TRUCKERS 5 : la femme du patron partie 2

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Frederic Gabriel


au travailMILFsperm lover


Je me suis garé devant chez eux. Plusieurs fois, son mari était arrivé alors que nous étions ensemble. Obnubilé par le souci de gérer au mieux son entreprise, et totalement naïf, parce qu’il aimait, même s’il lui accordait peu d’attention, sa femme, et n’imaginait pas qu’elle puisse le trahir, il ne semblait pas avoir jamais soupçonné qu’elle puisse le tromper.
Même si j’avais ma queue enfoncée en elle au moment où il arrivait, on arrivait toujours à s’en sortir, à monter une mise en scène très rapidement. Une fois, on avait entendu la voiture de son mari arriver au moment où mon sexe fiché dans le sien, je jouissais…Elle avait crié:
—Vas-y continue, je veux sentir ton sperme jaillir en moi, j’ai besoin de ça pour jouir.
Dans les premiers temps, on avait utilisé des préservatifs, mais après un test, et à sa demande, elle avait voulu que je m’en débarrasse, ‘pour de meilleures sensations’, comme elle disait.
Mon sperme avait jailli dans dans son vagin, venant taper, jet après jet, contre ses parois internes, la faisant jouir. Il nous avait trouvés, buvant un verre, alors que mon sperme coulait dans le collant qu’elle portait sans culotte. Quand son mari était parti se chercher une bouteille de bière dans la cuisine, elle avait ouvert les cuisses pour me montrer son sexe nu et la manière dont le sperme sortait d’elle et venait tâcher le nylon.
J’allais sonner, mais j’ai entendu une voix qui me criait:
—Tu peux rentrer, c’est ouvert.
Elle était devenue une addiction pour moi. On ne s’était pas vus depuis deux jours, et je ressentais un manque.
Une bonne odeur venait de la cuisine. Je m’y suis aventuré. Ma queue se durcissant à sa vue. Elle se soignait toujours, mettant en valeur une féminité que d’autres femmes laissaient en friches. A 53 ans, elle était plus attirante que beaucoup de filles plus jeunes que je connaissais. C’était curieux comme elle suscitait en moi un désir toujours renouvelé, toujours aussi intense, sans que jamais en six mois, je ne me sois lassé une seule seconde.
J’en ai pris, une fois de plus, plein les mirettes. Elle portait un jegging, un jean élastique qui la collait de manière étroite, mettant en valeur ce qui faisait qu’elle était une femme, ses hanches,son pubis, son sexe, qu’il dessinait jusqu’à l’indiscrétion, ses fesses bien charnues, marquant les sillons qui coupaient ses parties intimes en deux, et insistant sur le dessin parfait de ses jambes, quelque chose de vraiment rare pour une fille de cet âge. En haut, elle portait un petit pull couleur cerise dont ses seins semblaient vouloir s’échapper.
Ce que j’aimais avec elle, c’était qu’on basculait sans transition sur du sexe, un sexe qui était sans limites, sans tabous, sans barrières morales. C’était la première fois que je rencontrais une partenaire qui n’avait que très peu de limites. A force de discuter, j’avais compris que ce n’était pas lié qu’à sa frustration. Très jeune, elle avait découvert le sexe, et elle avait compris qu’il offrait d’infinies possibilités, d’un plaisir intense, et elle avait décidé d’en exploiter un maximum avant de mourir.
Je me suis approché d’elle. J’ai senti le volume et la chaleur de son corps contre moi, ses seins s’écrasant contre ma poitrine, tandis que nos bouches se joignaient, et que nos langues se frottaient l’une contre l’autre. Elle avait des seins volumineux, incroyablement ronds et fermes, et je me demandais depuis un moment si elle n’avait pas subi une plasturgie mammaire. Elle a glissé sa main sur mon pantalon pour venir chercher ma queue.
—Ce que j’apprécie avec toi, c’est que dès que tu me vois, ta queue est prête à servir. Si seulement je pouvais en dire autant de mon mari.
Elle m’a caressé doucement. Elle avait souvent évoqué dans un premier temps, aujourd’hui elle était au-delà, les déboires sexuels de son mariage. Son parcours n’était d’ailleurs pas différent de celui de bien des couples. Au tout début, ils faisaient l’amour six fois par jour. Puis, très rapidement, il avait été totalement absorbé par son entreprise, obsédé par sa réussite, et il s’était de moins en moins occupé d’elle. C’était elle qui devait aller le chercher, et il se montrait de plus en plus réticent quand il s’agissait de lui faire l’amour. ‘Pas le temps’, c’était son leitmotiv. Habitée par une faim que rien ne rassasiait, elle avait envisagé toutes les solutions possibles pour être comblée. Elle cherchait des hommes, souvent des partenaires de son mari, des clients, pour des coups dont elle savait qu’ils seraient sans lendemain, ça ne la gênait pas, ou bien au contraire qu’ils se reproduiraient à intervalles réguliers, rapides, dans des chambres d’hôtel, ce qui ne la dérangeait pas non plus, ou alors elle avait recours à des caresses plus personnelles, auxquelles elle avait pris goût, et dont elle tirait des plaisirs intenses.
