Le dimanche, c’était toujours pareil. Il y avait un moment où les choses s’assouplissaient. On restait ouvert jusqu’à sept heures du soir, mais à partir de quatre heures de l’après-midi, il y avait de moins en moins de monde, et une certaine détente s’installait. C’était le moment d’en profiter.
Je négociais avec un couple. Dans mon champ de vision, Delphine m’a fait un petit signe de tête. J’ai pris mon temps. Etre vraiment décalé, c’était le meilleur moyen de ne pas se faire répérer.
Une autre porte, un autre couloir.
J’ai entendu les voix en me rapprochant de la salle.
Deux voix que j’ai immédiatement identifiées. Celle de Delphine, bien sûr.
L’autre voix, c’était celle de Maud.
Elle avait décidé d’entreprendre Delphine d’une manière plus poussée.
Elle risquait d’avoir une grosse surprise.
Je me suis glissé silencieusement dans la pièce. Ici, c’étaient des étagères métalliques qui permettaient de stocker des appareils électro-ménagers, et m’ont permis de rester dans l’ombre le temps de prendre la mesure de ce qui se passait.
Delphine et Maud étaient face à face, de trois-quarts par rapport à moi. Il y avait dans le regard et sur le visage de Maud une adoration désespérée. Delphine était beaucoup plus amusée.
La situation restait en suspension. Maud a décidé de faire basculer la situation en sa faveur. Elle a défait le pantalon de cuir moulant et l’a tiré vers le bas. Elle a révélé des jambes bien dessinées et un slip blanc qui a suivi le même chemin dévoilant un sexe entièrement rasé, coupé en deux par un sillon profond dont dépassait un bout de lèvre. Elle s’est hissée sur une table derrière elle, a écarté les jambes. Dans une tentative de convaincre Delphine, elle a fiché deux doigts en elle, et elle s’est ouverte, révélant un intérieur rose et brillant. C’était un argument très convaincant, et j’ai senti ma queue se durcir. Je l’aurais bien pénétrée.
Delphine n’a pas pu résister. Elle s’est penchée sur elle, et elle s’est mise à parcourir son sexe de sa bouche. Ce que Maud attendait depuis longtemps.
Je n’avais aucun mal à imaginer la queue de Delphine, roide dans son slip. Dire que Maud imaginait qu’elle avait une chatte entre les cuisses. Si elles allaient plus loin, elle risquait d’être surprise.
Elle l’a léchée consciencieusement, lui faisant perdre pied. Maud gémissait, cambrée. Elle a fait glisser son débardeur et sorti deux seins lourds mais fermes de son soutien gorge pour caresser ses tétons.
Ca m’excitait tellement que j’ai tiré ma queue de mon pantalon, et que je me suis mis à me caresser. Maud, assise sur la table, basculée en arrière, se laissait aller au plaisir. Elle était vraiment désirable, et j’imaginais sans mal que la queue de Delphine, tout comme la mienne, était dilatéé.
Maud a fini par se redresser, le sexe bien ouvert, luisant de ses sucs intimes.
—Laisse-moi te déshabiller, j’ai envie de te rendre la pareille.
Delphine a commencé à parler, pour formuler une mise en garde, sans doute, comme elle l’avait fait avec moi.
—Je crois que…
Voulant sans doute dire ‘Je crois que tu vas être surprise…’
mais Maud avait déjà attrapé l’ourlet de la robe pour le remonter le long de son corps.
Elle s’est figée de surprise, ça avait sans doute été mon cas, dans une attitude pas vraiment différente, quand j’ai roulé sa robe sur ses hanches la première fois, et que j’avais compris que sa petite culotte ne renfermait pas un vagin coupé en deux, mais une queue bien raide, gorgée de sang, et deux couilles gonflées.
—Ah ben ça, a dit Maud.
—Tu ne t’attendais pas à ça, j’imagine, a dit Delphine. J’espère que tu n’es pas trop déçue.
—Au contraire, une fille avec une queue, c’est exactement ce qu’il me fallait.
Et elle a plongé sur elle pour la prendre dans sa bouche, avec une ardeur qui disait véritablement que non, elle n’était pas contrariée.
Je n’en pouvais plus. J’avais trop envie de m’associer à eux. Je suis sorti de l’ombre.
