Le dimanche matin, c’était facile de rouler. Il y avait très peu de circulation. Et encore moins à sept heures du matin. Une fois quitté notre quartier résidentiel, j’ai glissé d’avenue en avenue, jusqu’à arriver au centre commercial où la chaine Confort pour tous avait installé l’un de ses 123 magasins il y avait 16 ans de cela. La création de la chaine remontait pourtant à 1967. On y trouvait tout pour le confort de la maison, avec plusieurs univers: articles de maison, électroménager, décoration, meubles ou encore électronique de loisir. Sur deux étages, c’était un ensemble somptueux. On aurait pu y passer, certains le faisaient d’ailleurs, des journées entières, entre canapés, cuisines, livings…Moi, depuis deux ans, j’étais sur les cuisines…Juste à côté, il y avait tout l’électro-ménager. Frigos, cuisinières, lave-vaisselles…
C’était à ces deux rayons qu’on s’était connus, Delphine et moi.
Je me suis garé sur le parking, et j’ai repéré sa voiture, une 305 bleu roi. Elle était déjà là. Ca m’a fait me précipiter encore plus vite vers le magasin.
Dans les premiers temps, je m’étais demandé pourquoi. Pourquoi, alors que j’étais marié, avec une fille qui n’avait que des qualités, ravissante, tournée vers l’autre, généreuse, chaleureuse, ultra sexy, douée au lit, ne refusant jamais les rapports sexuels, mais au contraire, les provoquant, j’avais éprouvé l’envie irrésistible d’aller vers elle, sans que rien ne puisse me freiner, et que par la suite je n’avais pas été capable de mettre fin à cette liaison, alors que si mon épouse la découvrait, elle me quitterait sans aucun doute, et je perdrais quelqu’un qui m’était cher.
J’avais trouvé une multitude de raisons qui pouvaient expliquer ce qui s’était passé, et ce qui se passait entre nous. Sans doute qu’aucune d’entre elles n’était suffisante, mais que toutes ensemble, réunies, pouvaient expliquer ce qui se passait entre nous. Même s’il restait, inévitablement, quelque chose d’inexplicable.
Ce qui s’était d’ailleurs noué entre nous à la base n’était pas explicable non plus. Un coup de foudre, quelque chose de passionnel, et donc qui ne pouvait pas être analysé de manière rationnelle, la découverte d’une personne, une évidence criée par mon corps et pas par ma tête que quelque chose pouvait se passer, une chair qui en cherche une autre, simplement.
Je ne pouvais même pas justifier cela en disant qu’il existait, entre mon épouse et moi une lassitude, parce que justement, il n’y en avait pas. C’était vraiment curieux d’être ainsi attiré simultanément par deux femmes. Ou pas…Elles étaient tellement différentes…Radicalement différentes en fait…Je m’étais habitué à cet état de fait qui, dans les premiers temps, avait impliqué autant de culpabilité pour moi. J’avais l’une et l’autre pour le moment, dans un équilibre que je savais instable. C’était un exercice de haute voltige, un peu comme si j’avais jonglé sur une corde au-dessus du vide. Mieux valait ne pas regarder vers le bas. Je n’étais pas sûr qu’il y avait un filet en dessous…Je risquais de tout perdre.
Il y avait eu un moment, où pendant quelques semaines, j’ avais esquissé l’idée d’un ménage à trois. Un peu de négociation, et on se serait mis en ménage ensemble. J’étais convaincu qu’elles n’auraient pas dit non…Et puis j’avais laissé tomber.
Je me souvenais en tout cas de sa première apparition. Il était très tôt le matin, et je m’étais positionné sur ma zone de travail, après un café dans la salle de réunion. J’arrivais très tôt, c’était moi qui avais lancé la cafetière, et je m’étais servi
le premier. Puis j’étais parti me caler. Je n’aimais pas attendre. Je voyais les collègue au fur et mesure qu’ils s’installaient.
J’avais regardé sur ma droite et je l’avais vue surgir de derrière un réfrigérateur.
Je crois bien que j’ai été subjugué dès la première seconde. Mais, et ça je ne l’ai compris que plus tard, l’élan a été partagé.
