UNE DOMINATRICE INATTENDUE : CHAPITRE TROIS, ENGAGEMENT ET PREMIÈRE SOIRÉE
Jusqu’à ce mercredi, les deux jours me semblent longs et j’ai du mal à m’endormir. Je suis impatient de lui baiser les pieds en signe d’acceptation et de respect. Je sais que ma vie va changer et j’ai totalement confiance en Elle. Madame est médecin et je me doute que Madame n’ira jamais trop loin.
Je suis déjà devant l’immeuble alors qu’il n’est que 18h45. Je fais les cent pas car je ne veux être ni en avance ni en retard.
A 19h pile je monte et trouve la porte du cabinet médical légèrement entrouverte.
J’enlève mes vêtements. Nu à genoux, la tête et le regard baissé, j’attends.
Je vais apprendre que l’attente est importante pour un soumis et je passerai de nombreuses heures à attendre le bon vouloir de Madame.
Je ne l’ai pas entendu arriver. Depuis combien de temps m’observe-t-elle ?
Je me penche jusqu’ ses pieds que j’embrasse l’un après l’autre, et je ne bouge plus de ma position à genoux, fesses relevées et visage contre le parquet. Je sens qu’Elle m’observe. Peut être pour voir si l’épilation est comme Elle le désire ou tout simplement pour bien me faire comprendre quelle est ma place.
— J’étais sûre que tu viendrais. Tu rentres dans une nouvelle vie.
M’attrapant par une oreille, Elle me fait la suivre à quatre pattes.
Arrivé dans son bureau, Madame me montre la table médicale et je comprends que je dois y monter. Je reprends la position que j’avais dans le couloir et je reste immobile sur la table.
— Le collier qui est sur la table est pour toi.
Un collier d’acier qu’Elle m’attache immédiatement. Madame y accroche une laisse.
— Tu porteras le collier en permanence. Il ne se verra pas sous ta chemise et te rappellera en permanence que tu m’appartiens. Dans quelques semaines, je le ferai bloquer pour que personne ne puisse te l’enlever. Si c’est trop visible dans ta vie professionnelle, je le changerai par un collier plus discret. Si on te demande pourquoi tu portes un collier, tu auras le courage de dire que tu es soumis à ta Maîtresse. Si tu n’oses pas, tu auras l’honnêteté de me le dire et tu seras puni à chaque fois. Tu dois être totalement transparent sur ta vie. C’est bien compris ?
— Oui Madame, je m’y engage.
— Tu vas remettre le minimum de vêtements pour sortir. Le cabinet médical, c’est fini pour toi. Je t’emmène chez moi. Embrasse mes pieds pour me remercier de cet honneur.
Je m’exécute et nous partons. Je reste légèrement derrière Elle, regard baissé en guise de soumission. Je suis fier de commencer à servir Madame.
Madame habite à quelques minutes de son cabinet médical
Devant l’immeuble, alors que nous sommes entourés de plusieurs personnes Madame me dit de monter par l’escalier. « L’ascenseur, c’est uniquement pour les Hommes, pas pour les soumis » rajoute-t-elle à voix haute au risque que les gens l’entende. Je sens que je rougis.
Arrivé à son étage, je n’entre pas de suite. Je n’oublie pas de me mettre nu et de poser les vêtements dans le placard sur le panier. J’attends nu à l’entrée de l’appartement. Elle viens ouvrir le placard et regarde mon sous vêtement.
— C’est un sous vêtement de mâle, c’est plus pour toi. Tu peux les jeter. Désormais, tu resteras nu sous le pantalon et quand tu seras encagé, on ira ensemble choisir des petites culottes dans un magasin tenu par une excellente amie.
— Rentre à quatre pattes pour visiter l’appartement. Ne me fais pas attendre.
J’obéis sans attendre et Madame accroche la laisse à mon collier. Nous visitons un très bel appartement.
