Ce soir, c’est mon anniversaire, 50 ans déjà ! Pour cette occasion ma petite femme adorée m’a promis une belle surprise, réaliser un de mes fantasmes. Nous sommes libertins depuis quelques temps déjà et cela nous a permis de réaliser quelques-unes de nos envies, mais il en reste encore.
Il est 22 h 00 quand Laetitia apparaît revêtue d’une superbe petite robe courte avec un décolleté plongeant qui descend jusqu’à son nombril et un dos nu qui laisse deviner le début de son sillon fessier. Bien entendu, avec ce genre de robe, elle ne porte aucun sous-vêtements.
Moi, c’est beaucoup plus classique, puisque je porte juste un pantalon de toile noire et une chemise blanche.
Il est maintenant l’heure de partir, je prends les clés de la voiture mais Laetitia m’arrête :
-Non mon chéri, ce soir c’est moi qui conduis. Toi, tu prends la place du passager.
Une fois assis à ma place, ma douce me tend un bandeau :
-Tien, met le, et ne triche pas. Tu as interdiction de le retirer quoi qui se passe. C’est moi qui te l’enlèverais quand je jugerais le moment venu.
Je mets donc le bandeau en place sur mes yeux et nous partons.
C’est étrange de ne rien voir. Ça m’inquiète un peu de ne pas savoir ce qui va se passer, mais ca m’excite aussi beaucoup et j’ais entièrement confiance en ma femme.
Au bout d’un temps qui m’a paru une éternité, la voiture s’arrête enfin. Laetitia descend, fait le tour de la voiture et m’ouvre la portière. Elle me prend par le bras et m’entraîne tout en me disant :
-Je te fais confiance, tu ne triche pas ! Fait attention, tu as deux marches à monter
-Merci pour l’info, pas facile de se déplacer quand on est aveugle !
On entre dans une maison et là, j’entends plusieurs personnes qui discutent.
Une femme s’adresse à nous, ou plus exactement à Laetitia :
-Bonsoir, voici donc le beau male dont c’est l’anniversaire ! À nous de lui offrir une nuit mémorable donc.
Je sens alors des mains qui se posent sur moi, qui me caressent et qui, très vite, commencent à retirer mes vêtements. Au ressentit, je dirais qu’il y a au moins trois personnes autour de moi.
Je me retrouve donc rapidement nu comme un vers. Les mains continuent leurs caresses de plus en plus coquines et des lèvres se posent sur mon corps. On me lèche le buste, me mordille les tétons et les fesses. Je tends à mon tour les mains devant moi et rencontre le corps nu d’une femme qui n’est pas la mienne. Je le caresse du bout des doigts, effleurant à peine sa peau qui est douce. Elle possède des seins qui me paraissent superbe. Un peu plus gros que ceux de Laetitia mais bien ferme. Je me penche un peu plus en avant et fait glisser le bout de ma langue sur ce corps qui sent si bon et me retrouve à la courbe de ses seins. J’en fait le tour puis remonte vers leurs pointes que je saisie entre mes lèvres pour les faire rouler entre elles et les mordiller gentiment. Des mains me saisissent et me retirent ces tétons qui se sont dressaient sous mes caresses.
-Allonge toi sur le dos et fait ce que l’on attend de toi !
Je m’exécute et, à peine en place, une femme se met au-dessus de mon visage pour m’offrir son sexe à déguster. J’adore jouer de ma langue sur la fente d’une femme surtout quand il est aussi bien rasé et humide que celui qui m’est proposé. Ma langue glisse le long de ce sexe parfumé par le désir et joue avec ses lèvres, les aspirant, les suçant et les mordillant. Ce sexe n’est pas celui de Laetitia mais il est très bon tout de même. La femme commence à onduler du bassin sur mon visage. J’en profite alors pour durcir ma langue et la glisser à l’intérieur de sa chatte. Je la fais aller et venir en elle venant, de temps en temps, titiller son clitoris gonflé de plaisir et d’envie.
C’est à ce moment-là qu’une langue se met à lécher mon sexe. Partant de la base de mes couilles et remontant tout doucement jusqu’à la pointe de mon gland pour redescendre, toujours aussi lentement. Une autre bouche s’empare de ma queue et la fait glisser jusqu’au fond de sa gorge. Commence alors un va et viens sur toute la longueur de mon sexe pendant que la langue continue à me lécher les couilles.
-Viens, mets-toi à quatre pattes au-dessus de moi et occupe-toi de mes seins.
Je ne me fais pas prier et c’est avec un grand plaisir que je m’empare des seins de cette femme. Cette poitrine est différente de la précédente. Au bout d’un certain temps les mains de ma partenaire me repoussent vers son sexe que je me mets à lécher et aspirer avec délectation.
Une nouvelle personne se glisse entre mes jambes et me suce le membre qui est bien raide.
Mon excitation est à son maximum lorsqu’une troisième personne vient me lécher l’anus. D’excitation et de désir, je tends mon cul vers elle, me cambrant au maximum afin que cette langue me pénètre le trou du cul.