Delphine était une jeune femme magnifique. Une beauté piquante. Il émanait d’elle quelque chose de vraiment troublant, et une sensualité naturelle qui devait troubler, je n’en doutais pas, tous les hommes qui la croisaient.
Brune, avec une épaisse crinière qui coulait sur ses épaules, elle avait un visage délicatement dessiné, de grands yeux marrons, une bouche immense, qui laissait voir des dents blanches étincelantes, bouche qui semblait toujours prête à esquisser un sourire chaleureux. J’ai vite compris que cette bouche était aussi prête à d’autres actions, comme par exemple se resserrer autour d’une queue.
Ce jour-là, elle portait un tailleur noir très simple qui soulignait ou révélait sa silhouette magnifique. Elle était très grande, et avec les chaussures avec escarpins qu’elle portait, elle devait approcher des deux mètres. La veste était ouverte sur un débardeur rouge, que tendait une poitrine charnue, la jupe quand à elle, courte, donnait à voir des jambes aussi interminables que magnifiques. Ses talons la galbaient, redessinant ses jambes, ses fesses charnues…
—Moi, c’est Delphine…On n’a pas eu encore l’occasion de se rencontrer…Il est vrai que je ne commence qu’aujourd’hui…Je viens d’être embauchée pour remplacer votre collègue…
—Corinne…Oui, elle a fait un malaise vendredi…
Il fallait dire qu’elle était enceinte, au huitième mois, et donc ce n’était pas forcément étonnant.
—J’avais posé ma candidature il y a quelques mois…Ils m’ont appelée…J’ai fait un essai en situation, et j’ai semblé faire l’affaire…Donc je suis là pour quelques semaines.
J’ai eu envie de lui dire que vraiment, elle pouvait rester aussi longtemps qu’elle voulait, même au-delà de quelques semaines…Il y avait quelque chose en elle qui me subjuguait et me perturbait totalement.
Je crois qu’on est restés un long moment à se regarder, avant de se détacher l’un de l’autre.
C’est le soir que ça a dérapé. On était chacun dans notre rayon, et on avait passé la journée à s’observer du coin de l’oeil, en détournant le regard quand on sentait que l’autre était vraiment conscient de notre regard posé sur lui.
On a fini sur le coup de 19 40…Il y avait toujours des gens qui trainaient dans le magasin. Enfin, le dernier client est parti…
On avait tous un rituel, le soir, qui ne manquait pas de poésie, même si ce n’était pas vraiment ce qu’on cherchait. C’était simplement notre manière à nous de marquer la fin de la journée. Petit à petit, chaque ilot avait plongé dans le noir, comme chaque fin de journée. Il ne restait que les allées.
Elle s’était glissée près de moi et s’était penchée sur ma bouche pour la prendre. Je n’avais même pas résisté. Ca avait été un baiser somptueux, intense et sexuel. Nos bouches jointes, nos langues se caressant. On s’était embrassés longtemps, sans avoir la force de mettre fin à ce baiser immédiatement, comme si cela avait du briser toute la magie qui existait entre nous. Et puis on était revenus à la réalité.
On avait rejoint les salles qui nous étaient réservés, au fond, pour ensuite basculer sur le parking. Tout le monde s’éparpillait, pour se retrouver le lendemain.
On ne s’était même pas dit au revoir, pris dans le flux de ce mouvement.
Je suis passé à l’arrière. Il y avait une grande porte d’entrée, un badge, un code à taper pour de la sécurité. En face de moi, un escalier métallique qui amenait vers les locaux du personnel, qui sont à l’étage.
Je savais qu’elle serait là, et effectivement, elle était là.
Elle buvait un café. Elle avait posé un sac plein de viennoiseries sur la grande table au centre de la pièce. Il y avait une tradition le dimanche, on devait amener à tour de rôle de quoi régaler les autres. Il existait deux équipes en fait, celle de la semaine, et celle du dimanche. Le fait de travailler ce jour férié nous avait soudés. on se sentait différents. Plus courageux, plus motivés? Dans une parenthèse, en tout cas.
Elle s’est retournée vers moi. Elle était superbe. Une simple robe, rouge, fluide sur elle.
