Je sors de la douche, je ne me suis pas branlée aujourd’hui, je me sèche rapidement, je me frotte la chatte. Après avoir glissé un doigt dans mes fesses pour m’assurer qu’elles sont propres, j’écarte légèrement ma fente pour titiller, au passage, mon petit bourgeon.
Je m’habille. Pas de dessous pour aujourd’hui. Juste une mini-jupe pour mouler mon petit fessier et un top presque transparent qui épouse bien mon décolleté. Un collier ras du cou, des perles aux oreilles et des mules aux pieds.
Je vais vers la chambre. Mon petit copain m’y attend. Je passe à la cuisine, ouvre le congélo et y récupère une glace à la vanille. Dans la chambre, je me pose sur une chaise, face à mon mec.
J’écarte les cuisses pour qu’il ne puisse pas ignorer mes intentions, pour qu’il sache qu’aujourd’hui nous allons nous envoyer en l’air, que je suis prête à « faire la salope ».
J’enlève le papier de la glace. C’est une de ces crèmes glacées qu’on appelle Esquimau, c’est le mini modèle, recouvert de chocolat, avec un bâtonnet pour la tenir entre deux doigts. Je commence à la sucer, l’effleurant à peine du bout de la langue, juste pour la faire chauffer légèrement, pour qu’elle ne soit qu’un peu trempée et luisante.
Alors que je réfléchis à ce que je vais faire après ça, je sens mon petit vagin devenir mouillé et luisant lui aussi. J’en approche la glace mais la mini-jupe fait obstacle. Je dois la remonter sur mes hanches. Je décolle mes miches, et d’une main, je soulève un côté, puis l’autre. Pas très simple mais j’y arrive. Je m’assieds à nouveau.
Face à moi, il est allongé et regarde mes cuisses écartées. Je suis certaine qu’il a déjà une forte érection. Il doit être en train de chercher ce que j’ai en tête. Va-t-il le découvrir ?
Désormais, je peux. J’effleure ma foufoune avec le bout de la glace, elle est évidemment froide, mais moins que je ne le croyais. Je presse le sommet entre mes deux lèvres. Elle glisse tranquillement à l’intérieur.
Je ne la force pas, je frotte un peu pour déployer les parois de mon sexe, je fourre le bout mais je ne pousse pas plus loin. Ce n’est pas là que je souhaite qu’elle entre.
Je me lève et je me retourne. Je tends ma croupe, mes reins se cambrent vers le visage qui va vite m’offrir sa bite. Je veux la placer là où je veux qu’elle aille.
Je me suis écarté les demi-lunes à deux mains, en faisant tout de même attention à ne pas faire chuter ma glace sur le sol. Ce serait une honte, il ne me resterait plus qu’à me mettre à quatre pattes pour la ramasser. Avec mes fesses à l’air, ce serait périlleux.
Je sens mon petit orifice s’ouvrir un peu. C’est vrai qu’il a pour habitude d’en prendre de toutes les sortes. Des doigts et des verges, mais pas seulement. Jouets, cierges, légumes, brosses et pinceaux. A peu près tout ce qui me tombe sous la main dès que je suis excitée.
Je peux le sentir se détendre alors que je remue mon popotin. J’y perçois alors tout autre chose. Sa main est montée jusqu’à moi et il essaie de glisser un de ses doigts dans mon anatomie, mais je l’esquive. Puis, après mûre réflexion, je lui permets de glisser son index à l’intérieur de mon petit trou. Il le fait tourner à son aise. Il le fait pénétrer et le retire plusieurs fois.
Attendez de voir la suite. Je grimpe sur la chaise, et m’accroupie, je suis tendue vers lui. Je me déhanche un peu pour le provoquer. Comme si c’était indispensable. Je pense à sa queue dans son froc. Je ne le distingue pas dans mon dos mais je n’ai aucun mal à me la représenter bien grosse et bien rigide.
Dans cette position, avec mes fesses appuyées sur mes talons, je peux les espacer sans même les prendre dans mes mains. Cela me laisse le loisir de manœuvrer en toute liberté avec mon bâtonnet.
Cette fois, je la presse contre mon anus qui se dilate. Je la sens qui glisse doucement vers l’intérieur. Je soupçonne que mon petit derrière est réceptif.
