un clitoris pour Salima partie 2

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alex condamines


initiationteen


J’étais toujours très tôt dans les locaux. Je savais qu’elle, elle arrivait sur le coup de huit heures trente. Je suis monté à son labo. Elle était toute seule. Elle n’avait pas encore mis sa blouse. J’ai aperçu une croupe rebondie qui tendait un caleçon noir, une paire de bottes rouges en cuir, une épaisse crinière brune…Elle lisait je ne savais quoi. Elle s’est retournée, et elle m’a fait un immense sourire.

–Alors, tu as trouvé des modèles?

–Mieux que ça.

Je lui ai tendu la boîte. Elle l’a ouverte. J’aurais dû l’envelopper de papier et mettre un ruban autour.

–Whaou…Mais il a l’air parfait. Bon, je le montre à ma collègue et je te dis tout à l’heure si ça lui convient…En attendant…Viens…Tout effort mérite salaire…

Dans les laboratoires, des locaux permettaient d’entasser du matériel, ou pas, parties aveugles, avec juste une porte. Il y en avait une tout près de nous. Je me demandais où on allait en arriver. Quelque chose de sexuel?

Elle avait un petit pull noir, très collant. Elle l’a fait passer par-dessus ses épaules, son regard planté dans le mien. Dessous elle avait un soutien-gorge avec une partie transparente qui laissait voir ses aréoles et ses tétons. Un geste immémorial, celui de dégrafer son soutien-gorge, et elle a mis ses seins à nu. J’en avais vu un, j’en voyais à présent deux, ils n’avaient pas radicalement changé depuis que l’un d’entre eux s’était fait la malle de son corsage, il y avait…Deux ans plus tôt? Ronds, fermes avec des tétons qui avaient une tendance naturelle à s’affermir, je pouvais encore une fois en être témoin.

–Je te prête mes seins. Tu peux faire ce que tu veux avec…C’est une bonne manière de te remercier, non?

Sans aucun doute. Rien que ça, c’était déjà beaucoup. Les avoir juste à quelques centimètres de moi… Elle souriait, comme un encouragement. Et moi je me sentais plutôt intimidé. Pourtant, je me suis approché. La retenue que je pouvais encore avoir s’est dissoute. Ce qui me faisait envie, c’étaient ses tétons, qui sous mes yeux, s’allongeaient, quelle que soit la cause, la fraîcheur de la pièce, l’excitation. J’ai plongé dessus de la bouche, les enveloppant avant de venir les caresser de la langue. Je les ai sentis, sous la pointe de ma langue, épais déjà, mais se durcissant encore alors que je les travaillais. Elle a poussé un petit gémissement…

–Hmmm…Tu t’y prends bien. Continue comme ça.

Était-ce une incitation à passer à l’autre sein? C’est ce que j’ai fait en tout cas, m’emparant du second téton. J’avais bien compris que c’était un cadeau qu’elle me faisait, mais qu’elle se faisait aussi, avec ses seins hyper-sensibles, susceptibles de lui donner du plaisir, mais aussi un orgasme. Comme elle me l’a précisé quelques secondes plus tard:

–Il y a des filles qui ne ressentent rien des seins, moi si. Quand j’étais plus jeune, je me faisais jouir sans toucher ma chatte, juste en me tripotant les tétons.

-Et là, ça se passe comment ?

–Je suis en train de tremper mon slip, et si tu continues, je pense que je vais avoir un orgasme.

J’ai failli lui répondre que moi aussi j’étais très excité, d’avoir enfin ce dont j’avais rêvé depuis des années. Ça pouvait paraître peu, c’était déjà beaucoup pour moi, et je me suis dit que j’allais moi aussi me jouir dessus.

J’ai été d’un téton à l’autre, émerveillé de leurs capacités érectiles, mais aussi des réactions de Salima que je percevais, car, même si nous n’étions pas collés l’un à l’autre, on était quand même tout près. Elle était animée par des frémissements de plaisir, qui se sont transformés en des soubresauts. J’aurais voulu baisser son caleçon, voir sa chatte, si elle était bien mouillée, ouverte. Certainement dans un autre état que la veille, quand elle était au repos, offerte à mon regard.

Ses tétons étaient bien érigés, à présent. Durs, longs…Impressionnants. Elle m’a dit, alors qu’une fois encore, elle basculait de l’un à l’autre:

–Je suis en train de jouir.

Elle a poussé un gémissement très fort, et elle s’est tendue dans une sorte d’arc-de-cercle, en poussant une espèce de long gémissement. Ca aurait sans doute été un cri si on avait été dans un autre lieu, chez elle par exemple ou chez moi.

–Tu caresses bien mes seins, elle m’a dit quand elle a été de nouveau capable de parler. Tu veux sentir ce que tu m’as fait?