Son baiser avait le goût, très net, de son café. Nos langues se sont jointes. Mon sexe s’est durci très vite, comme si je n’avais pas joui une demi-heure plus tôt. Etait-ce parce que j’étais jeune, parce que je la désirais ardemment, parce que se partager entre deux univers permettait de renouveler le même désir?
On avait quelques minutes devant nous. On s’est encore embrassés, avant qu’elle ne fasse glisser le haut de sa robe. Dessous, elle avait juste un bustier, sous lequel ses seins flottaient, ronds et fermes, dressés. Elle n’avait pas besoin de soutien-gorge. Elle a remonté le bustier, et elle s’est posée sur une chaine, m’attirant à elle. Ma queue a jailli de mon pantalon comme un diable de sa boite. Il y avait quelque chose de brillant dans son regard.
—Je crois que je ne me lasserai jamais de ta queue. C’est un merveilleux cadeau que tu me fais à chaque fois, quand je la retrouve toute dilatée de désir pour moi.
Elle a attrapé un de ses seins, et elle est venue caresser ma queue avec. C’était un téton bien dur, avec dur, avec en appui derrière la chair chaude et douce de son sein qui me frôlait. Ma queue coulait comme une fontaine. Elle était toujours très imaginative, et c’était à chaque fois différent. Elle m’a fait glisser entre ses seins, ma queue soudain avalée par le volume des chairs douces et délicates. Une caresse suave qui m’a fait penser et dire, sans doute très classiquement, que c’était vraiment bon.
Il y avait quelque chose en elle de vraiment piquant. Ma femme aimait le sexe, bien sûr, et on en profitait, mais Delphine, elle c’était différent, parce qu’on sentait qu’elle avait de l’imagination, une imagination sans limites. Et puis elle aimait vraiment le sexe. Ce n’était pas le genre de fille qui allait tout d’un coup décider qu’elle n’avait pas envie, ou plus envie. Non, elle venait me chercher, dès qu’il y avait une ouverture, et on s’engageait dans un rapport sans tabou. C’était elle qui m’avait initié aux plaisirs de l’analingus, venant sur cette partie de mon corps que j’ignorais être aussi sensible…Je la revoyais encore me travaillant de la langue, en même temps qu’elle caressait ma queue gorgée de sang. On était dans l’un des entrepôts qui entouraient la surface marchande, et je devais me retenir pour ne pas crier tellement c’était bon…Elle prenait tout son temps, comme si on avait l’éternité pour nous. Elle avait d’ailleurs certainement raison. On aurait dit qu’il y avait une sorte d’aura magique qui nous protégeait et qui empêchait qu’on nous surprenne. Ce jour-là, après avoir longtemps joué avec ma muqueuse, elle avait fait glisser son index dans mon canal anal. J’avais explosé de jouissance, en crachant de multiples jets de sperme, comme si elle avait trouvé la manière, et c’était sans doute le cas, d’activer des mécanismes secrets en moi, qui m’auraient fait jouir plus et cracher plus de sperme.
Elle était toujours agréable aussi bien sur le plan physique que sur celui de l’humeur. Toujours d’humeur égale, chaleureuse, souriante.
Elle me massait doucement, me faisant approcher de la jouissance. Je savais que, même si j’avais déjà joui avec mon épouse, ça ne changeait rien. C’était comme si tous les compteurs étaient remis à zéro.
Le dimanche, c’était le jour idéal, notre jour, car, s’il n’y avait pas forcément moins de monde, en tous les cas, la clientèle était plus fluide, donc on pouvait facilement s’accorder des moments ensemble.
Delphine a ouvert ses seins pour dégager ma queue. Mon gland est apparu dans son décolleté. Elle s’est mise à tourner sur ma chair de la langue. Elle savait comment faire jouir un homme. Ce qui allait lui donner du plaisir, ce qui allait le faire exploser. Mon premier trait de sperme est parti dans les airs, gras et copieux, suivi par plusieurs autres qui ont souillé son visage et ses cheveux, mais qu’elle a accueillis avec le même plaisir qu’à chaque fois, en riant.
—Allez, il est temps qu’on y aille…Les clients vont arriver.
