Le Brésil allait dérouiller 3-0 contre la France, moi aussi, mais je ne savais pas que j’allais enregistrer un score sensiblement identique lors de cette soirée mémorable en tout…

Nous étions partis pour la semaine chez des amis à Draguignan qui nous avaient laissés leur superbe villa pendant leur absence. Nous avions passé la semaine à faire des photos de moi nue dans tous les coins de cette splendide demeure et bien entendu à baiser comme à notre habitude. Le tout sans se préoccuper de nous habiller ; sept jours de naturisme. Les seuls vêtements que j’enfilais étaient mes tenues sexy pour faire des photos et des petites laines le soir pour dîner au bord de la piscine.

En ce dimanche de finale de coupe du monde, bien que nous ne sommes pas des adeptes du football, nous voulions sortir un peu pour profiter de l’ambiance festive de cet événement. Après ces six jours passés en vase clos recentrés sur nous et nos envies de nous vider l’un de l’autre, nous fantasmions, les sens à fleur de peau, à l’idée d’une belle rencontre. Mais à cette époque point d’Internet ni de site spécialisé pour nous aider.

Du coup, pour pimenter notre sortie, Jo n’a pas eu besoin d’insister quand il m’a demandé de m’habiller sexy, j’avais de moi même envie de me faire mater et de l’exciter.

Je suis certaine que vous devinez dans les grandes lignes la tenue que j’avais choisi pour lui et les autres. Mon teint déjà halé par mes origines l’était encore plus par les séances de bronzage au bord de la piscine des ces derniers jours. L’été, les tenues légères et courtes font souvent partis de ma garde robe préférée, surtout celles aux tons clairs qui me vont adorablement en m’illuminant d’une aura particulier.

Mon mari le sait très bien : j’ai quelques tenues imparables. Elles ont un effet aspirant et inspirant, de vrais pièges à mecs. Excité à l’idée de m’exhiber et de dévoiler mon intimité à qui saurait en profiter, j’avais choisi un petit tee-shirt blanc à bretelles, assez court pour laisser voir mon nombril et mon petit ventre plat, sexy à souhait, ceint d’une chaîne dorée. Un petit poisson qui nageait entre ma poitrine guidait les yeux sur mes seins pointus. Sans soutien-gorge, mes aréoles brunes et larges se devinaient aisément, d’autant que mes tétons dardaient continuellement. Une minuscule minijupe blanche, avec une grande fleur brodée en rouge, était ajustée au millimètre sur le rebondi de mes fesses. J’étais perchée sur des sandales à talons, idéales pour un joli galbe de pied et pour mettre en valeur mes orteils vernis que l’ajouré des lanières laissait admirer.

Nous cherchions pour prendre l’apéro et dîner devant le match un bar/resto jeune où l’ambiance était déjà festive, mais l’évidence nous a vite fait déchanter. N’ayant pas réservé, les endroits qui nous attiraient affichaient tous complets.

C’est comme cela que nous avons fini par trouver, un peu déçus, un restaurant chic où il restait des places disponibles. On nous a installés sur une terrasse préparée pour l’occasion et décorée de drapeaux tricolores. Il y avait un grand écran et les tables étaient disposées pour pouvoir suivre le match. Une petite paroi de verre sablé à mi-hauteur nous séparait de la rue. Il y avait mieux comme emplacement pour qui voulait exhiber l’oubli calculé de sa petite culotte.

Contrairement aux autres restos qui avaient le feu, le notre était assez cosy et calme. À par deux autres couples bien plus âgés que nous, il n’y avait pas assez de monde pour que mon mari soit comblé par sa petite femme qui montre son minou aux regards curieux des messieurs et parfois des dames.
Mais le restaurant finit par se remplir. Ici, l’apéro ne se prenait pas deux heures avant le match. Pendant que nous regardions la carte, mon homme me fit remarquer que trois messieurs étaient rentrés et allaient prendre place sur la table à côté de nous, de mon côté, des touristes Italiens. Beaux mecs, classes, de type méditerranéen, aux yeux charmeurs et à l’accent enjoué. Jo m’indiqua qu’ils ne devaient pas être insensible à mon charme, vu comme ils s’étaient installés près de nous. Au contraire, l’un d’eux avait fait remarquer aux autres ma présence sur la terrasse. Cet échange les avaient fait sourire et tous, avaient jeté un coup d’œil vers moi. Des amateurs de foot et sûrement de jolies filles aussi. S’ils aimaient mater, ils n’allaient pas être mécontents de s’être retrouvés là ce soir.

