Puisque tu avais un peu bu, la dernière fois, il me semble nécessaire de te rappeler exactement dans quelles circonstances tu as eu ton deuxième orgasme de la soirée…
Je t’ai un peu sauté dessus au moment où nous allions nous coucher… J’étais fatiguée, j’avais bu aussi, mais j’avais trop envie de toi, encore, et après dix ou onze jours d’attente, je n’étais pas rassasiée…
Nous nous sommes embrassés, tu t’es étonné: « Mais enfin, il y a cinq minutes, tu allais t’endormir… ». Mais tu le sais, non, que presque à chaque fois que nous allons nous coucher, le désir nous cueille avant que nous ayons glissé dans le sommeil? Tu le sais que je peux être insatiable… que j’ai toujours faim de toi…
Tu t’es glissé à côté de moi, déjà allongée, et tu as commencé à me caresser, pendant que les premiers frissons me traversaient…
Je t’ai dit que j’avais regardé un porno, depuis la dernière fois… Tu m’as posé des questions, sur ce que j’avais vu, sur les scènes qui m’avaient plu, en me demandant d’être très précise sur les détails… tout en glissant tes doigts en moi, en les faisant aller et venir, puis les laissant longtemps, à l’entrée, avant de les pousser plus loin. Tu as continué à me parler doucement, jusqu’à ce que vienne, sur tes doigts. Tu as attendu les derniers spasmes de mes hanches, puis, tu t’es écroulé sur le dos, repris par les vapeurs de la vodka.
Je me suis mise sur toi et nous avons bougé jusqu’à ce que le bout de ta queue soit à l’entrée de ma chatte. Après, je t’ai demandé si tu préférais que je m’empale sur toi jusqu’au bout ou si tu préférais que je te lèche. J’avais envie de ta queue, qui continuait à grossir et durcir malgré l’alcool et la fatigue. J’avais aussi très envie de te lécher, partout.
Tu as hésité un peu et pendant ces quelques secondes, je n’ai pas arrêté de bouger, sans aller plus loin.
Tu as souri, puis d’un petit coup de bassin tu es sorti de moi, m’indiquant ton choix…
J’ai souri, aussi, et j’ai fait parcourir ton torse à mes lèvres et à mes cheveux. Je t’ai pris en bouche, j’ai joué avec ma langue, puis je suis passée à tes couilles, et enfin à ton cul. Je n’ai pas arrêté de te branler, tout du long…
T’entendre gémir m’a excitée et j’ai commencé à me toucher, tout en allant aussi loin que possible avec ma langue, en toi…
Quand j’ai atteint le moment où je n’en pouvais plus de vouloir sentir ta queue à l’intérieur, je suis revenue sur toi. Tu t’es tout de suite enfoncé.
J’ai bougé, ondulé, tout en glissant mes doigts trempés dans ta bouche. Tu les as léchés et sucés goulûment, comme moi ton sexe quelques minutes avant.
Tu me regardais par en dessous et ce regard là, il me fait perdre la tête à chaque fois.
A la fin, je me suis penchée en avant, mes seins sur ta poitrine, mon souffle court près de ton oreille, pour que tu entendes mes cris… J’ai bougé mes hanches de plus en plus vite, pendant que toi, les yeux fermés, tu te laissais aller. J’ai suivi le rythme de tes gémissements…
Tu m’as dit: « Tu me baises si bien, tu me fais jouir si fort… »
J’ai répondu: « C’est toi qui me fais jouir… »
Au moment où tu as senti que tu venais, tu as agrippé mes fesses, tu les as bougées comme tu aimes, tout en donnant quelques coups de reins puissants pour m’écarter plus, pour entrer plus profondément, pour exploser tout au fond de moi.
En jouissant, tu as crié fort, longtemps, et j’ai crié aussi, avec toi, parce que te sentir jouir dans ma chatte me fait décoller à chaque fois..
Après, haletants, épuisés, nous n’avons pas bougé tout de suite. Doucement, t’embrassant le cou, j’ai laissé sortir ta queue trempée et j’ai roulé sur le côté. J’ai caressé ta peau, nous avons fermé les yeux.
C’était délicieux.
Tu te souviens, maintenant?
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Un très joli recit.
De la sensualité, de l’érotisme et de la luxure du début à la fin.
Rythmé, bien écrit, sensuel.
Le genre de texte érotique dont je raffole.