On a rejoint nos collègues…Le show pouvait commencer…J’avais la chance qu’elle soit pas loin de moi, dans le rayon tout proche, ça permettait de constants échanges, un sourire, un regard, voire quelques paroles…Je pouvais la mater en permanence…
On avait flirté elle et moi pendant six mois. Elle était bien consciente que j’étais attiré par elle, et d’évidence, elle était aussi attirée par moi. Il y avait eu entre elle et moi de nombreux jeux amoureux, pas mal de flirt. Elle avait posé une règle, que Jeje respectais, bien sûr, qui était que tant qu’elle le déciderait, on n’aurait pas de rapport sexuel complet. Je trouvais ça tout à son honneur qu’elle veuille ainsi attendre, d’autant qu’elle me donnait abondamment du plaisir avec sa main, sa bouche, et ses seins, et qu’elle me laissait la caresser. Mais il y avait une zone interdite, sa culotte, et donc, je restais sur ses seins, ses jambes, sur son torse…
Jusqu’au jour où elle m’avait entrainé dans l’un de nos nombreux repères dans l’entreprise, une zone où on savait qu’on serait tranquilles.
—J’espère ne pas te décevoir…
Comme à l’accoutumée, on s’était embrassés, caressés….Elle avait sorti ma queue de son pantalon, et elle m’avait caressé, sans me faire jouir encore, avec toute son habileté. Je devais bien le reconnaître: ma femme, si habile soit-elle, n’avait pas son talent.
Je ne devais pas tarder à avoir une partie de la réponse dans les minutes qui ont suivi. Pourquoi elle était aussi habile. C’était sans aucun doute sa différence qui lui donnait ce talent. Différence que je n’avais pas encore soupçonnée.
Elle m’a laissé faire quand j’ai attrapé l’ourlet de sa jupe pour la tirer vers le haut. Cette fois, j’avais envie qu’on aille jusqu’au bout.
Dessous, elle avait un collant, et pas de slip, pour une fois.
C’est quand la jupe est arrivée à une certaine hauteur que j’ai compris que quelque chose n’allait pas…Ce que je voyais ne correspondait à rien de ce que je connaissais…Je n’avais pas compris qu’elle fourrait sa queue entre ses cuisses, pour ne rien laisser voir, même avec des vêtements serrés. Et ça faisait magnifiquement illusion.
Son sexe a jailli à l’air libre. Une queue que le désir avait doté d’une belle érection, long et gorgé de sang, empêtré par le collant, presque, mais pas totalement collé contre son ventre.
Ce qui m’a le plus surpris, ça n’a pas été qu’elle ait une queue entre les cuisses, mais qu’elle n’ait absolument rien de masculin. Pour moi, hormis les trans Brésiliens, les transsexuels avaient du mal à masquer leur masculinité. Or elle avait un corps un visage qui étaient indéniablement féminins. C’était un peu comme si elle avait appartenu à un troisième sexe, des filles qui seraient nées avec une queue à la place d’une chatte, sans que cela les prive de leur féminité.
—J’ai attendu parce que je craignais que tu sois déçu.
Je lui ai donné la meilleure réponse que je pouvais lui donner, en venant chercher sa queue sous le collant, en la caressant doucement. C’était le premier contact avec sa verge, et je la sentais dure et chaude au bout de ma main. Je savais d’ores et déjà que c’était pour moi tout sauf une mauvaise surprise. Delphine était différente. C’était ce qui me plaisait en elle depuis le premier jour. Ca ne faisait que rajouter une pierre à l’édifice.
C’était venu tout naturellement. J’ai sorti ma queue de mon pantalon, et je l’avais rapprochée de la sienne. Deux queues, semblables et différentes. Dans un seul mouvement, de la main, je nous avais enveloppés et caressés. Sa queue, contre la mienne, était bien chaude. J’avais du me retenir pour ne pas jouir.
—Prends-moi.
Je n’avais pas imaginé qu’on en arriverait là. Au moment où Delphine me l’a proposé, cette idée s’est imposée, et je crois bien que je ne désirais rien de plus au monde. Elle a été chercher une capote dans son soutien-gorge, elle m’en a gainé. Ma queue était dilatée de désir. Je l’ai approchée des plissements de son anus. J’ai appuyé dessus. Sa queue était collée contre son ventre, on aurait dit qu’elle grossissait encore.