En guise de bienvenue et avant même que leur apéritif ne soit servi, je me devais de les accueillir comme il se doit. Je ne les laissaient pas s’asseoir sans que chacun d’eux aperçoivent mon entrejambe dénudé, lisse et offert.

Ils n’ont pas fais les choqués. Tant mieux, car des fois, on peut avoir des surprises négatives quand on se comporte de façon désinvolte, ils ont eu l’air plutôt intéressés par se que je leur montrais.
Ils m’ont tout les trois gratifié d’un large sourire et d’un ciao bella.
Bingo, sans doute de vrais chasseurs-cueilleurs qui avaient gardé intact leur instinct primaire, on ne se trompe que rarement avec les méditerranéens. J’avais trouvé des partenaires pour une de mes parties de jeu préférée.

Le repas fut ponctué de politesse footballistique et de banalités sur leur séjour et la région varoise. Je jouais à l’allumeuse l’air de rien et eux ne se privaient pas pour mater. Ils parlaient tous très bien le français, avec un accent qui m’enivrait à m’en faire naître des papillons dans le bas du ventre. C’était le jeu du je vous montre sans faire exprès et vous matez sans rien dire, mais tout en sachant pertinemment que nous savons tous que personne n’était dupe.

Pour le dessert, je décidais de me mettre plus à mon aise pour profiter du match, et les beaux Italiens de ne plus retenir leurs regards qui se pressaient sans équivoque sur mes cuisses largement écartées. Mon intimité n’avait plus aucun secret pour eux, ma chatte mouillée perlait son jus sur mes petites lèvres bien ouvertes.

Les hommes restent des hommes, même quand vous êtes accompagnée. Le plus proche de moi se pencha dans ma direction et me proposa d’accepter une coupe de champagne avec mon ami.

— C’est la moindre des choses,vous nous gâtez d’un ravissant spectacle, avait-il appuyé.
Je les remerciais d’avoir eu la chance de tomber sur un bon et beau public et et en profitais pour ajouter que je n’étais pas avec un ami mais avec mon mari, et que c’était avec plaisir que nous acceptions de trinquer avec eux. J’étais ouverte a en entendre et montrer plus qu’ils ne le pensaient ou l’espéraient.Tout dépendait d’eux et de leur comportement à suivre. Pour moi la décision était prise.
La France gagnait un zéro, assez pour mettre de l’euphorie dans le resto et de la tension sur les mâles virils chargés en testostérone. Ils se comportaient comme des machos, mais c’était justement cela que je recherchais. Les agissements de mon mari, et sa toute puissance à me soumettre à ses envies, et ceux de ces inconnus qui se ravissaient à penser que leur pouvoir de séduction me faisait agir en femme facile.

J’aime m’abandonner à mes désirs sous la tutelle de mon mari, cela m’enlève toute culpabilité à me comporter de façon presque immorale, et j’aime penser que les hommes qui en profitent s’imaginent que je suis une belle salope insatisfaite et nymphomane. S’ils savaient ! J’aurais pu être la femme d’un seul homme, et la chance a voulu pour moi que je sois celle d’un homme qui veut qu’elle soit aussi celle de tous ceux qu’il désire lui offrir !…

L’ambiance battait son plein, nos Italiens nous offraient du champagne à tout va, vu mon consentement et celui de Jo, celui qui était assis près de moi m’offrait la visite furtive de sa main sous ma jupe quand je me resservais un verre. Ça lui donnait un coup d’avance sur ses copains qui étaient devenus incandescent à le voir faire. Je les intéressais bien plus que le match.

Mon mari était content ; ses yeux brillaient ; moi, ravie de lui faire plaisir et d’avoir trouvé des hommes à mon goût, j’avais la minette qui bavait d’excitation. Je sentais ma mouille couler, pour le plus grand plaisir de ceux qui hasarderont leur main.