— Ici c’est ma chambre et c’est dans ce lit que mes amants viennent me faire l’amour. Tu n’as pas à rentrer dans cette chambre sauf si c’est ta Maîtresse qui te le demande. Et là dans le couloir, c’est le placard dans lequel tu dormiras si tu restes quand ta Maîtresse te le demandera. C’est compris ?
— Oui Madame.
— Ce soir l’un de mes amants va venir me faire jouir. Il a une queue exceptionnelle. La tienne à coté on ne la voit même pas. Tu as un bout inutile de la grandeur de celle d’un gamin de dix ans. C’est minable. Après un an de cage, on ne la verra même plus. Un ou deux centimètres de long au maximum. Le plus difficile c’est de trouver une cage aussi petite. Je vais chercher rapidement car pas question de la laisser en liberté même si elle ne sert à rien
Et Madame part dans un grand éclat de rire. Je suis envahi par l’excitation et la honte.
Elle me laisse à la porte de sa chambre dans le couloir.
— Je vais me préparer pour mon amant. La prochaine fois c’est toi qui me préparera.
Quand Elle revient au bout d’une heure peut être, Madame n’est plus la même. Elle est magnifique et très sexy.
— Je t’autorise à lever les yeux pour m’admirer.
Maquillée, coiffée et juchée sur de très hauts talons, Madame porte une robe dont le bas s’arrête juste sous les fesses et le haut est composé de deux pans qui cachent à peine ses seins et noués derrière la nuque. Sous la robe, un micro string cache sa fente, ce qui m’étonne.
— J’ai mis un micro string pour te cacher ma petite chatte et ne pas t’exciter. Et malgré cela ton petit bout se redresse. C’est mignon, au moins 4 centimètres. Je ne l’avais pas encore vu si grand.
Elle éclate de rire. Puis Madame revient avec une corde et un bandeau noir.
— A genoux, assis sur tes fesses, les mains derrière le dos. Je vais t’attacher les mains pour t’éviter de faire une bêtise en te touchant, et le bandeau c’est pour t’empêcher de voir. Je vais pouvoir enlever mon string pour exciter mon amant dès son arrivée. Tu vas rester dans le couloir et tu vas pouvoir écouter ta Maîtresse jouir avec la queue de son amant. Et ne t’avise pas de juter, si tu ne veux pas être puni.
Une soirée grandiose pour Madame et son amant qui commence dans le couloir. Elle est excitée à l’idée de profiter de sa queue à quelques centimètres de moi et puis je suppose qu‘Elle l’emmène dans sa chambre en laissant la porte grande ouverte pour me faire profiter de ses cris de bonheur mélangés aux claquements de leurs corps quand il la prend en levrette. Drôle d’impression de devoir imaginer juste avec le son. Elle profité de son étalon à plusieurs reprises pendant près de deux heures, puis la porte de l’appartement s’est ouverte et fermée et le calme est revenu.
— Alors soumis, tu as bien profité ? Oh mais oui, je vois que la petite nouille est toute mouillée. Tu m’as désobéi, ta Maîtresse va te punir.
Elle m’enlève le bandeau, et me libère les mains, pour me tirer par la laisse à 4 pattes jusqu’au salon.
— Pose tes mains à plat sur ce siège et tends bien tes fesses. Ne t’avise pas de bouger, je ne veux pas t’entendre. Pour une première punition, je ne vais pas être trop sévère, juste assez pour que tu te rappelles toute la nuit que tu dois obéir.
Avec le paddle en cuir, les coups sur les fesses et les cuisses pleuvent, rapides, lents, sur la même fesse ou de l’une à l’autre. Très vite ça me brûle et je serre les lèvres pour ne pas geindre. Puis tout d’un coup, la douleur s’estompe pour une excitation sexuelle. Je ne compte plus les coups des lanières en cuir.
— Merci Madame.
— C’est juste un avant goût de ce qui t’arrivera à chaque désobéissance. La prochaine fois, tu compteras à chaque coup. Si tu te trompes, je recommencerai à zéro.
quel plaisir de lire,