Après un long et agréable instant de léchage et de plaisir, on me pousse pour que je remonte. Je quitte donc avec grand regret le sexe de ma partenaire, non pas pour la délaisser, mais pour qu’elle puisse se saisir de mon sexe tendu pour le planter bien au fond de sa chatte chaude et humide de désir.
Je commence alors de lents va et vient entre ses douces cuisses. Deux mains s’emparent de ma tête et……..une queue force l’entrée de ma bouche. Je tente bien au début de refuser cette intrusion mais l’homme me maintient fermement. Il commence alors à aller et venir entre mes lèvres. Rapidement je prends du plaisir à cette intrusion et ma langue se met à jouer avec ce sexe masculin. A ma plus grande surprise, je dois avouer que cette intrusion est loin de me dégoûter, bien au contraire. Je me surprends même à pousser de petits gémissements de plaisir.
Mais c’est qu’il aime ça notre ami ! Allé, suce bien mon dard jusqu’au bout et surtout, n’oublie pas de me lécher aussi les couilles.
Je m’applique alors à faire une fellation à cet inconnu tout comme j’aime qu’on me les fasse. Faisant coulisser son membre lentement dans ma bouche, ressortant cette queue qui me semble énorme pour la lécher sur toute sa longueur, sans oublier les deux couilles. Revenant sur le gland pour le titiller du bout de ma langue avant d’engloutir ce gourdin au plus profond de ma gorge. Pendant ce temps, le sexe dans lequel je suis planté continue à se mouvoir.
Des mains se posent sur mes fesses et les écartent laissant l’accès vers mon anus à un autre membre viril. Le bout de ce dard de chaire vient prendre appuie contre mon trou du cul tentant d’en forcer l’accès. Ma première réaction, au contact de ce pieu de chaire, est de me contracter mais l’excitation et, je dois aussi l’avouer, l’envie, font que je me détends rapidement. Mon petit trou du cul s’écarte alors, laissant l’accès au membre viril et bien raide. Il se glisse en moi tout doucement, dilatant mon anus qui, pour la première fois, recevait la visite d’un dard de chaire. Je peux sentir chaque centimètre de cette queue qui viol mon cul, et j’aime ça. Les couilles de l’homme qui me défonce le cul viennent se coller à mes fesses. Je peux sentir ce pieu entièrement planté en moi. Commence alors un lent et agréable ramonage de mon cul qui me fait bien sentir toute la longueur et la grosseur de cette bite.
La femme qui est placée sous moi se met à onduler du bassin afin que mon sexe lime sa chatte trempée de désir. L’homme qui me sodomise me ramone le cul de plus en plus vite, faisant claquer son bas ventre contre mes fesses alors que, pendant ce temps, je continue à sucer et aspirer le dard du premier homme comme un malade.
Après ce long instant de baise, la queue que j’ai en bouche me crache son sperme au fond de ma gorge pendant que l’homme qui m’encule se vide les couilles au plus profond de moi. Cette décharge de foutre déclenche en moi une jouissance comme j’en ai jamais connu jusqu’alors et je crache mon sperme au fond de la chatte humide et chaude.
Les deux queues qui m’avaient fait jouir devenant molles, se retirent de mon corps et la femme qui se trouve toujours sous moi me dit :
Embrasse-moi et partageons cette semence que tu as dans la bouche
Je m’exécute et partage ce foutre qui m’a été donné avec elle.
La queue que j’avais dans mon cul étant partie, je sens le sperme qui s’écoule de mon trou du cul jusque sur mes couilles. Ma partenaire féminine se glisse alors jusqu’à me présenter son sexe et me dit :
— Lèche-moi la chatte et ne perd rien de ton foutre qui s’en échappe.
Une fois sa toilette terminée, nous nous effondrons repus de plaisir.
Après un temps que je ne saurais définir, j’entends une voie me dire :
— Vincent, il est temps de rentrer
— OK, je m’habille et j’arrive.
— Non ! Reste nu et les yeux bandés, je te ramène comme ça !
Sylvie me fait alors monter en voiture, nu comme un vers, et nous partons.
Arrivé à la maison, avant de descendre, Sylvie me retire le bandeau et, avec un grand sourire, elle me dit :
— Alors, tu as aimé ?
— Oh oui ! Tu m’as fait le plus beau des cadeaux. Tu as réalisé un de mes plus grands fantasmes. Merci encore. Mais toi, mon amour, tu as participé ? Je n’ai pas reconnu ton corps !
— Non ! Je me suis contentée de tout filmer pendant qu’une femme s’occupée de moi. Comme ça, on pourra se repasser le film autant de fois qu’on le voudra.
Dans le noir complet ou les yeux bandés, c’est ce qui m’excitait le plus, à l’époque où ma timidité me gâchait la vie, mais maintenant j’aime voir mes amis et amies déguster ensemble ma verge, me menacer de leurs pieux ou jouir entre mes doigts agiles. (Signé : Alex – L’ex invisible osseux-)