Coup de théâtre : la France inscrit un deuxième but juste à la fin de la première mi-temps, le resto s’embrase tout comme ma foufoune, l’ambiance est à son comble. Je décide de me rendre au toilette, les Italiens recommandent une bouteille de champagne. À mon retour la disposition des hommes à changé, mon mari discute avec un Italien qui à pris ma place, il ne me reste plus qu’une chaise de libre entre les autres. Un clin d’œil de mon amoureux me dit qu’ils l’ont prémédité. Je fais la fausse et m’assoie naturellement, je ne vais pas me plaindre, c’est ce que j’espérais. Garder la même équipe, mais changer la place des joueurs, très bon initiative.

Entre l’excitation qu’engendrait cette situation érotique, l’alcool qui me faisait de l’effet et la joie qui émanait de notre table, nous générions ensemble cette conscience collective qu’est l’égrégore. Sans doute un peu saoul, j’essayais d’expliquer à mes convives ce mot barbare qu’ils ne connaissaient pas. Ils avaient du mal à saisir le fond de ma pensée et plus je parlais plus, je me perdais dans mes explications. C’est alors, qu’avec une désinvolture qui m’est propre, j’ai répondu beaucoup plus basiquement et instinctivement.
Et j’ai dit un peu fort, au point que, malgré l’ambiance sur la terrasse, nos voisins de table n’ont rien loupé de mes propos.

— L’égrégore, c’est l’esprit d’un groupe influencé par ses désirs communs, en l’occurrence, pour notre pensée commune, vous avez envie de me baiser et moi j’ai envie que vous me baisiez tous les quatre.
Un moment de silence où j’ai vu tous les regards converger dans ma direction et plus précisément sur moi et où j’ai entendu la voix de mon mari me dire :

— Tu n’aurais pas fait moins discrète, si tu avais voulu le faire exprès.

Ce que pensaient les gens m’importaient peu, ils allaient vite être accaparés par le match une fois que celui-ci reprendrait. Personne ne me connaissait ni ne me reverrait par la suite. La seule chose que je pouvais leur laisser était soit le souvenir agréable d’une jolie dévergondée, soit celui d’une fille de mauvaise éducation, voire de petite vertu.

Mes beaux Italiens en étaient encore à me complimenter sur ma beauté et mon caractère pétillant. J’en voulais plus.
Je me décidais tout de même à lever le pied sur l’absorption de ce breuvage pétillant à la couleur or. Je rigolais à leurs blagues, en cherchant le contact physique à la moindre occasion. Une main ou la tête sur une épaule, une autre fois une main inquisitrice qui se posait sur le haut de la cuisse. Une fois mise au centre de leurs intérêts, j’aurai juré qu’ils allaient être plus entreprenants pendant la mi-temps, mais ils avaient l’attouchement pondéré. C’est moi qui faisais le travail pour qu’ils osent plus. Il faut dire qu’aux toilettes, j’avais épongé une sacrée dose de cyprine prête à dégouliner le long de mes jambes, signe de mon excitation extrême et de mon envie de sentir plus que des regards appuyés.

Le coup sifflet de la deuxième période retentit, l’assemblée sembla oublier la jeune femme légère pour de nouveau à être accaparée par l’équipe qui était à deux doigts de donner à la France sa première victoire au mondial.
Deux doigts dans mes profondeurs m’auraient bien aidée à patienter en attendant plus. Décidément, les hommes, il faut leur mâcher le travail. J’étais à leur merci et ils se gênaient encore. Peut-être la présence de mon mari, la mauvaise interprétation de mes signes non verbaux, l’endroit où le regard des autres ? Finalement, je ne devais compter que sur mon audace, impossible de penser qu’ils n’avaient pas de désir, tellement ils me dévoraient des yeux.
Il n’y avait qu’une façon d’en être certaine, les filles savent faire quand elles veulent quelque chose.

Premièrement retirer mes sandales pour attirer l’attention et me retrouver pieds nus, beaucoup d’hommes sont fétichistes de cette partie du corps des femmes. Ensuite, feindre une mauvaise position pour mieux m’installer. Puis demander à mon voisin si je peux détendre mes jambes en les posant sur ses cuisses. Une pierre deux coups, le plus éloigné, aura mes petits petons à sa disposition, le plus proche le haut de mes genoux – et pour les deux, une vue imprenable sur mon abricot mûr à point.

