UN BEAU RÉVEILLON POUR UNE SALOPE
Cela faisait trois mois qu’Albert m’avait baisée. J’essayais depuis d’éviter d’être seule avec lui. Au salon, malgré ses allusions; je reste de marbre.
Il essayait bien de me coincer dans les coins, mais je réussissais à l’éviter. La Saint-Sylvestre arriva.
Malgré mes réticences, Albert avait décidé Norbert à sortir avec sa bande de cousins. Tout le monde serait là, y compris Marie-France, la copine d’Albert, ce qui me rassura un peu.
J’étais dans la salle de bain. Je venais de prendre une douche, et maintenant, au-dessus du lavabo, je me lavais les cheveux.
Je sentis une présence derrière moi. Nue, penchée en avant, le cul cambré, cela avait dû exciter Norbert. La tête toujours penchée en avant, j’écartai les jambes et j’accentuai ma cambrure pour l’exciter un peu plus. Il se rapprocha, me saisit aux hanches, son gland se présenta à l’entrée de ma chatte, il me pénétra.
Et la… ce n’était pas Norbert, il était beaucoup plus gros. Je tentai de me dégager, mais j’étais coincée contre le lavabo, j’appelai.
— Ne te fatigue pas salope, ton mari est parti faire une course, il nous rejoindra au restaurant.
C’était Albert. Comment était-il là ? Pourquoi Norbert m’avait-il laissée seule avec lui ?
Albert était bien calé au fond de ma chatte. Il s’empara de mes seins, titilla mes tétons. Il commença à me limer lentement. Ma chatte coulait, je ne résistais plus, c’était trop bon.
Je me rendis compte que, malgré mes bonnes résolutions, cette belle queue me manquait.
— Tu aimes ça, petite pute, tu faisais ta mijaurée, mais en réalité tu n’attendais qu’une chose, que je te baise.
— Oui mon chéri, j’aime sentir ta queue me défoncer. Baise-moi, encule-moi, fais-moi ce que tu veux.
Oubliées mes bonnes résolutions ! Je ne pensais qu’à cette belle queue qui me faisait jouir.
Albert m’entraîna vers la chambre, sur le lit conjugal. C’était plus confortable et plus excitant.
Il me fit mettre à quatre pattes. Il replonge dans ma chatte qu’il lima quelques instants. Je me cambrai autant que je pouvais, m’offrant complètement, soumise à son bon vouloir.
Il quitta ma chatte et je protestai, mais vite son gland mafflu s’appuya sur ma rosette. Il força l’entrée de la porte étroite et sa bite m’envahit complètement. Il se retire puis s’enfonce à nouveau, la jouissance monte, je hurle mon plaisir.
Soudain Albert décule.
— Il ne faut pas que tes trous soient pleins de foutre, tu vas couler partout, je vais jouir dans ta bouche.
Docile, je saisis son mandrin et entrepris une fellation qui l’amena vite à la jouissance.
Ensuite Albert fit ce pourquoi il était venu, un peu plus peut-être.
Après avoir épilé ma chatte où les poils avaient un peu repoussé, il m’imposa un lavement afin me dit-il d’être propre partout, et prête à tout. Ensuite il me coiffa, me maquilla. Il s’attarda particulièrement sur mes tétons, mes lèvres (toutes mes lèvres…) avec une pâte rouge vif. À ma demande sur la nature de cette pâte, il resta mystérieux, disant seulement que j’allais certainement beaucoup apprécier.
Norbert, à son habitude, avait préparé la tenue que je devais mettre. Une robe composée devant de deux bandes qui me couvraient les seins. La jupe, courte, partait d’un peu plus haut que la taille pour s’achever au raz des fesses, Il l’appelait ma robe rock and roll car les passes de rocks permettaient de m’admirer sous toutes les coutures. Des cuissardes et un porte-jarretelles pour les maintenir, et c’était tout : pas de dessous, comme à l’accoutumée.
Albert avait deux accessoires à rajouter pour parfaire ma tenue : une paire de pinces reliées par une chaînette qu’il me fixa sur les tétons. Sous la douleur je me rebiffais
— Cela fait mal, arrêtez, et puis Norbert va être là, qu’est-ce qu’il va dire ?
— Ne vous en faite pas pour Norbert, on va l’occuper. Vous allez voir dans quelques instants vous allez apprécier ces pinces.
— Penchez-vous et écartez les fesses.