Je vous avoue que cela fait plusieurs jours que je pense à cette charmante et vicieuse petite cérémonie. Acheter la crème glacée, espérer le bon jour et me faire toute belle. Je suis donc déjà prête.
Ça ne fait que glisser. C’est agréable. Elle pénètre très bien dans mon petit pot. Je suppose que la composition à la crème est un atout. Il ne faut pas la faire fondre trop tôt.
Je souhaite la prendre à fond et ça ne serait plus possible. C’est maintenant au moins à mi-chemin. Je peux sentir que ça commence à faire effet à l’intérieur. C’est chaud là-dedans.
En appuyant un peu plus fortement, je fais pivoter le manche avec précaution, en forçant légèrement mon docile orifice. Je fais finalement pénétrer la crème glacée jusqu’au bout. Mon rectum l’engloutit brusquement, ne laissant que l’extrémité du bâtonnet entre mes doigts.
Je tente de la faire réapparaître, mais je ne suis pas sûre que ce soit encore possible. Elle est prisonnière. Ça se liquéfie. C’est une délicieuse émotion. Je la sens se réchauffer, se répandre à l’intérieur.
Finalement, je réussis à extraire le bâton seul. Je le porte à ma bouche et pivote la tête vers mon amant. Il est très attentif, dominé par ma petite cachette de laquelle un peu de glace fondue commence à s’échapper. Je la fouille avec mon doigt pour en récolter un zeste. Je le nettoie en le suçant. C’est agréable, ce mariage chocolat-vanille.
Il y a un peu de ce fluide visqueux qui fait de mon petit arrière-train un passage très facile à enfoncer quand je suis chaude. J’en avale encore un peu, puis j’y mets deux doigts parce que je suis aussi affamée que vicieuse. Cette délicate sensation à cet endroit de mon intimité est si intense que je ne me repens pas de cette initiative.
Encore un objet de plus pour mon petit fion. La liste va-t-elle continuer indéfiniment ? Dans la mesure où ça rentre, cela me convient. Et en attendant, ça déborde, ça dégouline. Et il en reste encore beaucoup. C’est comme un petit filet de crème liquide.
Mon adorateur est incapable de se contrôler. Il se dresse et se dirige vers moi. Il plaque sa langue contre mes fesses et me lèche l’ouverture. Je sens sa langue qui fait pression sur les parois, qui avance et se retire, fait des rotations dans mon anus, en léchant et en aspirant la pommade qui déborde sur sa bouche.
Il me chuchote des obscénités. Il me dit que je suis une pute, une petite salope, une vraie traînée. Il ajoute qu’il va lui aussi remplir mon cul mais que ce qu’il y fourrera ne pourra pas fondre.
Je rigole. Je savais qu’il apprécierait ça. Plus c’est salace, plus il en profite. En particulier quand je prends les devants. Il aime penser que je suis une vraie nympho.
Il adore se dire qu’en son absence, je ne rêve que de me faire sauter, que je me mets à mouiller en prévoyant le prochain coup où nous nous retrouverons. Il se plaît à imaginer que je suis toujours en train de me faire des petites gâteries. Ce qui est souvent le cas, car cela me permet de le désirer encore plus fort.
Je me mets à rêver de son organe, devant comme derrière, comme si celui-ci se multipliait, me pénétrait et me remplissait de tous les côtés.
Il se lève, moi aussi. Je presse mon fessier contre son gland. Il le fait glisser et rentrer sans ménagement. Il le ramène avec une bonne couche de crème. Je saisis son manche, le serre dans ma main et me lèche les doigts. Il me le replace au milieu, écartèle mes fesses et le replonge violemment. Il effectue des mouvements de va-et-vient, brassant le mélange à l’intérieur. Je peux sentir la substance devenue presque tiède circuler dans mes entrailles. C’est un truc spécial. Son machin progresse et s’immobilise au fond de mon trou.
Il se retire, son maître me ramène devant lui et me fait mettre à genoux. Je porte sa verge à ma bouche ouverte. Elle coulisse alors entre mes lèvres, chargée de jus. Elle se répand, sur mon menton, sur mon petit top. Je retire celui-ci, mes beaux nibards apparaissent. Je refourre sa grosse pine dans mon petit palais.