Les festivités n’ont pas attendu un autre signal, il aurait fallu être aveugle ou imbécile pour ne pas comprendre ce que je souhaitais.
Mes pieds vernis inspiraient mon bel italien, il me prodigua un massage agréable de la plante pour s’occuper individuellement de chaque orteil, je soupirais de bonheur. Je fus transportée par son habileté. Son ami jouait avec mes nerfs, à moins que trop timide, il n’osait effleurer que partiellement mon entrecuisse par peur d’être repéré. Si c’était un timide, j’allais le savoir rapidement. J’écartais un peu plus mes jambes pour le guider, et lui fis signe de la tête que c’était cela que j’attendais de lui comme faveur. Qu’il s’occupe précisément à titiller mes lèvres intimes.

Ma chatte trempée avala goulûment le premier doigt le plus audacieux qu’on lui présentait, très vite à son aise, fut rejoint par deux autres, avant de commencer à s’agiter dans la liqueur abondante qui lubrifiait cet endroit exigu. Mon mari jubilait de me voir ainsi offerte presque à la vue de tous les privilégiés clients observateurs et intéressés par autre chose que le match. Le troisième italien était cantonné au rôle de spectateur, malgré quelques approches, il ne pouvait pas risquer de nous faire dévoiler au grand jour. Je voulais bien subir des attouchements impudiques, mais je ne voulais pas me donner en pâture à une assemblée nombreuse et non avertie. Le jeu avait si bien commencé qu’il aurait été dommage de tout gâcher par un empressement de nos sens.

Je suis sur mon nuage et regarde le grand écran devant moi sans réel intérêt, je préfère me concentrer sur mes deux Italiens qui n’ont rien lâché depuis la reprise. Je comprends qu’un joueur français est expulsé quand une partie des clients crie. Ils ont tous les deux plusieurs de leurs doigts en moi. Je ferme les yeux et me mords les lèvres pour ne pas jouir en hurlant. Je sens la bosse sous mes fesses de celui sur qui je suis assise. J’ai envie, moi aussi, de toucher une queue, cette belle queue bien dure qui est reste emprisonnée dans son caleçon.

Les gens autour de nous crient déjà victoire, il reste moins de cinq minutes à jouer.
Une explosion de joie arrive juste avant le coup de sifflet final, les Français viennent de marquer un troisième but, je me libère aussi en jouissant sans retenue. Les cris de mon orgasme sont étouffés par l’hystérie des gens. Tout le monde se lève et s’embrasse. Il y a une euphorie générale la France est championne du monde de football pour la première fois de son histoire. Je me lève aussi, encore secouée par les spasmes de mon puissant plaisir qui a été retenu pendant quarante-cinq minutes. Mes jambes tremblent et j’ai du mal à tenir dessus. Je plane un peu, une pleine conscience de l’état de mes sens mais pas du moment présent.
Je fais comme toute l’assistance, j’embrasse des inconnus en chantant, on est champion. Une main se glisse sous ma jupe, passe à travers mes fesses et m’empoigne par-derrière le pubis en frottant ses doigts sur ma chatte ruisselante. Je crois que c’est mon mari, mais impossible, il est devant moi. Ça doit être un de mes Italiens, je me retourne et là surprise. Un monsieur d’une cinquantaine d’années me fait face. Je n’ai pas le temps de protester, ni vraiment de le voir qu’il me tire à lui pour une accolade ferme et me dit :

— Merci ! Merci ! C’est le plus beau jour de ma vie.

J’étais si surprise et il était tellement heureux que je n’ai pas eu envie de l’interpeller, ni de m’offusquer de son geste. Quand nous allions en boîte échangiste à l’époque où il passait des slows, j’adorai une fois dans le noir presque total, que des mains inconnues viennent me fouiller.

Il avait dû se rincer l’œil toute la soirée et cet événement heureux avait fini par l’enhardir à en faire plus.
C’était toute la ville qui s’embrasa, l’avenue principale devenue piétonne, on voyait un peuple qui s’unissait dans la fête.

