Une maman pas comme les autres

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alex condamines


MILFprof


Quand on est enseignant, il y a les marronniers. L’un d’entre eux, et pas des plus réjouissants, ce  sont les rencontras parents/profs qui ont lieu plusieurs fois par an…Les temps ont beaucoup changé, et elle est loin l’époque où l’enseignant était une figure de respect. Si certains se félicitent et vous félicitent pour apporter du savoir et du savoir-faire à leurs enfants, d’autres viennent vous faire savoir que vos cours sont bien médiocres et qu’eux sauraient faire bien mieux que vous.
Un de mes rares plaisirs, c’est de contempler, pendant quelque minutes la beauté des jolies femmes qui viennent se poser face à vous. Beaucoup d’entre elles se soignent pour venir, et se magnifient, offrant le tableau d’une féminité teintée de séduction qui reste longtemps après qu’elles soient parties. On peut admirer, on peut aussi être troublé.
C’est ce qui s’est passé quand elle est rentrée dans la salle, ce soir-là. Elle l’a immédiatement remplie, et pas seulement parce qu’elle était très grande. Il y avait en elle quelque chose de très fort, une sensualité à fleur de peau qui m’a frappée en plein visage. Pas mal d’assurance, c’était une évidence, mais aussi le fait que cette quadra, cette MILF aurait dit certains, était en pleine possession de sa féminité, contrairement à des filles qui n’en avaient même pas conscience, et qu’elle la balançait en plein visage des personnes qu’elle croisait. Libre à vous d’être indifférent ou troublé. Ce jour-là, la deuxième option s’est imposée à moi.
Tout en elle était fait pour séduire le mâle que j’étais. Une épaisse crinière blonde, longue et soyeuse, un visage bien dessiné et maquillé sans outrance, mais au contraire de manière à souligner des traits harmonieux. De grands yeux pervenches, une bouche charnue. Elle portait une micro-jupe moulante, qui dévoilait la quasi-intégralité de ses jambes longues et impeccablement dessinées, l’un de ses atouts numéro un. Sans talons, elle devait mesurer 1 mètre 90, et avec ses escarpins aux talons très fins et très longs, elle devait approcher des deux mètres.
Ses formes étaient généreuses, mais sans ce trop-plein qui caractérise les femmes en surpoids. Hanches, seins, fesses pleins.
Elle était vraiment très attirante. En tout cas, ma queue, qui avait pris du volume, me le disait clairement. Elle a gagné quelques centimètres en longueur et en épaisseur quand elle s’est approchée m’a tendu la main, une main que j(‘ai trouvée chaude et douce contre la mienne, et que j’ai respiré l’odeur d’un parfum qui lui allait bien, aussi sensuel que le reste de sa personne.
—Je suis la maman de M…
Le fameux M était un branleur qui ne travaillait pas, Il m’avait déclaré. ‘Mes parents ont énormément de fric, et j’ai pas besoin de bosser. Mon père me prendra dans son entreprise.’
Je n’ai jamais vraiment pris de gants, et donc j’ai parlé franchement à la mère, sans que celle-ci m’accuse en retour. Au contraire.
—Vos collègues m’ont dit pareil. Je pense que nous allons avoir une discussion sérieuse avec lui, son père et moi. On est divorcés, mais on fait front pour son éducation.
Je manipulais mon stylo bille, et je l’ai laissé tomber à ce moment-là. Je me suis baissé machinalement.