Elle a attrapé ma main, et elle l’a amenée, en écartant son caleçon, contre son slip, un slip noir en dentelle avec un avant transparent, Elle a appuyé ma main contre cette partie transparente. Je voyais les trois-quarts d’un sexe qui n’avait rien à voir avec la vision offerte la veille, ses lèvres sorties et bien gonflées, qui poussaient contre le tissu, et son clitoris tout dardé. J’ai eu au bout de mes doigts la sensation du relief de ses chairs gonflées, ainsi que de l’humidité. Cette sensation a été la goutte d’eau qui a fait déborder le vase, et, surexcité comme je l’étais, je n’ai pas pu contrôler ma jouissance, traversé par celle-ci comme ç’avait été le cas pour elle, crachant des jets de sperme dans mon caleçon. Heureusement, j’en avais de rechange dans la voiture.

Elle a repoussé ma main, ramené le caleçon sur elle.

–Je crois que je vais aller changer de culotte.

J’ai failli lui répondre que j’allais en faire de même, mais je me suis tu.

–Je ne pensais pas que ça serait aussi bon. Je voulais te faire plaisir…Et j’ai pris du plaisir moi aussi.

On est restés là pour aller changer de sous-vêtements.

Je suis monté sur le coup de dix heures.

–Alors? , je lui ai demandé.

–Elle en voudrait d’ autres…Un de taille moyenne, et un plus petit. Et des couleurs différentes. C’est possible ?

–Tout est possible…Et tiens, j’ai un cadeau pour toi…

Elle m’a tendu une épaisse enveloppe en papier kraft.

–Tu regarderas ce qu’il y a dedans quand tu seras seul.

Je finissais à onze heures, libre jusqu’au lendemain. J’allais pouvoir m’occuper de ces clitoris en 3D.

J’ai rangé l’enveloppe dans mon sac. C’est en arrivant chez moi que j’y ai repensé. Je l’ai décachetée.

Elle contenait le slip qu’elle portait le matin même. L’avait-elle encore gardé après? S’était-elle caressée, frottée pour le garder humide ?… En tout cas, il était vraiment bien mouillé. Le fond du slip, était sombre d’une humidité qui montait sur le pan arrière et avait aussi marqué la partie transparente, mais dont le tissu ne gardait pas l’humidité. J’ai étiré le tissu et porté mes narines dessus. L’odeur était vraiment intense, celle des sécrétions vaginales d’une fille. Je m’en suis totalement enivré dans les minutes qui ont suivi, ailleurs. C’était un peu comme une drogue forte. Non, en fait, c’était une drogue forte.

Je suis parti m’allonger quelques instants, la queue à la main, dans un état second. J’aurais aimé être cette petite culotte, collée contre les parties intimes de Salima. J’ai reniflé cette odeur de femme, intense et si personnelle. C’était vraiment un beau cadeau qu’elle m’avait fait. Je suis resté comme ça longtemps, examinant le slip sous toutes les coutures, le humant, priant pour qu’il ne sèche pas trop vite, et frottant ma queue pour me faire jouir. Je l’ai délaissé à regret pour retourner sur l’imprimante 3D. J’ai changé la taille du modèle. Changé le fil aussi pour en avoir de plusieurs couleurs. La machine a chauffé tout l’après-midi, la soirée, le lendemain, jusqu’à l’aube. Plusieurs clitoris, différentes tailles, différentes couleurs. Si elle n’était pas contente avec ça…

À la fin de la journée, le slip était quasiment sec…L’odeur avait pris une autre dimension…

Le lendemain matin, je suis allé la retrouver au labo…Quasiment la même heure, une tenue différente…Elle avait une jupe en vinyle avec des boutons devant, une paire de cuissardes que je ne lui avais pas encore vue, aussi en vinyle, qui montaient haut pour prendre sa jambe, aussi luisantes que la jupe, avec un débardeur rouge sous une veste en jean…

–Tu as passé une bonne soirée, elle m’a demandé, avec sans doute un rien de provocation et pas mal d’ironie.

–Excellente…C’est un beau cadeau que tu m’as fait.

–Je pense que des cadeaux tu peux en avoir encore. Et pas seulement pour, j’imagine, les clitoris que tu m’apportes.

Comment lire son message? Comme un engagement vers une relation dont j’avais longtemps rêvé sans oser l’espérer?

Je lui ai tendu la boîte en carton remplie de clitoris. Elle y a jeté un coup d’ œil…Il y avait des jaune citron, des vert amande, des rose framboise…J’aurais au moins cette satisfaction d’avoir répondu à la commande formulée.

–Parfait. Ils vont servir très vite, ne t’inquiète pas…Allez viens, tu as droit à une nouvelle récompense…On a un peu de temps.

Elle m’a entraîné dans le même local que la veille. Pour un schéma totalement différent. A peine était-on isolés qu’elle m’a dit :

–Ça fait longtemps que j’ai envie de voir ta queue. Je suis sûre que tu as une belle queue…Tu as envie que je la caresse ?