J’avais envie de sexe. Mon mari avait envie de me voir avec d’autres, il ne restait plus qu’à convier nos nouveaux amis à nous suivre. On leur expliqua que nous louions une maison avec piscine et qu’ils seraient les bienvenus pour finir la soirée avec nous.

À peine arrivés, nous nous sommes tous retrouvés nus. Mon mari est parti chercher du champagne et nous avons filé au bord de la piscine pour un plongeon général. Mes trois Italiens n’étaient plus réservés du tout et n’ont pas attendu le retour de mon homme pour me peloter dans l’eau. Celui qui ne m’avait pas touchée pendant le match était même très entreprenant, il voulait être le premier à me donner sa bite à sucer. Assis sur le bord du bassin, il m’a entraîné vers lui et m’a présenté son engin. Je n’ai eu qu’à ouvrir la bouche pour qu’il s’engouffre au chaud entre mes lèvres. Ses amis l’ont vite rejoint, mais n’aimant pas me faire masturber dans l’eau, je leur ai demandés de sortir.

Mon mari tardait à revenir. Le connaissant, il s’était certainement mis en retrait pour profiter du spectacle un petit moment. Il n’allait pas être déçu de voir sa petite femme bien entourée. Je m’étais mise à genoux et les trois mâles me présentaient leurs bites bien gonflées à sucer. Je n’avais pas besoin de choisir, juste de commencer et de me laisser aller à toutes les goûter. J’aime cette sensation de passer de l’une à l’autre pour apprécier leur différence et leur volume, longueur et dureté. Aucun n’était circoncis, tant mieux, je préfère, cela permet de jouer avec le prépuce. En revenant, mon mari brandissait un plateau avec des verres et une bouteille ainsi qu’une boîte de préservatifs. Il me trouva une queue en bouche et une autre dans chaque main les alternants à ma guise.

La distribution des capotes faite, mon amoureux me demanda de mettre en levrette pour que je le suce pendant que les Italiens me prenaient à tour de rôle. Il les guidait pour qu’ils me donnent un maximum de plaisir, les faisant se retirer après quelques va-et-vient en moi. Il sait que j’aime me faire prendre virilement, secouer par des pénétrations puissantes et pour éviter que mes amants n’éjaculent trop vite, il devait les faire échanger leur place fréquemment. Il a dû me faire baiser une bonne demi-heure de cette façon, bien que je n’aie pas de quoi l’affirmer : je me fiais à la douleur sur mes genoux.

Il voulait les voir cracher leur semence sur mon cul et les invita à ne plus se retenir pour qu’ils s’exécutent afin de me couvrir les fesses de leur sperme. Lui adore voir les traces blanches maculer ma peau halée et s’imaginer le ruissellement sur les parois internes de mon vagin rempli de ces foutres mélangés. J’adore sentir la jute chaude et poisseuse, collante et odorante s’écraser par jets sur mon cul ou mes seins qui me zèbre outrageusement. Ensuite pendant que la jute dégouline et laisse des traînées, mon mari me pénètre profondément et me traite de traînée aimant être souillée. Qu’il est bon de le sentir se déverser en moi, je hurle mon bonheur devant mes amants de passage.

Nous nous servons une coupe de champagne, je regarde ces trois hommes qui viennent de me faire jouir et à qui nous n’avons même pas demandé le prénom. Eux non plus ne savent rien de nous, juste que je suis une petite cochonne qui aime la queue et que son mari partage sans vergogne. J’aime imaginer que ces hommes se demandent pourquoi cette si jolie fille se laisse si facilement baiser par des inconnus. Et souvent les entendre dire à mon homme que s’ils avaient une si belle femme, ils ne la garderaient que pour eux. Mais comme beaucoup, ils finiraient par la tromper. Peu de personnes vivent dans la franchise absolue. Qu’elle est belle, ma place et notre philosophie de vie ! Je n’aurai pas aimé être une de ces épouses qui attendent leur mari rentré d’une soirée foot à pas d’heure et qui les trompe sans culpabilité ou pire un de ces maris qui part en ne s’imaginant pas sa femme accorder à son amant ce qu’elle refuse de faire avec lui.