Mon gland est rentré en contact avec sa chair. J’ai eu cette sensation, si forte. Bien sûr, je prenais souvent ma femme par là, elle adorait ça, mais là, tout était différent. Il n’y avait vraiment rien de comparable. A commencer par cette queue qui était collée contre son ventre, et qui, alors que je glissais en elle, la pénétration rendue sans aucun doute aisée par les nombreuses queues qui étaient passées avant moi, s’est encore allongée, et épaissie.
J’ai glissé en elle très lentement, savourant ce moment unique. Il y avait un sentiment que je n’avais éprouvé depuis ce moment, celui d’un plaisir intense, dans un cadre totalement décalé. C’était une des raisons, mais j’imaginais qu’il y en avait bien d’autres, qui faisaient que j’étais aussi accroc à Delphine.
Ma queue s’était retrouvée totalement rentrée en elle, gainée à en éclater par l’étroit couloir de chair. Delphine m’a souri. Elle avait basculé en arrière, et son visage était à quelques centimètres du mien.
—Tu ne pensais pas que j’étais une fille avec une bite…Ca te plait?
En guise de réponse, je me suis mis à bouger ma queue dans son canal anal. Si j’éprouvais du plaisir, et que je le sentais monter en moi, son visage, et les frémissements qui l’agitaient disaient qu’il était partagé. Son gland congestionné a craché plusieurs traits de sperme, au bout de quelques minutes, sans qu’elle ne débande pour autant. Oui, il y avait des filles avec des bites qui n’étaient pas attirantes. Elle était comme un aimant pour moi, et je n’envisageais pas à cet instant qu’elle ne soit qu’un coup unique.
Je la retrouvais depuis le dimanche avec la même passion.
Notre relation était particulière, pas seulement parce que la magnifique jeune femme n’était pas conçue comme les autres, mais aussi parce, et alors qu’elle ne connaissait rien de ma situation personnelle, elle n’avait jamais cherché pousser notre relation au-delà de ce dimanche en commun. Elle aurait pu me proposer qu’on se voie à l’extérieur, envisager qu’on puisse se caler d’autres moments ensemble en dehors de l’entreprise; Il n’en avait rien été. J’imaginais que, comme moi, elle vivait avec quelqu’un, et qu’elle n’envisageait pas qu’on bascule sur autre chose. Sans doute même qu’elle pensait, comme moi, que ce qui donnait du charme à notre relation, c’était justement qu’elle ait lieu dans ce cadre, et dans cette brièveté.
Je finissais de caler le café dans la cafetière quand elle a fait son apparition. Mon sexe s’est instantanément durci en la voyant, aussi désirable. Elle portait une robe magnifique, verte, qui dessinait sa silhouette elle aussi magnifique. Elle m’a souri et elle s’est approchée de moi. On savait qu’on avait encore quelques minutes. Nos bouches se sont jointes, ses seins
s ‘écrasant contre ma poitrine. Je me suis penché pour attraper l’ourlet de la robe, qui descendait bas en dessous de ses genoux, et je l’ai remontée, dévoilant ses jambes gainées de bas stay-up. Elle portait une petite culotte de dentelle noire, remplie par une queue qui s’allongeait de seconde en seconde, et que j’ai prise dans la bouche, la faisant gémir. La queue a grandi dans ma bouche, me contraignant à en laisser une partie dehors, alors que je l’avais toute avalée.
—Arrête, si quelqu’un vient…
—On a encore quelques minutes…
—Je vais jouir…J’ai envie de sexe ce matin…J’ai fait des rêves…Erotiques cette nuit…
Elle jouissait avec une facilité déconcertante, son sexe restant dur, et son sperme coulant à flots. C’était un peu, même si ce n’était pas un schéma réaliste, comme si avait retenu sa jouissance toute la semaine pour exploser quand on était ensemble.
-On a toute la journée pour en profiter…Oh, je crois que je vais…
Elle n’a jamais prononcé le mot jouir, il a été remplacé par un gémissement, et un trait de sperme qui a jailli dans ma gorge, suivi par plusieurs autres.