J’étais un peu le paquet surprise qu’elle avait reçu six mois plus tôt, et qui ne contenait que de bonnes choses. J’aimais le sexe, et j’avais aussi souvent envie de la voir qu’elle n’avait envie, elle, de me voir. Et il régnait entre nous une réelle entente sexuelle. J’aimais ce qui n’était innovant, changeant, et je ne me posais pas de limites d’ordre moral.
J’ai posé les doigts sur le bouton qui tenait le jean à sa taille, et je l’ai défait. Dessous, elle avait un slip noir en dentelle. J’ai glissé la main dans l’espace que j’avais libéré en ouvrant le pantalon, et, pendant que je glissais ma main sous le tissu du slip, elle a continué à caresser ma queue, et à frotter sa langue contre la mienne. J’ai senti au bout de mes doigts la surface des poils qu’elle avait gardés, puis glissant plus bas la fente de son sexe, qui s’entrouvrait, et dont coulaient déjà des sécrétions. J’avais toujours eu dans l’idée que, passé la cinquantaine, le sexe d’une femme était aussi sec que le désert du S    ahara. Elle en était la contradiction vivante. Jamais je crois aucune de mes partenaires plus jeunes n’avait mouillé autant qu’elle. Ca partait très vite, et c’était un véritable ruissellement, avec des éjaculations quand elle jouissait. Curieusement, le liquide qui jaillissait d’elle quand elle explosait n’avait rien à voir avec celui qui coulait tout le long de nos rapprochements. Un peu comme le liquide pré-sécrétif d’un homme n’avait rien à voir avec le sperme qui pouvait sortir quand il jouissait.
J’ai marqué un arrêt, qu’elle ne pouvait pas ne pas remarquer, quand j’ai senti que quelque chose sortait d’elle. Un cordon. J’ai d’abord été très surpris. Je l’imaginais mal avec un tampon dans la chatte, vu qu’elle avait été, de son propre aveu, ménopausée. Mes doigts glissant plus bas, je me suis rendu compte qu’au bout du cordon, il y avait un cercle de plastique, destiné sans doute à faciliter la sortie de ce qu’elle avait à l’intérieur.
Je devais avoir l’air surpris. Elle m’a dit:
—J’ai de nouveaux jouets, très sympas…
Comme elle aimait, de son propre aveu, se donner du plaisir toute seule, elle achetait régulièrement, sur des sites en ligne, mais aussi dans des magasins, il y avait deux sex-shops dans la ville qui se trouvait à 25 kilomètres de là, des objets en tous genres qui lui permettaient de se donner du plaisir. Qu’elle utilisait souvent lorsqu’on était ensemble, comme appoint, mais aussi quand elle était seule. Elle m’avait fait plusieurs vidéos, qu’elle m’avait envoyées, où elle s’était filmée se caressant avec ses doigts, avec un gode. C’était troublant de voir ses doigts tourner sur ses lèvres, de voir son sexe se dilater, son clitoris sortir de ses chairs, de voir un gode aller et venir entre ses lèvres, le plastique souvent coloré marqué par les coulures de ses liquides intimes, puis par ses éjaculations qui couvraient le même objet d’une crème blanche.
Elle a attrapé une chaise et s’est laissée glisser dessus, pour venir parcourir ma queue de coups de langue avides.
—Elle est belle ta queue, je crois que je ne m’en lasserai jamais.
Je retrouvais chez elle, à chaque fois, la même ardeur. Elle a caressé ma queue de sa langue et de sa bouche avant qu’elle ne me propose:
—Viens, on va sur le divan, on sera mieux.
S’il avait pu parler, le divan aurait pu raconter ce dont il était témoin, semaine après semaine, puisqu’il était le compagnon privilégié de nos ébats. Il en gardait au moins, j’aimais à l’imaginer, une sorte de mémoire de nos corps contre son cuir, dans diverses positions, des frottements de nos chairs, mais aussi, j’aimais à l’imaginer, des liquides que nous avions pu y déverser, et qui s’étaient superposés, en couches successives. Je me demandais parfois si leur odeur se mêlait à celle du cuir, mais je n’avais jamais vérifié.