J’aimerais être une mouche pour les entendre parler franchement entre mecs des faveurs que je leur ai accordées et comment, ils les perçoivent. Mon homme et moi, nous nous créons des souvenirs communs et cette soirée voyagera au-delà des frontières italiennes.

Laissons mes pensées bavarder, et revenons à notre soirée. Le sperme de mon mari coulait de ma chatte ouverte, il leur proposa de me la remplir de champagne et de venir finir le contenu de la bouteille dans ce nouveau contenant. Pour les exciter un peu plus, il me fit allonger sur le dos et me planta délicatement le goulot au plus profond de ma fente. Mon mari me branla un moment avant de retourner la fiole au breuvage gazeux. La cavité de mon intimité ne pouvait pas tout contenir, je débordais de champagne.

Mon homme sorti progressivement le goulot et finit de renverser le précieux liquide sur mes seins et mon corps.

Je fus aspirée, sucée, léchée, doigtée et j’en demandais encore et toujours plus. J’en tirai deux vers moi, un de chaque côté, pour les sucer en même temps. J’avais la bouche écartée par ces deux bites que je voulais gober, je suis gourmande et ils s’en rendaient compte. L’un d’eux m’attrapa par les cheveux et imprima sa cadence dans ma bouche en faisant ressortir son dard pour me donner celui de son compagnon de fortune à avaler. J’étais aux anges, j’aime me faire baiser par la bouche. Il faudrait que cela ne s’arrête jamais. Me revoilà jambes écartées avec une queue qui recommence son travail de labourage. Les manches se succédaient dans ma chatte et ma bouche, je ne savais pas qui était où, la seule chose qui m’importait était qu’ils aient de la cadence et de la fougue. Je les motivais par des encouragements bien salaces. Si bien qu’un premier homme se planta bien au fond de mon corps, gémit, me cria des insanités en Italien que je ne compris pas, mais que je devinai aisément. Il a préféré jouir dans sa capote plutôt que sortir de m’arroser le corps, sans doute plus intense pour lui, 1-0.

Un autre a pris sa place, me souleva par les fesses, et me baisa à grands coups profonds. Il sortit de presque toute sa longueur pour ne pas être éjecté, et rentra avec force. Il voulait sans doute attester de sa virilité et de sa toute puissance. Bizarrement ce sont souvent ceux qui ont la plus grosse matraque, qui veulent en mettre plus comme si elle ne se suffisait pas par sa grosseur. Loin de me plaindre, je lui ordonnai de me défoncer encore plus. Il était doué, ce salaud, et m’envoyait directement à une explosion mémorable. Il l’a cherché, il l’a eu. Je gicle, je pisse, c’est à mon tour de l’inonder. Mon ruisseau s’est transformé en geyser, ma chatte explose comme une canalisation qui vient de lâcher. Le pauvre gars est trempé, malgré son gros gourdin, je le sens moins dans mon vagin. Il s’en donne à cœur joie, il glisse dans mon antre éclaté. L’excitation de prendre une jouisseuse comme moi à raison de son endurance.
Il a mis un coup trop appuyé, c’est le point de non-retour pour lui. Il sort de ma chatte, éjecte à peine sa capote qu’une giclée est projetée comme une fusée et astérie dans mon cou. Les autres sont moins impressionnantes mais comme pour se venger de l’avoir aspergé de mon liquide, il me barbe des seins au ventre de sa liqueur blanche, 2-0.

C’est au troisième de prendre place devant ma cage, je ne fais aucun effort et le laisse entrer le chemin du but est tout tracé. Ce dernier orgasme ma vidé. Lui aussi veut montrer qu’il a sa place sur le terrain, un audacieux. Il a compris que j’ai besoin de reprendre mes esprits, même si je le désire en moi. Il me travaille consciencieusement, un besogneux très malin. Je suis toute visqueuse de mes propres sécrétions intimes, il aventure sa main entre mes fesses et voyant que je n’oppose pas de résistance, il commence à s’occuper de mon petit œillet. Il explore la rondelle en même temps qu’il me prend doucement.