Si je ne me suis pas redressé immédiatement une fois le stylo rattrapé, c’est à cause de la perspective qu’elle m’offrait. La jupe, ultra courte, était remontée se tire-bouchonner autour de sa taille, et elle avait ouvert les cuisses. De la sorte, j’avais une vue imprenable sur son sexe. Le collant ne bénéficiait d’aucun parement qui aurait pu le masquer, et dessous, elle n’avait pas de culotte. Et je pouvais tout voir. Ce qui restait d’une toison taillée, un triangle minuscule, qui disait que le blond de ses cheveux était sa vraie couleur et l’ouverture d’un sexe dont sortaient deux gros bouts de lèvres, repliés chacun en sens opposé à l’autre, au dessus du sillon fessier qui coupait en deux ses fesses rondes, sur lesquelles elle était posée et les plissements de son anus. L’espace d’un instant, je me suis vu glisser ma queue en elle, et en éprouver un plaisir infini.
Je suis remonté à l’étage supérieur, hanté par cette image qui devait trainer un bon moment devant ma rétine. Non, ça n’arriverait jamais. Elle était juste la mère d’un de mes élèves, qui a encore discuté avec moi deux minutes, avant de se lever, de me  tendre la main à nouveau et de s’éloigner, me laissant plein de regrets. J’aurais bien passé la soirée qui s’amorçait avec elle.
Et puis la vie continue.
L’épisode 2, et je ne pensais pas qu’il y en aurait un, a eu lieu un mois et demi plus tard. Je rentrais d’un séjour à Paris de trois jours pour un stage. Je suis arrivé à la gare en début d’après-midi. J’avais laissé ma voiture sur le parking, et j’ai découvert que quelqu’un avait crevé tous mes pneus. Sans surprise, le parking de la gare était le royaume des dealers et des putes…
Démoralisé, j’ai décidé d’appeler un taxi.
Il y avait une compagnie mentionnée sur l’annuaire en ligne. J’ai appelé, une voix féminine, on vous envoie quelqu’un.
Une grosse Mercédés noire est arrivée quelques minutes plus tard. Je ne distinguais pas le chauffeur.
Elle s’est garée face à moi. La portière du conducteur s’est ouverte, et la première chose que j’ai pu voir, ça a été de superbes jambes, parfaitement dessinées, gainées du nylon de bas stay up dont l’accroche enveloppait la cuisse haut, une paire d’escarpins rouge vif, talons fins d’une dizaine de centimètres, une robe en laine courte, remontée, qui laissait voir un sexe nu
Ironiquement, je n’ai pas fait le rapprochement entre ces jambes, et ce sexe et ceux que j’avais pu voir un mois et demi plus tôt. Ca n’a été qu’en haussant mon regard de quelques centimètres que j’ai vu ces superbes traits, et bien sûr là, je l’ai reconnue. Elle était toujours aussi attirante…
—Hé bien, je n’avais pas imaginé que vous étiez taxi…
—Je ne vous ai pas parlé de mon métier.
—Vous pouvez me ramener chez moi?
J’allais monter à l’arrière avec mon sac de voyage. Mais elle m’a dit:
—Laissez le sac derrière, et montez à côté de moi.
Je me suis glissé à la place du mort. J’ai pensé qu’elle allait démarrer. Au-lieu de cela, elle s’est tournée vers moi, se positionnant de trois quarts, et elle a largement ouvert ses superbes jambes, me donnant à voir largement son sexe.
—Il y a un mois et demi, j’ai senti ton regard dessus. Aujourd’hui je te l’offre. Regarde-le bien, profite-en…Tiens, je vais même faire plus.
Elle a glissé ses deux index dans la fente qui était dans le même état qu’un mois et demi plus tôt, et elle s’est ouverte, me donnant à voir son intérieur rose. J’aurais bien été incapable d’en détacher mon regard.
-_Ce jour-là, je crois qu’il y a eu une attirance mutuelle, non? Mais difficile d’aller au-delà…Aujourd’hui, on pourrait basculer sur une autre chose, tu ne crois pas?
Elle a démarré. Je n’ai pas répondu mais elle a bien compris que mon silence était un oui.