Je l’ai reculottée, et j’ai fait redescendre la robe le long de ss jambes gainées de nylon. C’était certain les gens qui auraient à faire à elle dans la journée, n’auraient jamais l’idée qu’elle n’était pas tout à fait comme les autres. Un troisième sexe qui avait transformé ma vie.
—Tu veux que je te fasse jouir?, elle m’a proposé.
—On attendra un peu plus tard.
On a partagé, signe de complicité, une même tasse de café, avant d’aller se positionner sur nos postes de travail.
On alternait le travail sur nos positions et les pauses légales. Pourtant, nous profitions de l’architecture des lieux pour nous rejoindre, dans des moments brefs, hors de ces pauses. Ca aurait été trop suspect qu’on quitte nos postes au même moment, puisque les pauses étaient basées sur une rotation…Mais on pouvait très bien aller chercher des informations, ou du matériel…Les lieux, pour qui les connaissait bien, renfermaient suffisamment de pièces inoccupées, d’archives, ou de stockage, dont on pouvait profiter en toute tranquillité. Il ne fallait pas non plus oublier les caméras, mais elles ne couvraient pas les zones hors magasin…
Ce dimanche-là, pourtant, ne devait pas être comme les autres…
Nous nous sommes tous positionnés, après avoir échangé. Il régnait une bonne entente dans l’équipe. Après tout s’est enchainé. Le rideau qu’on lève sur le coup de neuf heures, les premiers clients qui arrivent.
Le dimanche, c’était toujours différent. Que ce soit le week-end signifiait pas mal de choses. Une clientèle plus fluide, plus détendue, qui ne serait pas venue en semaine. Pour nous aussi, il y avait un sentiment de détente, qui n’empêchait cependant pas qu’on fasse notre travail du mieux qu’on le pouvait. Et, si dans la semaine, nous travaillions ensemble, côté à côte, Delphine et moi, nous ne profitions pas l’un de l’autre. Il y avait un rythme beaucoup plus intense. Sans doute que nous aurions basculé sur autre chose si nous l’avions voulu, mais je crois que c’était d’un commun accord qu’on avait décidé de nous réserver pour le Dimanche.
C’est sur le coup de dix heures que Maud est venue tourner autour de Delphine.
Maud était la dernière recrue du magasin. René, qui travaillait ici depuis l’ouverture du magasin avait pris sa retraite trois mois plus tôt, et elle avait pris sa place. C’était une petite brune, qui finissait sa vingtaine. Elle n’était pas très grande, et plutôt ronde, mais elle savait mettre en valeur ses rondeurs, et elle avait un charme qui tenait autant à ses formes sublimées qu’à cette vitalité qu’elle dégageait et qui semblait promettre des lendemains toujours meilleurs. Il y avait quelque chose en elle d’irrésistiblement attirant, et j’avais déjà remarqué que plusieurs garçons de la boite laissaient glisser leur regard sur elle avec envie. Je devais bien moi-même reconnaître que si je n’avais pas été dans cette liaison intense avec Delphine, j’aurais bien eu envie d’elle.
Mais, apparemment, Maud préférait les filles. Et éprouvait une attirance très intense pour Delphine, autour de qui elle tournait régulièrement. Je me demandais si elle la voyait comme une fille, avec laquelle elle aurait pu jouer à des jeux lesbiens qui auraient contenté une libido tournée vers les femmes, ou si elle suspectait qu’elle était une fille pourvue d’une queue, et qu’elle était attirée par les trans.
C’était une hypothèse tordue, qui ne tenait pas debout…Mais parfois l’instinct peut faire sentir ou percevoir la texture d’un être humain.
Comme il n’y avait aucun client à l’horizon, Maud avait délaissé son rayon pour venir entreprendre Delphine. Elle était pimpante comme toujours, des reflets blonds dans son épaisse crinière brune soigneusement entretenue, un pantalon de cuir noir très moulant, des bottes à talon aiguille, un débardeur rose sous une veste noire que ses seins tendaient. Ca n’aurait pu être qu’une conversation banale, entre deux collègues, mais l’attitude de Maud disait clairement son envie d’aller plus loin avec Delphine. Delphine en semblait d’ailleurs totalement consciente. On n’en avait jamais parlé. Le silence était une grande partie de notre relation qui sans doute reposait beaucoup sur la sexualité.