À vrai dire, c’était une déclaration qui n’entraînait pas forcément d’approbation. Surtout une entrée en matière. Une manière de poser ses envies…Elle a glissé à genoux devant moi. Cinq secondes plus tard, elle sortait ma queue de mon pantalon. Le regard brillant, l’expression gourmande, elle a semblé aussi ravie et fascinée que moi découvrant le slip trempé dans l’enveloppe la veille.

Si certaines filles étaient maladroites quand elles faisaient des fellations, ce n’était pas son cas. Je ne savais rien de sa vie privée, mais ce n’était sans doute pas la première fois qu’elle caressait une queue de la bouche. Alternant coups de langue, et mouvements buccaux Un liquide d’excitation coulait de ma queue. Je n’avais pas espéré ça, ni quoi que ce soit en faisant les clitos en 3D, mais c’était certain que c’était une belle récompense, mais aussi la réalisation d’un rêve que j’avais caressé longtemps, sans jamais imaginer qu’il puisse un jour se réaliser.

–Dommage qu’on ne se soit pas rapprochés plus tôt. J’en crevais d’envie, mais je pensais que toi tu n’étais pas intéressé…

–Dommage, en effet. Parce que moi je pensais exactement comme toi, mais en sens inverse.

Il y avait du mobilier dans la salle, dont une table. Elle s’est basculée dessus, s’adossant au mur, en même temps qu’elle retroussait sa jupe en vinyle. Dessous, il y avait une simple culotte blanche, tendue par le volume de son sexe, le tissu s’enfonçant dans sa fente d’une manière très nette. Ce qui était net aussi, c’était la grande tache de mouille qui s’était formée, en peu de temps et qui semblait s’élargir de seconde en seconde.

–Viens étudier mon clitoris, tu vas me dire s’il aurait pu te servir de modèle…

Je me suis approché d’elle. C’était, enfin, la matérialisation de ce qui avait couvé en nous trop longtemps. J’ai remonté les mains jusqu’à son ventre, et attrapé le slip pour le descendre. Voir son sexe à travers le nylon à quelques mètres de moi, c’était une chose, le voir à quelques millimètres de moi, suffisamment entrouvert pour offrir une muqueuse toute rose, lèvres dilatées, luisant des sécrétions qui sortaient d’elle dans un flux abondant, c’était autre chose. Quant à son clitoris…C’était clair, ce n’était pas seulement ce que maintenant j’appelais le gland, mais tout ce qui était enfoui dans sa chair, et qui lui donnait donc autant de plaisir, avec 80 000 terminaisons nerveuses…Quant à ce fameux gland…Eh bien, il était impressionnant, tout gonflé, gorgé de sang, un gland hypertrophié par rapport à certains clitoris que j’avais pu voir de par le passé…J’ai testé, venant le titiller de la pointe de la langue. Elle s’est mordu les lèvres pour ne pas crier…Pour lui donner du plaisir ou pour la torturer, je ne sais pas trop, je suis venu caresser cette partie émergente et y mettant toute mon énergie et mon savoir-faire. Était-ce la dimension hors pair de son gland, qui présupposait plus de plaisir, l’excitation du moment, le fait d’avoir eu envie pendant si longtemps? Elle a joui très rapidement, son corps se tendant, un cri étouffé à ses lèvres, alors qu’un flot de liquide jaillissait. Mais, curieux de voir ce qui pouvait encore se passer, j’ai continué de la triturer. Si ce n’était pas le cas de toutes les filles, elle, en tout cas, elle ne jouissait pas qu’une seule fois. Le premier orgasme avait été le plus fort, mais ça avait été le début d’un cycle, qui la fit jouir plusieurs fois, jusqu’à ce que je relâche la pression sur le gland.

–En brandissant ce que j’ai fabriqué, ils pourront dire que, si tous les clitoris sont la source d’un plaisir intense, certaines femmes en ont encore plus que d’autres, je lui ai fait remarquer.

Elle s’est redressée et rajustée, le ventre humide.

–J’ai envie de plus. J’en ai rêvé trop longtemps.

Je me suis demandé ce que pouvait englober ce plus. Je le comprenais comme une promesse alléchante, celle d’un monde infini de possibilités, certaines fantasmées pendant ces années d’envie, d’autres qui se découvriraient au fur et à mesure.

–On finit quasiment à la même heure, non? Si tu passais chez moi? Je suis toute seule, et j’ai une grande terrasse, on pourra s’y mettre s’il fait beau.

En partant j’ai jeté un œil reconnaissance aux clitoris qui trônaient dans la boîte entrouverte. Ils avaient permis qu’on se rapproche enfin, Salima et moi, après tout ce temps perdu.

 

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  1. Assas le à
    Assas

    J’espère qu’il y aura peut être une partie 3 .
    En tout cas, bien écris comme d’habitude et surtout avec une histoire qui sort de l’ordinaire
    Merci pour ce moment chargé d’érotisme
    Assas

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