On a traversé la ville en discutant de tout et de rien. J’habitais à la sortie est. Il fallait d’abord sortir de la ville, puis passer le long de champs et de bois, avant d’habiter au village suivant, où j’avais ma maison. Mais on n’est pas arrivés tout de suite. Elle a pris un chemin sur la droite, et on a fait 300 mètres avant de stopper sur un espace le long d’un bois. Le lieu parfait. Je me suis demandé si elle était déjà venue ici avec d’autres hommes. Elle a plongé sur moi avec une expression d’envie et elle a défait mon pantalon pour sortir ma queue, raide de désir. Elle l’a caressée doucement, avant de venir l’envelopper de sa bouche. Elle avait du faire pas mal de fellations déjà sans doute, partant sur une technique et l’arrêtant pour passer à une autre, au moment où j’allais exploser. Elle a fini par se laisser retomber en arrière dans son siège, ouvrant ses jambes autant qu’elle le pouvait, l’une collée contre le dossier de son siège, l’autre accrochée au tableau de bord, au dessus du volant. Son sexe avait changé d’aspect, en peu de temps, signe de son excitation, de son trouble. Il s’était dilaté pour laisser voir, sans en forcer l’ouverture, une partie de ses muqueuses, et ses lèvres s’étaient épanouies hors d’elle. Longues, et épaisses, avec leur dessin irrégulier. J’ai plongé sur elle et j’ai caressé ses chairs intimes, a bouche envahie par ses liqueurs qui coulaient avec de plus en plus d’abondance à chaque minute. Elle a gémi, s’abandonnant à mes caresses buccales. Signe incontestable de son excitation, son clitoris s’est décalotté de lui-même, et est apparu, comme un gros bourgeon qu’elle m’offrait. Je suis remonté et je l’ai enveloppé de mes lèvres pour le sucer doucement, ses gémissements prenant de l’ampleur et du volume. Perdant le contrôle, elle a pourtant trouvé la volonté de remonter sa robe et de dégrafer son soutien-gorge, mettant des seins à l’ovale parfait à nu, qu’elle s’est mise à caresser pour compléter son plaisir, d’abord sur la surface des globes de chair avant de monter sur les tétons déjà semi-érigés, et de les tordre, les faisant s’allonger et gonfler.
Elle a pourtant fini par me repousser. Se redressant, elle s’est penchée vers la boite à gants pour y pécher une boite de préservatifs. Elle en a péché un, dont elle a déchiré l’emballage. Je pensais qu’elle allait faire glisser le préservatif sur ma queue, mais elle a agi différemment, dans une volonté plus ou moins marquée de se démarquer. Elle l’a collé contre ses dents, et elle s’est penchée sur ma queue. Sa chaleur m’a gainée l’espace d’un instant et je me suis retrouvé emballé de plastique, sans aucune faille. Une invitation à aller plus loin. Elle est venue sur moi. Elle était massive, mais ça s’est parfaitement bien passé sans aucun doute parce que je n’ai pas senti son poids sur moi, à aucun moment. Elle s’est mise en équilibre sur moi et son sexe a avalé ma queue, d’un seul mouvement. Je l’ai sentie autour de moi, me gainant, me frottant, chaude et humide, et le problème n’a pas été tant de monter vers la jouissance que de se retenir pour ne pas exploser trop vite.
Ce qui participait à mon plaisir, c’était autant de la sentir autour de moi, qui frottait ma queue en montant et descendant sur moi que de me dire que j’avais la chance d’avoir une fille aussi magnifique à moi, pour quelques instants seulement certes  et aussi de la voir exprimer sa jouissance sans retenue, avec une exubérance qui s’est transformée en cris quand mon sperme a jailli dans le préservatif, venant taper contre les parois internes de son vagin, et la faisant jouir.
Après qu’on ait repris nos esprits, elle m’a ramené chez moi.
On s’est regardés. On avait autant envie de sexe l’un que l’autre. Encore.
—Si tu rentrais?
Elle avait tellement envie, et moi aussi qu’elle n’a pas exercé son métier de tout l’après-midi.
On a joui jusqu’à l’épuisement.
On s’est trouvés tellement en harmonie qu’on s’est revus. Et que je suis devenu le  beau-père de cet ado pour lequel elle était venue me trouver et qui s’est largement racheté une conduite par la suite.

 

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