Elle s’est laissée glisser sur le canapé, et je suis tombé à genoux devant elle. Elle s’est soulevée pour me permettre de tirer bas le jean. Le slip en dentelle était déjà imprégné, sur un large cercle, de ses sécrétions, qui le faisaient plus sombre. Je l’ai descendu aussi, avec sous mes yeux en point de mire sa vulve, toute gonflée, que je redécouvrais toujours comme si c’était la première fois, sans lassitude, et toujours avec émerveillement.  Cette grosse chatte, avec ce paquet de lèvres en avant, ce clitoris volumineux, ces liquides qui la mouillaient en permanence, me fascinait totalement.
Ca n’avait pas été une hallucination tactile. Devant moi, entre ses lèvres, il y avait cet anneau, rond, accroché au bout d’une corde.
—Tire dessus…Très doucement.
Je n’étais pas, comme elle, un spécialiste en jouets sexuels, et je me demandais sur quoi l’anneau allait ouvrir. J’étais un peu circonspect, et pourtant j’ai accroché mon doigt à l’anneau et j’ai commencé à tirer vers moi.
Il y a d’abord eu un peu plus de ficelle, puis la première boule a fait son apparition. C’était une boule assez volumineuse, du plastique ou du métal sans doute, d’un bleu ciel, et qui luisait d’être marquée par une pellicule de liquide, celui issu du ventre de Sylvie. Il y a eu une deuxième boule qui est apparue, de même dimensions, elle aussi trempée par ses sécrétions, puis encore une autre. Entre chaque boule, un court intervalle de ficelle.
Retirer ainsi la série de boules comme je le faisais semblait lui procurer un plaisir grandissant.
Elle aimait beaucoup parler, et elle a cru bon de m’expliquer comment ça se passait au niveau de cette garniture très spéciale. Il y avait chez elle un côté bavard, sans doute parce qu’elle avait le sentiment que je l’écoutais, plus que son mari, et donc j’avais droit à une infinité de détails.
—J’ai acheté ça hier et je les ai essayées aujourd’hui…Ca me tardait. Il faut se les mettre dans le ventre et après normalement, quand tu bouges, à chaque pas, ça te fait de l’effet. Je doutais de leur efficacité, pour tout te dire…Tu sais, on est des fois déçu quand essaye des jouets…Les fameux canards vibrants…J’en ai acheté un, il a fini à la poubelle dans la journée…Mais là…Sur la boite, ils conseillaient de porter des vêtements très ajustés, avec, c’est pour ça que j’ai mis un jean très serré…
Dès que j’ai bougé, ça a été l’explosion. J’ai eu un orgasme. C’est impressionnant. En fait c’est une mécanique assez simple, ça bouge dans ton ventre, ça frotte tes parois internes, et en même temps, les boules, en s’entrechoquant, déclenchent des vibrations qui impactent tes chairs.
J’ai pris un temps toute seule, pour apprendre à maitriser. C’est vraiment terriblement bon. A chaque pas, à chaque mouvement, tu as du plaisir, et ce plaisir, tu dois apprendre à le maîtriser. Et si tu ne le maitrises pas…Tu jouis, tu jouis encore. Ca a été une bonne journée. C’est bon d’avoir du plaisir. Je ne m’en lasse pas.
Elle était vraiment fan de jouets. J’en avais une preuve supplémentaire sous les yeux. Comme elle aimait souvent le faire, elle s’était fiché un plug dans l’anus. Une rondelle métallique rouge marquait l’endroit où habituellement il y avait juste la réunion de ses plissements anaux en un point de convergence. Ainsi qu’elle me l’avait dit une fois, ça lui donnait du plaisir, un plaisir sans doute différent, de se sentir remplie par l’objet métallique, et puis ça l’excitait d’anticiper le moment où ma queue remplacerait l’objet, même si à force de se faire prendre par là, et d’y introduire des objets, il n’aurait sans doute plus été nécessaire qu’il y ait une phase de préparation.
J’ai porté les doigts sur la rondelle métallique et, doucement, j’ai dégagé ses chairs.
J’étais toujours fasciné, c’était quelque chose dont je ne me lassais pas, de voir comment son anus pouvait s’ouvrir, après avoir été occupé pendant un certain temps par le métal invasif. La muqueuse habituellement close était béante, laissant voir les parois dilatées, rosacées, et au delà les chairs délicates de son rectum.
La voir ainsi ouverte, son anus aussi dilaté que son sexe me faisait tourner la tête. C’était généralement le moment où je n’avais plus qu’une envie, rentrer en elle, la sentir autour de moi, sentir sa chaleur, sentir les frottements de ses muqueuses contre moi, et jouir.