Maud, la bouche remplie par le sexe en pleine érection de Delphine, a relevé la tête. Elle en était à un point où plus rien ne risquait de la surprendre, et même pas de me voir arriver, la queue en pleine érection. Elle a tendu la main vers mon membre quand j’ai été plus proche, et elle s’est mise à me caresser, en même temps qu’elle continuait d’aller et venir sur
la queue de Delphine.
Quand elle s’est redressée, le regard brillant, elle m’a dit:
—Je veux que vous me remplissiez avec vos queues.
On s’est regardés Delphine et moi. Quand elle s’était éloignée, quelques minutes plus tôt, elle pensait que j’allais la rejoindre, et envisageait un de ces moments à plaisir à deux qui nous étaient indispensables, sans imaginer que Maud la suivrait. Nos rapprochements prenaient soudain un nouveau tour, très excitant, et je crois bien qu’à ce moment, on a eu la même pensée. Celle de dimanches à venir où Maud viendrait nous rejoindre, et où nos rapports tourneraient autour de la jeune femme. Sa bouche, ses mains, ses seins, son sexe, et son anus, que nous nous partagerions, comme une renaissance, même si nous n’étions pas là, loin de là, blasés de nos rapports à deux.
On s’est positionnés avec fluidité. Delphine s’est posée sur la table, la queue dressée, et elle a attrapé Maud pour l’attirer sur elle. Son vagin et son anus étaient offerts, destinés à être investis par nos queues roides. Delphine a guidé sa queue congestionnée vers les plissements anaux de Maud, jusqu’à ce que leurs chairs rentrent en contact. Delphine a appuyé son gland contre l’orifice anal, et elle a glissé dans le conduit jusqu’à être enfoncée aux trois-quarts. Maud a fermé les yeux et poussé un gémissement de plaisir, qui s’est prolongé quand je suis venu me glisser entre ses lèvres, et rentrer en elle jusqu’à ce que mon gland tape contre son utérus. Son sexe était brulant.
Maud, bien loin de la jeune femme qui, pleine d’assurance, savait convaincre les clients les plus réticents a totalement perdu le contrôle, s’abandonnant à son plaisir en gémissant. tandis que successivement, la queue de Delphine et la mienne la fouillaient.
Elle et moi nous avions déjà cent fois frotté nos queues l’une contre l’autre, mais c’était la première fois que nous le faisions à travers la chair d’une femme, et c’était terriblement excitant. Je devais me retenir pour ne pas jouir. Quand je suis enfin arrivé à un point où je ne pouvais pas retenir ma jouissance plus longtemps, commençant à cracher mon sperme, j’ai senti la queue de Delphine cracher dans le canal anal. Maud a explosé de jouissance, en se tendant et étouffant un cri.
Il était sept heures et demi quand je suis arrivé chez moi. J’avais fait le trajet en repensant à l’après-midi et à notre nouvelle partenaire Maud, qui, c’était certain, nous rejoindrait
le dimanche à un moment ou à l’autre. Elle nous avait jeté un regard complice avant que nous ne nous éparpillons tous, pour rentrer nous reposer.
Une bonne odeur de cuisine m’attendait, quand j’ai pénétré dans la maison. Et ma femme.
J’étais toujours surpris par ma capacité à scinder les deux univers. Et à n’éprouver aucun sentiment de culpabilité.
Elle est venue se coller contre moi. Elle était simplement en peignoir, et j’ai senti contre moi son corps chaud et doux et ses formes. J’avais joui plusieurs fois dans la journée, mais mon désir était intact, et mes capacités d’érection aussi.
—Viens j’ai envie de sexe. Ca te fera oublier une journée de travail.
Je ne tenais pas tant que ça à l’oublier.
Ce que je trouvais étrange, c’était ma capacité à passer d’une femme à l’autre, et que le désir soit intact, même après un ou des rapports avec une partenaire.
On est partis en direction de la chambre pour un moment de sexe avant le diner.
Ce serait très bon.
Autant que ce que nous avions vécu Delphine et moi dans la journée. En attendant le prochain dimanche.
CETTE HISTOIRE VOUS A PLU ? N’OUBLIEZ PAS DE LA COMMENTER ET DE LA PARTAGER !
Vous êtes auteur ? Cliquez sur ce lien pour lire quelques conseils d’écriture
Abonnez-vous à la page Facebook de MesHistoiresPorno et des Nouveaux Interdits : https://www.facebook.com/nouveauxinterdits
Retrouvez en cliquant sur ce lien les autres histoires d’Alex Condamines