Il m’enfonça un plug de belle taille dans l’anus. Je n’osais plus rien dire. J’étais à sa merci.
Il mit en marche le plug quelques instants. Oh mon dieu, non seulement il vibrait, mais il était en plus animé d’un mouvement de va et vient. Il m’enculait. Albert arrêta l’engin.
Il me regarda m’habiller :
— Vous allez avoir un succès fou. Je pense que ça va être votre fête.
— Norbert va être là, ça sera regarder sans toucher.
— Vous croyez que c’est juste pour que l’on vous admire qu’il vous habille comme cela ?
— Et pour quoi d’autre ? demandais-je, naïvement.
Albert se contenta de sourire.
Dans la voiture qui nous conduisait au restaurant, je commençais à ressentir les effets du maquillage spécial, et je compris très vite. Il s’agissait d’une pâte excitante qui faisait gonfler mes lèvres, mes tétons, mon clito. Ma chatte humide appelait la bite. Les pinces sur mes tétons, le plug dans le cul me faisaient jouir.
Mon entrée dans la salle du restaurant fut très remarquée, et quand j’ôtais mon manteau, ce fut un concert de sifflement admiratif, même les filles présentes applaudirent.
Norbert n’était pas encore arrivé. Il y avait une dizaine de mecs et quelques filles. Je reconnus plusieurs filles que j’avais croisées lors des cours de coiffures, et parmi elles, Roselyne, une nana qui m’avait draguée pendant de longues semaines. Comme moi, toutes ces filles étaient très légèrement vêtues.
Je m’approchais pour leur faire la bise, mais Roselyne me saisis par la taille, elle se colla à moi. Sa bouche s’empara de la mienne, sa langue força mes lèvres, je me laissais faire, enroulant ma langue autour de la sienne dans un baiser brûlant. Sa main se glissa sous ma jupe, elle put constater ma nudité, et mon état.
— Salope, tu as bien changé, tu es toute mouillée, on va bien s’amuser toutes les deux.
Je ne voyais pas Marie-France, la nana d’Albert. A ma demande, il me répondit que, ce soir, il n’avait invité que des salopes, comme moi. Je ne protestais même pas, c’est vrai que je suis une salope, mais la présence de mon époux me gênait un peu. J’en fis la remarque à Albert.
— Ne vous en faite pas, les couples sont séparés, Roselyne va s’occuper de votre époux, il n’aura pas le temps de s’inquiéter pour vous.
Bien que m’ayant craché son foutre dans la bouche, Albert me vouvoyait toujours.
Nous prîmes place. Nous étions à l’autre bout de la table, loin de mon époux, du même côté.
Albert avait bien choisi nos places, Norbert ne pouvez pas me voir.
Durant tous le repas, mes deux voisins profitaient de toutes les occasions pour laisser courir leurs mains baladeuses sur mon corps. Ma mini-jupe leur facilitait la tache, elle m’arrivait au ras de la chatte quand j’étais assise, et n’ayant pas de slip, comme Norbert l’avait exigé, ils atteignaient facilement ma moule. Au début, j’essayais de me défendre, la présence de Norbert me gênait quand même un peu. Mais je finis par céder, les laissant faire. Ils s’attaquèrent à ma chatte, effleurant mon clito, entretenant mon excitation. Albert força mes lèvres, David me pelotait la poitrine qu’il avait carrément dénudée, pendant ce temps. Albert me répéta à l’oreille :
— Ça va être votre fête.
J’étais dans un état second. Je ne voulais pas éveiller de soupçons chez Norbert mais d’un autre coté, mon excitation ne cessait d’augmenter.
David avait sorti sa bite, il me saisit la main et me força à le branler. Je m’exécutais, excitée.
Deux mains se posèrent sur mes cuisses, les écartant, me tirant au bord de la chaise. Je glissais vers l’avant, m’écartant au maximum. Une bouche se posa sur ma chatte, une langue força mes lèvres, pénétrant mon con.
Jamais je n’avais été sucée comme cela. C’était sûrement une fille qui me broutait le minou, aspirait mon clito, me le suçait comme une petite bite. Je coulais en permanence.
Albert et David ne m’avaient pas abandonnée. Ils continuaient leurs manœuvres, forçant mes lèvres, me pelotant les seins. Je ne pensais plus à Norbert, ou plutôt, je crois que sa présence renforçait ma jouissance. Je découvrais une nouvelle facette de ma dépravation.
Soudain l’orgasme éclata, David libéra mes lèvres pour laisser fuser mon cri de jouissance.