Ca s’est fait très vite. J’ai approché mon gland des lèvres de son sexe, et je me suis glissé en elle comme je l’avais déjà fait, et j’avais encore tellement envie de le faire. Cela faisait huit mois, mais je n’éprouvais aucune lassitude, seulement du regret de ne pas être plus avec elle…
J’ai lu sur son visage du ravissement, alors que je bougeais en elle et que je lui procurais du plaisir, un plaisir, un plaisir qui, comme un boomerang, me revenait. 
     Ce que j’aimais ce n’était pas tant qu’être en elle, sentir son sexe me gainer, même si cela était déjà très fort, mais, au-delà, ce qui entourait notre emboitement. Avec des constantes et des différences à chaque fois. Ce qui me séduisait toujours, c’était de la voir dégager ses seins de son soutien-gorge, et les caresser. J’avais toujours l’impression que c’était un plus, mais un plus important, qui accentuait nettement son plaisir. Elle aimait, évidemment c’était une zone sensible, se pincer les seins, allant jusqu’à attraper ses seins dans ses mains, et les remonter vers sa bouche, les léchant, et venant mordre ses tétons. Parfois, aussi, elle faisait glisser sa main jusqu’à son clitoris, qu’elle frottait pendant que je bougeais en elle, clitoris dont le volume progressait jusqu’à sa jouissance.
Il y avait en tout cas ce code entre nous, cette exigence de ma part, ce qui avait été au départ un simple accident était devenu un passage obligé. La toute première fois où j’étais venu en elle, j’étais tellement excité, et ça avait été tellement bon que, j’avais encore un préservatif, j’avais joui dans son sexe. Alors même qu’elle m’avait dit qu’elle voulait que je la sodomise. Mais mon excitation était telle que je n’avais même pas dégonflé, et j’avais glissé dans sa muqueuse anale pour y jouir à nouveau. Elle m’avait soufflé: ‘Je voudrais que tu jouisses en moi deux fois, que je sente ton sperme jaillir, que je m’en sente pleine, et que je le garde en moi…’ Depuis, c’était devenu une sorte de rituel. Je jouissais deux fois en elle, et elle gardait mon sperme en elle, même s’il coulait plus vite de son vagin que de son rectum.
Je me rendais bien compte, au-delà, que c’était la complicité qui existait entre nous qui faisait qu’elle me tirait ainsi vers elle, vers ses fantasmes, accroissant pour ainsi dire mes capacités, et que, sans aucun doute, avec une autre fille, avec qui la relation aurait été plus banale, je n’aurais sans doute pas été capable de jouir ainsi deux fois, à quelques minutes d’intervalle.
Un autre détail qui me plaisait énormément, quand on faisait l’amour ensemble, c’était qu’elle aimait faire intervenir ses jouets dans nos rapports.
Comme elle m’attendait, elle avait glissé entre les coussins du divan un gode, d’un orange hideux, moulé sur une queue en pleine érection, longue et irrégulière, épaisse puis plus fine, avec un gland décalotté, énorme, et le dessin de veines gravé dans le plastique. Ca me faisait toujours sourire parce que je l’imaginais volontiers laissant trainer ses godes après usage, et que son mari tombe dessus. Mais vu le degré d’indifférence qui devrait être le sien, ça devait glisser sur lui.
C’est comme ça qu’on a joui. Elle a fait aller et venir le gode ‘moulé sur une queue d’acteur porno’, comme on disait dans les pubs, pendant que ma queue forait sa muqueuse anale…Elle a explosé en hurlant, et éjaculant sur nous juste avant que je ne commence à cracher à nouveau mon sperme en elle.
On s’est rajustés, la tête encore dans notre jouissance, dans ce moment d’après où on partageait à la fois les retombées de notre plaisir, et la conscience que notre relation était faite de ces moments fugaces, et que, sans doute, nous nous en satisfaisions.
—Il est temps que tu partes…Il va bientôt rentrer. Tu travailles demain?
—Je pars très tôt, mais je pense revenir en début d’après-midi.
—Tu peux passer prendre un café. Je sais d’ores et déjà que demain après-midi, il a une réunion de syndicat.
Nos bouches et nos langues se sont mêlées quelques instants. J’ai pensé au sperme dont j’avais garni ses muqueuses et qui devait couler contre le tissu du slip qu’elle avait rajusté.
Je suis sorti en jetant un coup d’oeil à ma montre. Il était tard. On n’avait pas vu le temps passer.
Me fondant dans la nuit, j’ai été rejoindre ma voiture, qui m’attendait sur un chemin de traverse, et je suis rentré chez moi.

 

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