambres d’hôtel. Sur des parkings. Avec toujours cette envie de sexe avec l’autre, qui ne s’épuisait pas. Même si je sentais bien qu’au-delà, quelque chose s’était développé, établi, que j’aurais eu du mal à définir. Une manière d’attachement, sans aucun doute.

 

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