Ma suceuse sortit de dessous la table. C’était Roselyne.
— Tu vois, salope, je savais bien que je t’aurais un jour.
Albert nous interrompit :
— Il y a quelqu’un qui t’appelle en face.
En effet, mon vis-à-vis me faisait signe,
— Vas-y, me dit Albert.
Je regardais du coté de Norbert, il semblait très occupé. Je glissais sous la table. Le gars m’attendait, la bite déjà prête. Pendant que je m’approchais de lui, à quatre pattes, le plug se mit à vibrer. Ce salaud d’Albert l’avait mis en marche. Je sentais la jouissance arriver, ma chatte baillait. Non seulement le plug vibrait, mais en plus il était animé d’un mouvement de va et vient, j’avais l’impression qu’une bite me défonçait le cul,
La bite de mon partenaire était énorme, avec un gland mafflu et circoncis. J’entrepris une fellation, avec un plaisir certain. Quel bonheur de sentir cette grosse bite forcer mes lèvres, envahir ma bouche ! Je m’appliquais de mon mieux, fière de ma science de pipeuse.
— Vous avez vue Danielle ?
Norbert me cherchait. Je n’osais plus bouger. Le mec appuya sur ma tête pour me faire comprendre de continuer.
C’est Albert qui se chargea de la réponse.
— Je crois qu’elle est aux toilettes.
— Vous lui direz que je rentre, je suis fatigué. Je ne veux pas lui gâcher la soirée, elle n’a qu’à rester. Vous pourrez la raccompagner ?
— Pas de problème. On va bien s’en occuper.
Et pendant ce temps, le mec continuait de m’appuyer sur la tête. C’était surréaliste…
Je le senti se raidir. Norbert intervint.
— Il se fait sucer ?
— Oui, par une belle pute.
Le mec cracha son foutre qui m’envahit la bouche. J’avalais tout, comme une bonne petite salope.
— Vous voulez l’essayer avant de partir ? demanda Albert à mon époux.
A ma grande surprise il répondit :
— Pourquoi pas ?
Je n’avais rien à dire, Je me conduisais comme une salope depuis ma nuit chez les pompiers, et encore ce soir !
Il s’installa à la place de mon sucé et sortie sa bite. J’avais encore le goût du sperme que je venais d’avaler dans la bouche. Je m’emparais de la bite de mon homme et commençais à le sucer pour la première fois.
— Elle suce bien, la salope, si Danielle pouvait m’en faire autant.
Mon époux me « trompait », croyait-il, avec une petite chienne, j’étais toutes excitée à la pensée qu’il croyait se faire sucer par une inconnue. Je mis toute ma science à le faire jouir, ce qui ne tarda pas. Deuxième rasade de sperme pour moi.
Norbert se rajusta, il aurait voulu voir sa suceuse pour la remercier, mais Albert lui dit que j’étais mariée, (quelle ironie), et que je désirais rester anonyme.
Norbert n’insista pas et s’en alla.
J’allais sortir de dessous la table, mais Albert m’en empêcha et me présenta son mandrin.
— A mon tour, petite pute.
Troisième pipe de la soirée, c’est vrai que c’était ma fête.
J’étais heureuse de reprendre cette belle bite en bouche. Mon sucé n’étais pas mal, Norbert avait une bite un peu petite, celle d’Albert m’emplissait bien la bouche et le reste, j’aimais son goût ; sa douceur, le goût de son sperme. Je m’appliquais, je voulais qu’il soit fière de moi, j’étais prête à tous pour lui. Ce soir j’étais son esclave.
Albert me saisit par les cheveux pour se dégager, je protestais, désirant sentir encore une fois le goût de son foutre. Mais il en avait décidé autrement. Me tournant face à la table, il ôta le plug et pointa sa bite sur ma rosette, et me fit asseoir sur elle. Je sentis son gland se frayer un passage, mon anus s’écarta sous la poussée, sa bite progressa dans mes entrailles, progression facilitée par la salive dont j’avais enduit son vit et l’enculage que j’avais subit avant de venir ainsi que la présence du plug qui m’avait bien dilatée.
J’avais enfin sa grosse bite tout en moi, j’étais remplie, comblée. Je me rendais compte que j’attendais ce moment depuis la première fois ou Albert m’avait baisée.
Ma vraie nature parlait pour moi. Je n’étais qu’une salope, accro à la bite. J’avais honte de me conduire comme une pute, mais c’est cela qui me faisais jouir.