Mon trou réagit en s’écartant, un peu d’abord, puis rapidement et largement. Il faut dire qu’il est habitué à recevoir la visite de la verge de mon mari qui est énorme.
Il a mis un second doigt et me prend les deux trous à la même cadence. Je n’ai pas repris toutes mes facultés, il fait renaître mon feu intérieur. Je le laisse m’attiser comme une braise, tel un démon, je ressuscite des flammes. C’est moi, maintenant qui le vampirise. J’absorbe ses doigts et sa queue en me plaquant contre lui. J’ondule mon bassin pour imprimer le rythme que je désire. Il a saisi son opportunité. Dans l’inconscience de mon être, je me laisse manipuler et me retrouve à nouveau à quatre pattes. Il va me prendre en levrette. Il sait qu’il va tirer dans la lucarne, prend son élan, vise et tire. Sa pine s’est logée comme il faut, il a le bon angle pour m’enfiler jusqu’au bout. C’est parti, le cochon me tringle en me baffant les fesses. Même si, on ne parle pas la même langue, je comprends les mots, « puttana », « cagna », et un prononcé en français, « salope ». Je lui tends bien mon cul pour qu’il m’enfile et m’intube le trou. Je suis sodomisée devant les yeux médusés de ses amis, et il ne se prive pas pour me défoncer. Il a jeté son dévolu sur un seul lobe de mes fesses, et avec l’ardeur qu’il met à me fesser, il doit marquer mon cul ses empreintes et pour un bon moment. Je suis « chienne », alors pourquoi ne pas me faire abuser comme tel, obéissante, je me soumets à son exigence.

Mon mari se place face à moi, m’attrape avec ses deux mains le visage au niveau des oreilles. Et pendant que l’un me bourre le cul, l’autre me défonce la mâchoire, je ressemble à un pantin désarticulé. Je suis dominée par les extrémités. Mon homme sait que je jouis fortement dans ces conditions et lui qui aime être le dernier à se vider en moi, ne tient plus. Il me saisit par les cheveux d’une main et sa bite de l’autre. Quelques mouvements du poignet le fait se répandre sur mon visage et dans ma bouche. Il contraste entre son geste et ses paroles. J’entends des mots comme « tu es belle », « je t’aime »… J’avale tout son foutre qui m’arrive au fond de la gorge, pendant que je m’occupe à bien nettoyer le restant du mieux que je peux malgré les secousses que je subis, il me badigeonne avec son gland ma langue tirée pour ne rien perdre de son cadeau, 3-0.

J’ai affaire à un gourmand derrière moi, pour certains hommes, le deuxième coup peut-être très long, lui ne faiblit pas dans sa cadence. Il me gâte, m’honore avec énergie. Je suis désensibilisée, dilatée de la rondelle. Le bougre ne va jamais finir. Les autres en sont à leur troisième cigarette, lui ne semble pas vouloir remplir sa capote ou saucer mes reins. Heureusement, je suis endurante et ne renonce jamais au plaisir, la chance d’être multi-orgasmique peut-être. Je vais l’aider en jouant avec son mental. Je prends les choses en main, en lui en demandant d’accélérer, de me prendre encore plus vite et plus fort. Je l’encourage à se dépasser encore plus. Il n’a plus de jus et ralentit. En belle garce accomplie, je le supplie de continuer, de ne pas s’arrêter, que j’en veux encore. Je lui crie de me prendre de toute sa vigueur ! Trempé de sueur, il s’épuise, ralenti et tombe à mes côtés. Là aussi, je comprends qu’un seul mot : « mamamia »… Les autres, il me les dira en français, 4-0. Le dernier but a été marqué par forfait. Mais j’ai gagné quand même face à des adversaires redoutables, il faut leur attribuer ce mérite.

Je n’ai pas accompagné mon mari pour les remmener au centre-ville, j’étais rompue. En guise de douche, j’ai piqué une tête dans la piscine et me suis mise au lit pour l’attendre. On adore faire un débriefing de la soirée et se retrouver tous les deux pour un câlin d’amour. Il n’a pas mis longtemps à revenir d’après ses dires. Malheureusement, pour lui je mettais endormie et il n’a pas voulu réveiller sa princesse au minois d’ange.

C’est lui mon ange gardien.

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