Maud venait de s’éloigner, des clients étaient entrés sur la zone qui lui était dévolue, quand Delphine m’a jeté un coup d’oeil sans équivoque, avant de s’éclipser en passant par la porte de sécurité à l’arrière de sa zone. J’ai attendu quelques minutes, puis j’ai été la rejoindre. Mon désir restait latent, tout au long de la journée, jusqu’à ce qu’il explose quand nous nous rejoignions.
La sortie de secours donnait sur une deuxième porte qui permettait de déboucher directement à l’extérieur, mais aussi sur un long couloir qui amenait à divers locaux, et permettait aussi en allant sur la gauche ou sur la droite, de prendre un escalier qui amenait aux étages. Je suis parti sur la gauche sans savoir où et si j’allais la trouver, mais cela faisait partie de nos jeux.
J’ai finalement débouché dans une salle où on stocke les éléments recyclables dans des bennes. Elle fumait une cigarette dans une attitude qui me séduisait toujours, faussement détachée, comme si elle était ailleurs.
Je me suis approché, et j’ai attrapé la cigarette entre ses doigts, pour en prendre une taffe. On a partagé la nicotine. Dans mon pantalon ma queue était raide à exploser. Le désir que j’éprouvais pour elle ne se tarissait pas, au contraire. J’aurais eu un mal fou à me passer d’elle. J’éprouvais un désir intense qui se renforçait de semaine en semaine.
On rejouait finalement chaque dimanche la première fois. Pour basculer ensuite sur autre chose.
La cigarette réduite à l’état de mégot, je me suis penché sur elle, nos bouches se sont jointes, nos langues accrochées pour un baiser qui n’en finissait pas.
Je me suis penché pour attraper l’ourlet de la robe et je l’ai soulevé. Dessous, il y avait des jambes vraiment bien dessinées et aujourd’hui ce slip de dentelle noire, dont dépassait une queue en pleine érection, longue et épaisse, avec un gland qui suintait abondamment. Car si j’éprouvais du désir pour elle, c’était aussi réciproque.
Je me suis penché et j’ai pris un tiers de sa queue dans ma bouche, après avoir baissé le slip. Le goût amer de ses sécrétions a rempli ma bouche, pour couler dans ma bouche. Je l’ai sucée longuement, avec comme toujours l’envie de lui procurer le maximum de plaisir. J’ai senti sa queue se dilater, et prendre plus de place dans ma cavité buccale.
—Prends-moi , elle m’a dit, quand je me suis redressé. J’ai envie de sentir ta queue en moi, et ton sperme jaillir.
J’ai attrapé un préservatif et je m’en suis gainé. Elle s’est basculée en arrière. Ma queue est venue appuyer contre sa muqueuse anale, en même temps que nos bouches se rejoignaient à nouveau. J’ai donné un coup de reins, et ma queue est rentrée en elle.
Je me suis enfoncé aux trois quarts en elle, restant immobile, lui laissant le temps d’éprouver le plaisir d’être remplie par une queue bien dure, comme j’éprouvais le plaisir d’être entouré par sa chair délicate.
Je me suis mis à aller et venir en elle, et nous avons éprouvé, elle comme moi un plaisir grandissant, continuant en à échanger des baisers. En même temps que je la fouillais, ma main cerclant sa queue, je la caressais, sentant sa queue encore gonfler, et ruisseler au creux de ma main. Elle était capable de jouir plusieurs fois sans pour autant débander, et très vite, elle a craché des jets de sperme chauds et huileux qui ont trempé ma main. J’ai cependant continué de la caresser.
Nous sommes montés vers la jouissance, bien loin de ce magasin, de nos obligations d’employés. Le plaisir nous a pris. Elle a poussé un petit cri en jouissant, cri déclenché par les jets de sperme, qui, à travers le préservatifs, sont venus cogner contre les parois de son rectum, et elle a de nouveau arrosé ma main de sperme.
C’étaient de tels moments qui faisaient que je n’aurais renoncé pour rien en elle.
Pourtant, je ne m’attendais en rien à ce qui s’est passé l’après-midi.
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