Albert faisait coulisser son mandrin dans mes intestins, je jouissais en permanence.
La mouille dégoulinait de ma chatte. Une langue vint me lécher, buvant ma jouissance, s’emparant de mon clito, elle le pompa comme une bite, accentuant encore mon plaisir.
Un mec grimpa sur la table, s’approchant de nous, il sorti sa bite et me la présenta. Je n’étais pas là pour faire ma mijaurée, aussi j’ouvris la bouche et l’engloutis.
Albert m’encourageait.
— Bravo petite salope, tu montres enfin ce que tu es vraiment. Une grosse pute assoiffée de sperme.
Je ne pouvais lui répondre, ayant la bouche pleine, mais il savait que j’étais d’accord.
— Tu vois, tu ne voulais plus me voir, mais tu mourrais d’envie de te faire ramoner par ma grosse bite, et bien d’autres encore. Tu vas être servie. Ils veulent tous te baiser. Une jeune mariée, ça les excite. Tu es d’accord n’est-ce pas ?
Que dire, je ne pouvais toujours pas répondre, mais bien sur que j’étais d’accord.
Albert avait ouvert les vannes de mon plaisir, et j’étais décidée à lui obéir en tout,
A me faire baiser par qui il voudrait, jusqu’au bout de la nuit.
Pour l’instant, j’étais comblée, je ne pensais plus qu’à mon plaisir, à ces deux bites qui me donnaient du bonheur, à cette bouche qui me bouffait la chatte, accentuant ma jouissance.
Soudain je sentis la bite d’Albert enfler puis de puissants jets de foutre emplir mes entrailles, c’était trop, j’allais lâcher la bite qui m’envahissait ma bouche pour hurler ma jouissance, mais le propriétaire de la bite n’étais pas de cet avis, il maintint ma tête et cracha à son tour son sperme.
— Avale tout, salope.
Pas la peine de le préciser, j’avalais tout jusqu’à la dernière goutte. Albert décula laissant une grande sensation de vide.
Albert demanda :
— Alors Danielle, prête pour la suite ?
— Oui mon chéri, tout ce que tu voudras. Ce soir je suis à toi, ordonne je t’obéirais.
— Tu es à moi et pas que ce soir. Je te veux docile et obéissante, toujours.
Je ne répondis rien, me contentant d’acquiescer.
Une dizaine de mec étaient autour de nous, suivant nos échanges, attendant la suite des événements.
Albert ôta ma robe et leur dit :
— Allez-y les gars, elle est toute à vous
Un peu intimidés, personne n’osait prendre l’initiative, alors c’est moi qui la prit.
A genoux devant le premier mec, je baissais sa fermeture éclair et sortie sa bite. En demi-érection, elle était de belle taille. Je léchais le gland, un frisson parcouru le mec. Les autres s’étaient dégelés. Ils m’entourèrent, le zob à la main et commença ma prestation. Je prenais toutes ces belle bites en bouche une après l’autre, les suçant, les léchant, mordillant le gland. Il y en avait des longues et fines, des courtes et épaisses, des longues et épaisses, mais toutes me plaisaient. J’en oubliais le visage des mecs. Ce n’était pour moi que des bites à sucer. Je ne pensais plus à rien d’autre qu’à tous ces beaux mandrins à ma disposition. Oublié Norbert, ce soir je n’étais plus qu’une salope qui allait se faire enfiler par tous ces mecs.
Un mec se plaça derrière moi, il me fit relever le cul. J’écartais les cuisses, tendant mes fesses vers ce premier zob qui chatouillait ma chatte. J’étais trempée, mon baiseur n’eut pas à forcer pour m’enfiler. Cela rentrait tous seul. Une bonne grosse bite avec un gland énorme qui m’ouvrait, m’emplissait toute. Il devait être très excité car au bout de quelques allez retour, il cracha son foutre. Je n’eus pas le temps d’être déçue par cette jouissance trop rapide, une deuxième bite m’envahit la chatte, et ce fût comme cela toute la nuit, ma chatte, mon cul, ma bouche furent envahis à tour de rôle ou en même temps, sans répits.
A quatre heures du matin tout le monde était crevé. Albert me ramena chez moi.
J’avais avalé des litres de foutre. Ma chatte et ma rondelle restaient ouvertes, dégoulinantes de sperme.
Albert exigea une pipe avant de me laisser rejoindre mon homme.