Il se penche sur moi, fouille dans mon derche avec deux doigts et il les extrait complètement recouvert de la préparation sucrée que je produis. Je suis comme une mécanique qui laisserait glisser d’un côté ce qui est destiné à remplir l’autre. Je savoure ce qui jaillit de mon cul béant.
À présent, il introduit ses doigts gluants dans ma gorge. Je les aspire, sans rien en perdre. Il réinsère son pénis et pousse si profondément que je bave, déversant de la salive et de ma propre crème sur mes gros seins. Il maintient mon visage contre son sexe, je gobe sa chair goulûment.
Il est content de cette perspective. Il repique ses cinq doigts dans mon fondement, les uns après les autres, une main puis l’autre, et il les enfonce jusqu’à ce qu’ils soient tout barbouillés de cette fameuse crème. Il saisit ensuite mes deux nichons dans ses mains et les malaxe, les enduisant de lait-vanille-chocolat.
C’est à lui de se faire plaisir et de se régaler. Il embrasse mes seins, mes mamelons. Je sens grossir mes tétons sous le massage de la crème et de sa langue. Je me sens de plus en plus excitée. Qui de nous deux est le plus émoustillé. Je ne le parierai pas.
Je ne suis plus capable de me contrôler. Je pince mon petit bouton, je le titille, je le presse mais il se dérobe, glisse, trempé de dedans comme de dehors. C’est toujours plus intense.
Ce jeune chien, lui aussi particulièrement motivé, se met à nouveau derrière moi et m’enfonce son gros membre dans mon gobeur de queue, mes mamelles tressautent. Il me claque les miches. Il coulisse rigoureusement entre ces dernières, aucun danger qu’il se trompe d’entrée. Ça glisse drôlement, pas de risque que ça ne rentre pas.
Sa pine de cochon pourrait carrément doubler de diamètre que ça ne me déplairait pas. Je l’aspirerais sans même y penser, je la sens heurter mon conduit, me percuter, il a tendance à y aller fort, mais je suis tellement dégoulinante, huilée par toute cette espèce de liquide qui ne cesse de perler comme si cela n’allait pas se tarir, que je ne mesure pas la puissance de ses saccades.
C’est tout bonnement très agréable et trop jouissif, si je pouvais me faire défoncer le croupion comme ça tous les matins, les journées commenceraient foutrement mieux.
Enfin, mes deux doigts parviennent à triturer mon clitoris, quand ils ne dérapent pas dans ma vulve, intentionnellement ou par inadvertance. Une seconde paire de couilles, ce ne serait pas un luxe, ça comblerait ma cramouille mais ce sera pour une des prochaines fois. En ce qui me concerne et en attendant, je suis en plein délire, je vois le délice malgré tout croître de tous les côtés. Dans ma petite minette, au fond du fion, en moi comme en lui.
Il ne va pas tarder à éjaculer. Je vais très bientôt recevoir le jet qui me laissera tout épuisée. Pour l’instant, je ne goûte qu’au délice mais je suis bien placée pour savoir qu’une soudaine fatigue me saisira après coup, quand le ravissement se dissipera, quand mon corps se détendra après un ultime ébranlement.
Ça y est, il augmente la cadence, je suis en état de sentir son vit enflammé, paré, qui me fourre le fond du rectum dans un ultime effort avant de me libérer. Il halète et le tour est joué, il a giclé dans mon cul.
Mes petits doigts se précipitent et je gémis à mon tour. Une décharge violente éjecte son pénis de la gaine visqueuse. Je me retrouve avec sa queue qui tressaille contre ma croupe.
D’une seule main, je récupère son organe, je suis genoux à terre et je le place dans ma bouche. Je savoure le parfum de la crème et du foutre. Je le déguste et le nettoie.
Mon entrée arrière encore à semi-ouverte ne cesse de répandre son trop-plein, de crème vanille, de chocolat, de sperme et de mouille.
Je me retrouve tellement bien, encore tout excitée, et comme bombardée de flots, de visions, de toutes les obscénités qu’on vient de vivre, que pour un rien, je lécherais même le sol pour finir par avaler ce qui a coulé de toutes parts. Si seulement j’étais suffisamment salope pour en profiter. Je le deviendrais. Une fois prochaine.